Dans l’article intitulé « Oracles du cataclysme? » mis en ligne le 17 octobre dernier, je me suis notamment exprimé sur l’éclipse solaire totale qui sera visible du continent nord-américain le 8 avril 2024.
Ce phénomène à venir a d’ores et déjà fait l’objet passablement de commentaires chez nos frères et sœurs d’outre-Atlantique, qui savent que les luminaires dans l’étendue du ciel constituent des signes pour marquer les époques, les jours et les années (Genèse 1.14). Je me propose donc de reprendre les quelques informations dont je dispose sur cet événement astronomique pour améliorer notre compréhension prophétique des semaines à venir.
Joël 2.30-32: Je ferai paraître des prodiges dans les cieux et sur la terre, du sang, du feu, et des colonnes de fumée; [31] le soleil se changera en ténèbres, et la lune en sang, avant l’arrivée du jour de l’Eternel, de ce jour grand et terrible.
[32] Alors quiconque invoquera le nom de l’Eternel sera sauvé; le salut sera sur la montagne de Sion et à Jérusalem, comme a dit l’Eternel, et parmi les réchappés que l’Eternel appellera.
L’éclipse du 8 avril sera d’autant plus remarquable que la pénombre en résultant permettra d’observer, dans le voisinage du soleil occulté, non seulement les sept planètes de notre système solaire (Uranus, Jupiter, Mercure, Vénus, Neptune, Saturne, Mars), mais encore la comète 12P/Pons-Brooks, dite « comète du diable » en raison de l’apparence particulière de sa chevelure qui évoquerait, pour certains, les cornes de notre ennemi!
Sur cette base, nous pouvons déjà faire des constations intéressantes:
- Du halo pastel d’un arc-en-ciel à l’obscurité d’une éclipse
Le lecteur se souviendra peut-être qu’en avril 2022, j’ai consacré un texte, « Jérusalem, l’arc et la lumière« , à l’arc-en-ciel apparu au-dessus du Mont du Temple et de celui des Oliviers, à Jérusalem, le 28 janvier 2021.
Or, de cette dernière date à l’éclipse du 8 avril, il y aura 1166 jours, ce qui correspond, en Actes 1.12, à la valeur numérique du génitif grec elaiônos, littéralement « d’oliveraie » (traduit « des oliviers »), précisément en référence à la hauteur de Jérusalem d’où Jésus fut soustrait aux regards des apôtres, juste avant que les anges ne déclarent à ceux-ci: Hommes Galiléens, pourquoi vous arrêtez-vous à regarder au ciel? Ce Jésus, qui a été enlevé au ciel du milieu de vous, viendra de la même manière que vous l’avez vu allant au ciel (Actes 1.11).
Actes 1.12: Alors ils retournèrent à Jérusalem, de la montagne appelée des oliviers, qui est près de Jérusalem, à la distance d’un chemin de sabbat.
Cela nous place évidemment dans le contexte de Zacharie 14.4, ce qui a de quoi laisser songeur…
Zacharie 14.4: Ses pieds se poseront en ce jour sur la montagne des oliviers, qui est vis-à-vis de Jérusalem, du côté de l’orient; la montagne des oliviers se fendra par le milieu, à l’orient et à l’occident, et il se formera une très grande vallée: une moitié de la montagne reculera vers le septentrion, et une moitié vers le midi.
- De sept planètes à 336 heures
Un terme hébreu qui me semble bien convenir à l’idée de « planète/astre » est ko’khav, même s’il est rendu ordinairement par « étoile » (voir l’exception de Nombres 24.17: […] Un astre sort de Jacob) […]). Si nous multiplions la valeur numérique de ce terme, 48, par les sept planètes de notre système solaire visibles durant l’éclipse qui s’annonce, nous obtenons 336 (48 x 7), soit le nombre d’heures menant du 8 au 22 avril, date de la préparation de la Pâque dans le calendrier hébraïque, et qui occupe une place centrale dans l’article « Oracles du cataclysme? » déjà cité.
A cet égard, relevons qu’au Psaume 107 –sur lequel nous reviendrons–, le troisième mot du verset 20, veïrpa’em/ »et Il les guérit, les rétablit » a une valeur numérique de 337 qui nous fournit une précision supplémentaire: il s’agit du nombre d’heures allant du maximum de l’éclipse du 8 avril, à 18h17 en temps universel, au 22 du même mois à 19h17, au moment même où débuteront les festivités de Pesa’h!
