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Il est temps d’engager une grande campagne populaire contre la poursuite de la pseudo vaccination anti-covid dont l’inefficacité contre l’épidémie est devenue évidente alors que liste des complications dans la vraie vie, s’allonge.

Les pétitions en cours n’ont pas suffi[1]. Chacun d’entre vous sait maintenant que les AVC, les morts brutales lors d’un effort, les infarctus et les myocardites, les régressions intellectuelles, les encéphalopathies se multiplient, et particulièrement chez les sujets jeunes et les adolescents qui ne risquaient pas de mourir du covid.

Le temps passant, de nouvelles complications apparaissent et singulièrement en cancérologie. Il a fallu quelques mois pour que la fameuse protéine spike agisse dans l’organisme et bloque la réparation de l’ADN et ainsi les défenses de l’organisme contre un cancer quiescent en place ou un pré cancer qui finalement se transforme en véritable néoplasie active.

Les cancers des organes sexuels (ovaires[2], testicules) sont particulièrement concernés en raison de la propension de la protéine spike, pour cette localisation, attirance dont témoignent par ailleurs les nombreux effets secondaires chez la femme et en particulier les troubles des règles précocement après l’injection (arrêt des règles, hémorragies, saignements dont certains majeurs réglés seulement par l’ablation de l’utérus) et chez l’homme : raréfaction des spermatozoïdes constatés rapidement par les centres de donneurs…[3] Et Pfizer le savait d’emblée comme en témoignent les documents enfin publiés grâce à la justice américaine.

COÏNCIDENCE DE TEMPS ENTRE FLAMBÉE DU CANCER ET VACCINATION ANTICOVID RÉCENTE = TEMPORALITÉ

Concentrons-nous ce jour sur les cancers potentiellement liés aux injections ARNm, le critère de temporalité rendant les observations signalées plausibles et ainsi retenues par le site VAERS. Nous avions évoqué cette possibilité il y a plusieurs mois, alertés par des publications de grands scientifiques[4][5]. Malheureusement aujourd’hui le doute n’est plus permis[6]. L’accumulation de témoignages et d’articles scientifiques[7] rend indispensable l’information des patients ou des citoyens encore non injectés ou susceptibles de recevoir une nouvelle dose dite rappel ou booster. Il faut les refuser, car la toxicité est cumulative, et les risques d’autant plus importants que vous additionnez les doses.[8]

Le pseudo vaccin anticovid n’est pas un vaccin mais un modificateur des gènes :

  • il accélère la progression des cancers ;
  • il réveille les cancers en rémission même depuis longtemps ;
  • il s’accompagne de l’éclosion de nouveaux cancers d’évolution brutale.

Ces cancers sont dits « étranges », car peu ou pas sensibles aux traitements habituels.

Ils surviennent à des âges inhabituels.

IL FAUT REFUSER TOUTE NOUVELLE INJECTION.

IL FAUT REFUSER D’INJECTER LES ENFANTS.

IL FAUT STOPPER CES CAMPAGNES ET EXIGER PUBLICATION DES RÉSULTATS ET ACCIDENTS.

Comme l’avait démontré le Vaers en ce qui concerne la totalité des effets secondaires depuis trente ans pour les vax en général, les cancers flambent depuis le début de la vax anticovid.

TEMPORALITÉ COMPARABLE

Le graphique concernant les cancers et leurs multiplications depuis la vax covid démontre largement la temporalité qui permet d’attribuer au moins une part de responsabilité aux injections. Il a la même forme que ceux concernant les myocardites, les fausses couches et les décès pendant les années précédentes et celle de la vax. Ces constatations qui sont des FAITS devraient conduire à stopper cette injection dangereuse aux composants encore inconnus pour certains.

TÉMOIGNAGES CLINIQUES

Si les explications théoriques et statistiques sont convaincantes pour les savants et citoyens intéressés, les rapports cliniques accumulés devraient faire réfléchir avant d’injecter ses propres enfants ou bien de faire une nouvelle injection.

Exemples dans le VAERS[9] de témoignages vécus : rapports de cas VAERS sélectionnés

  • Nouveau diagnostic de tumeur solide après vax.
  • Nouveau diagnostic de cancer du sang après vax.
  • Croissance rapide/métastase d’un cancer stable précédemment diagnostiqué.
  • Tumeur solide diagnostiquée après vax
  • De nouveaux CANCERS agressifs tuent des gens peu de temps après le covid vax… y compris des ENFANTS.

Une jeune fille de 13 ans, 1 mois après vax, se plaint de vagues douleurs dans le haut du dos. Au cours des 6 semaines suivantes, fatigue, des douleurs thoraciques, des maux de gorge et de la toux. Huit semaines après le vax, elle a développé une accélération du rythme cardiaque et les symptômes se sont aggravés > liquide autour du cœur, drainé : contenait des cellules cancéreuses du muscle cardiaque. Au cours des 30 jours suivants, elle a développé une tumeur massive à l’intérieur de l’oreillette gauche de son cœur. Il a continué à croître rapidement malgré une chimiothérapie agressive : enfant décédée moins d’un mois plus tard. Vaers id 1913198

En bonne santé 53 ans. Mammographie de dépistage normale 2 mois après Moderna vax. 4 mois plus tard, on lui diagnostique « un cancer du sein inflammatoire très agressif ». A commencé la chimio. « Nous sommes une petite structure rurale desservant une population relativement fermée et de tels cas sont très rares mais j’en ai relevé plusieurs depuis le printemps. En signalera d’autres également. » VAERS ID 1684985

