Il y a quelques jours (le 3/9), j’ai reçu une vision que j’ai partagée avec quelques amis proches. Je ne savais comment l’interpréter.  Mais hier, en apprenant la mort de Jean-Paul Belmondo, j’ai eu la conviction qu’il y avait un rapport direct. Dans la vision, je voyais un très, très long cercueil,  peut-être plus de sept mètres, comme s’il venait d’être fabriqué, spécialement, pour un géant. Le cercueil était porté par des hommes portant des habits comme ceux que l’on voit dans certaines cérémonies religieuses ou maçonniques. Ils portaient le cercueil en marchant sur un tapis rouge. J’ai donc pensé qu’un personnage considérable, pour lequel se ferait une cérémonie avec de grands apparats, allait mourir.

L’étrange était que le tapis rouge s’arrêtait au bord d’un abîme sans fond, dans lequel ces hommes jetaient le cercueil. Dans cette action plusieurs de ces hommes tombaient avec le cercueil, comme entraînés, tandis que ceux qui ne tombaient pas s’empressaient d’aller chercher des seaux dans lesquels, je le savais, il y avait des choses innommables à faire disparaître dans la foulée. Ils jetaient leur contenu dans l’abîme puis s’empressaient d’aller les remplir avec d’autres choses immondes et recommençaient la même opération.

En tout cas,je ressentais que ce décès allait être le signe qu’un événement énorme et imminent allait se produire en France : un tournant dans l’Histoire.

Hier, en apprenant la mort de Bebel, j’ai été saisie d’une émotion très anormale. Bien sûr, comme tous ceux de ma génération, nous avons été enthousiasmés par cet acteur et surtout cette personnalité hors du commun. Mais à notre âge, nous sommes habitués à la disparition de célébrités que nous avons aimées. Aussi je ne verse jamais de larmes, puisque, après tout, ils sont âgés, souvent atteints de maladies, et leur disparition fait partie des choses normales.

Mais là, une émotion intense, des larmes, une douleur profonde, comme si je venais de perdre un parent ou un ami intime, ce qui n’était pas le cas.

Alors ma vision m’est revenue en mémoire, j’ai appelé une amie avec laquelle je l’avais partagée et lui ai dit ma conviction que ce grand, très grand bonhomme, que j’avais vu mourir, c’était bien J.P. Belmondo. Mais plus que cela, avec lui, c’était une certaine France, que j’avais bien connue, que j’avais tant aimée, et que J.P. Belmondo symbolisait, qui venait de disparaître et qui était jetée dans un abîme dont elle ne remonterait jamais.

Je crois pouvoir interpréter ce que j’ai vu en parallèle. Certes tout l’appareil étatique, maçonnique, religieux, médiatique, va lui faire un hommage grandiose. Mais pendant que l’attention publique sera ainsi mobilisée, peut-être fera-t-on aussi disparaître des personnages encombrants (parce qu’ils en savent trop ? Ou bien parce qu’ils s’opposent à la machination covidienne téléguidée, entre autres, par les francs-maçons au pouvoir, les labos, le Vatican, le N.O.M… ? D’où ces uniformes de cérémonie, car ils appartiennent tous à des cercles occultes).

Et vont-ils aussi profiter de cette mobilisation générale de l’attention, notamment dans les médias, pour faire disparaître des documents ou des preuves accablantes de leur machination ?

C’est une supposition ! Mais l’avenir le dira, car il n’est rien de caché qui ne doive être mis en lumière…

Quant au tournant dans l’Histoire, cela aussi, c’est l’avenir qui le dira, mais ce pourrait être très soudain. C’est ce que j’avais ressenti. Cette mort d’un géant était un signe précurseur.