MAV:  Une bien remarquable exhortation, qui nous concerne tous, et à laquelle je souscris entièrement

L’actualité du peuple de Dieu

Au début de l’année 2020, un virus, qui ressemble à une couronne au microscope, se répand en Chine. Ce virus est semble-t-il issu d’une contamination par des chauves-souris ou pangolins, porteurs du virus en question à des hommes.

Mais la piste d’une erreur de manipulation de chercheurs, officiants dans un laboratoire de recherches biologiques (laboratoire P4 de Wuhan), travaillant sur le ‘virus couronne’, n’est pas exclue.

Ce virus s’est répandu sur le monde, entier, ou presque, touchant particulièrement les États de l’union européenne. C’est une pandémie mondiale, qui s’est déversée sur une grande partie du monde telle un océan qui se forme suite à la collision d’un immense astéroïde sur la terre.

S’en est suivie une période de confinement, pour nombre de pays touchés par cette pandémie.

Monopolisant les écrans et l’actualité, ce virus n’est pas que physique, puisque beaucoup se laissent contaminer par l’information continue et mortifère, anxiogène et de malédiction.

Ce temps de confinement est pour l’Église, tel une vidange-niveaux : à chacun d’être malléable entre les mains du Seigneur, pour se laisser vidanger et mettre à niveau, notamment notre niveau d’huile : celle-ci étant purifiée et rechargée.

L’heure est à se repentir : se repentir des lois iniques qui sont votées, se repentir de notre insouciance (vivre pour ses petits besoins, oubliant qu’on est dans une guerre spirituelle), se repentir des péchés de nos ancêtres, se repentir de la compromission qu’on peut avoir dans nos vies, avec le monde.

Ensuite, l’heure est à venir directement aux pieds du Seigneur pour être enseignés, exhortés, mis à jour, encore faut-il accepter et faire l’effort de se sortir les mains des poches, pour se mettre en marche, sortir une feuille blanche et un crayon, et ouvrir sa Bible, se laisser enseigner et vivifier par l’Esprit.

Enfin, l’air du temps est à l’égocentrisme, à l’insouciance, nombre de croyants vont dans leur assemblée comme si ils allaient à un fast-food, pour manger le plus vite possible, sans partage, sans respect, juste pour se faire du bien à l’estomac, sans prendre le temps de digérer non plus et repartir dans le train train quotidien.

Pour ainsi dire, Jésus m’a montré une image, à travers un songe, pour décrire l’air du temps actuel :

Nous sommes dans une entreprise, où il y a des bureaux, une entreprise de services assurément. C’est la pause, et il y a plusieurs employés qui font la file d’attente devant le distributeur de boissons chaudes. Alors Jésus, qui fait comme si il était aussi un employé de l’entreprise, passe devant tout le monde, sans même dire bonjour, et va devant la machine à boissons chaudes, prend sa boisson chaude, y rajoute quelques billes au chocolat dessus, puis continue son chemin, en rentrant dans son bureau.

Cette image caractérise l’Église. Chacun est centré sur soi-même sans prêter attention aux autres. Chacun vient se faire du bien à soi-même, sans partager, sans unité et respect pour les autres. Le temps qu’on consacre à la communion fraternelle, est réduit à une pause, sans partage, avant de repartir travailler.

Le Seigneur est attristé de cela, c’est pourquoi la désolation qu’on est en train de vivre pendant ces mois de mars, avril, mai 2020, est voulue par Lui : il est l’auteur de cela.

Car l’Église est insouciante, elle a oublié qu’elle est dans un combat, elle ne vit que pour elle-même, en oubliant d’évangéliser, de prêcher la repentance, de se repentir elle-même :

En effet, à quel moment intercédons-nous contre les projets de lois iniques qui s’apprêtent d’être votées ou qui le sont déjà (comme la loi Avia) ?

A quel moment nous repentons-nous de la loi sur l’avortement, qui n’est pas mieux que les pratiques de peuples idolâtres qui faisaient passer leurs enfants par le feu, les sacrifiant à leur abominable idole moloc ou kémosh ?