Ajoutons pour être complets que le périhélie (c’est-à-dire le passage au plus près du soleil) de la comète 12P/Pons-Brooks aura lieu le 21 avril prochain, journée à la fin de laquelle commencera la préparation de la Pâque en question.
Nous voyons de ce fait se confirmer l’importance de cette célébration qui durera jusqu’au 29 avril / 21 nisan, où le firmament nous offrira de surcroît le spectacle d’une conjonction de Mars (faux dieu de la guerre) et Neptune (faux dieu de la mer).
- De l’éclipse des cornes à la comète du diable
Revenons maintenant sur l’éclipse annulaire du 26 décembre 2019, date déterminante dans ma compréhension de l’eschatologie contemporaine.
Pour mémoire, lorsque ce phénomène astronomique s’est produit, la lune, à un moment donné, n’a laissé apparaître du soleil que deux cornes géantes, rougeoyantes, à la surface du Golfe Persique. Pour l’observateur, on aurait dit que le satan en personne sombrait dans l’abîme…
Du 26 décembre 2019 à l’apparition de la comète du diable pendant l’éclipse du 8 avril 2024, 1565 jours se seront écoulés. Curieusement, ce nombre correspond à la valeur numérique de Job 22.12, dont la deuxième phrase, à la formulation très fine, nous enjoint de porter notre attention sur la voûte céleste.
Le texte hébreu de cette deuxième phrase, si on veut bien s’y arrêter, nous dit en effet littéralement: Et regarde la tête/le sommet/le point le plus haut des étoiles lorsqu’elles ont fini de s’élever. Il semblerait en conséquence que ce verset nous recommande, dans certaines circonstances, de tenir compte de l’arrivée des corps célestes à leur méridien, ce qui signifie à leur point le plus haut dans le ciel (comme le soleil à midi).
En la matière, relevons que le livre de Job mentionne à deux reprises (9.9 et 38.31-32) Orion, les Pléiades, la Grande Ourse et, si nous nous fondons sur la King James Version (traduction anglaise) et la Vulgate (traduction latine), l’étoile la plus brillante de la constellation du Bouvier, Arcturus.
Cette dernière, dans nos régions, passera au méridien à minuit, toujours en temps universel, dans la nuit du 21 au 22 avril 2024. Cela nous ramène évidemment à la préparation de la prochaine Pâque israélite. Convergence insolite à méditer…
1565 est en outre la valeur numérique du pluriel grec pulônes/ »portails, grandes portes, porches, vestibules (en particulier des temples) », forme employée par Jean en Apocalypse 21.13, 21 et 25 à propos de la nouvelle Jérusalem.
Cette notion de portail/porte étant mise en relation avec les luminaires célestes par le livre de notre ancêtre Hénoch, nous allons nous appuyer sur elle pour la suite de notre raisonnement.
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Un mot hébreu qui véhicule l’idée de « porte » est dalet, qui a donné la lettre du même nom, la quatrième de l’Aleph-Beth. Son pluriel, daletot, a une valeur numérique de 840 qui est celle du « plérôme » (total des valeurs des noms des lettres constituant un terme ou un texte) du shetheph/ »flot, inondation » qui figure en bonne place en Daniel 9.26, dans un chapitre auquel renvoie expressément l’article « Oracles du cataclysme? ».
Daniel 9.26: Après les soixante-deux semaines, un Oint sera retranché, et il n’aura pas de successeur. Le peuple d’un chef qui viendra détruira/corrompra la ville et ce qui est saint/le sanctuaire, et sa fin arrivera dans l’inondation/le flot; il est arrêté que les dévastations dureront jusqu’au terme de la guerre.
Nous retrouvons ces daletot au Psaume 107.16, avec les portes d’airain qui sont brisées. Ce verset est d’autant plus intéressant que la phrase Il a rompu les verrous de fer a une valeur numérique de 552, qui est celle de shevarim/ »flots, brisants », ainsi que des expressions kol basar/ »toute chair », par exemple dans le récit du déluge, et besheveth barzel/ »avec une verge de fer » au Psaume 2.9 que j’ai souvent eu l’occasion de mettre en lien avec notre époque. L’idée de destruction est donc bien présente.
Psaume 107.16: Car il a brisé les portes d’airain, Il a rompu les verrous de fer.
En passant, signalons que daletot est l’anagramme de toldot/ »génération, postérité origine, histoire », nom commun dont la graphie est défective depuis la chute d’Adam et Eve, et qui ne peut renouer avec la plénitude qu’avec la venue, respectivement le retour de Jésus, notre Bien-Aimé (pour plus de détails, se référer à « Arcanes des temps: Et Jacob demeura seul« ).
