12/2/22 – J’ai vu des morts, des monticules de morts, en France

C’était comme des collines couvertes de croix blanches bien alignées, à l’image des cimetières militaires américains. Mais je savais que ce n’était pas des soldats. C’étaient des enfants, des jeunes adultes… Il y en avait tant qu’il n’y avait même pas de noms sur les croix : trop de morts, trop vite.

Puis j’ai vu un peuple qui se levait, déterminé. Les corps et les visages étaient maigres, comme frappés depuis des mois par une famine terrible. C’était presque des morts-vivants, et tout autour d’eux semblait détruit. Mais ils se levaient avec détermination, et ils marchaient.

J’ai compris qu’un terrible fléau allait s’abattre sur la France et décimer beaucoup d’enfants et de jeunes adultes qui n’auraient pas dû mourir. Conséquence du « vaxxin » ? Certainement, mais aussi d’autre chose. Un autre fléau, brutal, soudain, horrible…

– Pourquoi, Seigneur, pourquoi ?

Il m’est venu aussitôt une réponse, dans mon cœur : la France a bafoué tous les commandements de Dieu, et c’est de pire en pire. Elle a tué, entre autres, des dizaines de millions de bébés par l’avortement depuis 50 ans. Avec le « vaxxin », les femmes enceintes font des fausses couches, mais là, c’est sans leur consentement. Depuis des siècles, particulièrement depuis la Révolution, puis depuis Mai 68, puis depuis l’ère Miterrand, les Français marchent pour réclamer leur liberté, leurs « droits ». Des « droits », toujours plus de « droits ». Aujourd’hui, plus que jamais, ce sera des convois pour réclamer la liberté, pour réclamer leurs droits. À l’heure où j’écris, je ne sais évidemment pas comment cela va aboutir, mais Dieu le sait.

La France gronde, légitimement selon ses propres lois, pour que s’arrête la dictature « sanitaire ». Mais qu’a-t-elle fait depuis des décennies du droit à vivre de ces enfants jetés au feu, et souvent torturés dans le ventre de la mère avant d’être aspirés comme on aspire de la saleté. Qu’a-t-elle fait du droit à avoir un père pour ces enfants-marchandises issus de la GPA sans père ? Qu’a-t-elle fait pour ces enfants livrés à des pervers, des milliers d’enfants, peut-être des centaines de milliers, car la France, on le sait, est l’épicentre de la pédocriminalité et que ses juges, dans ce domaine, sont devenus des « loups du soir » : il sont liés, pour la plupart, par leurs « maîtres » en franc-maçonnerie, et les autres se taisent par peur.

Sophonie 3:3 –  Ses chefs au milieu d’elle sont des lions rugissants [Comme le diable !] ; Ses juges sont des loups du soir qui ne gardent rien pour le matin.

– Oui, mais Seigneur, tous les pays font cela, ai-je pensé.

Il m’est aussitôt venu en tête la réponse de Dieu :

Deut 18:14 : Car ces nations-là dont tu vas posséder le pays, écoutent les pronostiqueurs, et les devins; mais quant à toi, l’Eternel ton Dieu ne t’a point permis d’agir de la sorte.

Les nations sans Dieu écoutent leurs faux prophètes et leurs leaders corrompus. Mais la France, depuis Clovis, a été bâtie par Dieu, elle a un statut spécial dans le cœur du Père céleste, et c’est pour cela qu’elle est devenue un magnifique pays, puissant, brillant dans le monde entier comme un joyau, et même longtemps un empire (Précisons: Dieu n’approuve pas les empires, seulement les nations, car qui veut un empire pratique le pillage d’autres nations et leur mise en esclavage). Dieu avait donné à la France Ses lois, SA LOI. Il lui avait donné des rois qui Le connaissaient et Le craignaient, même si beaucoup d’entre eux ont dérapé à cause de la puissance terrestre, de la richesse et de la gloire que leur conférait leur position. Qui sait y résister ?