Finalement, la situation actuelle de désolation est décrite dans le chapitre 22 d’Esaïe.

Esaïe 22 : La repentance nécessaire du peuple de Dieu*

Alors que je faisais de manière récurrente un songe, durant les mois de mars et avril 2020, voyant un astéroïde impacter la terre et ne comprenant pas la signification, un messager de Dieu me révéla qu’Esaïe 22 en donne l’interprétation.

Ce texte illustre en effet la situation que le monde vit actuellement.

Ce texte qui concerne tout Israël, concerne l’humanité tout entière car Israël en est le microcosme ; en particulier l’Église. Ce qui est relaté ici de manière matérielle se concrétise « spirituellement » dans la vie de nombre de croyants.

Je laisse à votre lecture le chapitre en question. Cela te permettra de saisir le texte qui suit.

Et voici le message pour le peuple de Dieu :

Le confinement qui se répand sur le monde entier, c’est comme si tous les enfants étaient faits prisonniers, y compris ceux qui tentent de s’enfuir en allant dans des pays pas encore touchés mais qui le deviennent.

Les enfants étaient jusqu’alors dans la joie, l’euphorie bruyante, c’est l’accablement et la honte qui prend place ; à l’image de l’église de Mulhouse qui est frappée.

Alors beaucoup de croyants se tournent vers des ressources terrestres, derrière des écrans notamment, alors que le virus, corps étranger, fait rage et emplit même les plus ‘fertiles’ actions de l’église (comme des exhortations vidéo).

En effet, tu trouves encore dans ce cas d’angoisse, des alibis pour t’abstraire de la présence de l’Éternel alors tu fuis encore et te réfugies dans tes ressources humaines et même spirituelles : tu pries, tu proclames la Parole, tu intercèdes. Tout cela est très bien, mais tu restes encerclé par l’envahisseur.

Le Seigneur, lui, t’appelle à te repentir !

Oui vraiment, il y a beaucoup d’agitation, il est temps de faire shabbat, de revenir aux pieds du Maître, de faire silence, de ne pas retourner à la maison de soumission (mitsraïm) mais de faire téchouva à tous les niveaux où nous avons pu nous remettre sous des limites, soumis, alors que Yehoshua a fait de nous un peuple libre, s’est offert comme agneau sans tâche, immolé à notre place.

Il est l’heure de se repentir et de revenir de tout notre cœur à l’Éternel !

Se repentir de s’être laissé contaminer par les soucis de ce monde, par le train de ce monde, investissant pour le monde et non pour le royaume des cieux y compris dans les assemblées où la sainteté de Dieu (faveur de Dieu) n’est pas honorée mais où la compromission est, pour avoir la faveur des hommes, du monde.

L’heure est à la repentance !

Tu ne t’es pas préparé, tu t’es tenu dans l’insouciance, tu as négligé le combat qui fait rage, tu as oublié d’où tu viens et que tu fais parti de l’armée de Dieu, un guerrier. Alors ta vie est pleine de brèches, tu n’as pas désiré être façonné entre les mains du potier, tel l’argile, malléable, ce qui nécessite de marcher par la foi, d’accepter de sortir de sa zone de confort, de marcher dans l’inconnu.

Tu te crois toujours maître de la situation en démontrant ton indépendance par rapport à Dieu puisque tu fais des réserves, tu mets en pseudo-sécurité tes ressources vitales. Et tu perds des plumes dans cette agitation, en lésinant et supprimant certains domaines de ta vie, tant cela pour te barricader, te calfeutrer, sauver ce que tu peux et rattraper le temps perdu à avoir baissé ta garde. Mais c’est trop tard, tu continues dans ton indépendance, et tu ne regardes même pas à l’auteur de cette désolation.

Tu continues à te réjouir, alors que le malheur est à ta porte.

Tu continues, comme si de rien n’était. Dieu t’appelle à répandre ton cœur devant lui, à te lamenter et à te repentir pour toutes ces années d’euphorie, de joie égoïste, indifférente, toi qui ne vis que pour toi-même.

