Ils disent IVG. Grossesse : à leurs yeux, c’est la femme qui grossit, pas l’enfant qui grandit. On va juste l’empêcher d’être grosse. C’est aseptisé, neutralisé, légitimisé : « Mon corps, mon choix, mon droit…« . Ah quel slogan enthousiasmant pour la vieille soixante-huitarde que j’étais alors. On ne l’avait pas encore inventé, ce slogan, on se limitait à : « Il est interdit d’interdire« , parce qu’à cette époque, tout le monde savait qu’un avortement, c’était tuer un enfant. On le savait depuis des millénaires. Mais on le revendiquait déjà, ce « droit de tuer », qui allait être institué sept ans plus tard, quatre ans après que l’on ait aboli la peine de mort pour les criminels les plus infâmes. On a juste troqué les condamnés : des millions d’enfants innocents, contre un poignée de monstres.

Les partisans de cette extermination d’innocents ne disent pas IVV (Interruption volontaire de Vie) : ça, ça ne fait pas propre, pas aseptisé, ça fait boucherie. C’est d’ailleurs bien cela : dès les 14 semaines « légales » (institué le 2/3/2022, quasi juste deux ans), il faut écraser la tête de l’enfant. Après il faut souvent découper le corps en petits morceaux avant de pouvoir l’aspirer, à moins qu’on fasse très attention, car il y a tant de chose à récupérer sur ces petits êtres pour les labos: le cœur, les organes, les cellules pour en faire des cellules souche, et surtout le précieux adrénochrome (adrénaline extraite du sang de la peur), qui permet aux célébrités du Pouvoir ou du show Biz de vieillir moins vite. Suivez l’argent et vous comprendrez le pourquoi de la liesse versaillaise face à cette très inhabituelle, voire dérangeante, quasi unanimité de partis qui ont coutume de d’étriper. Et là, de s’applaudir mutuellement, à grands coup de cris de joie. Ils criaient: « VICTOIRE! »…

Les seules que l’on n’a pas entendues, ce sont les femmes qui pleurent, parfois depuis des décennies, ces enfants qu’elles ont choisi un jour de jeter au feu. Choisi ? L’hypocrite société ne leur donnait parfois pas le choix, ni financier, ni social, quand il n’y avait pas un forcing familial ou marital… Et cela, ça n’a guère changé. Ce n’est plus la vie qu’il faut protéger, c’est le « droit » de faire ce qui nous plaît et d’avoir ce que l’on convoite, quel que soit le prix à payer… par l’enfant à naître.

Ce qui était frappant, dans cette foule de sénateurs et de députés qui ont glissé leur « Oui » dans l’urne, c’était l’écrasante majorité d’hommes, hormis quelques égéries du « mon corps, mon choix, mon droit« . Si contents, ces hommes, que les femmes n’aient même pas à solliciter leur avis pour mettre à mort leurs propres enfants ou petits-enfants ! Ainsi, ils se donnent bonne conscience, ils ne sont pas responsables… Ils ne savent pas, ces insensés, qu’ils s’amassent de bien lourdes malédictions, pas seulement pour eux, mais pour leurs descendants.

Lev 20:4  Si les gens du pays se bouchent résolument les yeux pour ne pas voir que cet homme livre l’un de ses enfants à Molok, et s’ils ne le mettent pas à mort, 5 ce sera moi qui tournerai ma face contre cet homme et contre sa famille, et je le retrancherai de son peuple, avec tous ceux qui se sont laissé entraîner à sa suite pour se prostituer à Molok.

Dieu ne change pas. Cette loi, comme toutes les lois morales de l’A.T. n’a pas été abolie, parce que parfaite. Elle est éternelle. Bien plus, en transmettant aux femmes le droit de vie et de mort sur leurs propres enfants, les hommes se sont désengagés de leur mission d’être les protecteurs de la vie, et cela plus particulièrement e, France depuis 1980.  En relation directe avec le fait que nos « hommes d’État » ont de moins en moins d’autorité, et de même les pères dans un nombre croissant de familles ? (Lire livre). Ils s’en sont lavé les mains, les hommes, des enfants qu’ils faisaient. On ne « réparait » plus, comme c’était encore la coutume dans ma jeunesse, en épousant la mère pour donner un nom à l’enfant. Il suffisait désormais de dire: « T’avais qu’à prendre la pilule, t’avais qu’à avorter…« . Et de s’en laver les mains, et de démissionner de la responsabilité de vie ou de mort sur un être vivant. Car un être humain, c’est une âme, un esprit, avec une enveloppe corporelle pour pouvoir vivre sur terre. La vie commence à l’instant même de la conception. Bon pour la casse, ces bébés en formation, selon ces pères lâches ? Alors les mères avortent, ou bien deviennent des « parents isolés », ramant souvent dans la misère pour assumer seules toute la responsabilité face à l’enfant. Face AUX enfants.