Et le peuple, un jour, s’est soulevé. Ô combien j’ai toujours compris que le passage suivant s’appliquait à la France :

Es 8:19 Si l’on vous dit : Consultez ceux qui évoquent les morts et ceux qui prédisent l’avenir, Qui poussent des sifflements et des soupirs, Répondez: Un peuple ne consultera-t-il pas son Dieu ? S’adressera-t-il aux morts en faveur des vivants ? [C’est ce qu’a pratiqué le catholicisme durant des siècle et qu’il continue à pratiquer] 20 A la loi et au témoignage ! Si l’on ne parle pas ainsi, Il n’y aura point d’aurore pour le peuple. 21 Il sera errant dans le pays, accablé et affamé; Et, quand il aura faim, il s’irritera, Maudira son roi et son Dieu, Et tournera les yeux en haut; 22 Puis il regardera vers la terre, Et voici, il n’y aura que détresse, obscurité et de sombres angoisses : Il sera repoussé dans d’épaisses ténèbres.

La France a rejeté la loi et le témoignage au profit d’une laïcité à la moralité très élastique, qu’elle a assimilée à la liberté, après avoir coupé la tête de son Roi très chrétien. Mais ses prédécesseurs, c’est vrai, avaient dérapé dans l’opulence. Tout comme nos dirigeants politiques d’aujourd’hui…

Même le roi Salomon, le sage, a fini par déraper avec ses 700 femmes et ses 300 concubines qui ont importé les abominations des nations au sein d’Israël.

Depuis la Révolution, la France, avec ses leaders politiques de plus en plus corrompus et pervers, a sombré dans une immoralité suffocante, au nom de la liberté. Quelle liberté ? Certes pas celle promise par Christ.

Si donc le Fils vous affranchit, vous serez réellement libres.

Libre de ne pas pécher, donc de ne pas être séparé de Dieu et de ne pas finir en enfer !

Après Salomon, le peuple élu s’est scindé en deux, se rendant ainsi très affaibli, non seulement politiquement, mais aussi spirituellement. Et Dieu, un jour, a cessé de lui parler puisqu’ils n’écoutaient pas. Et cela a duré des siècles !

1S 3:1 – « La parole de l’Eternel était rare en ce temps-là, les visions n’étaient pas fréquentes ».

Après Malachie, Dieu n’a plus parlé durant 400 ans à son peuple.

Dieu est lent à la colère, Il a encore donné à Israël des rois qui craignaient Dieu. Mais c’en était fini de la gloire et de la puissance qu’avait connues Israël du temps de Moïse ou de David…

Et quand son Roi, son Dieu, est venu au milieu d’eux, leur cœur était si endurci par le péché que la plupart ne l’ont pas reconnu. Pourtant, c’était la Parole de Dieu incarnée qui était là, au milieu d’eux.

Es 53:1 Qui a cru à ce qui nous était annoncé ? Qui a reconnu le bras de l’Eternel ? 2 Il s’est élevé devant lui comme une faible plante, Comme un rejeton qui sort d’une terre desséchée; Il n’avait ni beauté, ni éclat pour attirer nos regards, Et son aspect n’avait rien pour nous plaire. 3 Méprisé et abandonné des hommes, Homme de douleur et habitué à la souffrance, Semblable à celui dont on détourne le visage, Nous l’avons dédaigné, nous n’avons fait de lui aucun cas.

En fait, dans l’Histoire du monde, quasiment tous les dirigeants trop riches et trop puissants ont dérapé dans la perversion… et le peuple de les suivre. Alors, une nation comme la France, instruite dès son commencement dans les commandements de Dieu, paie un jour au double de son iniquité. Tout comme Israël :

Esaïe 40:2

Parlez au coeur de Jérusalem, et criez-lui Que sa servitude est finie, Que son iniquité est expiée, Qu’elle a reçu de la main de l’Eternel Au double de tous ses péchés.

