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H : LES IMPÔTS

 

Les impôts étaient de deux sortes : l’impôt dû à l’étranger et l’impôt pour le culte. Les impôts dus à l’étranger étaient aussi de deux sortes comme les nôtres, directs et indirects.

L’impôt direct était payé aux agents du fisc impérial et ne passait pas par les mains des publicains. Il y en avait aussi deux, l’impôt foncier et l’impôt personnel.

Les publicains (les collecteurs d’impôts) bénéficiaient de contrats publics, en regard desquels ils fournissaient l’armée romaine, géraient la collecte des taxes portuaires et supervisaient les projets de constructions publiques. Ils exerçaient également comme collecteurs d’impôts pour l’Empire, offrant leurs services au Sénat à Rome pour obtenir les contrats des divers types de taxes à percevoir.

Ils doivent faire l’avance des sommes à collecter et recouvrer leur fond et leur commission qui, selon les auteurs antiques, pouvaient être substantiels. Ils étaient organisés en collèges et constituaient, en raison du montant des sommes collectées, un ordre puissant.

 

Il y avait, bien entendu, une hiérarchie entre les publicains.

Nous pouvons donc distinguer le fermier général qui était chevalier romain et auquel était destiné la totalité des impôts de la province pour un certain nombre d’années (cinq d’ordinaire), au-dessous de lui les publicains majeurs, chefs des péagers, au nombre desquels était Zachée. Ils touchaient les impôts pour le peuple romain. Enfin, sous leurs ordres, venaient les publicains mineurs, les péagers proprement dits. Ils touchaient les impôts indirects, c’est-à-dire les redevances perçues sur les marchandises importées et en partie aussi sur les marchandises exportées, les péages sur les routes et les ponts.

L’impôt que l’étranger exigeait et dont l’établissement était récent, jouait un rôle important dans la vie du Juif. Il soulevait en lui un sentiment profond de révolte ; il entretenait sa haine, car il était la preuve palpable de sa servitude. « Devons-nous payer le tribut à César, oui ou non ? » Cette question, sans cesse posée, équivalait à celle-ci: devons-nous nous soulever? Pourquoi donc l’étranger, après s’être emparé de notre pays, nous demande-t-il de l’argent ? Payer, c’est reconnaître son droit ; c’est être infidèle à la cause de Dieu. Nous sommes le peuple élu, nous devons être libres.

Le secret de ces passions s’explique par l’impopularité de l’impôt. Un bon patriote ne le donnait qu’en protestant. L’un des reproches faits à Jésus-Christ était celui-ci : il va avec les publicains, il consent donc à payer le tribut. « Votre maître ne paie-t-il pas le tribut ? » demanda-t-on un jour à un des apôtres. Cette question est des plus naturelles, on supposait Jésus opposé à l’impôt. Il avait pour base le recensement de la population ; aussi ces dénombrements étaient-ils détestés, et quant aux « publicains », aux receveurs, ils formaient une classe de parias.

 

Dans les Évangiles, les publicains sont souvent nommés à côté des pécheurs et des païens. « Qu’il soit pour toi comme un publicain et un païen », dit un jour Jésus, et ailleurs nous lisons : « Les publicains et les pécheurs s’approchaient de lui ». Il faut entendre ici par pécheurs, non pas ceux dont la vie était immorale, mais simplement ceux qui n’acceptaient pas les règles pharisiennes et n’accomplissaient pas exactement tous les rites.

Ils étaient considérés comme païens ; ils vivaient à la païenne, ils étaient « pécheurs comme les païens ». Il est probable que les publicains n’avaient pas plus de droits que les païens et que le parvis des Gentils leur était seul accessible. On n’acceptait pas leur témoignage en justice.

