Ce matin, en priant comme d’habitude dans mon oratoire, il me venait encore beaucoup de choses qui partaient et revenaient du songe de Bruno (15/4/24).

Je commence par cette courte video qui est en anglais mais c’est surtout ce qu’on voit plutôt que ce qu’on dit qui y est percutant:

https://www.youtube.com/watch?v=BtJ0g_78i6I

Le serpent qu’on y voit est le plus venimeux d’Australie. Etre mordu par un tel serpent, c’est la mort sûre ! La biologiste prend deux échantillons de sang humain pour faire sa démonstration. Dans l’une des éprouvettes contenant ce sang, elle ne met rien. Dans l’autre, elle verse le venin du serpent. Comme on le voit, le sang mélangé au venin prend très vite la consistance d’une gelée de fruits rouges (tiens, tiens !). La conclusion est donc que ce venin provoque une coagulation rapide du sang au point de le figer. Or, un sang figé ne peut plus transporter l’oxygène dont nos organes ont un besoin vital. La biologiste ajoute toutefois que, en pratique, nous avons plusieurs litres de sang et donc l’effet du venin n’est pas aussi rapide que ce que l’on voit dans la vidéo sur un petit échantillon de sang. Pourtant, la morsure entraine bien la mort. Malgré sa dilution, le venin va suffisamment coaguler le sang pour qu’il ne remplisse plus sa fonction vitale.

Au début de la « macchination », (j’avais déjà visionné les appels de Dr Judy Mikovits et de Dr Carrie Madej qui sont toutes les deux Chrétiennes et j’en avais donc entendu assez pour savoir qu’il ne fallait se soumettre à l’injection à aucun prix), j’avais vu, je ne sais plus comment, une vidéo d’un biologiste américain qui affirmait que, pour fabriquer leur « macchin », les criminels qui sont derrière l’opération s’étaient inspirés du venin de serpent, particulièrement de celui du cobra royal. Ce biologiste affirmait même que « corona » était un code de leur opération criminelle par allusion à « royal » dans cobra royal. Je me souviens qu’il affirmait qu’ils avaient synthétisé 19 protéines qui se trouvent dans le venin de cobra royal. Sur le moment, cela m’avait paru farfelu et je n’avais pas téléchargé ce document. Je le regrette maintenant.

Le venin de serpent se compose bien de protéines. Je copie les points 22 et 23 de cet article:

« 22. Le venin de serpent est un mélange complexe de protéines dont l’analyse fine n’a pu être réalisée que progressivement en fonction des progrès technologiques.

23Il est obtenu par pression manuelle ou stimulation électrique des glandes salivaires de serpents. Récemment, la culture de cellules glandulaires a permis de fabriquer artificiellement du venin avec de faibles rendements. En revanche, certaines fractions protéiques peuvent être synthétisées sous forme recombinante par biologie moléculaire à des coûts acceptables. On utilise pour cela des microorganismes auxquels on ajoute un gène extrait de la glande venimeuse et codant pour une protéine déterminée« .

https://books.openedition.org/irdeditions/10620?lang=fr#tocfrom1n3

Or, le but du macchin, c’est, à partir d’un ARN messager synthétique, de faire produire par le noyau de nos cellules de la protéine dite « spike ». Si je ne me trompe pas, cet Américain affirmait que cette « spike » n’est pas d’origine naturelle. Ce devrait être elle dans laquelle on trouverait une combinaison des 19 protéines en question, d’où sa toxicité. J’écris au conditionnel car je n’ai malheureusement plus accès à cette vidéo pour vérifier ce qu’il s’y disait.

Une cloche s’est mise à sonner quand, chez nous au Luxembourg, le Dr Benoit Ochs a fait savoir qu’il constatait des taux élevés jamais vus de D-dimères et de CRP de ses patients macchinés qui venaient le consulter en état de grande fatigue. En faisant alors des recherches sur ce qui pouvait causer des taux de D-dimères élevés, je fus surpris d’y trouver justement des venins de certains serpents. Cela rendait donc crédibles les affirmations du biologiste américain.

https://premiers-secours.pagesjaunes.fr/astuce/voir/724293/d-dimeres

« Qu’est-ce qu’une CIVD ?

La Coagulation Intra-Vasculaire Disséminée, ou CIVD, est une entité pathologique très complexe qui résulte de l’activation inappropriée et massive des facteurs de la coagulation dans certaines situations, et entraîne à la fois la formation de nombreux petits caillots et un risque hémorragique du fait de la consommation des facteurs de la coagulation par les caillots.

