Monsieur le Président, Mesdames et Messieurs les Ministres et autres…

Je m’adresse à vous tous, qui détenez, indirectement, le sort de notre pays entre vos mains. Je le ferai sans aucun ménagement, tel que vous le faites pour traiter ce peuple, cette nation dont vous êtes, hélas, les dirigeants.

Monsieur le Président Macron, vous avez très bien appris les leçons de vos Maîtres Jésuites, ces cancrelats d’égouts, cette vermine putride qui infecte nos institutions et qui pourrissent notre société corrompue jusqu’aux os.

Vous avez sciemment, laissé mourir, ou devrais-je dire crever, près de 30000 personnes pendant cette (fausse) pandémie de Covid-19, brillamment orchestrée par des gens sans conscience et sans âme qui se prennent pour Dieu et prétendent tenir le monde entre leurs mains sales et souillées de sang.

La France est le seul pays à avoir refusé obstinément les traitements qui auraient évité cette hécatombe, ce qui démontre clairement vos intentions criminelles et liberticides, votre volonté délibérée de nuire à vos concitoyens que vous traitez comme des insectes nuisibles.

Ne croyez pas que les Français soient aussi stupides que vous le pensez. Non, une grande majorité de Français sait, à part ceux dont l’esprit à été lobotomisé par vos boniments et vos discours vides de sens, ce à quoi vous les destinez ; ils savent que, derrière cette belle image, cette façade que vous leur offrez, se cache une âme noire, ignoble, pleine de ruse et de fraude, dénuée de toute empathie et de toute compassion, pleine de mépris et d’arrogance à l’endroit des plus faibles ; ils savent, ces Français que vous haïssez, que l’avenir de notre pays est encore plus sombre que beaucoup ne l’imaginent, que vous et vos lieutenants soumis et serviles obéissez aux ordres de ceux qui vous dirigent afin de programmer la destruction de la démocratie, la destruction des familles, la destruction des chrétiens que vous abbhorez, la destruction de nos institutions séculaires, la destruction des entreprises et des commerces les plus fragiles.

Monsieur le Président,  et vous tous qui le suivez aveuglément, je viens par cette lettre ouverte, que bien sûr vous ne lirez pas, même si je m’autorise à vous la faire parvenir par la voie officielle, je viens dis-je, vous mettre sévèrement en garde ; oui, il y a dans les cieux, un Grand Dieu qui regarde toutes les actions des hommes, jusqu’aux plus secrètes et les plus inavouables, et qui juge ceux qui font le mal. Ce Dieu là, vous ne le connaissez pas, vous le méprisez, le considérez comme le dieu des faibles et des ignorants, vous le dédaignez, à l’image de vos ancêtres révolutionnaires, les Danton, les Robespierre, les St Just et autres despotes sanguinaires qui ont sali la France, l’ont enténébrée, eux qui se disaient « illuminés » ( !!!), l’ont livrée au désespoir, à la mort, à la chienlit et à la banqueroute, mais qui finalement, car il y a une justice, l’ont payé chèrement de leur propre sang.

C’est ce qui vous attend aussi, Monsieur le Président, prenez garde que le peuple ne se révolte pour de bon, non pas guidé par vos amis Soros, BG et autres personnages tout justes bons pour la déchetterie, mais conduits par eux-mêmes, par des hommes et des femmes responsables, déterminés à vous faire dégager au plus vite de votre trône de Satan, et à élire des gens capables et décidés à gouverner ce pays non pour des intérêts bassement et sordidement mercantiles, mais pour le bien de tous. Peut-être cela peut paraître très utopique, mais ce n’est pas vous qui êtes digne actuellement de représenter cette nation.

Depuis la mort du Général de Gaulle, jamais la France n’a été aussi mal gouvernée, et vous êtes bien celui qui met le sceau final à autant de décennies d’incompétence, de cruauté et de corruption. Lui au moins, malgré ses défauts et ses imperfections, avait tout de même une haute pensée de sa patrie et cherchait toujours à la défendre malgré tout ce qu’on a pu lui reprocher, ce qui n’est pas votre cas.

Une dernière chose : votre agenda n’est pas celui de Dieu !

Ce qui se passe, et ce qui se passera dans les mois et les années à venir, n’aura lieu que si Dieu Lui-même le permettra, selon l’accomplissement de Sa Parole.

En attendant, Monsieur le Président, laissez les Français tranquilles, arrêtez de les accacler avec vos lois iniques et stupides, vos ordres et contre ordres qui se suivent de jour en jour, et n’ont plus aucun sens.

Laissez vivre les Français, laissez-les travailler, laissez-les entreprendre et surtout laissez-les avoir envie de vivre.

Quel mal vous a-t-on fait ?

Voici quelques versets bibliques, que je mets exprès en latin, la langue préférée des Jésuites, dont vous avez été un des disciples émérites, avec une traduction en français courant.

« Quoniam qui malignantur, exterminabuntur, sustinentes autem Dominum, ipsi haereditabunt terram »

« Car les méchants seront exterminés, mais la terre sera donnée à ceux qui attendent le Seigneur avec patience » (Psaume 37 :9)

« Et adhuc pusillum et non erit peccator : et res locum ejus et non invenies »

«  Encore un peu de temps et le pécheur ne sera plus, et vous chercherez le lieu où il était, et vous ne pourrez le trouver. » (Psaume 37 : 10)

NON BENEDICAT TIBI !