Le singulier, dalet, si nous calculons son plérôme (voir explication ci-dessus), conduit à un total de 924, valeur de la seconde phrase d’Esaïe 6.4, verset se rapportant également à la saison prophétique en cours. (cf. « Les témoins de notre temps« ).
Esaïe 6.4: Les portes furent ébranlées dans leurs fondements par la voix qui retentissait, et la maison se remplit de fumée.
Chose absolument inouïe, vehabaït/ »et la maison » a ici une valeur de 423, qui est celle de l’hébreu rabbinique te’hiyah/ »action de revivre, renaissance, résurrection des morts« . De son côté, la somme des deux mots restant, imalé ‘ashan’/ »elle se remplit de fumée », s’élève à 501, valeur du nom commun rosh/ »tête », mais aussi « commencement, le premier« .
A ce stade, si nous réunissons ces éléments, matériaux sémantiques simples d’emploi, nous parvenons naturellement à la première résurrection. Que devons-nous en penser ?
Tout d’abord, la valeur 924 que nous venons de mettre en évidence se trouve être celle du Psaume 118.20, où il est précisément question de la porte de l’Eternel, dans le contexte d’un tri dans lequel les justes sont mis à part!
Psaume 118.20: Voici la porte de l’Eternel: c’est par elle qu’entrent les justes.
Ensuite, Esaïe 6.4 partage sa valeur numérique globale, 2196, avec les passages suivants:
- Psaume 107.20, où la promesse Il les fit échapper de la fosse cadre parfaitement avec la représentation que l’on peut se faire d’une résurrection.
Psaume 107.20: Il envoya sa parole et les guérit/les rétablit, Il les fit échapper de la fosse.
- Esaïe 21.16 qui, si on lui ajoute la valeur du verset 17, 3258, conduit à un total de 5454, tout comme l’exclamation d’Apocalypse 20.6, Heureux et saints ceux qui ont part à la première résurrection!
Apocalypse 20.6: Heureux et saints ceux qui ont part à la première résurrection! La seconde mort n’a point de pouvoir sur eux; mais ils seront sacrificateurs de Dieu et de Christ, et ils régneront avec lui pendant mille ans.
Ce monde s’enfonce chaque jour un peu plus dans le chaos mais, Dieu merci, nous avons une planche de Salut assurée.
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Avant de conclure, laissez-moi encore vous partager une révélation reçue ce 1er mars, illustrant le caractère cyclique de la pensée prophétique qui, en l’occurrence, va nous ramener à la fête de la Pâque, synonyme d’espérance depuis l’an 33 AD.
Revenons à l’arc-en-ciel qui a couronné le Mont du Temple et celui des Oliviers le 28 janvier 2021. De celui-ci à la célébration de la Pâque du 22 avril prochain au soir, le laps de temps écoulé sera de 1180 jours.
Ce dernier nombre doit retenir notre attention, car il permet d’établir un parallèle avec les 1180 heures séparant d’une part la constatation de la Résurrection de Jésus, entre 05h00 et 06h00 du matin (Marc 16.2 cite le lever du soleil –le soleil venait de se lever–, à situer en l’espèce vers 05h40 – 05h45), le premier jour du compte du Omer, et d’autre part le don du Saint Esprit à la Pentecôte, entre 08h00 et 09h00 (la troisième heure du jour selon Actes 2.15).
En effet, le compte du Omer s’étend sur 50 jours (le grec pentêkostos signifie « cinquantième ») ou 1200 heures (50 x 24), dont il faut déduire
- les 5 heures révolues précédant la découverte de la Résurrection de Christ par ses proches
- et les 15 heures complètes suivant 09h00 du matin le jour de la Pentecôte (24 – 9 = 15).
Nous obtenons ainsi: 1200 – 5 – 15 = 1180 heures.
Au-delà de banales opérations arithmétiques, ce parallèle confirme ce que nous ressentons tous, savoir que la roue de la prophétie n’a jamais cessé d’avancer.
De la Résurrection du Roi des rois, aube nouvelle pour l’humanité, cette roue nous a entraînés, première étape, jusqu’à la régénération de Pentecôte. Plus récemment, elle s’est manifestée avec discrétion en coiffant le lieu où s’accomplissent les promesses, Jérusalem, d’un diadème irisé et a attesté l’actualité de l’alliance accordée en Genèse 9.8ss. Elle nous invite maintenant à tourner les regards vers la Pâque israélite qui vient.