 

Nous savons, du reste, que Zacchée était Juif. Ces publicains nationaux n’étaient pas toujours des exploiteurs et la tradition rabbinique parle de l’un d’entre eux qui avait laissé un souvenir bienfaisant. « Le père de R. Zeira fut loué parce qu’il avait été doux et honnête dans sa charge de publicain. Il exerça sa fonction pendant treize ans et, quand le fermier général arrivait dans une ville, il avait coutume de dire : allez dans vos chambres vous cacher, de peur qu’il ne vous voie et que, remarquant votre grand nombre, il n’augmente votre impôt annuel ».

Matthieu, aussi nommé Lévi, Hébreu, il exerçait à Capernaüm les fonctions de publicain. On peut croire par la grandeur du repas qu’il offrit à Jésus, et par le nombre des convives invités, qu’il était riche. Il était assis devant le bureau du péage quand le Sauveur le vit et l’appela ; comme André, comme Pierre, comme les fils de Zébédée, il suivit le Seigneur sans hésiter, et abandonna ses biens et l’emploi dont il était revêtu.

L’impôt religieux payé pour le culte et pour le service du Temple était de deux drachmes. Il était dû par tout Israélite qui avait atteint l’âge de l’initiation religieuse (10 à 12 ans) ; c’était le Sanhédrin qui avait décidé que les dépenses du sacrifice quotidien supportées par le trésor du Temple seraient couvertes par un impôt.

 

I : L’HOSPITALITÉ

 

Le Nouveau Testament parle d’hôtellerie dans la parabole du Bon Samaritain. Ces établissements étaient très rares et il n’y en avait que dans les endroits écartés. D’ordinaire, le voyageur logeait chez l’habitant et l’hospitalité, la première des vertus antiques, était largement pratiquée chez les Juifs. Nous nous représentons Jésus dans ses voyages reçu partout où il entre. Sur le seuil de la porte, il prononce le Schalôm ou Selâm, c’est-à-dire le souhait de bonheur; on l’entoure, on l’écoute, on lui donne de l’autorité même sans le connaître, car l’hôte prenait parfois plus d’autorité que le maître de la maison lui-même.

Cette habitation du village, où l’étranger est descendu, attire aussitôt l’attention; les enfants s’y rendent par curiosité ; l’usage de répandre un parfum sur les pieds de l’hôte pour lui faire honneur et de briser le vase est partout pratiqué ; les portes restent ouvertes, chacun peut entrer, assister au repas qui se prend d’ordinaire en plein air et écouter l’enseignement de celui qui reçoit l’hospitalité et que, pendant son séjour, on appellera le Maître.

 

J : LES VÊTEMENTS ET LES COIFFURES

 

Le Juif du premier siècle portait toujours la tunique et le manteau ou robe. La tunique était en lin et elle était ajustée au corps, descendait jusqu’aux pieds et avait des manches. On la portait tantôt sur le corps nu, tantôt sur une chemise de laine très ample et très longue. Le manteau ou la robe servait de pardessus. Ils sont composés de deux couvertures cousues de trois côtés, et forment ainsi une sorte de sac retourné avec un trou dans le fond pour la tête et deux trous de côté pour les bras. Les pauvres ne possédaient parfois qu’un demi-manteau, une demi-robe, c’est-à-dire une seule pièce d’étoffe carrée jetée sur l’épaule, mais c’était l’exception.

D’ordinaire le Juif avait à lui, non seulement un vêtement complet mais deux au moins pour pouvoir en changer souvent. Il fallait être bien misérable pour n’avoir qu’une seule tunique et cependant Jésus-Christ recommande à ses disciples de n’en avoir qu’une seule.

Les vêtements des femmes ressemblaient à ceux des hommes ; elles portaient aussi la tunique et la robe, mais beaucoup plus larges et plus amples. La Loi interdisait formellement aux hommes de mettre des vêtements de femmes et aux femmes des vêtements d’hommes. L’ampleur de son manteau permettait à la femme de porter dans ses plis différents fardeaux comme le grain, des herbes, des fruits…

 

Les femmes avaient en public la tête voilée, entièrement couverte. Mais ne croyons pas qu’on fit de cet usage une stricte obligation. La femme hébraïque jouissait de la liberté à cet égard. Lorsqu’une femme gardait son voile, il était interdit, sous peine d’une forte amende, de le lui ôter, mais elle était libre de l’enlever elle-même si elle le voulait. Nous savons de plus que les jeunes filles étaient moins souvent voilées que les femmes mariées. La femme juive portait aussi de nombreux bijoux.

