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Étude n°3    

La période que nous étudions est donc les débuts de l’église et que l’on appelle l’église primitive.   Cette étude ne concerne donc que le 1er siècle de notre ère et spécifiquement entre le jour de la pentecôte où l’effusion du Saint Esprit était répandu et la fin du nouveau testament.

L’église primitive était l’église qui en moins de 50 ans a inondé le monde civilisé de l’époque.   Elle était une église victorieuse, aucun réveil spirituel ne s’est développé aussi rapidement par la suite et n’a eu un tel impact sur les âmes.  Cette étude va vous démontrer que nous n’avons plus aucun rapport avec elle.  Nous avons besoin de connaître notre passé pour bien comprendre notre présent.   Nos déviations ont pour conséquences nos divisions et elles ne sont pas de Dieu.

Je vous souhaite une bonne lecture et que Dieu vous éclaire dans votre méditation, car vous n’en resterez pas insensible.

 

Qu’est-ce que l’Église ?   

 

En grec, Église se dit « ekklesia, » ce qui signifie « appelé hors de. » Nous avons été appelés par Dieu à sortir du monde.  Nous ne faisons plus partie du monde, ni du royaume de Satan.  Dieu nous a transportés dans le Royaume du Fils de Son amour.  Nous sommes un peuple saint pour le Seigneur.

On nomme églises des édifices dans lesquels on se rassemble pour un service religieux.  Mais nous ne trouvons pas ce nom ainsi appliqué dans la parole de Dieu.  On appelle encore églises des ensembles de personnes qui ont les mêmes idées religieuses, les mêmes formes de culte et sont régies, dans ce but, par les mêmes règles ; ainsi on dit l’Église anglicane, l’Église baptiste, etc., mais l’Écriture ne parle de rien de semblable.

 

Comme je le disais plus haut, le mot Église signifie Assemblée, et, dans la bouche du Seigneur comme dans les écrits des apôtres, cette expression désigne ou bien l’ensemble de tous les vrais croyants en tous lieux à un moment donné sur la terre, ou bien l’ensemble de tous les saints ressuscités ou transmués et glorifiés, depuis la Pentecôte jusqu’au retour de Christ ; alors l’Assemblée est complète ; ou bien encore l’ensemble des chrétiens qui se réunissaient dans une localité.  

Par exemple, quand l’apôtre Paul écrit à l’Église ou l’Assemblée de Dieu qui est à Corinthe, il s’adresse à tous les chrétiens de Corinthe ; lorsqu’il recommande de saluer l’Église ou l’Assemblée qui se réunit chez Nymphas ou chez Philémon, il parle des chrétiens qui s’assemblaient chez l’un ou l’autre de ces frères pour le culte.

 

Mais quand il dit : « Christ a aimé l’Assemblée », c’est l’Assemblée complète, et lorsqu’il exhorte les anciens à paître « l’Assemblée de Dieu qu’il a acquise par le sang de son propre Fils », il veut dire tous les vrais croyants, lavés de leurs péchés dans le précieux sang de Christ, mais encore sur la terre.  L’Église n’a jamais été nommée avant que le Seigneur en eût parlé quand il dit à Pierre : « Je bâtirai mon assemblée ».

Elle est donc à Lui, mais elle n’était pas commencée.  Ce n’est qu’après sa mort sur la croix et son entrée dans la gloire, que l’Église a pris naissance, et ce fut le jour de la Pentecôte, quand selon la promesse de Jésus le Saint Esprit fut descendu du ciel sur les disciples.  C’est à l’apôtre Paul que Dieu a donné la révélation de tous les privilèges de l’Église.  Auparavant, c’était un mystère caché, les saints et les prophètes de l’Ancien Testament ne le connaissaient pas.

 

Les instructions de Jésus

 

Le Seigneur Jésus, avant de monter au Ciel, avait laissé Ses dernières instructions à Ses disciples, en leur disant en Matthieu 28/18 à 20 : « 18 Jésus, s’étant approché, leur parla ainsi : Tout pouvoir m’a été donné dans le ciel et sur la terre. 19 Allez, faites de toutes les nations des disciples, les baptisant au nom du Père, du Fils et du Saint-Esprit, 20 et enseignez-leur à observer tout ce que je vous ai prescrit. Et voici, je suis avec vous tous les jours, jusqu’à la fin du monde ».