Il est dès lors légitime de s’interroger au sujet de cette fête. De quoi sera-t-elle faite? Aujourd’hui encore, tous les espoirs sont permis et une certitude demeure: comme tous les caps, si tumultueux soient-ils, que nous franchissons avec Christ, ce Pesa’h/ »Passage » sera libérateur.
SDG/NM – le 12 mars 2024
Shalom frères et sœurs,
Les amis, j’ai deux ou trois choses à vous dire, dont une ou deux pour toi Nico.
Une première chose, probablement la moins importante quand au fond, mais nous pouvons observer que le 8 avril 2024 qui vient (jour de l’éclipse aux USA) n’est autre que le 29 Adar II, oui le dernier jour du 2ème mois de Adar 5784, cela juste avant le premier jour de Nissan (roch hodech Nissan) le mois de Pessah.
Nico, ton message est très copieux, il y a beaucoup de choses, je ne vais ici revenir « que » sur une seule, enfin une seule, oui bien sûr, mais en vérité tout y est concentré. Je cite ta conclusion magnifique, frère :
« Il est dès lors légitime de s’interroger au sujet de cette fête. De quoi sera-t-elle faite ? Aujourd’hui encore, tous les espoirs sont permis et une certitude demeure : comme tous les caps, si tumultueux soient-ils, que nous franchissons avec Christ, ce Pesa’h/ »Passage » sera libérateur. »
Oui, magnifique. Je précise que je suis plutôt en mode « éteint » depuis un peu trop longtemps, néanmoins le flash de Pessah ou tu prends prophétiquement soin de parler de « Passage libérateur » avec un grand P ne peux que me faire dire Amen. Amen et réveillez certaines choses enfouies en moi. Choses ou je me dois de vous dire : si tu as raison Nico, je dois vous demander pardon, frères et sœurs, pardon d’avoir laissé un projet de message dans le grand tiroir de mes écris non finis.
Il y a une année presque jour pour jour, le 1er avril 2023, juste avant Pessah, le jour de Shabbat Haggadol, j’écrivis le commentaire qui se trouve ici :
https://michelledastier.com/pessah-5782-se-liberer-de-notre-propre-egypte-tic-tac-tic-tac-la-paque-de-leternel-approche-pour-nous-liberer/
Suivi de celui de Michelle qui disait ceci :
J’ai relu ton article. https://michelledastier.com/lettre-dun-esclave-ecrite-par-dan-a-ses-compagnons-dinfortune/ . Il est formidablement prophétique. Peut-être pourrais-tu le reprendre: il n’y a pratiquement pas d’actualisation à faire, mais un peu tout de même. Qu’en penses-tu ?
J’avais alors commencé ce fameux article de mise à jour sans le terminer, puis en avais débuté d’autres sur le même thème, mais sans finir et même en ajoutant un peu de confusion. Me suis-je alors laissé impressionner par l’audace de son contenu ? Vraisemblablement, au point que je souhaitais, rêvais de le vivre à titre personnel avant d’en parler plus.
Alors venons à l’essentiel les amis, l’essentiel par lequel j’ai été interpellé aujourd’hui (jeudi 28.03.24).
En faisant une recherche google sur Pessah, voici qu’une image internet s’est imposée à moi, j’ajoute que je ne cherchais absolument pas une image. Très étonné de voir ensuite qui l’avait postée, mais ce n’est pas le sujet, le sujet c’est l’image.
https://twitter.com/cestrosi/status/979780301730627585
J’espère que le lien sera visible, si l’image était récupérable ce serait magnifique.
Et pourtant, comme je l’ai mentionné précédemment, je suis dans une phase ou je me qualifierais comme « éteint », alors lorsque j’ai enfin à nouveau ressenti l’Esprit tressaillir en moi en regardant cette image, je l’ai bien observée afin de discerner son secret.
C’est peu dire que cela va mille fois dans le sens de ma lettre d’un esclave et plus encore de mon texte non terminé ou est notamment écrite l’affirmation suivante :
LE PESSAH DE L’EGLISE, LE SECOND PESSAH, LE DERNIER PESSAH !
Quel est le secret de l’image ? Je vais être moins affirmatif que je ne l’ai parfois été, néanmoins je vais dire ce qui m’est immédiatement venu en tête. Voici l’essentiel, les amis, écoutez.