Le fard était très employé par les femmes et servait à noircir les sourcils et les cils.

L’usage des parfums était très répandu.  On parfumait sa maison, ses vêtements, son corps, ses cheveux ; les femmes portaient habituellement sur elles des flacons d’essence. C’était la transpiration et les bains fréquents qui, en desséchant la peau, rendaient ces parfums nécessaires. Les bains étaient souvent pris dans des rivières ou dans les bassins intérieurs des maisons ? L’hygiène se rencontre aussi avec la foi religieuse et plusieurs des ordonnances de Moïse ne sont autre chose que des préceptes hygiéniques, ayant revêtu par la suite un caractère sacré.

Il nous reste à décrire les coiffures. Les Juifs soignaient beaucoup leurs cheveux. Les jeunes gens les portaient longs et frisés ; les cheveux touffus et abondants étaient très estimés. Les hommes de hauts rangs et les prêtres les raccourcissaient de temps en temps, mais fort peu.  La tête chauve était méprisée ; les enfants s’en moquaient. Les hommes portaient toute leur barbe et l’oignaient d’huile. Ils ne la taillaient jamais.  Les femmes aimaient avoir, les cheveux frisés ou bien les tressaient pour les retenir ensuite avec un peigne et des épingles. Cet usage ne semble pas avoir été général au premier siècle.

 

En public, les femmes comme les hommes portaient toujours et partout le turban. Il est dangereux, en toute saison, de s’exposer la tête nue aux rayons du soleil de Palestine. Le turban, coiffure épaisse faisant plusieurs fois le tour de la tête, était absolument nécessaire. La nécessité d’avoir toujours la tête couverte était telle, que peu à peu on considéra comme inconvenant de se la découvrir ; on priait la tête couverte et dans les synagogues les hommes ne se découvraient jamais.

Nous n’avons point parlé du luxe des vêtements d’hommes, car ce luxe n’existait pour ainsi dire pas. Ils aimaient seulement avoir un bâton et un anneau qui portait un cachet. Cet anneau se mettait à un doigt de la main droite et quelquefois on le suspendait à sa poitrine avec un cordon ou une chaîne. Le sceau ou cachet servait de signature. Les bâtons étaient de véritables cannes. Elles étaient indispensables premier siècle contre les chiens, nombreux dans les campagnes et toujours à demi-sauvages.

 

K : LA MÉDECINE

 

Tout, le monde s’occupait de médecine et personne n’en savait le premier mot. La médecine scientifique existait en Grèce depuis cinq cents ans, mais, elle n’en était pas sortie. L’ignorance des Juifs en médecine et leur impuissance à s’affranchir de cette ignorance venaient de ce qu’ils voyaient dans la maladie la punition de pêchés commis soit par le patient lui-même, soit par ses parents et qu’ils l’attribuaient presque toujours à l’influence d’un mauvais esprit. La seule guérison possible était alors l’expulsion du démon (ou des démons, quelquefois on en avait plusieurs), et toute la science médicale se réduisait à chercher le meilleur mode d’expulsion.

Ce n’était pas le plus instruit qui était le plus propre à cette œuvre de bienfaisance, mais le plus religieux. Plus on était pieux, plus on était apte à guérir les malades, c’est-à-dire à chasser les démons. Chacun exerçait alors la médecine pour lui-même et pour les siens comme il l’entendait. Les Rabbins avant tout, les scribes, les docteurs de la Loi, s’occupaient de chasser les démons et quelques-uns y passaient pour fort habiles. La médication n’était qu’un exorcisme.

