Hier soir, 5/5/24, vers une heure du matin, alors que je venais de me coucher, j’ai vécu quelque chose de très étrange. Un vent très violent s’est levé. Le bruit était inquiétant. Je savais qu’il pouvait être très destructeur, car j’avais un signe. Ma chienne s’était réfugiée dans ma chambre depuis un bon moment, ce qu’elle ne fait que lorsqu’un méchant orage arrive – elle a très peur de l’orage – ou que les éléments se déchaînent. Là, j’ai agi immédiatement, j’en parlerai plus loin.

 

Mais ma première réaction avait été celle que j’ai habituellement dans ces cas-là. Demander au Seigneur d’envoyer ses anges pour que ma toiture et mes arbres soient préservés. J’avais de bonnes raisons de faire cette prière. J’ai vécu plusieurs tempêtes avec des rafales de vent de 170 à 190 km/heure, et j’avais pu contempler les dégâts ensuite : tuiles ou toit arrachés, arbres déracinés, objets qui voltigent et se fracassent sur les obstacles, vitres des maisons qui explosent… C’est terrifiant. J’en avais déjà vécu une en Bretagne, face à l’océan, plein ouest. C’était avant de connaître le Seigneur, dans les années 70, et je l’avais subie, cette tempête, dans la peur, voire la terreur, car en regardant le baromètre – comme tous ceux qui font fréquemment de la navigation, on a toujours le nez sur le baromètre – je l’avais vu tomber à zéro. Des heures durant, les rafales avaient secoué la maison. Le lendemain, partout autour de chez moi, c’était un spectacle de désolation.

J’ai appris ensuite par la radio qu’effectivement, dans ma zone géographique, les rafales avaient dépassé les 180 km/heure. Au passage, et pour un sourire, j’avais alors un chat, qui avait commencé à miauler une heure avant que les éléments se déchaînent, et qui s’était réfugié sous mon lit.. Mais alors, je ne connaissais pas Jésus-Christ, je ne pouvais qu’avoir peur. J’avais appelé ma famille à l’aide, mais eux-même étaient dans leur maison à quinze km de la mienne, arc-boutés derrière la fenêtre qui donnait plein ouest, et qui vibrait dangereusement malgré les volés fermés. Ils la maintenaient à plusieurs, afin qu’elle n’explose pas. Chez moi, une fenêtre avait déjà explosé, et j’avais été préservée  de bouts de verres, comme des lames de rasoir, qui avaient traversé la pièce devant et derrière moi.

Mais oui ! Il y avait longtemps que Dieu me protégeait mais cela je ne le comprendrais que bien des années plus tard. En ce temps-là, les seuls dieux que je connaissais s’appelaient « la chance », ou « le hasard », ou « la baraka », ou « la mouise »… J’en passe ! C’était donc une nuit où j’avais eu la « baraka », car l’ouragan avait soufflé jusqu’au petit matin !

 

Presque trente ans plus tard en décembre 1999, j’habitais dans la région parisienne. Je connaissais mon Dieu, le vrai Dieu, le Seul véritable Dieu. Quand le vent a commencé à souffler et que j’ai vu le niveau du baromètre, j’ai su que quelque chose de très grave était en train d’arriver. J’ai appelé ma famille pour les avertir, mais ils m’ont ri au nez : ils étaient à 100 km au nord de Paris, et il n’y avait pas le moindre souffle dans les feuilles d’arbre. Ils ont bien moins ri le lendemain quand ils sont rentrés sur Paris, et qu’ils ont vu tout au long de leur chemin les arbres et les pylônes électriques arrachés, des maisons au toit envolé… Moi, je me suis mise à prier au téléphone avec une amie vivant à Paris, arc-boutée elle aussi pour maintenir sa fenêtre et pour qu’elle n’explose pas.