Tu continues à te déresponsabiliser, à festoyer, à t’empiffrer de chocolats religieux par toutes ces exhortations que tu oublies bien vite et ne mets pas en pratique : attention à la crise de foi, tu t’enivres de chants, de clameurs. Tu fais tout cela car tu es attentiste, passif, dans l’attente de ce jour grand et redoutable qui est l’avènement de Yehoshua !

Dieu t’appelle-t-il à l’attente ? Ton oisiveté lui fait horreur ainsi que tes prières et louanges puisque tu ne bouges pas le petit doigt pour vivre ta foi, vivre les œuvres qu’il a préparées d’avance pour toi, des œuvres qui te mèneront au-dehors, à vivre le grand mandat : celui de faire de toute nation des disciples de Yehoshua ! (et non d’un pasteur ou d’un ministère ou d’une église locale)

Et Amos de dire :

« Malheur à ceux qui désirent le jour de l’Éternel ! Qu’attendez-vous du jour de l’Éternel ? Il sera ténèbres et non lumière. Vous serez comme un homme qui fuit devant un lion et que rencontre un ours, qui gagne sa demeure, appuie sa main sur la muraille, et que mord un serpent.

Le jour de l’Éternel n’est-il pas ténèbres et non lumière ? N’est-il pas obscur et sans éclat ?

Je hais, je méprise vos fêtes, je ne puis sentir vos assemblées.

Quand vous me présentez des holocaustes et des offrandes, je n’y prends aucun plaisir ;

et les veaux engraissés que vous sacrifiez en actions de grâces, je ne les regarde pas.

Éloigne de moi le bruit de tes cantiques ; je n’écoute pas le son de tes luths. Mais que la droiture soit comme un courant d’eau, et la justice comme un torrent qui jamais ne tarit. »

Amos 5.18-24

Tu penses te préparer aux combats dans les festivités et la joie ?

C’est le sac, la cendre, le silence, les pleurs qui sont de mise pour te préparer.

Ton attentisme festif ne te sera pas pardonné, la vie n’est-elle pas plus que le manger et le boire ?

Tu resplendis aucunement car les gens restent dans leur péché à ton contact.

Le Seigneur, lui, t’appelle à resplendir comme un soleil radieux, à son image, non pour attirer les gens à toi ou à perdurer dans la compromission, mais pour qu’ils passent de la mort à la vie, par la repentance. Cela nécessite de toi une consécration totale, où tu n’imites aucune des pratiques du monde, et où ta seule joie véritable est dans la mise en pratique des enseignements de ton Seigneur.

Ce que je dis est dur, et je me l’applique déjà à moi-même. Mais ayons l’humilité de nous humilier, de reconnaître nos manquements.

«Cessez donc de blâmer les pasteurs lorsqu’ils estiment de leur devoir de réprimander ouvertement l’Église, devant le monde. Si vous êtes si fiers, et que vous ne puissiez le supporter, ne vous attendez pas à un réveil. N’accusez pas la prédication d’être «trop franche» pour la seule raison qu’elle dévoile les fautes de l’Église ; on ne peut jamais prêcher trop franchement. » Charles Finney

« La repentance est d’une obligation toute particulière, quand le royaume des cieux est proche, quand nous l’attendons spécialement, ou que nous désirons sa venue ; cela est évident par la prédication de Jean-Baptiste. Et quand le Seigneur nous appelle avec force à nous repentir, il nous appelle aussi à donner des manifestations de notre repentance. » Charles Finney

Non vraiment, l’heure n’est plus à considérer l’Église comme un distributeur de boissons chaudes, où chacun vient pour se servir soi-même sans même prêter attention aux autres.

