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… Ce qui vient de se passer a montré, une fois de plus, ce que le Parti Démocrate est devenu : un parti gauchiste ignoble, prêt à tout pour prendre le pouvoir, le garder et éliminer ses adversaires, un parti cherchant à devenir parti unique en laissant un rôle d’opposant en carton-pâte à un Parti Républicain docile et couché, un parti désireux de régir par la terreur et l’écrasement ceux qui auraient des vues différentes des siennes.

Avoir présenté ceux qui sont entrés dans le Capitole comme ayant mené une insurrection armée n’est pas innocent de la part des Démocrates : d’une part, ce n’était pas une insurrection (personne n’a été agressé ou menacé, et il n’y a eu aucune tentative de renverser le pouvoir établi, et aucune destruction, sinon trois fenêtres brisées), d’autre part aucun de ceux qui sont entrés dans le Capitole n’était armé (un seul coup de feu a été tiré, par un policier, pour tuer une femme sans arme qui ne le menaçait pas). Avoir décrit tous les soutiens de Trump comme suspects de “terrorisme intérieur” montre chez les Démocrates des intentions de répression très large. Avoir décrit comme criminels tous ceux qui parlent de fraudes et appellent à se battre sur le terrain politique montre chez les Démocrates une volonté de couper les têtes qui dépassent…

 

 

Donald Trump a sous-estimé l’ampleur et la profondeur du marécage en 2016. Il n’a pas été le seul. Très loin de là. Il a eu l’immense mérite et l’admirable courage de vouloir agir pour que le marécage ne détruise pas le pays. Il a raisonné en entrepreneur, et c’est un très grand entrepreneur. Il ne s’attendait pas à autant de turpitudes : dans le monde de l’entreprise, trahir conduit à être licencié d’une entreprise, avec souvent peu de chance de retrouver du travail. Dans le monde du marécage, c’est l’inverse, plus on trahit, plus on gagne.

Ce qu’il a pu accomplir malgré tout est immense.

Tout en s’attendant à des fraudes, il ne s’attendait pas à ce qu’elles soient si vastes (un article récent paru dans le magazine Time décrit toutes les manœuvres menées pour éliminer Trump et désigne les Démocrates, des Républicains, les propriétaires des grands médias et des médias sociaux, les dirigeants de grandes entreprises, des milliers de militants placés dans les bureaux de vote et de dépouillement et l’article explique presque tout, y compris l’essentiel des fraudes, avec deux différences majeures : l’auteur de l’article n’utilise pas le mot “fraudes”, bien sûr, et elle dit qu’il s’agissait de “sauver la démocratie”…). Trump ne s’attendait pas non plus à de multiples ignominies auxquelles personne ne s’attendait, d’ailleurs (jamais autant de faits n’avaient été totalement occultés par les grands médias, jamais autant de juges n’avaient refusé de juger, et jamais la Cour Suprême n’avait renoncé totalement à jouer son rôle, Mike Pence, qui s’était bien conduit jusque-là, a attendu le 6 janvier pour rejoindre les rangs des traitres).

 

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