 

J’avais fait à ce moment une drôle de prière. Car j’avais un arbre qu’il fallait arracher dans mon micro jardin, je n’avais personne pour le faire, et moi, pas la force nécessaire. J’avais aussi un volet pourri qu’il me fallait changer, et cela traînait, par manque de sous. Pire, toute la palissade qui me séparait de ma voisine était déglinguée, il faillait en refaire une autre, nous n’étions elle et moi pas des bricoleuses, et cela pouvait nous coûter assez cher. Alors j’ai prié: « Seigneur, merci de préserver mon toit et ma maison, mais peux-Tu dire au vent d’arracher mon arbre, mon volet pourri, et la palissade déglinguée. »

On a prié un bon bout de temps, jusqu’à ce que fatiguée, j’aille me coucher, tandis que la tempête soufflait toujours avec une violence vraiment effrayante. Mais je pouvais dormir, je n’avais pas peur. C’est le lendemain que les médias ont progressivement fait état des ravages épouvantables qu’une partie de la France avait subis, d’ouest en est. J’ai alors fait le constat chez moi que le vent avait arraché mon arbre trop encombrant, mon volet pourri, et la palissade déglinguée. Pas une tuile n’était partie de mon toit, contrairement à TOUTES les maisons qui m’entouraient. En sus, un voisin est venu me dire qu’en pleine tempête, vers 5h du matin, il avait fait le tour du voisinage pour voir si quelqu’un avait besoin d’aide ou était blessé, et qu’il avait vu que la porte de mon garage, sous les rafales, s’était ouverte. Il l’avait refermée pour que tout ce qui était à l’intérieur, dont mes livres, ne soient pas aspiré par le vent.

 

Pour la petite histoire – mais chut ! – m’a société d’assurances m’a remboursée au prix du neuf (j’avais la clause adéquate) : ma palissade, mon volet, et même quelque chose pour mon arbre arraché. Et j’ai pu faire toutes les réparations nécessaires, sans un sou à débourser. Chut !

Onze ans plus tard, en 2010, alors que j’habitais la Normandie, je suis réveillée à deux heures du matin par une sensation étrange mais que je reconnaissais bien : la chute de la pression atmosphérique, le « calme avant la tempête ». Je me suis levée, j’ai immédiatement regardé mon baromètre, il était tombé à zéro. Et là, J’AI SU que quelque chose de très grave se préparait. Poussée par le Saint-Esprit, je me suis mise à intercéder en langue pour que cette tempête qui arrivait épargne ma région et ma propriété. Je sentais l’autorité de Dieu sur moi, je me souvenais que Jésus avait ordonné à une tempête de se calmer, et elle s’était calmée. Un énorme tempête, puisque les marins pêcheurs qui étaient à bord, des pros des tempêtes, étaient aussi terrorisés que les disciples « terriens ». J’ai intercédé avec une autorité qui, je le savais, ne venait pas de moi mais d’en Haut. Le lendemain matin j’ai appris que la tempête Xynthia avait ravagé la Vendée. Elle avait épargné la Normandie. Mais il n’y avait eu personne en Vendée, apparemment, pour intercéder avec foi : 53 morts…

 

En mars 2017, j’apprends aux infos qu’il va y avoir une tempête très forte, qui va déferler sur le nord de la France, et qu’elle durera toute la nuit. Vers 23 heures, j’entends les premières rafales. Je n’avais qu’une envie: aller me calfeutrer dans ma chambre en priant pour que les dégâts ne m’atteignent pas – ma chienne s’y était déjà réfugiée, et là, elle était encore assez jeune pour pouvoir sauter sur le lit et se mettre quasi sous la couette. -.  Ça soufflait vraiment très fort et les rafales mugissaient. J’ai soudain été prise d’une sainte colère, je me suis levée, je suis sortie dans le vent, et j’ai ORDONNÉ à la tempête de se calmer, au nom de Jésus. Elle s’est arrêté quasi instantanément. Mais une minute après il y a eu une nouvelle rafale violente. J’étais encore plus en colère, et j’ai répété à la tempête qu’elle avait à se calmer au nom de Jésus. Le lendemain, j’ai appris au infos que la tempête prévue s’était, pour une raison inconnue, arrêtée vers 23 h.

 

Vous savez quoi ? Tous ces épisodes, avec d’autres que je n’ai pas le temps de raconter, ont fait croître ma foi, chaque fois, d’une montagne de degrés !!!

 

ALORS, HIER SOIR ?

 

Il faut dire, que deux jours plus tôt, un orage avait frappé ma région. Par les fenêtres, je voyais les éclairs déchirer le ciel. Je comptais chaque fois le temps, entre l’éclair et le bruit, par habitude, pour savoir à quelle distance la foudre tombait. Ça tombait partout autour, non loin. 10 km, 3 km, 1 km, en tout cas, selon mon comptage. Et bien sûr, j’avais prié pour que la foudre ne me tombe pas dessus ! Elle ne m’était pas tombé dessus. Le dieu « Hasard » ? Ou « Baraka » ?

Il est bien écrit que pas un passereau ne tombe sans que le Père l’ait voulu. Alors, la foudre…

Hier soir, donc, j’entends un vent tempétueux se lever. J’étais couchée, je ne me suis même pas levée. J’ai ordonné au vent de s’arrêter, et à l’instant il s’est arrêté. Une minute plus tard, nouvelle rafale violente. En colère, j’ordonne au vent de se calmer au nom de Jésus… et j’ai pu m’endormir tranquillement.

Même pas la peine, normalement, d’en parler à mon entourage : l’incrédulité ronge l’Église de France, qui ne connaît pas, au final, qui est Jésus-Christ, Roi des rois, Seigneur des Seigneurs, Créateur de l’univers (Jean 1), Tout-Puissant (Apoc 1:8)…  Si peu marchent vraiment par la foi et pratiquent, poussés par le Saint-Esprit, ce que Jésus a déclaré:

En vérité, en vérité, je vous le dis, celui qui croit en moi fera aussi les oeuvres que je fais, et il en fera de plus grandes, parce que je m’en vais au Père;

Ceux-là agissent, puis se taisent, car ils savent qu’ils vont se heurter à l’incrédulité ambiante, et donc faire pécher ceux qui écoutent sans croire, puisqu’il est écrit

 

Mais pour les lâches, LES INCRÉDULES, les abominables, les meurtriers, les impudiques, les enchanteurs, les idolâtres, et tous les menteurs, leur part sera dans l’étang ardent de feu et de soufre, ce qui est la seconde mort.

Mais là, je ne peux plus me taire. CE MATIN, J’AI ENTENDU CLAIREMENT LE SEIGNEUR ME DIRE : «  LA TEMPÊTE ARRIVE SUR LA FRANCE. IL EST TEMPS QUE MON PEUPLE SE RÉVEILLE ! »

OUI, JE LE SAIS, LES INCRÉDULES, LES TIÈDES, NE VONT PAS POUVOIR TENIR. ILS SERONT EMPORTÉS. QUI VA SE LEVER POUR ORDONNER À LA TEMPÊTE DE SE CALMER ?

La foi, cela se construit sur la Parole de Dieu (Rms 5:5) et sur sa mise en pratique :

Mettez en pratique la parole, et ne vous bornez pas à l’écouter, en vous trompant vous-mêmes par de faux raisonnements.

Et bien sûr, pour pouvoir exercer l’autorité qui vient d’en Haut, cela commence par notre repentance pour le péché ÉNORME du pays. Quel péché ? Ils sont si nombreux, si énormes, qu’on ne peut énumérer ces abominations. On peut citer, entre autres, l’antisémitisme galopant, l’IVG institutionnalisé et constitutionnalisé dans la satisfaction générale des Français et leurs applaudissements, la pédocriminalité galopante et que l’on préfère ne pas connaître…

Et l’Eternel dit : Le cri contre Sodome et Gomorrhe s’est accru, et leur péché est énorme.
On connaît la conséquence. La France a de loin dépassé le péché énorme de Sodome et Gomorrhe. Notre Dieu est juste, Il ne change pas et Ses jugements sont parfaits, ils sont saints…
Ce qui est a déjà été, et ce qui sera a déjà été, et Dieu ramène ce qui est passé.
Ce matin un ami m’a envoyé une vidéo qu’il venait de faire cette nuit-même. Certainement pas par hasard, nous avons le même Esprit. C’est un temps de chant et de supplications sur 2Ch 7:14:
14si mon peuple sur qui est invoqué mon nom s’humilie, prie, et cherche ma face, et s’il se détourne de ses mauvaises voies,-je l’exaucerai des cieux, je lui pardonnerai son péché, et je guérirai son pays. 15Mes yeux seront ouverts désormais, et mes oreilles seront attentives à la prière faite en ce lieu.
Oui Dieu entend ! Alors, écoutez:

 

 RÉVEILLE-TOI…