Comme il se trouvait avec eux, Il leur recommanda de ne pas s’éloigner de Jérusalem, mais d’attendre ce que le Père avait promis, ce que je vous ai annoncé, leur dit-Il ; car Jean a baptisé d’eau, mais vous, dans peu de jours, vous serez baptisés du Saint-Esprit.

 

Alors les apôtres réunis lui demandèrent : Seigneur, est-ce en ce temps que tu rétabliras le royaume d’Israël ?  Il leur répondit en Actes 1/4 à 8 :

« 4 Comme il se trouvait avec eux, il leur recommanda de ne pas s’éloigner de Jérusalem, mais d’attendre ce que le Père avait promis, ce que je vous ai annoncé, leur dit-il ; 5 car Jean a baptisé d’eau, mais vous, dans peu de jours, vous serez baptisés du Saint-Esprit. 6 Alors les apôtres réunis lui demandèrent : Seigneur, est-ce en ce temps que tu rétabliras le royaume d’Israël ? 7 Il leur répondit : Ce n’est pas à vous de connaître les temps ou les moments que le Père a fixés de sa propre autorité. 8 Mais vous recevrez une puissance, le Saint-Esprit survenant sur vous, et vous serez mes témoins à Jérusalem, dans toute la Judée, dans la Samarie, et jusqu’aux extrémités de la terre ».

 

Ainsi, les Chrétiens sont tout d’abord des disciples du Seigneur Jésus.  Un disciple de Jésus est quelqu’un qui croit en Lui et qui suit Ses enseignements, pour obéir à tout ce qu’Il lui a ordonné.  C’est aussi quelqu’un qui a pour mission d’être un témoin vivant de Jésus-Christ.  Pour cela, il a lui-même reçu sur lui, et en lui, l’onction du Saint-Esprit.

Les ordres donnés par le Seigneur étaient très précis : Faites de toutes les nations des disciples ; Baptisez-les au nom du Père, du Fils et du Saint-Esprit ; Enseignez-leur à obéir à tout ce que je vous ai prescrit ; Soyez baptisés du Saint-Esprit, afin de recevoir Ma puissance ; Ne vous éloignez pas de Jérusalem, tant que vous ne serez pas baptisés de l’Esprit ; Soyez Mes témoins jusqu’aux extrémités de la terre.

 

Contrairement à ce qui se passe dans les religions classiques de ce monde, les disciples du Seigneur Jésus ne devaient pas se contenter d’adhérer de manière intellectuelle à un ensemble de doctrines qui leur ont été léguées par leur Maître.  Le fait de « croire en Jésus » implique le fait de reconnaître Sa nature et Son œuvre, notamment Son œuvre à la croix.  L’enseignement n’était pas seulement donné de façon théorique, mais il était donné aussi de façon pratique afin de pouvoir l’appliquer dans la vie de tous les jours.  Cela implique aussi d’être intimement lié à Lui par Son Esprit, afin de recevoir Sa Vie et Sa Puissance, pour pouvoir être des témoins dignes de leur Maître.

 

Dans l’Évangile de Marc, le Seigneur Jésus précise un peu plus en quoi doit consister le ministère de Ses témoins, une fois qu’ils seraient revêtus de Son Esprit et de Sa puissance.

Marc 16/15 à 20 : «15 Puis il leur dit : Allez par tout le monde, et prêchez la bonne nouvelle à toute la création. 16 Celui qui croira et qui sera baptisé sera sauvé, mais celui qui ne croira pas sera condamné.  17 Voici les miracles qui accompagneront ceux qui auront cru : en mon nom, ils chasseront les démons ; ils parleront de nouvelles langues ; 18 ils saisiront des serpents ; s’ils boivent quelque breuvage mortel, il ne leur fera point de mal ; ils imposeront les mains aux malades, et les malades, seront guéris.  19 Le Seigneur, après leur avoir parlé, fut enlevé au ciel, et il s’assit à la droite de Dieu. 20 Et ils s’en allèrent prêcher partout.  Le Seigneur travaillait avec eux, et confirmait la parole par les miracles qui l’accompagnaient ».