Si la situation est telle, c’est aussi parce que le monde est rentré dans les assemblées : « Donnons envie aux païens de devenir chrétiens ! » Quelle hérésie ! L’Église ne doit pas s’adapter au monde, elle doit être à part, sanctifiée, pure et sans tâche, s’attarder uniquement à rechercher la faveur de Dieu et aucunement à imiter (les œuvres) des païens pour les attirer à elle. Car Dieu est en colère contre le pécheur et c’est ce qui doit être prêché, la repentance. Toi-même qui te dis chrétien, as-tu la crainte de l’Éternel ? As-tu la haine du péché ? Ou alors te complais-tu et n’éprouves-tu pas le besoin de changer car c’est un dieu « peace & love » qui t’a attiré, un dieu qui te laisse vivre tranquillement dans l’insouciance et dans la compromission …

Ce système de confort, facile, où il n’y a pas à se poser de questions mais à vivre comme un mouton, où tout est prêt, il n’y a plus qu’à se servir et à manger (église-self), pyramidal, babylonien, est près de tomber, d’être lancé comme une balle sur un vaste territoire.

Tout ce qui fait ta pseudo-sécurité va tomber, et alors, resteront ceux qui auront appris et sauront déprendre (totalement) du Seigneur Yehoshua et de son Esprit.

Mais l’Éternel lève un homme pour redresser la situation, tandis que ce système de soumission à des limites (humaines, matérielles, spirituelles, …) tombe, il aura l’autorité et le pouvoir sur l’Église.

Il relèvera l’Église, l’extirpera de sa léthargie insouciante, des limites sous lesquelles elle s’est soumise à nouveau, il portera sur ses épaules la maison de son père, et tout ce qui y est apparenté de près ou de loin. Il sera un trône de gloire, pour sa famille, délivrant les captifs, libérant les prisonniers.

Cela commencera par la maison de Juda, puis s’étendra aux nations telle une déflagration puis une inondation purificatrice.

Le déluge arrive, tout comme la fin du temps de la grâce. Alors, pour ceux qui seront sauvés, ils entreront avec Eliakim dans le repos.

L’heure est à la repentance, à la sanctification.

Conclusion concrète

Voici les paroles de l’Éternel que l’on trouve en 2 Chroniques 7 et qui, tel le chapitre 22 du livre d’Esaïe, illustrent notre actualité :

« Quand je fermerai le ciel et qu’il n’y aura point de pluie, quand j’ordonnerai aux sauterelles de consumer le pays, quand j’enverrai la peste parmi mon peuple ; si mon peuple sur qui est invoqué mon nom s’humilie, prie, et cherche ma face, et s’il se détourne de ses mauvaises voies, je l’exaucerai des cieux, je lui pardonnerai son péché, et je guérirai son pays. Mes yeux seront ouverts désormais, et mes oreilles seront attentives à la prière faite en ce lieu. » versets 13 à 15

Il t’est demandé de te repentir. Il t’est demandé de venir directement aux pieds de ton Maître pour être enseigné et exhorté.

Oui il est important de partager avec tes frères et tes sœurs, de vivre la communion fraternelle. Mais premièrement, c’est dans l’intimité du Seigneur que tu dois te trouver et passer du temps, dans le lieu secret.

Car Dieu est triste de voir ses enfants ne pas venir directement à lui, mais passer majoritairement par des intermédiaires. En effet, tu n’es plus un bébé qui a besoin qu’on lui pré mâche sa nourriture et qu’on la lui apporte. Non, c’est une nourriture solide qu’il a prévue pour toi. Cette nourriture, va la chercher par toi-même, auprès du Seigneur, qui a de nombreuses révélations pour toi et pour toi-seul.

Mais tu as telle et telle vidéo (exhortations) à regarder, sans parler des autres tâches journalières que tu as à faire : toutes ces choses sont des alibis pour t’abstraire de l’Essentiel.

Et quand ce ne sont pas des activités, ce sont tes pensées qui t’en éloignent.

Il est temps de faire silence.

En effet, « Car ainsi a parlé le Seigneur, l’Éternel, le Saint d’Israël : c’est dans la tranquillité et le repos que sera votre salut, c’est dans le calme et la confiance que sera votre force. Mais vous ne l’avez pas voulu ! » Esaïe 30.15

Laisse-toi vidanger et mettre à niveau par le Seigneur.