 

On employait pour exorciser des procédés de toutes espèces. Le plus commun était l’incantation. Le Rabbin prononçait une formule magique. Parfois il versait un peu d’huile sur la tête du malade. « Que celui qui prononce l’incantation verse d’abord de l’huile sur la tête du malade, puis qu’il la prononce ».

Quand le malade n’était pas un possédé, les procédés en usage pour le guérir étaient plus sérieux. La lèpre, par exemple, n’a jamais passé pour une possession. Le malheureux qui en était atteint devait se soumettre à certaines règles très rigoureuses données déjà par Moïse. Il vivait parqué comme un pestiféré, et s’il sortait des limites qui lui étaient assignées, il était condamné à la bastonnade (quarante coups moins un).

Le Temple lui était interdit, mais non la synagogue. « Si un lépreux entre dans la synagogue on lui assigne une place élevée de dix palmes et large de quatre coudées. Il entre le premier et sort le dernier. » Se présentait-elle sous une forme contagieuse chez les Juifs de la Palestine ?  C’est possible, mais il y avait certainement beaucoup d’ignorance et de préjugés dans le dégoût et l’horreur qu’inspirait un lépreux.

Cette maladie de peau a souvent pour cause l’indigence, la mauvaise nourriture, la malpropreté. A l’époque, elle peut être guérissable ou non, contagieuse ou non. Elle peut aussi disparaître sans que le malade suive un traitement. Cette affection superficielle de la peau est fort peu douloureuse et qui n’empêche pas la santé générale d’être ordinairement bonne.

Le devoir d’un guéri était d’offrir trois sacrifices, le premier était dit d’expiation et le second de culpabilité ; le troisième était un, holocauste. Le pauvre offrait des oiseaux, le riche des agneaux. La cérémonie terminée, le malade guéri avait rempli tous ses devoirs religieux. On le voit, la religion était en relation étroite avec la médecine, même quand le malade n’était pas un possédé.

 

Cependant quelques docteurs essayaient d’employer de véritables remèdes. Les Esséniens, par exemple, connaissaient des plantes médicinales et avaient constaté leurs propriétés. C’est eux qui possédaient le texte du fameux livre de formules du roi Salomon. Peut-être renfermait-il de vraies recettes que l’on pouvait prendre au sérieux. Nous avons nommé l’huile ; on avait reconnu ses propriétés adoucissantes, calmantes, si appréciées aujourd’hui. On la mêlait souvent avec le vin et ce remède est maintenant encore très efficace dans certains cas. On « oignait d’huile le malade. » Il est probable toutefois que ces onctions avaient toujours quelque chose de magique.

La Bible, nous parle de collyres (médicaments sous formes de gouttes pour les yeux) : on aimait oindre les yeux de salive et de vin ; cette onction faisait du bien, mais il était interdit de la faire le jour du sabbat : « Ne pas mettre de salive ce jour-là sur les paupières ».

 

On voyait partout des miracles et l’on voulait tous les jours en voir. Les Pharisiens en réclament sans cesse du Christ, et l’apôtre Paul devait plus tard caractériser son peuple d’un seul mot : « Les Juifs demandent des miracles ».  Il n’y avait personne qui ne fût persuadé qu’il s’en faisait beaucoup ; et ces prodiges n’étaient pas seulement l’œuvre de Dieu, ils pouvaient être aussi celle des démons.

Une possession était, à sa manière, un miracle. Les mauvais esprits étaient dans l’air, à commencer par le chef de tous, « le prince de la puissance de l’air. ». Aussi les cas de folie, d’hystérie, d’hallucination, étaient-ils fréquents chez les Juifs du premier siècle. S’ils avaient tort d’appeler possession presque toute espèce de maladie, il était bien naturel qu’ils donnassent le nom de possédés ou démoniaques aux malades atteints de ces affections.

Les Rabbins s’occupaient donc de guérisons ; ils passaient tous pour en opérer et pour faire des miracles. « Il fallait que le vieillard, élu membre du Sanhédrin, fût savant dans les arts des astrologues, des prestidigitateurs, des devins et dans la connaissance des maléfices ».