 

Le Seigneur leur donne une liste de miracles et de signes qui doivent accompagner le ministère de Ses disciples.  Mais cette liste est loin d’être limitative !  En effet, dans l’Évangile de Jean, le Seigneur avait dit à Ses disciples, parmi Ses dernières paroles, Jean 14/12 à 17  :

« 12 En vérité, en vérité, je vous le dis, celui qui croit en moi fera aussi les œuvres que je fais, et il en fera de plus grandes, parce que je m’en vais au Père ; 13 et tout ce que vous demanderez en mon nom, je le ferai, afin que le Père soit glorifié dans le Fils.  14 Si vous demandez quelque chose en mon nom, je le ferai.  15 Si vous m’aimez, gardez mes commandements.  16 Et moi, je prierai le Père, et il vous donnera un autre consolateur, afin qu’il demeure éternellement avec vous, 17 l’Esprit de vérité, que le monde ne peut recevoir, parce qu’il ne le voit point et ne le connaît point ; mais vous, vous le connaissez, car il demeure avec vous, et il sera en vous ».

 

Le jour de la pentecôte, naissance de l’Église

 

Les apôtres retournèrent donc à Jérusalem dans la chambre haute où ils demeuraient.  C’est là que se réunissaient avec eux les disciples, parmi lesquels se trouvaient les femmes qui avaient suivi Jésus sur la terre, qui l’avaient vu crucifier et mettre au tombeau, et qui, étant venues pour l’embaumer, l’avaient vu ressuscité.  Avec eux il y avait aussi Marie, la mère de Jésus, et ses frères qui, durant sa vie, ne croyaient pas en Lui.

Quelle heureuse compagnie que celle qui se trouvait assemblée dans cette chambre haute !  Point de savants, ni de riches, ni de grands de ce monde : c’étaient de pauvres pécheurs, des péagers et d’humbles femmes, mais c’étaient des croyants sauvés, des bien-aimés de Christ, aimés du Père comme Jésus lui-même.  Ils attendaient, comme Jésus le leur avait recommandé, et, en attendant, que faisaient-ils ?  Ils persévéraient d’un commun accord dans la prière, demandant, sans nul doute, au nom de Jésus, que le Père accomplît sa promesse.  Bien que Dieu ne perde jamais de vue ce qu’il nous promet, il aime que nous le lui demandions.

 

Ils n’eurent pas longtemps à attendre ; seulement dix jours.  Une des grandes fêtes des Juifs était arrivée, celle de la Pentecôte.  C’était un des trois jours solennels que Dieu avait lui-même établis dans l’année et dans lesquels il aimait à rassembler son peuple autour de Lui (Deutéronome 16/16).   Les deux autres fêtes étaient celles de la Pâque et des Tabernacles ; la Pentecôte était entre les deux, environ cinquante jours après la Pâque.  Une foule de Juifs de toutes nations étaient venus à cette occasion à Jérusalem ; des prosélytes, c’est-à-dire des étrangers désireux d’adopter la religion juive, les avaient accompagnés, et cette multitude remplissait la ville.

 

Au milieu du bruit et du mouvement que produit toujours un grand concours de monde, il y avait une chambre retirée et paisible, cette chambre haute où se trouvaient réunies environ cent vingt personnes, celles dont nous avons parlé, dans une même pensée et dans une même attente.

C’était une bien petite compagnie en comparaison de la multitude qui se pressait dans Jérusalem.   Mais c’est sur ces quelques personnes assemblées, que les regards de Dieu étaient en ce moment arrêtés avec amour.  Cela ne veut pas dire que Dieu n’aimât pas les autres et qu’il n’y eût pas dans cette grande foule venue pour la fête, des âmes pieuses, sincères, et qui étaient agréables à Dieu.   Mais là, « tous ensemble dans un même lieu » étaient ceux qui avaient cru à Jésus, qui s’étaient attachés à Lui et l’avaient suivi, et le Père les aimait, car il aime ceux qui aiment son Fils, et il allait accomplir envers eux sa précieuse promesse.