« Nous sommes ici », « c’est ce qui est juste devant nous », « regarde la lumière à l’horizon de la mer ouverte ». « NOUS SOMMES LÀ. »
Alors je cite à nouveau ta conclusion Nico : « tous les ESPOIRS sont permis et une certitude demeure : comme tous les caps, si tumultueux soient-ils, que nous franchissons avec Christ, ce Pesa’h/ »Passage » sera libérateur. »
Oui cette expression de « passer au travers », je l’ai vraiment en moi depuis 2-3 ans, « passez au travers » avec cette notion d’Espoirs qui donne un regard autrement plus positif.
Dans mes textes ou commentaires non finis, parfois même pas débuté, seule la pensée ayant existé un instant, il y avait le message de Michelle le 05.02.24 avec CLI-Claudio où tu avais partagé un message très sérieux et très important sur la transfiguration.
Suivi de celui de Pierre-Daniel Martin le 04.03.24 avec nombreux sujets dont l’un m’a surpris en lien avec moi-même, celui en relation avec le besoin de prière pour un prophète en difficulté. Bien que je ne sois pas prophète en tant que tel, me vint la question de savoir si je n’avais pas tout simplement besoin de la prière ? Je n’ai pas la réponse, mais il se pourrait bien que pour poursuivre ma mission plus efficacement et retrouver la confiance indispensable à « mes » écrits, j’aie besoin d’intercesseurs. A vous de discerner devant le Seigneur si c’est le cas ou non et si c’est votre mission ou non. Alors à ceux qui désirent ardemment des articles qui ressortent à nouveau régulièrement, il se pourrait bien que j’aie besoin de vous les amis.
En écrivant les mots clés pour ce message, me vint en tête la chanson « Katonti » tout en me demandant le rapport et l’utilité avec ce que je viens de vous partager, surtout que je suis beaucoup moins qu’auparavant dans le sentimental qui peut être un piège. Je me rappelle alors forcément avoir partagé en commentaire la chanson Katonki, en 2021 je recherche dans mes textes et constate que les commentaires qui suivent pourraient bien être en lien avec notre sujet.
https://michelledastier.com/shabbat-shalom-25-juin-2021/
Attention les amis, ne surtout pas se disperser, toute notre attention doit demeurer en lien avec cette sublime image qui nous montre notre position dans le Pessah qui vient.
Finalement bien plus que deux ou trois choses, pour ceux qui le désirent, cela fera un peu de lecture pour ces prochains jours de congés et même un peu de musique, mais l’essentiel est PESSAH.
Une avancée du temps conséquente à Pessah ? Je ne le sais pas, mais je sais que je devais écrire ce commentaire, même si je n’en ai pas une folle envie, voir même que je le crains quelque peu ce commentaire.
Hag Pessah Sameah en avance frères et sœurs
Dan
Je rends grâce pour ton commentaire, Dan mon frère. C’est une huile de joie répandue sur ma tête, sur tout mon être. Que cette bera’khah/ »bénédiction » te soit rendue au centuple.
Comme tu le relèves, l’éclipse du 8 avril va nous faire entrer dans le compte des mois, selon Exode 12.2. Ce qui est intéressant, c’est que dans l’ancien calendrier solaire liturgique, cette éclipse marquera l’arrivée du dernier jour des Pains sans Levain, le 21 du premier mois. Je pense que ce mo’ed, cette rencontre d’un commencement et d’une fin, d’un Alpha et d’un Omega revêt une importance que nous ne pourrons véritablement saisir que dans les semaines, voire les mois qui viennent.
Détail à souligner, l’année du calendrier liturgique dans laquelle nous nous trouvons désormais a débuté avec l’équinoxe de printemps (la plupart du temps, dans ce système, les années commencent le mercredi précédant cet équinoxe). Personnellement, j’y vois un signe de la perfection, de l’accomplissement à attendre.
S’agissant de l’intercession, Florence et moi avons déjà eu à cœur de prier pour toi. Depuis notre arrivée en France, j’ai en effet pu me rendre compte que ce pays, malgré tous ses défauts, est une terre sur laquelle s’est développée une tradition séculaire de serviteurs et de servantes puissamment consacrés, de personnes à qui il est donné d’appréhender, de ressentir en profondeur les choses de l’Esprit. Nous pensons, sans flatterie aucune, que ton appel va dans ce sens, ce qui expliquerait les épreuves, embûches, persécutions que tu as peut-être rencontrées. Mais quel est l’homme, la femme de foi que l’ennemi ne cherche pas à arrêter, à abattre?
Nous nous réjouissons de lire tes prochains articles et commentaires et te souhaitons, ainsi qu’à tous nos frères et sœurs, une Pâque de Puissance et de Feu.
NOUS SOMMES RESSUSCITES AVEC CHRIST!
Nico