Le livre vient de sortir à la CLC
https://www.clcfrance.com/epouse-d-un-pervers-narcissique_ref_CLCE180.html
Il est aussi dans toutes les librairies CLC, et 7ici, au prix de 15 euros. Il peut déjà être acheté à La CLC.
Vous pouvez aussi commander un ou plusieurs exemplaires du livre à Michelle d’Astier de la Vigerie (co-éditrice), en n’oubliant pas de bien libeller nom et adresse.
Pour des envois en nombre, ou pour des achats par virement bancaire, consulter la CLC ou Michelle d’Astier : michelle.dastier@orange.fr
Ce livre interpelle fortement dans une période où l’abus sous toutes ses formes, l’abus caché, destructeur, parfois mortel, est démasqué dans toutes les strates de la société, et souvent là où on l’attend le moins.
Mathilde, femme d’un pervers narcissique, manipulateur exercé qui trompe tout le monde, est un récit authentique, rédigé sous forme de journal. Les faits se déroulent au sein d’un couple de gens déjà âgés, mariés sur le tard. L’épouse, encore très active au sein du monde évangélique, et d’un caractère bien trempé, va pourtant voir se refermer sur elle un piège impitoyable dont elle ne sait comment sortir. Il lui faudra une lente prise de conscience de la personnalité cachée de l’homme qu’elle a épousé, et l’aide d’acteurs sociétaux au fait de la dangerosité de tels monstres, pour y parvenir.
La rédaction du livre a été pour l’auteur une exploration du mécanisme de la perversité narcissique et de sa cruauté destructrice. Il met en lumière les causes d’un mal qui déferle aujourd’hui dans nos sociétés dites civilisées, et même judéo-chrétiennes, tout autant que dans celles que l’on considère comme barbares. Le terrorisme feutré, dans les couples et les familles, dans les sphères professionnelles ou politiques, et même dans les écoles où des groupes de » gentils » enfants poussent au suicide un de leurs camarades, est seulement plus raffiné que dans le terrorisme qui s’exerce au grand jour. Dans ce terrorisme » domestique » qui ne dit pas son nom, le bourreau, par sa stupéfiante capacité de mensonge et de manipulation, peut même parvenir à se faire passer pour la victime, même quand il a achevé son œuvre de tortionnaire et que les dégâts sont visibles ! Car tout se déroule à huis clos, derrière de belles façades trompeuses.
Citons Mathilde :
Cette cruauté mentale est si filandreuse qu’on a du mal à mettre un nom dessus. C’est l’absorption jour après jour d’une dose de poison psychiquement dévastateur, dose distillée de manière subtilement calculée. Certes, il y a bien des degrés de gravité dans les moyens utilisés par les pervers narcissique manipulateurs, mais le résultat final, ce seront toujours d’énormes souffrances, des vies gâchées, et parfois des meurtres » par consentement mutuel « . La victime, paralysée par la peur, la certitude de ne pas être crue, ou l’oppression de l’entourage qui veut éviter le scandale, accepte la mort lente plutôt que de braver son bourreau, son entourage et les tabous sociaux. La société est gangrenée par ce mal, faute de pouvoir le déceler à temps afin de le prévenir. Elle en est réduite à ramasser les morceaux… ou bien les cadavres, et bien plus souvent encore à les oublier.
Quand on dévalorise une personne – quelle qu’en soit la raison – jusqu’à la vider de son identité propre, on la tue à petit feu, au point que la mort peut lui paraître préférable.
Le récit de Mathilde est un vécu en montagnes russes, avec sa succession d’espérances et de déceptions, d’incrédulité face à la dimension extravagante de la cruauté gratuite, en alternance avec sa propre colère, difficile à juguler. Mais la colère de la victime s’avère toujours un tel motif pour le bourreau d’en rajouter qu’elle finit par choisir l’esquive et le silence, jusqu’à la résignation.