Tout à coup se fit entendre du ciel un son, comme d’un souffle violent et impétueux, qui remplit toute la maison où ils se trouvaient.  Et des langues, comme de feu, leur apparurent séparées les unes des autres et vinrent se poser sur chacun d’eux.  Et ils furent tous remplis du Saint Esprit et se mirent à parler en d’autres langues, selon que l’Esprit leur donnait de s’exprimer.

 

C’est ainsi que s’accomplit la promesse du Père.  Jésus avait reçu en haut, de son Père, le Saint Esprit, et l’avait envoyé à ses disciples.  L’Assemblée, l’Église, était commencée.  Les croyants, déjà enfants de Dieu, étaient maintenant unis ensemble par ce lien du même Esprit que chacun avait reçu.  Dieu avait sa maison sur la terre, son habitation où il était venu établir sa demeure par son Esprit.

Ce n’était plus, comme le temple à Jérusalem, une maison de pierres ; celle-là était mise de côté : c’était une maison composée de pierres vivantes posées sur Christ, et de même que Dieu était venu autrefois dans le tabernacle et le temple au milieu de son peuple, mais dans une nuée, maintenant il venait dans un temple vivant pour y demeurer.  Quelle grande et merveilleuse chose !   Et c’était alors aussi que le corps de Christ se formait de ses membres, c’est-à-dire de ceux qui croyaient en Lui, et qui étaient remplis du Saint Esprit.

Ce n’était pas une nuée qui était venue comme au temps des Israélites, mais une puissance du ciel qui remplissait les croyants, une puissance, celle de la parole divine qui, de même qu’un feu, pénétrait les âmes et jugeait tout ce qui n’était pas de Dieu.

Que voulait dire ce fait que les disciples baptisés du Saint Esprit parlaient des langues étrangères ?   C’était une marque de la puissance de l’Esprit de Dieu en eux, qui devait frapper, de la manière la plus forte, ceux qui en seraient les témoins ; c’était aussi une manifestation de la grâce de Dieu qui s’élevait au-dessus des barrières que le péché avait élevées, et qui venait s’adresser à tous les peuples.

L’effet produit ne fut pas le même chez tous.  Les uns, ceux sans doute qui comprenaient les langues, s’étonnaient et se demandaient : Que veut dire ceci ?  Tandis que d’autres, peut-être les habitants de Jérusalem qui n’avaient pas cru Jésus, ne comprenant pas les apôtres et les disciples, se moquaient d’eux, et, remplis de cette malveillance qui leur avait fait dire autrefois de Jésus qu’il était possédé du démon, ils accusaient les serviteurs de Christ d’être ivres.

 

Alors Pierre, dans la puissance du Saint Esprit, s’adressa d’abord aux moqueurs.  Il leur dit que ces merveilles dont ils étaient témoins, étaient l’accomplissement d’une prophétie de Joël concernant les derniers jours.   Dieu avait dit par ce prophète : « Je répandrai de mon Esprit… avant que vienne la grande et éclatante journée du Seigneur ».   Cette journée est celle du terrible jugement qui doit frapper la terre ; mais avant qu’elle vînt pour les Juifs incrédules, Dieu leur faisait entendre la parole de grâce par la bouche de Pierre : « Quiconque invoquera le nom du Seigneur sera sauvé ».

Après cela, Pierre s’adressa à tous et leur annonça Jésus.  La vie sainte et pure du Sauveur, remplie d’actes et de miracles d’amour, avait été bien connue parmi les Juifs comme étant approuvée de Dieu.  Et cependant, leur dit Pierre avec hardiesse, « vous l’avez cloué à une croix et l’avez fait périr par la main d’hommes iniques ».

 

Puis il leur déclare que Dieu l’avait fait sortir du tombeau et qu’eux, les apôtres, l’avaient vu ressuscité, comme les Écritures l’annonçaient du Messie. Ensuite, Dieu l’avait exalté dans le ciel et fait asseoir à sa droite, mettant ainsi sur Jésus le sceau de son approbation, et c’était du ciel que Jésus avait envoyé le Saint Esprit qui accomplissait les merveilles dont les Juifs étaient témoins.   Pierre termine son discours en disant : « Que toute la maison d’Israël donc sache certainement que Dieu a fait et Seigneur et Christ ce Jésus que vous avez crucifié ».