 

On peut se demander jusqu’à quel point on distinguait un, fait naturel d’un fait surnaturel. Il est évident que tout paraissait surnaturel, puisque rien n’était expliqué scientifiquement. Les lois de la nature étant inconnues, le miracle était partout. La pluie, l’orage, le vent, étaient des faits surnaturels produit, par l’Esprit de la pluie, l’Esprit de l’orage, l’Esprit du vent.

Une femme, courbée, par l’âge ou la maladie, avait « un Esprit de faiblesse ».  On faisait des distinctions théologiques entre ces Esprits. Les maladies venaient des démons ; cependant, il y avait des malades purs et des malades impurs. Une femme, courbée par l’âge, n’avait pas une maladie impure. L’Esprit qui, entrant dans un homme, troublait son intelligence, le mettait hors de sens, était simplement, « mauvais ». Celui, au contraire, qui habitait les sépulcres et les endroits immondes, était « impur ».

Il y avait aussi des Esprits qui n’étaient ni anges, ni démons, mais simplement « des âmes qui ont été créées et dont les corps n’ont pas été créés », ou bien dont les corps sont morts et qui reparaissent sur la terre sous une forme visible, mais en étant impalpables. C’est ainsi que les apôtres crurent voir l’Esprit de Jésus après sa mort. « Ils croyaient voir un Esprit », dit le texte, c’est-à-dire ils ne croyaient pas qu’il fût ressuscité, et pensaient seulement voir son spectre, son âme immortelle, son « Esprit ».

 

Aucun peuple antique n’attachait plus d’importance qu’eux aux songes, Ils jeûnaient pour se procurer des rêves agréables. « Si tu vas te coucher joyeux, tu auras de bons rêves ».

Ainsi, foi aux nombres sacrés, amulettes, apparitions en songes, visions, spéculations insensées sur les Esprits, sur les revenants, magie, sorcellerie, nécromancie, rien ne manquait à la superstition juive du premier siècle. L’Israélite de cette époque bizarre et tourmentée vivait dans un monde imaginaire qu’il peuplait lui-même suivant sa fantaisie, et il croyait sans peine aux folies les plus ridicules ; il était persuadé d’avance de leur réalité ; au besoin, il les inventait de la meilleure foi du monde. Il est des moments, dans la vie des peuples et des individus, où le surnaturel le plus extravagant passe pour plus naturel et plus authentique que les faits les plus ordinaires. Le Judaïsme du premier siècle traversait un de ces moments-là.


MAV : Je rappelle ce que j’ai mis dans le préambule:

 J’ai trouvé ce livre essentiel, vital, pour beaucoup de chrétiens au final bien mal enseignés, à une heure où les événements se précipitent et où une meilleure connaissance de notre Grand Dieu est indispensable pour avoir les yeux tournés vers le ciel, et non vers la terre où il n’y a que ruine, désespoir, peur, terreur, et quand tout empire, presque chaque jour.

Comme l’a dit notre Dieu par son prophète Osée :

 » Osée 6:3 Oui, cherchons à connaître l’Eternel, efforçons-nous de le connaître. Sa venue est aussi certaine que celle de l’aurore, et il viendra vers nous comme la pluie, comme les ondées du printemps qui arrosent la terre. »

Cette connaissance grandit dans la lecture de la Bible. Merci à Dominique de nous transmettre le fruit de son formidable travail. Je publierai un chapitre par semaine, chaque samedi – si je peux ! – car il y a largement matière à méditation dans chacun d’eux. Mais vous pouvez aussi demander à Dominique la totalité du livre dès maintenant, si vous avez soif de vous plonger bien plus vite et loin dans cette lecture. Nous avons tous, toujours, besoin d’être enseignés dans la vérité.


LIVRE DE DOMINIQUE :

 Ce livre vous est proposé gratuitement, donc, si on vous en demande de l’argent, refusez.

Auteur : Dominique Verheye, dans l’écoute du Saint Esprit. verheyed@gmail.com