Un autre rapport du même centre de soins : 42 ans F. Mammographie normale 1,5 an avant. 4 mois après Pfizer vax, remarquez une masse mammaire près de l’aréole (même emplacement que le cas précédent). La biopsie du mois suivant a montré « un cancer du sein infiltrant triple + (nœud +) agressif ». ID VAERS 1685076

60 ans Monsieur décédé dans les 3 mois suivant la vax de plusieurs cancers. 3 jours après dose 1 : 2 bosses sur son cou. 2 semaines plus tard : anémie. 1 semaine plus tard : dose 2 : 2 semaines plus tard : Faiblesse, douleur. 2 semaines plus tard : légèrement plus anémique. Au cours des 4 semaines qui ont suivi, on lui a diagnostiqué un lymphome et 1 tumeur au cerveau, puis 3, puis 7 tumeurs au cerveau, de nombreuses tumeurs dans son corps, 1 tumeur dans son œil, d’origine adénocarcinome à cellules caliciformes. Ce cancer très rare : seulement 1 sur un million. Cancer spécial de l’appendice. L’appendicite est fréquemment observée au cours de la première semaine de vax, à tous les âges. Il se passe quelque chose à l’appendice à cause du vax. L’appendice fait partie du système immunitaire. VAERS ID 1697379

55 ans F. Mammographie normale 3 mois avant vax. 3 jours après vax, le sein a commencé à grossir. La biopsie a montré un cancer du sein inflammatoire. ID VAERS 1641095

69 ans F. 4 mois après la 2e dose, diagnostic de glioblastome « Son médecin a estimé que la tumeur avait 3 mois, ce qui coïncidait complètement avec la réception du vaccin Pfizer ». VAERS ID 1646951

74 ans M. 3 semaines après la dose de vax 2 « le patient a remarqué un gonflement des ganglions lymphatiques du côté droit de son cou. Lorsqu’il l’a interrogé, on lui a dit que le gonflement de la lymphe était un effet secondaire courant et qu’il devrait disparaître en 4 à 6 semaines.
Dans l’intervalle, plutôt que de s’affaisser, ils ont augmenté en nombre de nœuds et en taille. Lorsqu’il l’a signalé à son doc, il les a regardés et lui a assuré que ce n’était pas cancéreux, car ils étaient mobiles. Ils n’ont pas testé ou enquêté par précaution. [6 mois après la dose 2], le patient a reçu un diagnostic de cancer d’adénocarcinome pulmonaire avec propagation aux lymphatiques. » VAERS ID 1647308.

Femme de 86 ans, sans antécédent de cancer. 10 jours après la dose 2, « j’ai commencé à me sentir mal. Laboratoires au jour 17 : CRP 10,08, LDH, CK et proBNP élevés (51,4). Jour 24 : CRP 6,63, WBC 11k, LDH 60, KL-6 3406, ANA 1280. Le jour 30 a été diagnostiqué avec une polymyosite/dermatomyosite ». En cherchant la cause, un cancer de l’ovaire a été découvert et elle est décédée.

57 ans F. « Vaccinée en mars, j’ai passé une mammographie fin avril mais mes ganglions étaient enflés. Le médecin m’a demandé de revenir pour vérifier dans 3 mois et a dit que c’était probablement une réaction au vaccin. Quand je suis revenue trois mois plus tard, j’avais un cancer du sein métastatique. Je ne sais pas comment cela peut être si ma mammographie avait l’air correcte. » VAERS ID 1623680

1587116 – 43 ans F, en bonne santé, 31 jours après vax, diagnostic d’un cancer du sein métastatique (carcinome canalaire invasif, grade 3)

1647170 — 83 ans F « En 3 semaines, une tumeur a atteint la taille d’une balle molle. Elle a régulièrement décliné chaque jour après avoir reçu le vaccin… Avant le vaccin, elle marchait 2 miles par jour à la fin du mois de mars [quand elle a reçu un vax], elle ne pouvait pas sortir du lit sans aide. Elle est morte 60 jours après vax. »

Exemple de la présentation que vous pouvez trouver directement dans le VAERS

Pour de nombreux autres témoignages, ouvrir l’article en référence OU DIRECTEMENT LE SITE DU VAERS.

Exemples récents trouvés récemment sur tweeter : comme chaque jour de nouveaux !

Dukaandy @Dukaandy1‬

témoignage vaccin sur telegram : Je viens d’apprendre que la gérante du complexe où je vis, entièrement vax vient de décéder d’un cancer utérin fulgurant : il y a 3 semaines elle était en super forme, 1 semaine plus tard elle s’est sentie malade elle a été hospitalisée et décédée hier matin 11/05/2022 02:41

Et celui-ci qui traduit une remarque fréquente de collègues par téléphone ou mail le caractère étrange de ces cancers…

En conclusion, si vous n’êtes pas convaincu, allez visiter les nombreux canaux de Telegram sur les effets secondaires des pseudovaccins anticovid.

Après près de 18 mois d’injections, les observations cliniques mondiales d’explosion des cancers et de leur caractère intraitable et explosif concordent avec les publications scientifiques qui elles aussi s’accumulent, comme pour les autres complications graves comme les myocardites et encéphalopathies.

Il est grand temps d’exiger un ARRÊT TOTAL DE TOUTE INJECTION, QUEL QUE SOIT L’ÂGE !

En période de législatives, nous pensons qu’informer TOUS LES CANDIDATS AUX POSTES DE DÉPUTÉS DE TOUTES TENDANCES SERAIT L’OCCASION DES LES INFORMER VRAIMENT !

Prenons nos vies et surtout celles de nos enfants et petits-enfants en main sans attendre l’aide d’un sauveur.

Distribuez les informations à tous via tracts, petites réunions informelles entre amis et connaissances, etc.

Cela a bien marché pour Tupperware… C’est ici CAPITAL.


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