Note : Toute ressemblance avec des personnages actuels serait purement fortuite…

Il était une fois un dragon, puissant, fort… Quand il ouvrait sa bouche, tout le monde l’écoutait à la télé, dans l’attente de la moindre parole qu’il allait prononcer et qui pouvait bouleverser votre existence du jour au lendemain !

Il grondait, grognait, menaçait, parfois berçait, mais ce qu’il disait semblait si vrai – chiffres à l’appui – que la vache était comme subjuguée, sidérée, apeurée ou émerveillée, mais confiante parce que c’était évident que le dragon ne voulait que son bien. Donc elle le suivait docilement, sans même réaliser qu’on lui avait bandé les yeux pour qu’elle ne voit pas le ravin placé devant elle. En sus, sur le chemin, il y avait de la bonne herbe à manger, des ruisseaux où boire, elle pouvait même aller au resto ou au ciné quand elle le voulait. Il suffisait juste d’accepter une piqûre indolore tous les quatre à six mois, une fois, deux fois, trois fois… Mais puisque le dragon lui voulait du bien, tout allait bien.

Oui, tout était pour le mieux dans le meilleur des mondes comme l’avait prophétisé un certain Huxley, quelques décennies auparavant.

Oui mais voilà, il y avait le vilain bélier ! Le bélier criait à la vache : « Attention au ravin ! « , mais comme elle avait le museau enfoui dans l’herbe haute, cette herbe se collait sur sa bouche comme si c’était un masque et cela, bizarrement, la rendait sourde.

Ce n’était pas le seul souci du bélier. Car le dragon le poursuivait en le déclarant rebelle, récalcitrant, dangereux… J’en passe ! Pourtant le bélier était là pour veiller sur la vache et sur les moutons et sur lui-même, pour guetter les dangers et les éloigner avec ses cornes, pour humer l’air pour subodorer d’où le vent viendrait : tempêtes, ouragans, tornades, sans compter les incendies, les inondations… que sais-je ? Et puis surtout il avait compris que le « gentil dragon » n’était pas gentil du tout. Que c’était un méchant de chez méchant, et qu’il faisait tourner la vache en bourricot. Il avait aussi vu que de la bouche du dragon sortaient des esprits impurs semblables à des grenouilles (Ap 16:13). Bref, des trucs beurk…

En sus, le dragon lançait du feu pour que le bélier se transforme en vache. Une métamorphose improbable, mais en lui brûlant son salaire, ses comptes YT, FB, twitter, WK,… cela avait un impact certain … Régulièrement des morceaux du bélier, lassés de la guerre incessante que leur faisait le dragon, et séduits par ses mythos, partaient grossir la vache.

En sus, pour que cette vache reste bien docile, le dragon avait mitonné une propagande infernale pour faire croire que tous les maux de la terre venaient du bélier, qu’il avait étiqueté de …. iste (non pas « autiste », non pas « violoncelliste » bien qu’il soit parfois « virologiste », mais un truc comme « … plotiste », un mot que personne ne connaissait auparavant mais qui sonnait comme l’injure suprême ; un peu comme ceux qu’on appelait autrefois les lépreux, qui devaient mettre une clochette pour qu’on les entende de loin et qu’on s’enfuie parce qu’ils étaient CONTAGIEUX. Ou un peu comme les Juifs de tous temps, censés être des « rats » qui, eux aussi, pouvaient répandre des tas de maladies. À marginaliser puis à marquer d’un signe reconnaissable, progressivement, étape par étape, jusqu’au moment où, enfin, devenus dociles comme des agneaux, ils iraient sans broncher à l’abattoir.

Contagieux…

Voilà le grand mot lâché : CONTAGIEUX. Oh ! Ce bélier récalcitrant ne communiquait pas la lèpre, ni le coromachinchosecouronné, ni l’omicron – qui ne signifie pas o-macron-, ce dernier scotchant essentiellement les piqués récidivistes.

NON ! Cet horrible bélier répandait quelque chose de cent fois, mille fois, un million de fois pire : LA VÉRITÉ !

Aie ! Vraiment hyper dangereux ce bélier; tous les médias, d’ailleurs, le disaient : il fallait absolument le museler, le confiner, l’emprisonner et même, si possible, l’éliminer !

D’ailleurs la gentille vache, gavée de mythos, s’est mise à devenir une vraie peau de vache. Graphènisée, elle s’est robotisée, marchant au doigt et à l’oeil, et sous le contrôle et avec l’approbation du gentil dragon, elle s’est mise à mordre.

TROP, TROP, TROP !

C’est alors que le bélier a commencé à comprendre que, s’il voulait survivre et tenter de sauver au moins une partie de la vache, il lui fallait se transformer en lion. Puisque le dragon était un virtuose de l’intimidation, il lui fallait rugir plus fort pour intimider cette bestiole nocive, éventuellement en lui rappelant qui était le Roi de toutes les nations. Et ce après que toutes ses tentatives et actions, basées sur LA LOI et la Constitution, des actions loyalement menées, via, entre autres, des avocats-béliers, se heurtaient à des tribunaux dragonnisés, aux ordres d’une BÊTE qui changeait les lois à la vitesse du son. Sans compter que  le dragon, prince de la puissance de l’air, s’était emparé de toutes les ondes pour répandre quotidiennement sa propagande soporifique pour que la vache dorme sur ses deux oreilles quand elle n’avait personne à mordre, ou pour qu’elle folâtre dans son pré en direction du grand trou, grâce à son précieux sésame : le pass nazitaire.

La métamorphose du gentil bélier en lion rugissant – je parle de celui qui marche dans les empreintes du Lion de Juda, pas de son singe qui cherche toujours qui dévorer (1P 5:8) – est en cours. Il prend de la force. Il est même composé de tas de béliers qui ne suivent pas forcément le Lion de Juda, mais qui ont l’amour de la vérité, qui ne se laissent pas berner, et qui ont quelque chose que ni le dragon, ni la vache, n’auront jamais : LE COURAGE !

QUI VA GAGNER ?

Puisque Di Vizio a dit – ce qui est la stricte vérité – « C’EST LA GUERRE ! ».

 

QUI VA GAGNER ?

Moi, je le sais, car j’ai lu dans le Livre des livres:

 

Apoc 5:5 … « Ne pleure point; voici, le lion de la tribu de Juda, le rejeton de David, a vaincu… »

Jean 16: 33 « Vous aurez des tribulations dans le monde; mais prenez courage, j’ai vaincu le monde. »

 

Et surtout:

Ils l’ont vaincu  [le dragon] à cause du sang de l’Agneau et à cause de la parole de leur témoignage, et ils n’ont pas aimé leur vie jusqu’à craindre la mort.

Bien sûr, il y a une condition : que nous PARLIONS en n’ayant pas peur de tout perdre, même pas notre vie !

 

Contre ça, le dragon n’est qu’un moucheron …