C’était prophétique. Israël a payé au double (rappelons la diaspora de 2.000 ans, les pogroms et la shoah, et ce n’est pas fini, et cela sera jusqu’à ce qu’il se repente et reconnaisse son Roi !). Oh, que ce « double » coûte cher !

Et pour la France, c’est pareil… Car Dieu est juste.

Dieu est lent à la colère. Il appelle à la repentance depuis des siècles, mais la France ne s’est pas repentie, elle s’est enfoncée dans la rébellion contre les lois divines. C’est cela qu’elle a appelé liberté : liberté de faire ce qui lui plaît, au prix, s’il le faut, de millions de morts d’enfants qui auraient voulu vivre ! La France, fille chérie de Dieu, va payer au double de son iniquité :

Jérémie 16:18 –  Et je rendrai premièrement le double de leur iniquité et de leur péché, parce qu’ils ont souillé mon pays par les cadavres de leurs choses exécrables ; et ils ont rempli mon héritage de leurs abominations. »

La France va être brisée, soudainement, je pense. Le brisement a déjà commencé, mais c’est autre chose de brutal qui s’en vient, et qui la mettra en miettes. Mais alors quelque chose va se produire : un peuple brisé va se relever. Oh, dans quel état il était… Et quelle souffrance sur les visages !

– Ô mon Dieu, aie encore pitié !

J’ai encore reçu une autre réponse de Dieu :

Esaïe 58 : 1

Crie à plein gosier, ne te retiens pas, Elève ta voix comme une trompette, Et annonce à mon peuple ses iniquités, A la maison de Jacob ses péchés !

Là, j’ai eu la confirmation de la lourde responsabilité de ce qui s’appelait encore Église et qui ose continuer à s’appeler Église, alors qu’elle a laissé les lois humaines immondes la pénétrer, sans broncher.

ELLE S’EST TUE, ELLE N’A PAS OUVERT LA BOUCHE POUR PROTESTER, NI AVERTIR !

Voici des siècles qu’elle se tait, qu’elle ne reprend que très mollement ceux qui pèchent, qu’elle ne parle plus aux autorités avec vigueur, comme le prophète Elie devant Achab, comme Jean-Baptiste devant Hérode, comme l’apôtre Paul devant César, et, bien sûr, comme Jésus devant les pharisiens (Mt 23, entre autres). Pourquoi ? Par crainte de perdre ce qu’elle croyait être sa liberté, avec ses clochers arrogants, ses pasteurs et prêtres dominant sur un peuple assis, démis, passif et satisfait de l’être, une Église qui se gardait de proclamer toute la vérité pour ne pas déranger le monde et surtout pas les dirigeants du monde.

Le jugement commence par la Maison de Dieu :

Apocalypse 18:6

Payez-la comme elle a payé, et rendez-lui au double selon ses œuvres. Dans la coupe où elle a versé, versez-lui au double.

Oh oui, cela va être terrible et ça a déjà commencé. C’était un avertissement de Dieu, un cri terrible, mais qui a voulu entendre ? Qui s’est repenti ?

Qui ?

Une toute petite partie, bien trop minuscule. Mais il y a un peuple de Dieu, caché en Christ, qui est en train de se lever.

Oui, j’ai encore une espérance, car dans ma vision, ce peuple ravagé qui marchait avait la conviction que la victoire était déjà là. Même l’Église, tout comme le peuple, avait payé au double de ses iniquités.

Ah ! S’ils avaient su se repentir avant d’être brisés !

Ah ! Si j’avais su me repentir avant d’être brisée ! Mais il a fallu cela, tant mon cœur était dur, pour qu’enfin je rencontre mon Roi, que je me repente, que mon Roi me relève et que je Le suive.

Et pour la France ?

Ô France, il est temps que tu retrouves ton Roi, que tu te repentes, que ton Roi te relève, que tu te relèves et que tu Le suives !