Les symptômes associent des manifestations hémorragiques (site de prélèvement sanguin, peau, bouche, tube digestif, système nerveux, voies urinaires, tractus respiratoire), et des manifestations thrombotiques (infarctus viscéraux, défaillance d’organes).

La CIVD survient dans des contextes variés tels qu’une chirurgie, les complications du post-partum, le cancer, les infections générales, ou encore les morsures de serpent« .

Je renvoie, par exemple, à cette étude (pages 17, 18, 34 à 51 premier paragraphe, 57 à 62, 87 à 103)

https://hal.univ-lorraine.fr/hal-01733679/document

Dès le début de la macchination, des gens comme la biologiste américaine Pamela Acker nous avaient avertis que les macchins étaient testés sur des reins de bébés avortés par césarienne, les cellules HEK 293. Pour nous, Chrétiens, c’est de la sorcellerie et rien d’autre ! Ce qui a été confirmé quand il s’est révélé que, en Apocalypse 18:23, le mot grec traduit par « sortilèges » est « pharmakeia » et que ce verset se lit donc littéralement « parce que tes marchands étaient les magnats de la terre, parce que toutes les nations ont été dupées par ta pharmacie ».

La biologiste Dolores Cahill nous avait rapidement avertis que les macchinés à l’ARNmessager auraient une espérance de survie réduite, selon l’âge, à entre 3 et 10 ans, avec de nombreux problèmes de santé:

https://www.brighteon.com/8176de20-99dc-43f1-9a7f-d5ef551a5ca3

Le professeur Montagnier nous avait très tôt prévenus du risque de maladie Creutzfeld-Jacob:

https://www.brighteon.com/a47b8bb4-7289-4fe5-ac29-1d592d64c613

Le cas médiatisé de Mauricette Doyer en fut une sinistre illustration.

Malgré les atermoiements dans les diagnostics médicaux qui hésitèrent entre Creutzfeld et Charcot, c’est sans doute de ce dont mourut la mère d’un de mes ex-beaux frères à partir de la troisième injection Pfizer.

Et puis la généticienne Alexandra Henrion-Caude mit précocément en garde contre les évidents risques de cancer puisque cet ARN synthétique « voyageur » réunissait toutes les conditions pour se recombiner avec l’ADN de cellules et donc l’altérer. Dans cette interview, elle avertissait aussi de l’affaiblissement inéluctable du système immunitaire: des infections à répétition.

https://www.brighteon.com/7843641c-60da-4f4f-a7b7-721fffb7273f

Pendant cette période, nous avons vu les Chrétiens se jeter en masse sur ces philtres de mort.

Rapidement, nous en avons vu les effets: explosion des cas de cancer, plus exactement de turbo cancers fulgurants avec des apparitions quasi simultanées de tumeurs primaires dans des organes différents, donc pas des métastases, même si on a aussi constaté des invasions métastatiques rapides, et résistants aux traitements habituels.

Dr Ute Krüger, par exemple, a témoigné en Suède qu’elle n’avait jamais vu des cancers pareils dans ses 25 ans d’expérience, citant notamment une tumeur de 16 cm dans un sein. Elle avait appelé courageusement à l’arrêt immédiat de la macchination.

Et puis, il y a eu aussi les désordres cardiovasculaires, aboutissant souvent à la mort subite du macchiné par arrêt cardiaque.

Je pense à ce que m’avait raconté une cousine de Belgique. Le pasteur de l’église qu’elle fréquente avait beaucoup fait de réclame et même de pression pour que les Chrétiens soient macchinés.

Macchiné lui-même, il en eut un AVC qui le laisse hémiplégique et aphasique. « Il a perdu la parole » avait dit un membre de l’église. Mais ma cousine l’avait compris prophétiquement: « il a perdu la Parole ». Ces Chrétiens, nous l’avons souvent reçu, clochent des deux pieds (1 Rois18:21).

La dernière fois que j’ai pris part à une retraite chrétienne en Ardèche où je me rendais depuis plus de 20 ans, l’un des pasteurs, macchiné, avait commencé son exposé en affirmant péremptoirement: « Nous sommes bien d’accord: Dieu guérit par miracle ou bien par la médecine« . Eh bien, non ! Je ne suis pas du tout d’accord. Il ne guérit pas plus par de la médecine désormais largement maçonnique que par de la sorcellerie vaudoue. Quand une « médecine » en est à utiliser des cellules de foetus comme ingrédient thérapeutique, elle n’est de toute façon plus que de la sorcellerie. Appelons les choses par leur nom.