Mais Dieu ne s’y trompe pas quant à ceux qui, au lieu d’être des pères, ont démissionné. Pas plus quant à ces futures mères qui avortent uniquement pour leur mieux-être, pour leur look, pour ne pas être entravées dans leur carrière, et qui démontrent ainsi qu’elles ne connaissent pas Dieu ou ne Lui font aucune confiance. Car Dieu protège toujours ceux qui protègent la moindre vie, comme un trésor inouï donné par Lui. Pour ceux-là s’accomplit ce qui est écrit en Matthieu 6: Il les nourrit, Il les habille, Il répond à tous leurs besoins, et Il les bénit de mille manière, à commencer par la joie profonde qu’apportent des enfants, et au fil du temps, des petits enfants, quand on marche par la foi.

Hier, 4/3/24, c’est toute « l’élite » politique de la nation, toute la classe dirigeante qui s’est prononcé pour l’holocauste des enfants non désirés (mais désirés par le Dieu qui les a créés, chacun étant unêtre unique, sans aucun clone possible même au milieu de milliards d’individus !). Alors c’est toute la nation qui va tomber sous la malédiction. Car le péché de la France est monté jusqu’aux cieux et Dieu se souvient de ses iniquités.

 

Car ses péchés se sont accumulés jusqu’au ciel, et Dieu s’est souvenu de ses iniquités.
Le jugement est inscrit juste après. Il est inexorable:
Apoc 18:7 Autant elle s’est glorifiée et plongée dans le luxe, autant donnez-lui de tourment et de deuil. Parce qu’elle dit en son coeur : Je suis assise en reine, je ne suis point veuve, et je ne verrai point de deuil ! 8 A cause de cela, en un même jour, ses fléaux arriveront, la mort, le deuil et la famine, et elle sera consumée par le feu. Car il est puissant, le Seigneur Dieu qui l’a jugée.

Hier, 4 mars 2024, date funeste, j’écoutais, je pleurais, je priais, je demandais pardon à mon Dieu pour la France, je Le suppliais de l’épargner, cette nation qui appartient à Jésus, elle et ses habitants ivres de joie comme s’ils avaient enfin accès au plus révolutionnaire des progrès. Le monde entier n’allait-il pas les applaudir ? La France ne retrouvait-elle pas son rayonnement international disloqué au fil du temps à cause de la décrépitude morale de ses dirigeants ? J’ai eu l’impression que mon pays touchait le fond de l’ignominie et de la rébellion contre le Roi des rois, le prince de la Vie, Jésus-Christ. La maison France, tel un bateau ivre, un peu comme je l’avais vu en vision le matin même, était tombée dans l’abîme. Et eux, tous ces élus, se congratulaient avec fierté, en ayant la conviction d’avoir remporté une immense et historique victoire par KO :  78O voix contre 72. Écrasement absolu de ceux qui ont encore une conscience en France.

Mon pays se meurt, il agonise…

Bientôt – car il n’y a aucune limite requise dans cette loi constitutionnelle (donc faisant désormais partie des fondements de la République), contrairement à la loi Veil qui n’était pas censée être déchiquetée au fil des ans -, une IVV à 5, 6, 7, 8, 9 mois ? Ne protestez surtout pas avec des « Ça, jamais ! » ! Dans la nuit du 37/7/2021 au 1/8/21, en plein dans la grande transhumance des vacances, une poignée de députés macroniens ont voté l’IMG (Interruption Médicale de Grossesse) jusqu’à 9 mois, pour cause de « stress psycho-social ». Une formule où l’on peut mettre tout et n’importe quoi ! La loi a alors été rejetée par le Sénat, mais elle est certainement pratiquée en secret. À 9 mois, on tue l’enfant tout en le faisant naître. Bien sûr, la mère ne le verra pas: il ne faut surtout pas la traumatiser… surtout quand on va commencer à découper le nouveau-né, parfois encore vivant, pour récupérer organes et sang. Il faut bien, n’est-ce pas, que la science avance.

