Vision reçue par Didier, dans un temps de prière avec moi, le 20/11/20 au soir (hier). Il a été enregistré

Didier : Le Seigneur me donne cette vision. Je vois quelqu’un qui frappe sur un gong, maintenu par des chaînes maintenu par des chaînes, et suspendu pour que cela vibre bien. Il est fixé à l’intérieur d’un temple qui a l’aspect d’un temple romain.

 

Plein de gens sont là, plus ou moins éloignés du gong, et pour ne pas avoir le tympan crevé par l’intensité du son; ils se sont munis de casques anti-bruit. Au bout d’un moment, celui qui frappe le gong le fait de manière régulière, obsédante, seconde après seconde. Il déclenche de telles vibrations qu’au bout d’un moment le temple s’écroule sur lui.

 

Tous ceux qui ont été contraints de porter des casques anti-bruit pour ne pas avoir les tympans crevés par ce bruit cadencé, d’une intensité insupportable, quand le temple s’écroule, sont libérés du bruit. Ils enlèvent leur casque et viennent voir ce qui se passe, étonnés d’être libérés.


Michelle : cela me paraît très clair. Le gong fait penser à certaines religions orientales, donc quelque chose d’occulte, un appel à des esprits mauvais, le bruit profond du gong et ses vibrations créant un sentiment de crainte « des dieux ».  Sauf que cela se produit dans un temple romain, ce qui fait penser à l’Europe.

L’intensité vibratoire de ce gong, avec ce son répétitif à intervalles rapprochés et réguliers, a quelque chose d’incantatoire, mais aussi de dangereux : les gens font tout pour que ce bruit ne détruise pas leurs tympans, donc ne les rende pas sourds. Mais ils ne peuvent plus rien entendre d’autre, ils ne peuvent pas échapper à ce son lugubre.

 

Nous nous souvenons dans la « première vague » du Pr Salomon qui, tous les soirs, venait donner le nombre de morts, tandis que tournaient en boucle, partout, les recommandations sanitaires avec les gestes-barrière, les recommandations de distanciation sociale, le confinement…  Tous les médias ne parlaient que de cela : on ne pouvait entendre rien d’autre, comme si tout le reste de l’actualité avait disparu.

 

Un temps de légère accalmie durant l’été, et cela a recommencé avec une supposée deuxième vague.

 

Là, on ne parlait plus de morts, mais de cas ( par le biais de tests déclarés positifs), cas considérés sans la moindre preuve comme contagieux, donc dangereux.

 

Puis ce fut l’énoncé quotidien par tous les médias, car la grippe hivernale arrivait avec une recrudescence des maladies pulmonaires, des angines, des rhumes, des grippes « normales, mais tous déclarés systématiquement Covid, car cela permettait de toucher des primes conséquentes, et cela venait gonfler les chiffres officiels d’un soi-disant  retour du Covid, qui n’avait pourtant plus du tout la même létalité. On comptait le nombre, non plus des morts, mais des hospitalisations, toujours pour obliger le port du masque, un nouveau confinement, la fermeture des commerces et des activités sportives ou cultuelles, tous décrétés non essentiels, dans un climat de peur soigneusement entretenu.

 

On y est toujours. Les gens n’entendent parler que de cela, COVID, COVID, COVID …, comme le son lugubre d’un gong, son obsédant qui se propage jusque dans les îles lointaines. Ils doivent se boucher les oreilles, tant le vacarme médiatique, quotidien, est grand, surtout associé aux annonces gouvernementales qui tombent pour supprimer toujours plus de libertés, et garder les gens sous la peur, sous la panique, et sous la culpabilité, grâce à un cumul de mensonges soigneusement dosé.

 

Au point que ceux qui entendent cet unique « son de cloche » ne peuvent être que sidérés, paralysés, pétrifiés de peur. Et ceux qui voient leur avenir s’écrouler, injustement, mais sans rémission possible, d’être hantés par des idées de suicide et de plus en plus de passer à l’acte.

 

Dans la vision de Didier, le caractère répétitif de cette « vibration assourdissante », artificielle (c’est un homme qui frappe le gong, ce n’est pas naturel), n’est pas sans avoir de l’effet sur tout l’édifice bâti de mains d’hommes qui l’entoure. Il se fissure en secret, et soudain, tout s’écroule. Les gens peuvent ôter leur casque anti-bruit avec lequel ils se protégeaient tant bien que mal tout en devenant sourds à tout le reste (je dirai, à la vérité). Ils sont enfin LIBRES.

 

C’est une annonce extraordinaire. Celle de la libération de la dictature savamment orchestrée en utilisant de manière obsessionnelle, tonitruante, avec des chiffres faussés pour aggraver les effets d’une pandémie probablement programmée depuis des années, si on s’en réfère aux annonces faites par le passé par Bill Gates. Et de tordre encore plus les chiffres d’une deuxième vague, à l’évidence elle aussi programmée d’avance, avec la menace déjà annoncée d’une troisième vague, assortie d’un troisième confinement pour que tout le monde se précipite sur un vaccin dont la composition est fort douteuse. « De la science-fiction », déclare le Professeur Raoult, persécuté pour avoir osé guérir par milliers des malades.

 

Ha 1 :2 Jusques à quand, ô Éternel, appellerai-je à l’aide sans que tu entendes mon cri ? Jusques à quand devrai-je crier vers toi : « A la violence ! » sans que tu nous délivres ? 3 Pourquoi me fais-tu voir de telles injustices ? Peux-tu rester indifférent à nos tourments ? Je ne vois devant moi que ravage et violence, il y a des querelles, et des conflits surgissent. 4 A cause de cela, on ne respecte plus la loi, et le droit n’est pas garanti. Car les méchants empêchent les justes d’agir, les jugements qui sont rendus sont corrompus.

5 « Regardez, traîtres, et observez ! Vous serez stupéfaits, vous serez ébahis, car je vais accomplir en votre temps une oeuvre : vous ne le croiriez pas si on vous en parlait.