Il place ainsi sur leur conscience le crime affreux dont ils s’étaient rendus coupables, en rejetant et mettant à mort Celui que Dieu avait envoyé vers eux dans son amour.   Quel courage chez Pierre ! Quelle différence avec ce Pierre qui, peu de jours auparavant, avait trois fois renié son Maître !   C’était l’Esprit Saint qui lui donnait cette hardiesse et qui donne aussi à tout croyant la force de confesser Jésus.

 

Le même Esprit agit avec puissance dans les cœurs d’un grand nombre de ceux qui écoutaient.   Ils virent toute la grandeur du péché qu’ils avaient commis en rejetant Jésus.  Ils se sentirent perdus et, le cœur transpercé de douleur, ils s’écrièrent : « Que ferons-nous ? ».

Dieu ne laisse jamais un pareil cri sans réponse.   Le même Jésus qu’ils avaient crucifié, était Celui vers lequel ils devaient se tourner pour être sauvés, et Pierre leur dit : « Repentez-vous », c’est-à-dire convertissez-vous, tournez-vous vers Jésus, « et que chacun de vous soit baptisé au nom de Jésus Christ, en rémission des péchés ».   Être baptisé au nom de Jésus, c’était déclarer que l’on croyait en Lui et que l’on s’attachait à sa Personne, et alors on recevait la rémission ou le pardon de ses péchés.   Et il en est de même aujourd’hui : c’est par Jésus, en croyant en Lui, que l’on est pardonné.

Mais Pierre annonce quelque chose de plus à ceux qui croiraient. « Vous recevrez », dit-il, « le don du Saint Esprit ».

Ainsi, lorsqu’on se repent de ses péchés, et que l’on croit au Seigneur Jésus, Dieu nous pardonne et, de plus, met son Esprit en nous ; on fait alors partie de l’Église de Christ, de l’Assemblée de Dieu.

 

Pierre pressa ses auditeurs, les conjurant de croire en Jésus, et de se séparer aussi du peuple juif incrédule et pervers sur lequel le jugement allait tomber.  Le résultat fut bien grand et bien beau.  Trois mille personnes crurent et furent baptisées ; elles reçurent le Saint Esprit et furent ajoutées à l’Église.  Il en est de même aujourd’hui.  Quand quelqu’un croit en Jésus et reçoit le Saint Esprit, il est séparé du monde et ajouté à l’Église du Dieu vivant.

Ainsi Pierre ouvrit aux Juifs les portes du royaume des cieux.  L’œuvre de la grâce continua à s’étendre par le moyen des apôtres qui accomplissaient beaucoup de miracles et de prodiges, et aussi par la vue de la vie sainte des premiers chrétiens.  « Le Seigneur ajoutait tous les jours à l’assemblée ceux qui devaient être sauvés ».


MAV : Je rappelle ce que j’ai mis dans le préambule:

 J’ai trouvé ce livre essentiel, vital, pour beaucoup de chrétiens au final bien mal enseignés, à une heure où les événements se précipitent et où une meilleure connaissance de notre Grand Dieu est indispensable pour avoir les yeux tournés vers le ciel, et non vers la terre où il n’y a que ruine, désespoir, peur, terreur, et quand tout empire, presque chaque jour.

Comme l’a dit notre Dieu par son prophète Osée :

 » Osée 6:3 Oui, cherchons à connaître l’Eternel, efforçons-nous de le connaître. Sa venue est aussi certaine que celle de l’aurore, et il viendra vers nous comme la pluie, comme les ondées du printemps qui arrosent la terre. »

Cette connaissance grandit dans la lecture de la Bible. Merci à Dominique de nous transmettre le fruit de son formidable travail. Je publierai un chapitre par semaine, chaque samedi – si je peux ! – car il y a largement matière à méditation dans chacun d’eux. Mais vous pouvez aussi demander à Dominique la totalité du livre dès maintenant, si vous avez soif de vous plonger bien plus vite et loin dans cette lecture. Nous avons tous, toujours, besoin d’être enseignés dans la vérité.


LIVRE DE DOMINIQUE :

 Ce livre vous est proposé gratuitement, donc, si on vous en demande de l’argent, refusez.

Auteur : Dominique Verheye, dans l’écoute du Saint Esprit. verheyed@gmail.com