Source:Eradiquer la haine, sortir l’Europe de la repentance et l’Afrique de l’infantilisme

… «  En réalité, les premiers blancs entrant en contact avec des noirs étaient des commerçants et les noirs, avec qui ils commerçaient, des sujets de royaumes parfois fort puissants, organisés, riches financièrement et culturellement et souvent conquérants. Ces états pratiquaient l’esclavage avec leurs prisonniers de guerre. Ce sont certains de ces prisonniers de guerre qui furent vendus par les noirs aux européens. S’il doit être question de repentance, les africains sont autant concernés que les européens. »…

… «  Quant à l’esclavage, les noirs ont-ils été les seuls à le subir ? Le mot même d’esclavage ne vient-il pas de « slave » ? Beaucoup d’européens n’ont-ils pas été capturés et mis en esclavage par les barbaresques pour ne citer qu’un exemple. Pourquoi les noirs sont-ils les seuls à être encore définis ou à se désigner eux-mêmes comme descendants d’esclaves ? L’esclavage n’est pas une nature mais une condition qui s’abat sur un individu. Pourquoi esclave et africain sont-ils des termes qui restent attachés aux noirs et pas à d’autres ? Pourquoi parle-t-on toujours d’afro-américains et ne dit-on jamais européo-américain ou asiato-américain ? L’objectif serait celui de l’extrême gauche héritière du communisme qui hait la société chrétienne et capitaliste et a remplacé les objectifs du communisme, qui n’ont pas abouti, par un ensemble de causes destinées à affaiblir notre société et à la submerger par une immigration invasion. On y retrouve l’antiracisme, la lutte contre toutes les « phobies » : islamophobie, homophobie, antisémitisme, les théories fumeuses sur le genre etc. »…

 

… « Le long de ce processus, la société doit passer par plusieurs stades avant de pouvoir accéder à la démocratie. Le premier stade est la société de droit où citoyens et surtout gouvernants respectent la loi sous peine de sanctions. Au stade suivant, dépassant le simple respect des règles assurant le vivre ensemble, lorsque la société s’occupe des besoins collectifs en matière d’économie, de santé, de sécurité, « alors les individus finissent par se souder et n’envisagent leur destinée que de façon solidaire. Nous avons alors une société solidaire. »

Après un certain temps de stabilité « il se développe, les brassages aidant, une cohésion sociale solide, qui révèle le sentiment national, signe de la société fraternelle… ». On peut parler d’une nation. »…

… « On comprend la menace principale qui pèse sur l’Europe et compromet l’avenir de l’Afrique : l’immigration de masse qui menace l’identité et la cohésion des nos pays et empêchera à terme, si on ne l’arrête, la survie de nos démocraties. »

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