Source : Cette question est difficile, car il est certain que comme toujours, de nombreux effets secondaires ne sont pas déclarés ni par les médecins, ni par les familles ni par les patients.

Nous nous contenterons de résumer ici les effets reconnus par les institutions officielles américaines (Vaers pour les USA) et européennes (Eudravigilance de l’agence européenne du médicament).

POUR L’UE (ANGLETERRE EXCLUE) : LES EFFETS SECONDAIRES DONT DES DÉCÈS SONT NOMBREUX

Plus de 10 000 Européens tués par les vaccins Covid-19 selon les données officielles de l’UE[1]

La base de données européenne des rapports de réactions médicamenteuses présumées est EudraVigilance, qui suit également les rapports faisant état d’accidents et de décès à la suite des « vaccins » expérimentaux Covid-19.

Pour tous ceux qui sur Tweeter ou FB doutent des résultats de cette banque de données, nous publions ici la politique de l’EMA concernant les accidents médicamenteux. Seuls les bots, robots d’internet au service de Big Pharma pourront encore dire que ces infos sont fakes !

Voici ce qu’EudraVigilance déclare au sujet de leur base de données[2] :

« Ce site web a été lancé par l’Agence européenne des médicaments en 2012 pour donner au public accès aux rapports sur les effets secondaires présumés (également connus sous le nom de effets indésirables présumés). Ces rapports sont soumis électroniquement à EudraVigilance par les autorités nationales de réglementation des médicaments et par les sociétés pharmaceutiques qui détiennent des autorisations de mise sur le marché (licences) pour les médicaments.

EudraVigilance est un système conçu pour recueillir des rapports d’effets secondaires suspects. Ces rapports sont utilisés pour évaluer les avantages et les risques des médicaments lors de leur développement et pour surveiller leur innocuité après leur autorisation dans l’Espace économique européen (EEE). »

ÉTAT DES LIEUX AU 8 MAI 2021 sur les EFFETS SECONDAIRES DES VACCINS ANTICOVID EN UE

Leur rapport du 8 mai 2021 fait état de 10 570 décès et 405 259 complications à la suite d’une des quatre injections expérimentales de Covid-19. Chaque catégorie d’incidents est notée avec le nombre de personnes malades et le nombre de décès.

Réactions totales pour le vaccin expérimental à l’ARNm

PFIZER : Tozinameran (code BNT162b2,Comirnaty) de BioNTech/ Pfizer

5 368 décès et 170 528 incidents au 08/05/2021

MODERNA

Réactions totales pour le vaccin expérimental arNm d’ARNm-1273 (CX-024414) de Moderna  2 865 décès et 22 985 effets secondaires au 08/05/2021

 ASTRAZENECA

Réactions totales pour le vaccin expérimental AZD1222/VAXZEVRIA (CHADOX1 NCOV-19) d’Oxford/

AstraZeneca : 2 102 décès et 208 873 complications au 08/05/2021

JANSSEN

Réactions totales pour le vaccin expérimental COVID-19 JANSSEN (AD26. COV2. S) de Johnson & Johnson: 235 morts et 2873 complications au 08/05/2021

ON PEUT ÉTUDIER LA BASE DE DONNÉES PAR PATHOLOGIE  COMME SUR CE TABLEAU et voir l’augmentation rapide du nombre d’effets secondaires et de décès avec la mise à jour du 22 MAI

COMPARAISON PSEUDO-VACCINS ANTICOVID ET VACCIN H1N1

UN TABLEAU PUBLIÉ PAR L’EMA EN AVRIL 2021 permet de se faire une idée du nombre d’injections par type de substance génique et la comparaison avec le vaccin H1N1 et on constate que le nombre d’incidents signalés pour ces produits, dont les essais thérapeutiques ne sont pas terminés, est beaucoup plus élevé que pour le vaccin H1N1

EN FRANCE

Des chiffres sont disponibles sur l’ANSM, mais pas très rapidement dirons-nous.

Ils sont submergés par les témoignages de centres de vaccination qui demandent de ne pas remonter les incidents vaccinaux car débordés par les déclarations.  Par exemple :

Vaccins Covid-19 : environ 4 000 déclarations d’effets secondaires en Limousin  : un exemple

Publié le 24/05/2021[3] : « Trier, traiter, enquêter, enregistrer : un travail colossal pour l’activité du centre. » © stephane Lefèvre, selon l’article du Populaire :

« Depuis début 2021, c’est un afflux inédit pour le Centre régional de pharmacovigilance de Limoges qui recueille tous les signalements d’effets indésirables des médicaments. Parmi eux, un des 34 cas français de thrombose atypique liée à l’injection du vaccin AstraZeneca.

