Je le regarde et je l’écoute même, enfin, je m’y efforce, pourtant je ne peux m’empêcher d’être agacée. Ça hurle à l’intérieur de moi, oh ça oui ! Mais je sais que ces cris ne franchiront pas mes lèvres.

On devrait pourtant se comprendre, il se dit chrétien, il dit qu’il aime Jésus-Christ, il dit que l’enlèvement c’est pour bientôt, que la guerre est toute proche et la marque de la bête aussi. Il dit beaucoup de choses cet homme, néanmoins pas un mot sur ses frères et sœurs bannis et rejetés parce qu’ils ont osé dire « non » à ces « autorités » auxquelles il faut obéir, n’est-ce pas ?!

Pas de compassion, pas de question non plus, il fallait qu’ils se soumettent, un point c’est tout. Ce n’est pas son problème, ni à lui, ni à son pasteur, ni à son église d’ailleurs.

Ce n’est pas la première fois que j’entends ces paroles dénuées d’amour, des paroles sévères, dures comme le monde qui se voile d’obscurité.

J’aurais tant à lui dire néanmoins à ce « chrétien », lui dire que des gens meurent de cette injection tous les jours : et ils sont nombreux. Un appel d’une ex-collègue me le confirme avec ce chagrin qu’elle tente de maîtriser tant bien que mal. Mutée dans le service d’IRM d’un grand hôpital, elle est sidérée de voir tant de malades sur des brancards.

« Il y en a beaucoup, de plus en plus, Muriel, ils sont là sur des brancards, si nombreux et si jeunes aussi ! », me dit-elle abasourdie.

Je sais l’amie, je sais. Il y a quelque mois, elle était dans le service des dialyses, et l’explosion des gens atteints l’avait tellement chamboulée qu’elle avait préféré être loin de cet « antre » de la mort où des malades de plus en plus jeunes se rendaient pour des soins. Pas de bol pour elle, changer de service ne lui a pas apporté ni le réconfort espéré encore moins la sérénité ; les mêmes désastres entrevus, les mêmes souffrances et surtout une identique incompréhension !

Les mêmes questionnements pour cette jeune fille que j’ai pris en auto-stop hier. On parle de la ville d’Auray où elle se rend, elle parle des travaux sur la route, elle parle de beaucoup de choses, cette gosse. Mais au détour d’un métier, le mien, et de ma suspension, elle s’exclame et me bombarde tout à coup de questions. Son père, un homme de 66 ans en pleine forme, qui ne boit pas et ne fume pas, n’est plus le même depuis ce « vaccin ». Depuis des mois, il va de médecin en médecin, son corps est couvert de plaques, il souffre, son papa, elle devine que cette injection en est la cause et elle ne sait plus quoi faire.

Combien de gens osent enfin dire les bouleversements qu’ils affrontent depuis deux ans, à cause de cette peur d’être jugés, et surtout de n’être pas écoutés ?

On me dit qu’il ne faut plus en parler, qu’il faut reprendre la vie là où elle s’est arrêtée, on me dit beaucoup de choses mais on me dit surtout de me taire.

Toutefois, il faut qu’ils sachent : ce n’est pas terminé, ça ne fait que commencer. Un peu comme la dernière guerre où les traumatismes et les blessures de l’âme ont été vites enfouis dans l’acharnement à tout reconstruire pour oublier. Pourtant, les plaies, celles qu’on ne voit pas, celles du cœur et de la mémoire, étaient à vif et n’ont pas eu les soins indispensables pour la guérison. 

Je me souviens de mon père, le soir, fumant de fines cigarettes le regard perdu dans ses pensées, un regard empreint d’une infinie tristesse qui ne l’a jamais quitté. La guerre il l’avait connu, il avait échappé de peu à la mort ; c’était un survivant pesant à peine 40 kgs et pourtant, il n’en parlait jamais. Les hommes sont pudiques dans leurs sentiments, nous le savons bien, nous, les femmes, et ce que mon père avait vu, il rechignait à le raconter à ses semblables peu enclins à écouter. 

Ne faisons pas la même erreur, même si cela nous dérange, nous devons affronter une vérité qui fait mal mais qui est nécessaire pour les temps à venir. 

Oh, j’entends déjà les réticences ! Et pourtant, les conséquences sont vertigineuses et nos choix ont eu des répercutions inimaginables, qu’on le veuille ou non. Le nier, c’est se mentir à soi-même et aux autres. 

 

Le monde de l’ennemi

 

On y est déjà.

Notre nation, l’Europe tout entière est sous le joug de l’ennemi et ce, dans toutes les sphères de notre quotidien. Bancaire, financière, éducative, politique, médiatique : absolument tout !

Pourtant, je reste perplexe que mes semblables et plus encore de nombreux « frères et sœurs » puissent continuer à penser que la marque sera physique comme si des millions de gens accepteront de porter le nombre « 666 » sur leur front ou sur leur main ! Cela n’a pas de sens. En lisant attentivement les Écritures nous pouvons comprendre la vraie signification de ces mots énigmatiques. Les mots « signes », « marque », « sceau » sont cités plusieurs fois et nous devrions nous y attarder avec beaucoup d’attention.

L’homme se disant chrétien m’affirme que le « vaccin » – je rectifie d’emblée « l’injection » -, ce n’est pas la « marque ». Certes ! Et pourtant, combien de nous étions préparés à cette séduction redoutable, qui a balayé les libertés les plus banales, comme boire un café ou rendre visite à nos aînés dans un établissement devenu tout à coup une prison ?