En ces temps particuliers, comprends cet ordre de Dieu :

« Va, mon peuple, entre dans ta chambre, et ferme la porte derrière toi ; cache-toi pour quelques instants, jusqu’à ce que la colère soit passée. » Esaïe 26.20

Car :


* ESAÏE 22

1 Oracle sur la vallée des visions. Qu’as-tu donc, que tout ton peuple monte sur les toits ?
2 Ville bruyante, pleine de tumulte, Cité joyeuse ! Tes morts ne périront pas par l’épée, Ils ne mourront pas en combattant. 3 Tous tes chefs fuient ensemble, Ils sont faits prisonniers par les archers; Tous tes habitants deviennent à la fois captifs, Tandis qu’ils prennent au loin la fuite. 4 C’est pourquoi je dis : Détournez de moi les regards, Laissez-moi pleurer amèrement; N’insistez pas pour me consoler Du désastre de la fille de mon peuple. 5 Car c’est un jour de trouble, d’écrasement et de confusion, Envoyé par le Seigneur, l’Eternel des armées, Dans la vallée des visions. On démolit les murailles, Et les cris de détresse retentissent vers la montagne.
6 Elam porte le carquois; Des chars de combattants, des cavaliers, S’avancent; Kir met à nu le bouclier. 7 Tes plus belles vallées sont remplies de chars, Et les cavaliers se rangent en bataille à tes portes. 8 Les derniers retranchements de Juda sont forcés, Et en ce jour tu visites les armures de la maison de la forêt.
9 Vous regardez les brèches nombreuses faites à la ville de David, Et vous retenez les eaux de l’étang inférieur. 10 Vous comptez les maisons de Jérusalem, Et vous les abattez, pour fortifier la muraille. 11 Vous faites un réservoir entre les deux murs, Pour les eaux de l’ancien étang. Mais vous ne regardez pas vers celui qui a voulu ces choses, Vous ne voyez pas celui qui les a préparées de loin.
12 Le Seigneur, l’Eternel des armées, vous appelle en ce jour A pleurer et à vous frapper la poitrine, A vous raser la tête et à ceindre le sac. 13 Et voici de la gaîté et de la joie ! On égorge des boeufs et l’on tue des brebis, On mange de la viande et l’on boit du vin : Mangeons et buvons, car demain nous mourrons !- 14 L’Eternel des armées me l’a révélé : Non, ce crime ne vous sera point pardonné que vous ne soyez morts, Dit le Seigneur, l’Eternel des armées.
15 Ainsi parle le Seigneur, l’Eternel des armées : Va vers ce courtisan, Vers Schebna, gouverneur du palais : 16 Qu’y a-t-il à toi ici, et qui as-tu ici, Que tu creuses ici un sépulcre ? Il se creuse un sépulcre sur la hauteur, Il se taille une demeure dans le roc ! 17 Voici, l’Eternel te lancera d’un jet vigoureux; Il t’enveloppera comme une pelote, 18 Il te fera rouler, rouler comme une balle, Sur une terre spacieuse; Là tu mourras, là seront tes chars magnifiques, O toi, l’opprobre de la maison de ton maître ! 19 Je te chasserai de ton poste, L’Eternel t’arrachera de ta place.
20 En ce jour-là, J’appellerai mon serviteur Eliakim, fils de Hilkija; 21 Je le revêtirai de ta tunique, je le ceindrai de ta ceinture, Et je remettrai ton pouvoir entre ses mains; Il sera un père pour les habitants de Jérusalem Et pour la maison de Juda. 22 Je mettrai sur son épaule la clé de la maison de David : Quand il ouvrira, nul ne fermera; Quand il fermera, nul n’ouvrira. 23 Je l’enfoncerai comme un clou dans un lieu sûr, Et il sera un siège de gloire pour la maison de son père. 24 Il sera le soutien de toute la gloire de la maison de son père, Des rejetons nobles et ignobles, De tous les petits ustensiles, Des bassins comme des vases. 25 En ce jour, dit l’Eternel des armées, Le clou enfoncé dans un lieu sûr sera enlevé, Il sera abattu et tombera, Et le fardeau qui était sur lui sera détruit, Car l’Eternel a parlé.