(…) Plus précisément 4 000 en quatre mois et demi (sur 283 000 personnes ayant reçu une ou deux doses de vaccin en Limousin) : un record pour cette structure qui recueille les déclarations des effets indésirables des médicaments et fait remonter ses observations à l’Agence nationale de sécurité du médicament, l’ANSM (*).  Plus de la moitié des déclarations en attente ».

« En temps normal, on en reçoit environ 1 200 par an, dont à peine dix notifications pour des vaccins “classiques” », compare le Pr Laroche, responsable du centre.

Sur les 4 000, le CRPV a pu en saisir 1 200 dans la base, en a traité 400 autres en attente d’enregistrement. Il lui reste plus de la moitié à gérer. « Mais on trie tous les jours les déclarations reçues, par priorité, afin de ne pas laisser passer des effets secondaires graves. Notre stock de retard concerne surtout les signalements pour des effets indésirables ordinaires. »

Des effets dits « graves » pour 25 % des déclarations, proportion semblable au niveau national.

(…)  Parmi les effets indésirables notables, le CRPV de Limoges a surtout enregistré un des 34 cas de thromboses de localisation atypique(cérébrale, intestinale) recensés en France, à la suite du vaccin AstraZeneca, et ayant entraîné 11 décès. Le cas limousin n’a pas été mortel ».

À côté de ce cas marquant, tachycardie, zona, hypertension artérielle, paralysie faciale, urticaire font partie des autres conséquences non répertoriées dans la notice des produits. Toute hospitalisation est aussi intégrée dans les 25 % d’effets graves.

« Notre travail consiste à déterminer si c’est le vaccin qui est à l’origine d’un problème de santé ou s’il y a d’autres explications possibles. »

« Quand le cas est plus compliqué, cela va d’une demi-journée à une journée, le temps de documenter le cas, de recontacter la personne pour qu’elle nous raconte son histoire, d’aller chercher des informations médicales pour un dossier clinique complet. Il faut que tout soit précis afin de justifier une éventuelle décision sanitaire. »

Un appel à des déclarations plus ciblées

Si Mme Laroche se réjouit de la participation massive, elle appelle à des déclarations plus ciblées sur les effets « graves, très gênants ou méconnus ». Une pertinence nécessaire pour garantir la réactivité de la surveillance vaccinale.

(*) Il existe 31 centres régionaux de pharmacovigilance en France : c’est ce réseau territorial qui alimente l’ANSM, l’agence du médicament française.

Les déclarations dans le détail

« Répartition géographique : 80 % des déclarations reçues par le CRPV de Limoges sont originaires de Haute-Vienne, 15 % de Corrèze et 5 % de Creuse.

Répartition par vaccin : 78 % des 1 600 déclarations traitées concernent le vaccin Pfizer, 18 % AstraZeneca et 4 % Moderna et Janssen.

Répartition par profil de déclarant : 74 % des remontées viennent de patients et 26 % de professionnels de santé.

Répartition par moyen de signalement : 25 % des déclarations reçues par le CRPV passent par le portail national mis en place par le ministère de la Santé. La majorité arrive par mail ou courrier avec l’envoi de la fiche de suivi et de déclaration d’événements indésirables éditée par le CRPV Limousin et remise à chaque patient vacciné. Une initiative locale qui a fortement incité à participer à la déclaration. »

D’autres centres régionaux font état de débordements du même genre comme celui de Toulouse.

Toulouse. Vaccins Covid : les déclarations d’effets indésirables explosent (lejournaltoulousain.fr)

ET LES INQUIÉTUDES SUR L’AVENIR DE LA FERTILITÉ DES JEUNES FEMMES

Sera à approfondir rapidement car les fausses couches se sont multipliées en Grande-Bretagne pendant la période d’accélération de la vaccination. Les troubles menstruels sont aussi signalés par de nombreuses femmes.[4]

Quant aux inquiétudes sur la fertilité, il importera d’y revenir.

AUX USA[5]

selon les rapports officiels des CDC et du fichier VAERS organisme officiel fédéral

Aux États-Unis, 268,4 millions de doses de vaccin Covid avaient été administrées au 14 mai. Cela comprend 115 millions de doses du vaccin Moderna, 144 millions de doses de Pfizer et 9 millions de doses du vaccin Covid Johnson & Johnson (J&J).

Le nombre d’effets indésirables signalés à la suite des vaccins Covid a dépassé les 200 000, selon les données publiées le 21 MAI par les Centers for Disease Control and Prevention (CDC). Les données proviennent directement des rapports soumis au Vaccine Adverse Event Reporting System (VAERS).

VAERS est le principal système financé par le gouvernement pour signaler les effets indésirables des vaccins dans les rapports américains soumis à VAERS nécessitent une enquête plus approfondie avant qu’une relation causale puisse être confirmée.

