Transmis par OJY

Reçu de Sven-Erik, l’auteur du livre biographique « et le cancer disparut tout simplement » (och cancern bara försvann).
 
 
Il y a quelque temps, j’ai reçu un « appel d’urgence » d’une femme d’une quarantaine d’années…
 
Elle avait soudainement développé de grosses tumeurs dans les deux seins, ainsi que dans les ovaires, le foie et les os !
 
Les médecins ont trouvé « étrange » qu’elle ait eu un cancer du sein « alors qu’elle n’avait pas les gènes » le favorisant (!!) !..
 
 
Aucun d’entre eux n’avait la moindre idée qu’il pouvait y avoir un lien avec les trois (!) injections contre le Covid qu’elle avait récemment prises !
 
 
 
Plus d’infos sur le web :
 
 
« Il y a déjà un an, un médecin-chef travaillant dans la région de Kalmar avertissait que le « vaccin » contre le covid-19 peut provoquer un  turbo-cancer.
 
Mais le médecin suédois n’est pas le seul [Il s’agit certainement de Dr Ute Krüger].
 
Dans une interview accordée à The Highwire, l’oncologue et chercheur en cancérologie William Makis témoigne d’un type de cancer effrayant qui se développe très rapidement.
 
Selon Makis, le turbo cancer est un terme qui décrit spécifiquement un cancer rapide et agressif chez les personnes vaccinées contre le covid.
 
– Cela se voit chez les jeunes, dit-il. Les personnes dans la vingtaine, la trentaine et la quarantaine sont atteintes de cancers agressifs et à croissance rapide.
 
– Le cas le plus jeune que j’ai signalé était celui d’un garçon de douze ans qui avait reçu une dose de Moderna. Quatre mois plus tard, il a développé un cancer du cerveau de stade quatre.
 
Et puis six mois plus tard, il est mort.
 
– C’est quelque chose que je n’ai jamais vu auparavant dans ma carrière. J’ai diagnostiqué environ 20 000 patients atteints de cancer au cours de ma carrière. Je n’ai jamais vu un cancer se comporter ainsi. Sa croissance est très très rapide et apparaît tardivement.
 
Le cancer ne présente généralement aucun symptôme au début et n’est détecté que lorsque les tumeurs sont assez volumineuses, jusqu’à 10 à 15 centimètres. – Les oncologues sont choqués, poursuit-il. Ils ne savent pas comment s’y prendre avec ce cancer. Ils ont du mal à le traiter.
 
Même après l’intervention chirurgicale, illeur arrive de constater que le cancer s’est déjà propagé.
 
– Il a une croissance si rapide, souligne-t-il.
 
Selon William Makis, il semble que les injections d’ARNm suppriment le système immunitaire, ce qui détruit la capacité de l’organisme à surveiller le cancer.
 
Le « vaccin » semble perturber les signaux des cellules immunitaires, comme les lymphocytes T.
 
De plus, les doses seraient contaminées par de l’ADN.
 
 Si l’on endommage les mécanismes du corps qui surveillent les cellules cancéreuses, on augmente le risque qu’une personne soit atteinte d’un cancer très agressif.
 
Parce que c’est votre système immunitaire qui dame le pion au cancer.
 



Voilà ! Nous sommes exactement là où Dr Dolores Cahill nous avait dit il y a deux ans que nous arriverions.
Je remets sa mise en garde: