Le rapport que vous êtes sur le point de lire se fonde sur les révélations reçues entre le 20 août et le 2 septembre 2023 par une très chère amie et sœur en Christ qui nous demande à pouvoir garder l’anonymat. Nous la désignerons donc ci-après par un nom qui lui va bien, Sentinelle.

Véritable sniper de l’Esprit saint –ce qu’elle vise dans la prière, elle l’atteint–, au bénéfice d’un don d’écoute qui rend humble, cette femme de foi nous a fait part de sa perception pour l’année qui vient de débuter dans le calendrier israélite, 5784 AM.

 Dans le cadre de notre collaboration, nous avons décidé de porter les différents éléments en question à la connaissance de l’Ekklesia, afin que celle-ci puisse les mettre à l’examen et se déterminer à leur sujet pour retenir ce qui est bon, conformément à 1 Thessaloniciens 5.21.

Avertissement: Il y a beaucoup de chiffres dans les lignes qui suivent… Soyez assurés qu’ils sont uniquement là pour asseoir, à la lumière des Ecritures, la démonstration des merveilles que le Saint Esprit a bien voulu dévoiler à notre sœur. Si, donc, les études mathématiques ne sont pas votre tasse de thé, ne vous inquiétez pas. Oubliez les calculs qui pourraient s’avérer assommants et entrez de plain-pied dans le message mis ici à votre portée. D’une façon ou d’une autre, vous en serez bénis. C’est en tout cas notre prière et le but de cet exposé.

  1. Révélations donnée à Sentinelle, août/septembre 2023

 

 

1° Une épée noire est montrée dans le ciel: S’agit-il d’une nuée d’insectes, d’un nuage?

 

Note: Cf. Apocalypse 19.11ss, à relire sur l’arrière-plan d’une vision céleste donnée à Sentinelle en 2020 déjà : l’armée du Seigneur partant parcourir la terre à cheval.

 

2° Toujours dans le ciel une vague, un rouleau formé par les nuages.

 

Note: Voir l’hébreu shevarim/ »flots, brisants », valeur numérique 552, comme kol basar/ »toute chair », dans le récit du déluge.

 

Remarquer que dans la chronologie hébraïque, le déluge a eu lieu en 1656 AM, ce nombre étant égal à 552 multiplié par 3. Cela nous amène à la triple description de Genèse 7.21, 22, 23, dont on peut déduire trois événements distincts:

 

  • 1 x 552, 1ère description, v. 21 = Epoque de Noé, « toute chair »
  • 1 x 552, 2ème description, v. 22 = Notre époque, « flots, brisants »
  • 1 x 552, 3ème description, v. 23 = Fin du monde, « toute chair »

 

3° Sentinelle reçoit trois fois le mot tsunami (« vague de port » en japonais, cf. image du bateau ci-dessous), associé à Pâque 2024 dans le calendrier israélite, soit Pesa’h 5784 AM. Ce terme de tsunami est accompagné par de fortes réactions intérieures (tremblement, douleur ressentie profondément, etc.).

 

4° Depuis plusieurs semaines, Sentinelle a en tête le nom « Egypte« .

 

Note: Voir l’hébreu Mitsraïm, valeur numérique 380, comme shomem, shamem/ »dévastateur » ou « ce qui est désolé, détruit », dernier mot de Daniel 9.27.

 

L’Egypte évoque naturellement l’Exode, dont nous reparlerons, et la fête de la Pâque/Pesa’h, que nous venons de mentionner sous chiffre 3°.

 

5° Image d’un bateau amarré au port (rappel: tsunami signifie « vague de port »), tenu par des chaînes de fer. La tempête arrive. Les chaînes se brisent les unes après les autres. Le bateau prend le large dans le calme, dans la paix –image positive.

Note: Pour « tempête », se référer à Esaïe 21.1, qui utilise l’hébreu suphot/littéralement « tourbillons », valeur numérique 552, comme ci-dessus, point 2°.

 

  1. Commentaire

En préambule, rappelons quatre articles mettant la période que nous traversons en lien avec les textes suivants des Ecritures:

 

Signes de l’abîme

Sur cette base prophétique, et vu la nature cataclysmique des révélations confiées à Sentinelle, nous suggérons de les étudier en mettant à profit les signes incontestables qu’ont été les deux secousses sismiques les plus puissantes jamais enregistrées.

La première de celles-ci, le tremblement de terre de Valdivia, au Chili, de magnitude de 9,4 à 9,6, s’est produite le 22 mai 1960, date correspondant au 25 iyar 5720 AM, anniversaire de l’Ascension de Jésus dans le calendrier hébraïque.

Le deuxième de ces séismes est le tremblement de terre du Vendredi Saint, qui, avec une magnitude de 9,1 à 9,3, a touché l’Alaska le 27 mars 1964. Cette année-là, la commémoration de la crucifixion du Roi des rois coïncidait, convergence qui n’a certainement rien de fortuit, avec le 14 nisan 5724 AM, jour de la préparation de la Pâque israélite (cf. Jean 19.14).

Ces deux échéances, préparation et Ascension, attirent donc notre attention sur la fête des Pains sans levain, qu’elles encadrent et qui débute précisément par le repas de la Pâque, point central dans ce qui a été indiqué à Sentinelle.

Cette réflexion est confirmée par l’éclipse solaire totale qui sera visible de l’Amérique du Nord/centrale le 8 avril 2024 en fin de journée (en temps universel), soit le 1er nisan 5784, au moment même où débutera, selon Exode 12.2, la nouvelle année religieuse dans laquelle s’inscrit la succession des fêtes instituées par le Tanakh, sans oublier celle d’Hanukkah.

Exode 12.2: Ce mois-ci sera pour vous le premier des mois; il sera pour vous le premier des mois de l’année.

 

Esaïe 29.1: … Ajoutez année à année, laissez les fêtes accomplir leur cycle.

 

Note: L’éclipse du 8 avril 2024 traversera les Etats-Unis du sud au nord-est et coupera le trajet de celle, totale également, qui a été observée de cette même nation le 21 août 2017, achevant de tracer dans le ciel de cette dernière un immense X ou Tav, lettre de l’Aleph-Beth représentant à l’origine… une croix, ou le signe du Fils de l’homme (cf. Matthieu 24.30).

 

Relevons en outre que les chemins de ces deux éclipses se croiseront au-dessus du sud de l’Illinois, région appelée « Petite Egypte » (Little Egypt), plus précisément au-dessus du village de Makanda surnommé au début du 20ème siècle « l’Etoile de l’Egypte » (Star of Egypt). Nous rejoignons donc ici le point 4° des révélations données à Sentinelle.

 

Signalons encore que les éclipses solaires, événements astronomiques divinement ordonnés, sont souvent séparées par 177 jours. Ce sera d’ailleurs le cas entre celle du 8 avril 2024 et celle qui la précèdera, le 14 octobre 2023.

 

On peut ainsi voir dans ce nombre, 177, une évocation de ce type de phénomène. Cette remarque est intéressante dans la mesure où nous retrouvons cette valeur dans Daniel 9.26 avec les mots ‘am nagid/ »le peuple d’un chef ». Si, dès lors, nous remplaçons ceux-ci par « une éclipse », nous obtenons pour la suite du texte (en conservant la construction de l’original hébreu): Une éclipse qui viendra… et sa fin dans l’inondation/le flot…

 

Même si les USA semblent concernés au premier chef, il est difficile d’appréhender avec exactitude toute la portée de l’expression « sa fin ». Nous voyons néanmoins resurgir les révélations données à Sentinelle, et plus spécifiquement la vague et le tsunami/raz-de-marée des points 2° et 3°.

 

S’agissant des éclipses du 14 octobre 2023 et 8 avril 2024, il n’est pas inutile de savoir que leurs chemins se couperont dans le ciel du Texas, au-dessus d’un jardin de prière consacré à Jésus, « le Roi qui vient » (The Coming King Sculpture Prayer Garden, Kerrville, Texas). Dans la mesure où une statue de notre Bien-Aimé sur le cheval d’Apocalypse 19.11ss figure en bonne place dans ce lieu de recueillement, une conjonction telle que celle-ci à cet endroit précis semble lourde de sens, en particulier sous l’angle de la vision céleste de 2020, mentionnée au point 1° des révélations exposées au début de cet article.

Cela étant dit, revenons à nos deux mégaséismes et examinons-les indépendamment l’un de l’autre.

1° Tremblement de terre de Valdivia

 

Pour être complets, prenons en considération la date-pivot du 26 décembre 2019 / 28 kislev 5780, également marquée par une éclipse, dont il est question dans les articles cités plus haut. Elle va nous permettre de faire les observations suivantes:

 

  1. Ce 26 décembre se situait au cœur de la fête d’Hanukkah 5780, dans laquelle nous pouvons voir un sabbat chronologique, c’est-à-dire un intervalle pendant lequel le cours du temps serait en quelque sorte suspendu.

 

Du tremblement de terre de Valdivia, le 22 mai 1960, au début de cette fête d’Hanukkah, le 22 décembre 2019 au soir, ce sont 21763 jours qui se sont écoulés, soit 3109 semaines (21767 : 7). Ce dernier nombre renvoie à la valeur numérique d’Esther 3.10, où l’on voit le roi remettre son anneau à Haman, ennemi mortel du peuple saint.

 

Esther 3.10: Le roi ôta son anneau de la main, et le remit à Haman, fils d’Hammedatha, l’Agaguite, ennemi des Juifs.

 

Chose absolument stupéfiante, les mots utilisés pour parler de cette bague, ‘et’ thaba’eto/ »Aleph-Tav/Alpha-Omega son anneau » partagent leur valeur numérique, 888, avec le grec Iêsous/ »Jésus »! En fait, c’est comme si le Corps du Sauveur était, ici-bas, livré pieds et poings liés à l’humanité non régénérée qui, lui vouant une détestation farouche, est persuadée que la victoire lui est acquise…

Ajoutons que cette célébration d’Hanukkah s’est achevée le 2 thevet 5780 / 30 décembre 2019. Il y a, de cette dernière date comprise au 14 nisan 5784 / 22 avril 2024, préparation de la Pâque, 1576 jours, ce nombre correspondant à la valeur numérique des mots 4 à 10 de Daniel 9.24 (…sur ton peuple et sur ta ville sainte, pour arrêter/empêcher le péché/la transgression…).

Remarquer que ces mots se trouvent après la déclaration Soixante-dix semaines ont été fixées, ce qui confirmerait que ce délai, si diversement commenté par les analystes, se soit écoulé dans l’intervalle.

  1. De plus, sans sabbat chronologique, cette fois, il y a 21767 jours du 22 mai 1960 au 26 décembre 2019. Si nous déduisons ce nombre de la valeur numérique de Nahum 3.1-8, 22813, nous obtenons une différence de 1046, soit la valeur de la phrase « Tu les briseras comme le vase d’un potier » au Psaume 2.9 –nous y reviendrons– ou du grec thlipsis megalê/ »grande tribulation » en Apocalypse 2.22 (remarquer l’absence d’article: ce n’est pas LA grande tribulation).

Au sujet du livre de Nahum et du parallèle à établir entre Ninive et les USA, nous renvoyons à l’article « Ninive-Washington, malheur à la ville sanguinaire! »

  1. Enfin, le 26 décembre 2019 ou 26.12.19 nous impose de nous pencher sur Job 26.12, référence qui reprend les chiffres présents dans cette date, le 26 et le 12, évidemment, mais aussi le 19, qui se trouve être la valeur numérique du nom propre… ‘Iov/ »Job »!

Ce verset est composé de 6 mots, dans lesquels nous pouvons voir une allusion aux 6 millénaires, désormais révolus, qui se sont écoulés depuis la chute. Il compte 24 lettres qui semblent bien évoquer l’année 2024 et, chose à peine croyable, a une valeur numérique de 1581, qui correspond au nombre de jours du 26 décembre 2019 compris au 23 avril 2024 / 15 nisan 5784, premier jour de la fête des Pains sans levain. Faut-il en dire plus?

 

Premier constat à tirer de ces observations, le conflit existentiel en cours entre le peuple du Très-Haut, auquel Daniel 9.24 promet la fin du péché (…arrêter/empêcher le péché/la transgression…) et l’humanité non régénérée, symbolisée par Haman, s’entêtant dans l’apostasie, conflit conduisant au châtiment annoncé par le Psaume 2 dont nous allons maintenant parler.

 

2° Tremblement de terre du Vendredi Saint

 

  1. Du 27 mars 1964 au 26 décembre 2019 / 28 kislev 5780, ce sont 20362 jours qui se sont écoulés. Comparé à la valeur numérique totale du Psaume 2, 22004, ce nombre permet de dégager un solde, très éloquent, de 1642 (22004 – 20362). Il s’agit en effet du total de

 

– Psaume 2.2: …contre l’Eternel et contre Son Oint…                 Valeur   596

(ou, au verset 7, Je t’ai engendré aujourd’hui, même valeur)

 

– Psaume 2.9: … Tu les briseras comme le vase d’un potier.         Valeur 1046

 

TOTAL         1642

 

En d’autres termes, le programme pour ceux qui haïssent le Dieu Très-Haut et Son Christ semble assez clair!

 

 

  1. Du 14 nisan 5724 / 27 mars 1964 compris au 14 nisan 5784 / 22 avril 2024, préparation de la Pâque, il y a 21942 jours, durée qui, comparée à la valeur numérique de Daniel 9.25-27, 21158, laisse apparaître un solde de 784 (21942 – 21158), abréviation, en hébreu, de 5784 AM!

 

De plus, 784 est la valeur numérique des mots 16 à 19 de Daniel 9.26 (dans le flot/l’inondation et jusqu’à la fin de la guerre…), alors que 5784 est celle d’Ezéchiel 9.3:

 

Ezéchiel 9.3: La gloire du Dieu d’Israël s’éleva du chérubin sur lequel elle était, et se dirigea vers le seuil de la maison; et il appela l’homme vêtu de lin, et portant une écritoire à la ceinture.

 

Nous devons nous arrêter au contexte de jugement de ce chapitre d’Ezéchiel, car, au verset 2, les mots 11 à 13, chacun son instrument de destruction, ont une valeur de 593 qui est précisément celle des mots 15 à 16 de Daniel 9.26 (… et sa fin dans le flot/l’inondation…). Il n’y a pas de hasard!

 

Relevons à cet égard que 593 se retrouve en Exode 12.23, mots 16 et 17, par-dessus la porte, ce qui nous ramène d’une part à l’institution de la Pâque, d’autre part à l’Egypte, sur laquelle la 10ème plaie allait s’abattre.

 

L’importance apocalyptique de la saison dans laquelle nous avançons aujourd’hui est désormais du domaine de l’évidence.

 

3° Synthèse d’Esther 3.10, du Psaume 2 et de Daniel 9

 

Pour effectuer cette synthèse, considérons que les 92 mots/années du Psaume 2 (voir « Où en est l’Eglise, Seigneur? –Mesure le temple!« ) s’achèvent avec le verset 12, dont la valeur s’élève à 2763. Si nous ajoutons cette dernière à celle d’Esther 3.10 dont il a été question plus haut, et qui marque l’entrée dans cette période de 92 ans, nous obtenons:

 

– Esther 3.10   :                                                         Valeur 3109

 

+ Psaume 2.12:                                                         Valeur 2763

 

TOTAL = Valeur de Daniel 9.27  5872

 

 

Fait surprenant, ce résultat nous permet de retrouver l’année, 5872 AM / 2111-2112 AD où deux des articles dont nous avons donné les liens ci-dessus situent la fin des temps de Purim, de défis dont l’Eglise a, dès aujourd’hui, l’obligation incontournable de sortir victorieuse.

 

4° Remarques sur 5784 / 784 AM et… 5785 AM

Concentrons-nous tout d’abord sur l’abréviation 784. Comme nous l’avons relevé dans l’article « Esther, Hénoch, Daniel: Je vis par les livres…« , cette valeur figure en Genèse 5.24 avec la phrase, relative au patriarche Hénoch, puis il ne fut plus, parce que Dieu le prit.

 

En fait, cette même valeur se trouve également dans les versets 21 et 22 qui précèdent, puisqu’elle est celle du nom propre Metuschélah.

 

Sachant qu’Hénoch signifie « Initiant, Initié » (de la racine ‘hana’k/ »instruire, inaugurer ») et Metuschélah « Homme de l’arme, Guerrier », nous voyons se dessiner devant nous un tableau prophétique tout-à-fait d’actualité: le temps d’initiation, d’instruction à la foi chrétienne –celle-ci ne cesse évidemment pas d’exister, à l’image de notre ancêtre Hénoch, qui n’a pas connu la mort– laisse la place à un régime différent, celui de l’homme en arme, du guerrier d’Apocalypse 19.11ss, qui mène au Règne que nous attendons et qui subsistera éternellement, conformément à Daniel 2.44 (cf. aussi Daniel 7.14, 18 et 27; cette pérennité est d’ailleurs illustrée par le fils d’Hénoch, Metuschélah, à qui il a été donné de vivre jusqu’à l’année du déluge, c’est-à-dire jusqu’à l’extermination de toute chair, préfigurant le Royaume qui durera sur cette terre jusqu’à ce que celle-ci soit finalement détruite).

 

S’agissant de 784, se souvenir pour le surplus de ce que nous vu plus haut au sujet des mots 16 à 19 de Daniel 9.26 (dans le flot/l’inondation et jusqu’à la fin de la guerre…).

 

Ensuite, pour obtenir 5784, un exercice intéressant consiste à calculer le « plérôme » (c’est-à-dire la valeur des noms des lettres de l’Aleph-Beth utilisées dans un terme ou un texte hébreu donné) de Genèse 7.18. Ce plérôme, de 5784, nous replace en effet dans le contexte des grandes eaux du déluge, contexte d’autant plus saisissant en l’occurrence que l’arche, que nous voyons flotter sur la surface des eaux fait immédiatement penser à l’image du bateau prenant le large reçue par Sentinelle.

Genèse 7.18: Les eaux grossirent et s’accrurent beaucoup sur la terre, et l’arche flotta sur la surface des eaux.

Toujours à propos de 5784, se reporter à la valeur d’Ezéchiel 9.3, précisée elle aussi par les lignes consacrées au tremblement de terre du Vendredi Saint.

Enfin, venons-en à 5785, valeur numérique des trois derniers versets (10 à 12) du Psaume 2. Si un événement d’une gravité exceptionnelle frappe les nations en 5784 AM / 2024 AD, n’est-il pas d’une irréprochable logique que les injonctions et la bénédiction consignées dans ces versets 10 à 12 visent expressément la période qui commencera avec 5785 AM?

Psaume 2. 10-12: Et maintenant, rois, conduisez-vous avec sagesse! Juges de la terre, recevez instruction!

[11] Servez l’Eternel avec crainte, et réjouissez-vous avec tremblement.

[12] Baisez le Fils, de peur qu’il ne s’irrite, et que vous ne périssiez dans votre voie, car sa colère est prompte à s’enflammer. Heureux tous ceux qui se confient en lui!

 

5° Parole du 29 février 2016

 

Alors que je travaillais à cette communication, l’Esprit m’a rappelé une parole qui m’avait été donnée le 29 février 2016, disant: « La vague sera de 22 mètres« .

 

Avant toute chose, précisons que 22 mètres équivalent à 40 coudées sacrées, ces nombres reprenant étrangement les chiffres présents dans la date qui nous a occupés jusqu’ici, le 22 avril 2024 ou 22.04.2024.

 

Du 29 février 2016 au 22 avril 2024, il y a 2975 jours, soit 425 semaines (2975 : 7). Cela nous ramène au cœur même de l’oracle de Daniel 9, puisqu’au verset 25 de ce chapitre, 425 est la valeur numérique des mots Mashia’h Nagid/ »l’Oint, le Prince ».

 

D’ailleurs, 2975 est aussi présent dans ce verset 25, si l’on tient compte des mots suivants:

 

– Jusqu’à l’Oint, au Prince                                                  Valeur   499

 

+ La place et le fossé seront rétablis,

   mais en des temps fâcheux                                                 Valeur 2476

 

TOTAL         2975

 

 

Noter que la reconstruction et les temps fâcheux clôturant Daniel 9.25 indiquent, à la fois, une progression du Royaume et une lutte conduisant à la fin de la période de Purim évoquée plus haut.

 

Maintenant, si nous comptons à la façon hébraïque, il y a, du 29 février 2016 compris au 22 avril 2024, 2976 jours.

 

Nous ne saurions trop insister sur l’importance de ce dernier nombre:

 

– Non seulement 2976 est la valeur numérique de Genèse 7.22, dont nous avons mis la description en relation avec notre époque au début de ce texte,

 

– mais c’est encore la valeur, en Apocalypse 20.5 de l’expression grecque rendue par: C’est la première résurrection!

Apocalypse 20.5: Les autres morts ne revinrent point à la vie jusqu’à ce que les mille ans fussent accomplis. C’est la première résurrection

 

6° En somme…

 

Ecclésiaste 8.5-7: […] le coeur du sage connaît le temps et le jugement. [6] Car il y a pour toute chose un temps et un jugement, quand le malheur accable l’homme.

[7] Mais il ne sait point ce qui arrivera, et qui lui dira comment cela arrivera?

 

Même si nous ignorons le déroulement exact des choses à venir, nous nous savons au cœur d’une aventure absolument inouïe, unique. Pour les Croyants que nous sommes, ce privilège n’a d’égal que la responsabilité qui pèse sur nos épaules. Responsabilité d’entrer dès cet instant dans l’Appel qui nous a été lancé de toute éternité, d’être des sacrificateurs de Dieu et de Christ et de… régner!

Apocalypse 20.6: Heureux et saints ceux qui ont part à la première résurrection! La seconde mort n’a point de pouvoir sur eux; mais ils seront sacrificateurs de Dieu et de Christ, et ils régneront avec Lui pendant mille ans.

 

SDG/NM – 05.10.2023

 

PS pour l’affermissement des saints: Les tracasseries inhérentes aux moyens de communications électroniques m’ont empêché de transmettre ce texte à Michelle aussi rapidement que je l’aurais voulu.

Dans l’intervalle, nous avons vu, le 7 octobre, le monde s’enfoncer de façon dramatique dans le chaos. Situation de crise… situation alarmante, inquiétante au plus haut point pour les nations dans l’attente de ce qui surviendra pour la terre.

J’étais plongé dans mes méditations, lorsque l’Esprit a attiré, une fois de plus, mon attention sur le réveil d’Azusa Street, en 1906 (v. « Los Angeles – San Francisco, un chemin de sabbat« ). Du début de celui-ci, le 9 avril, au 22 avril 2024, 6159 semaines très exactement se seront écoulées, ce nombre étant la valeur numérique, au Psaume 2 –encore lui!–, des versets 4 à 7, à laquelle il faut encore ajouter celle de la promesse claire les nations pour héritage du verset 8 (5592 + 567). Tout est conduit!

Cela nous entraîne naturellement au verset 9, où l’expression avec une verge de fer a quant à elle une valeur numérique de 552, mise en exergue par la note consignée au début de ce texte sous chiffre 2°, à propos de notre époque. Le message adressé aux saints, et peut-être surtout aux contempteurs de la Foi, est en conséquence limpide:

Psaume 2.4-9: Celui qui siège dans les cieux rit, le Seigneur se moque d’eux.

[5] Puis il leur parle dans sa colère, Il les épouvante dans sa fureur:

[6] C’est moi qui ai oint mon roi sur Sion, ma montagne sainte!

[7] Je publierai le décret; l’Eternel m’a dit: Tu es mon fils! Je t’ai engendré aujourd’hui.

[8] … les nations pour héritage…

[9] … avec une verge de fer…

 

 

 

 

 

SDG/NM – 15.10.2023