Entre le 14 décembre et le 14 mai 2021, le Vaers a dénombré 227,805 reports d’effets indésirables suivant les vaccins anticovid, dont  4,201 morts et  18,528 incidents cotés sérieux  (Megan Redshaw le 21 mai 2021[6]).

Les dernières données des CDC montrent que les rapports d’événements indésirables après les vaccins COVID sont de 943 chez les 12 à 17 ans.

Sur les 4 201 décès signalés au 14 mai, 23 % se sont produits dans les 48 heures suivant la vaccination, 16 % se sont produits dans les 24 heures et 38 % chez les personnes tombées malades dans les 48 heures suivant leur vaccination.

Les données VAERS montrent :

20 % des décès étaient liés à des troubles cardiaques,

54 % des personnes décédées étaient des hommes, 44 % étaient des femmes et les autres rapports de décès n’incluaient pas le sexe du défunt.

L’âge moyen du décès était de 74,7 ans et les décès les plus jeunes signalés comprennent deux jeunes de 15 ans (VAERS I.D. 1187918 et 1242573 ) et un jeune de 16 ans (VAERS I.D. 1225942).

D’autres décès chez des enfants de moins de 16 ans ont été signalés et n’ont pu être confirmés ou contenaient des erreurs évidentes.

Au 14 mai, 1 140 femmes enceintes avaient signalé des effets indésirables liés aux vaccins Covid, dont 351 cas de fausse couche ou de naissance prématurée.

Sur les 2 275 cas signalés de paralysie faciale de Bell, 51 % ont été signalés après les vaccinations Pfizer-BioNTech, 42 % après la vaccination avec le vaccin Moderna et 192 cas, soit 10 %, des cas de paralysie de Bell ont été signalés conjointement avec J&J.

Il y a eu 195 rapports du syndrome de Guillain-Barré avec 40 % de cas attribués à Pfizer, 38 % à Moderna et 26 % à J&J.

Il y avait 65 854 rapports d’anaphylaxie avec 38 % des cas attribués au vaccin de Pfizer, 51 % à Moderna et 11 % à J&J.

Il y a eu 3 758 rapports de troubles de la coagulation et d’autres affections connexes. De ce nombre, 1 468 rapports ont été attribués à Pfizer, 1 093 rapports à Moderna et 1 093 rapports à J&J.

Selon l’article du Childrenshealthdefense.org qui commente ces résultats :

« les vaccins COVID pourraient ne pas fonctionner pour des millions de personnes atteintes de maladies sous-jacentes. Certains experts remettent en question la recommandation des CDC selon laquelle les personnes immunodéprimées se font vacciner après que de nouvelles recherches 15 % à 80 % des personnes atteintes de troubles de santé sous-jacents et celles qui prennent des médicaments immunosuppresseurs montent peu d’anticorps, voire aucun, contre les vaccins COVID.

Pourtant, les lignes directrices actuelles des CDC indiquent que les personnes dont le système immunitaire est affaibli devraient être vaccinées contre le COVID même si « aucune donnée n’est disponible pour établir l’innocuité et l’efficacité du vaccin COVID dans ces groupes » car les personnes dont le système immunitaire est affaibli ou celles qui prennent des immunosuppresseurs pour une affection médicale ont été en grande partie exclues des essais cliniques sur les vaccins ».

« Dr Meryl Nass, un médecin de médecine interne, a déclaré qu’il est de la responsabilité des CDC de déterminer les risques et les avantages de chaque vaccin pour différents groupes de personnes. Pour les vaccins COVID, a dit Nass, les CDC n’ont pas publié cette information, ou dire au public quels groupes pourraient être à un risque plus élevé de subir une réaction indésirable qui l’emporte de loin sur tout avantage potentiel ».

RESPONSABILITÉ DE L’EMPLOYEUR QUI EXIGERAIT LE VACCIN AUX USA

Les employeurs pourraient être tenus responsables de « toute réaction indésirable » s’ils imposaient la vaccination anti-Covid.

« Si vous exigez que vos employés soient vaccinés comme condition d’emploi (c.-à-d. pour des raisons liées au travail), toute réaction indésirable au vaccin Covid-19 est liée au travail. L’effet indésirable est consigné s’il s’agit d’un nouveau cas en vertu du 29 CFR 1904.6 et répond à un ou plusieurs des critères généraux d’enregistrement en 29 CFR 1904.7.

« À l’inverse, l’OSHA[7] a déclaré qu’elle exercera un pouvoir discrétionnaire en matière d’application de la loi et qu’elle n’exigera pas que des effets indésirables soient consignés lorsqu’un employeur « recommande » seulement aux employés de recevoir le vaccin, tout en notant que pour que ce pouvoir discrétionnaire s’applique, le vaccin doit être véritablement volontaire. »

Pour déterminer si un vaccin est « volontaire », le site Web indique que « le choix d’un employé d’accepter ou de rejeter le vaccin ne peut avoir d’incidence sur [sa] cote de rendement ou son avancement professionnel » et qu’un « employé qui choisit de ne pas recevoir le vaccin ne peut subir de répercussions de ce choix ».