Je pense qu’il serait temps de se préparer et de réfléchir à notre condition au sein d’une nation ravagée où le nom même de « Dieu » a été banni, rejeté, avec ironie parfois, agacement souvent voire même avec agressivité.

D’abord cette marque ne sera pas imposée, elle ne le peut pas, ce n’est pas permis par notre Roi. C’est un libre choix, un élan de courage et de foi, une certitude, une détermination qui se sont imprégnés et se sont inscrits dans notre cœur et notre esprit avec fermeté et confiance.

Et le plus important, cette « marque » ne sera pas « apparente ». Certes, la technologie actuelle ou future permettra dans sa séduction pernicieuse d’encourager l’adhésion, néanmoins, cette « marque » sera spirituelle.

Le front représente le siège de nos pensées, la main représente le siège de nos actes.

« Aimer Dieu passe par une adoration au travers de tout notre être. Cette adoration naît consciemment dans notre pensée et se concrétise dans nos actions ». ( Extrait de « Élus, résistez »)

Quand nous aimons nos époux, nos enfants, nos amis, nos proches, nous ne nous contentons pas de le dire, nous le prouvons quotidiennement, n’est-ce pas ?

Nous avons dans les Écritures tout l’éclaircissement nécessaire. Dans « exode 13.9 », nous pouvons le constater :

« Cette fête sera pour vous comme un signe sur votre main et comme une marque sur votre front pour que la Loi de l’Éternel soit l’objet de vos conversations, »

(Deutéronome 6.4-8)

Écoute, Israël, l’Éternel est notre Dieu, il est le seul Éternel.

« Tu aimeras l’Éternel ton Dieu de tout ton cœur, de toute ton âme et de toute ta force. Que ces commandements que je te donne aujourd’hui restent gravés dans ton cœur… Qu’ils soient attachés comme un signe sur ta main et comme une marque sur ton front. »

Dans Ézéchiel 9.4, c’est tout aussi explicite

 « Passe au milieu de la ville, au milieu de Jérusalem, et fait une marque sur le front les hommes qui soupirent et qui gémissent à cause de toutes les abominations qui s’y commettent. »

 Je commence à discerner le piège qui s’en vient, néanmoins j’attends la confirmation de deux, voire trois « témoins », pour en être sûre, comme à l’accoutumée. Le pourquoi sans doute la nuit dernière d’une attaque, la deuxième en deux mois : celle-ci a été particulièrement violente !

Sentir un corps s’enrouler contre le mien et vous tenir fermement vous paralysant entièrement sans que vous puissiez crier le nom de « Jésus-Christ » a été un moment particulièrement terrible et angoissant ! J’ai fini par réussir à prononcer le nom de notre Sauveur péniblement, puis j’ai pu hurler son nom pour qu’enfin cette « présence » maléfique me lâche.

Je sais que mon cas n’est pas isolé, certains d’entre vous ont déjà connu ça, d’une manière ou d’une autre.

Les attaques se succèdent chez nos frères et sœurs, les témoignages sont nombreux : les temps se précipitent. Et puis nous assistons à l’insécurité croissante comme celles qui se passent dans nos « rues » où les agressions au couteau se multiplient dans toutes les villes de France..

Nous n’avons pas seulement accueillis des gens venus d’ailleurs, de terres lointaines que nos élites ont conquises de force, des peuples parfois détruits, ou corrompus, pour pouvoir s’accaparer de leurs richesses; mais aussi des êtres avec d’autres coutumes, avec d’autres dieux qu’ils installent et qui sont invoqués sur notre sol.

Dans un monde rempli de péchés, de haine et de mal, la guerre est inévitable.

Nous ne pouvons plus rien arrêter, même les forces de l’ordre sont assaillies, désorientées et affaiblies par des ordres incohérents et insensés, ordres venus d’une horde d’hommes à la solde de puissants, assujettis à l’Ennemi, qui sait que son temps s’achève.

 

Notre Courage, notre Foi inébranlable, la Vérité alliée à l’Amour sans se départir de notre fermeté et notre certitude envers ce monde qui s’écroule, sont notre force face à ce qui se prépare et s’en vient.

Nous sommes les « victorieux »dans le sang de Jésus, nous sommes les lumières qui s’obstinent à briller quoi qu’il arrive, nous sommes le sel de la terre.

Alexis, ce jeune homme battu à mort qui a, un instant, entrevu notre « demeure » céleste n’est pas revenu sans un message important pour nous, nous qui sommes liés à notre Sauveur Jésus-Christ : « La haine prendra le dessus sur l’amour, un temps »

Nous devons nous battre avec les armes les plus puissantes qui surpassent celles de notre monde.

Éphésiens 6.16, mais en particulier :

 

la Foi, la connaissance, l’amour, la sagesse et la patience.

 

Dans les mois à venir, nous allons être témoins de biens tristes injustices, mais également de révélations sur des vérités qui ne pourront être tues. Accrochons-nous encore et encore, de toutes nos forces.

C’est notre seule attente, notre raison de vivre, notre raison d’être.


*Merci à ma sœur bien-aimée Christine

pour son soutien et sa collaboration.


Source

Pour soutenir le ministère de Muriel, soignante jetée dehors en 2021, ICI – 

SI VOUS NE POUVEZ VOUS SERVIR DE PAYPAL, JE PEUX VOUS DONNER LE RIB DE MURIEL …. (M’envoyer un mail: mgdastier@gmail.com)