Tout cela me ramène au songe de Bruno.

La mer Morte que les Chrétiens contemplent assis sur des serviettes, c’est aussi tout cela, la mort que leur injecte le monde alors que leur discernement est si embrumé qu’ils ne s’en rendent même pas compte. J’ajouterai même toujours pas compte au bout de 3 ans avec tous ces effets secondaires terribles que nous voyons autour de nous et que les criminels ont encore le toupet d’appeler des coïncidences. Et les rochers qui s’écroulent et les écrasent, c’est très concrètement et très présentement les effets du philtre de mort qu’ils se font aveuglément inoculer.

J’en viens à Nombres 21:4 et suivants.

Les Hébreux quittent la montagne d’Hor. Apparemment, cette montagne serait la montagne d’Aaron (où mourut le frère de Moïse), ou Djabal Harun, au sud de la Jordanie actuelle.

https://fr.wikipedia.org/wiki/Djebel_Haroun

Ils prennent la route de la mer Rouge, non pas vers la mer Rouge, mais le chemin nord-sud qui mène de la Transjordanie à la mer Rouge et dans l’intention de contourner la montagne de Seir où habitent les Edomites. Par conséquent, ils sont encore dans le grand désert qui est au sud de la mer Morte, là où tout est si desséché (Negev) qu’il n’y a même pas de rivière dans la vallée qui va de la mer Morte à la mer Rouge. En effet, ils ne sont pas encore arrivés à Oboth (Nombres 21:10) qu’on localise de toute façon aussi au sud de la mer Morte.

Une fois de plus, ils morigénèrent:

« Le peuple s’impatienta en route, et parla contre Dieu et contre Moïse: Pourquoi nous avez-vous fait monter hors d’Égypte, pour que nous mourions dans le désert? car il n’y a point de pain, et il n’y a point d’eau, et notre âme est dégoûtée de cette misérable nourriture ».

Et c’est donc là qu’eut lieu le célèbre jugement par les serpents venimeux:

« Alors l’Éternel envoya contre le peuple des serpents brûlants; ils mordirent le peuple, et il mourut beaucoup de gens en Israël ».

Je me suis souvent échauffé pendant le coronacircus. Mais, bien des fois, le Seigneur m’a interrompu et j’ai entendu « N’oublie pas que Je le permets ».

Le coronacircus est un jugement et, malheureusement, aussi un jugement de l’Eglise. Et on dirait bien que le philtre des criminels, c’est en partie du venin synthétique de serpent.

Je m’y suis souvent référé. Je l’ai même fait imprimer sur un tee-shirt:

« La trente-neuvième année de son règne, Asa eut les pieds malades au point d’éprouver de grandes souffrances; même pendant sa maladie, il ne chercha pas l’Éternel, mais il consulta les médecins » (2 Chroniques 16:12).

Nous vivons dans une époque où les gens mettent leur espérance de vie et leur vie même dans la médecine des hommes. Or, même la plupart des Chrétiens le font. Les paroles du pasteur prononcées en Ardèche que je cite ci-avant en sont paradigmatiques.

Et c’est la malédiction de Jérémie 17:5 qui en résulte et d’abord pour les Chrétiens dont le coeur est ainsi partagé: « Maudit soit l’homme qui se confie dans l’homme, Qui prend la chair pour son appui, Et qui détourne son cœur de l’Éternel!« 

Voilà, je crois que le Negev et la mer Morte nous ramènent aussi au jugement des serpents venimeux ET A SON ANTIDOTE:

« L’Éternel dit à Moïse: Fais-toi un serpent brûlant, et place-le sur une perche; quiconque aura été mordu, et le regardera, conservera la vie.

Moïse fit un serpent d’airain, et le plaça sur une perche; et quiconque avait été mordu par un serpent, et regardait le serpent d’airain, conservait la vie » (Nombres 21:8-9).

Or, nous savons bien qui est préfiguré ainsi:

« Et comme Moïse éleva le serpent dans le désert, il faut de même que le Fils de l’homme soit élevé afin que quiconque croit en lui ait la vie éternelle » (Jean 3:14-15).

Les rochers s’effondrent sur les Chrétiens du songe qui, restant les yeux rivés sur la mer Morte de la sagesse humaine, (c’est à dire aussi de la science humaine car « sophia » et « sophos » veulent aussi dire cela en grec) ne tournent pas les yeux vers le serpent de cuivre crucifié dont seul sourdent la vie et la guérison en abondance.

En Christ !