COMMENTAIRE DU CHILDRENSHEALTHDEFENSE SUR LE DRAME DU MUSICIEN ERIC CLAPTON

Eric Clapton blâme la propagande pour de graves réactions indésirables à AstraZeneca. Le 17 mai, The Defender a rapporté qu’Eric Clapton, 76 ans, a subi une grave réaction indésirable après avoir reçu le vaccin Covid d’AstraZeneca qui l’a laissé craindre qu’il ne rejoue plus  jamais.

« Inutile de dire que les réactions ont été désastreuses, mes mains et mes pieds étaient gelés, engourdis ou brûlants, et à peu près inutile pendant deux semaines. Je craignais de ne plus jamais jouer, a dit Clapton. « Mais la propagande a dit que le vaccin était sans danger pour tout le monde. »

Quelques jours après les critiques de Clapton sur la « propagande » vaccinale, le Wall Street Journal a rapporté que les fabricants de vaccins américains parrainent des campagnes publicitaires ciblant environ un tiers des Américains qui hésitent à se faire vacciner contre le Covid.

Pfizer, Moderna, Regeneron et d’autres sociétés pharmaceutiques parrainent des annonces à la télévision, à la radio et sur les médias sociaux louant les vaccins et les médicaments Covid dans le but d’augmenter les vaccinations. Contrairement aux annonces pour les médicaments où les noms de marque sont présentés, les annonces générales « get the vaccine » n’ont pas à suivre les lignes directrices légales, qui comprennent la liste des effets secondaires potentiels du médicament.[8]

74 jours et le comptage, CDC ignore les enquêtes du Défenseur

Selon le site Web des CDC :

« les CDC font le suivi de tout rapport de décès afin de demander des renseignements supplémentaires et d’en apprendre davantage sur ce qui s’est produit et de déterminer si le décès est le résultat du vaccin ou s’il n’est pas lié ».

« Le 8 mars, The Defender a communiqué avec les CDC pour lui poser une liste écrite de questions sur les décès et les accidents signalés liés aux vaccins COVID. Après des tentatives répétées, par téléphone et par courriel, d’obtenir une réponse à nos questions, un spécialiste des communications de santé du Groupe de travail sur les vaccins des CDC nous a contactés le 29 mars , soit trois semaines après notre enquête initiale.

La personne a reçu notre demande d’information de VAERS, mais a dit qu’elle n’avait jamais reçu notre liste de questions, même si les employés à qui nous avons parlé à plusieurs reprises ont déclaré que les attachés de presse de la CDC travaillaient à travers les questions et ont confirmé que le représentant les avait reçues. Nous avons fourni la liste des questions à nouveau avec une nouvelle date limite, mais nous n’avons jamais reçu de réponse.

Le Défenseur a également fait un suivi auprès du service des médias du CDC, qui nous a dit que l’unité d’intervention du COVID serait informée que le spécialiste des communications de santé n’avait jamais répondu. Aucune explication n’a été donnée quant à la raison pour laquelle nos demandes ont été ignorées. On nous a dit de rappeler, ce que nous avons fait à de nombreuses reprises.

Le 19 mai, un employé du CDC a déclaré que nos questions avaient été examinées et que notre enquête était en instance dans leur système, mais qu’elle ne nous fournirait pas de copie de la réponse. Cela fait 74 jours que nous avons envoyé notre premier e-mail pour nous renseigner sur les données et les rapports VAERS.

Children’s Health Defense demande à toute personne ayant subi une réaction indésirable, à n’importe quel vaccin, de déposer un rapport. »

En conclusion : il est bien difficile d’avoir des informations, mais des éléments connus sont déjà majeurs : par exemple le fait que le nombre de décès répertoriés en trois mois après vaccins Covid atteint déjà celui du recensé en 21 ans aux USA pour tous les autres vaccins.

Souvenons-nous aussi que le vaccin contre la grippe aviaire en 1976 fut retiré après 53 décès et le vaccin contre le H1N1 en 2009 après 57 décès. Manifestement le monde de la vigilance et de la sécurité a changé d’échelle.

En conclusion très provisoire

« Ils sont enseignants, médecins, juristes, artistes, gendarmes, scientifiques, psychologues, essayistes, journalistes et autre. Face à la situation actuelle, ils lancent un appel à chacun d’entre nous. Un appel à la résistance civile et au réveil des consciences :

Tout seul on va plus vite. Ensemble on va plus loin. Proverbe africain »

ET RAPPELONS QU’IL S’AGIT DE SUBSTANCES GÉNIQUES (en aucun cas des vaccins classiques) en essai thérapeutique.

 

Nicole Delépine