 

UNE BOUCHERIE ! 10 millions d’enfants tués depuis 1975 (sans doute deux ou trois fois plus). Non, une HÉCATOMBE ! Un HOLOCAUSTE ! Maintenant, cela va s’accélérer, et c’est déjà en train de s’accélérer. 234.000 IVV l’année dernière.

Oui, le jugement va être inexorable. À MOINS QUE…

 

À MOINS QUE, enfin !, les chrétiens qui craignent Dieu parce qu’ils Le connaissent vraiment, et qu’ils connaissent Sa parole, assument toute cette ignominie et pleurent devant l’autel. Car notre Dieu ne change pas non plus en matière de miséricorde.

 

Joël 2:12 Maintenant encore, dit l’Eternel, Revenez à moi de tout votre coeur, Avec des jeûnes, avec des pleurs et des lamentations ! 13 Déchirez vos coeurs et non vos vêtements, Et revenez à l’Eternel, votre Dieu; Car il est compatissant et miséricordieux, Lent à la colère et riche en bonté, Et il se repent des maux qu’il envoie. 14 Qui sait s’il ne reviendra pas et ne se repentira pas, Et s’il ne laissera Pas après lui la bénédiction, Des offrandes et des libations pour l’Eternel, votre Dieu ?

Que celui qui a des oreilles ENTENDE ce que l’Esprit dit aux Églises


Ajout du 6, mis dans une réponse à un commentaire:

MAV (6/3/24) :

À l’instant, alors que j’écoutais aux infos le récit, encore et encore, de ces violences qui s’accroissent de manière exponentielle, et que j’entendais une journaliste dire: « Ce qu’il y a de terrifiant, avec ces enfants (un groupe de gamins avaient frappé avec marteaux et couteaux un autre lycéen), j’avais envie de m’écrier:

– MAIS QUAND, ENFIN, COMPRENDRONT-ILS !!!!

À chaque avortement, ce sont des démons de meurtres qui peuvent s’emparer du pays. Le manque d’empathie, même chez des enfants ? Mais c’est aussi un esprit. Où est l’empathie dans ce monde pour tous ces bébés massacrés dans le ventre de leur mère. Comment ? Ils ne souffrent pas ? Tous ceux qui pratiquent des avortements voient clairement sur les échographies les foetus, qui ont un coeur qui bat*, tenter par tous les moyens d’échapper à l’aspirateur ou au scalpel. Tous les êtres vivants sentent venir la mort, y compris dans le ventre de leur mère, quel que soit l’âge ou l’état du développement du corps. Mais comme on ne peut entendre leur cri d’épouvante, on croit qu’ils ne ressentent rien.

 

    * Le cœur du fœtus commence à battre 2 semaines après la fécondation. À 2 mois, il est pleinement autonome. Le tube neural correspond au système nerveux central embryonnaire. Il est en quelque sorte la première version du cerveau humain et de la moelle épinière. Vers la huitième semaine, il s’allonge et crée d’une part le cerveau de l’embryon et d’autre part la moelle épinière.

 

MAIS, ET SURTOUT, L’ÂME ÉTANT LÀ, CETTE ÂME QUI NE VEUT PAS MOURIR ET QUI NE DEVRAIT PAS MOURIR

 

    Jérémie 7:4 Ne vous livrez pas à des espérances … Vous me déshonorez auprès de mon peuple Pour des poignées d’orge et des morceaux de pain, En tuant des âmes qui ne doivent pas mourir, Et en faisant vivre des âmes qui ne doivent pas vivre, Trompant ainsi mon peuple, qui écoute le mensonge.

 

C’est dit trois fois dans la Bible, quasiment à l’identique (Ez 13:19 – Ps 35:14). Quelle insistance de Dieu !!!!. Oui, c’est souvent pour de petites considérations matérialistes que l’on tue ces âmes !

ALORS NE NOUS ÉTONNONS PAS QUE LA VIOLENCE S’ACCROISSE, QUE L’EMPATHIE LA PLUS ÉLÉMENTAIRE DISPARAISSE DU PAYS : CE SONT TOUS CEUX QUI AVORTENT, FONT AVORTER, CONSEILLENT L’AVORTEMENT OU EN SONT COMPLICES QUI DÉCHAÎNENT LA MORT DUR LE PAYS. Et ne parlons pas des géniteurs qui se refusent la mission de pères. Ils emmènent la lâcheté dans tout le pays, tout autant que la violence, le meurtre et la mort.

Attendons-nous après ce vote infâme à ce que les violences s’accélèrent, s’aggravent, et touchent les coins les plus reculés du pays…