Mathilde ne cessera de se poser des questions :
» Est-il malade ? Est-il fou ? Est-il un monstre ? Un égocentrique ? Un narcissique ? Un pervers ? Un calculateur ? Un blasphémateur ? Un illusionniste ? Un menteur pathologique ? Un manipulateur lucide ? Un orgueilleux au-delà du descriptible ? Un schizophrène ?
Ou bien est-il un gars sensible, drôle, serviable, avenant, gentil, généreux, doux, paisible, souriant, mais détruit dans son âme et habité par des démons ?
Selon la catégorie professionnelle ou sociale à laquelle on s’adresserait, on aurait autant d’épithètes différentes, toutes sembleraient justes, et toutes seraient fractionnelles. Marc est quelqu’un de très complexe et, pour l’avoir chaque jour entendu parler de lui-même, ou plutôt d’un Marc qui n’a jamais vraiment existé, je sais que lui-même ne sait pas du tout qui il est !
Et pour moi, sa femme, qui est-il ? Au final, je n’en sais rien, je ne connais pas l’homme que j’ai épousé. Il est tout cela tour à tour. «
L’héroïne sort de cette union comme on sort d’un cauchemar, en se demandant si cela s’est vraiment passé et comment elle a pu supporter cela si longtemps sans en mourir.
L’auteure a choisi de rester anonyme, les protagonistes de l’histoire étant pour la plupart encore en vie. En sus elle est connue dans certains milieux, elle a déjà publié de nombreux livres, mais elle a la conviction que celui-ci est une œuvre à part en raison de son contenu, d’une actualité brûlante. Le sujet traité répond en effet à une épidémie qui s’étend dramatiquement dans la société. Plus celle-ci veut rayer les identités – cela commence à l’école avec la » théorie du genre » – qu’elles soient individuelles, familiales, professionnelles, régionales ou nationales, plus elle génère des monstres au besoin exacerbé de se fabriquer une identité qui leur procure une forme d’ivresse et de sentiment de pouvoir. Cela se fait au détriment de ceux qui sont à leur portée, qu’ils mettent sous leur emprise par un dosage subtil de manipulation, de séduction, de peur, avant d’en venir à la terreur. C’est exactement ce qu’avaient pratiqué les nazis vis-à -vis du peuple juif à partir de 1933 : lui ôter progressivement son identité par les humiliations incessantes, de plus en plus dégradantes, humiliations assorties d’exactions, jusqu’à ce que ce peuple soit vidé de toute capacité de réaction. Au stade ultime, chaque Juif n’était plus qu’un numéro, un tatouage. Le procédé a été repris par beaucoup, en raison de son efficacité redoutable !
Que l’on parle d’un peuple tout entier sous la férule d’un tyran, ou d’un enfant confronté à un groupe de » copains » sadiques, que l’on parle d’un employé face au petit chef qui jouit de le pousser à la démission ou au suicide, ou encore d’une épouse face à un mari en mal d’une identité qu’il croit virile, ou encore -les scandales longtemps étouffés sortent maintenant de tous côtés- de ceux qui profitent de leur position sociale, politique, professionnelle ou religieuse pour violer leur victime, la tactique du pervers narcissique manipulateur est, hélas ! bien rôdée et toujours aussi efficace.
Dénominateur commun ? Le mépris de l’autre. L’Islam, entre autres, qui encourage un mépris dégradant des femmes, génère la multiplication de tels pervers.
Le narcissique est entièrement centré sur lui-même, il alimente son ego par le mensonge et ne se sent vivre que lorsqu’il écrase celui, celle ou ceux qui sont à sa portée.
Le témoignage de Mathilde se situe au sein du couple. Mais le processus de destruction de l’identité d’autrui est identique à celui que nous avons évoqué dans d’autres types de collectivité, larges ou restreintes.
Ce livre peut ouvrir les yeux à beaucoup de victimes, et aider celles (ou ceux !) à mettre un nom sur ces emprises toxiques, et trouver le moyen le plus efficace pour y échapper. Ce sera toujours une solution radicale.
La rédaction du témoignage fut en elle-même une forme de thérapie pour Mathilde pour redécouvrir le droit de respirer. Oui, voici ce que volent ces pervers : le droit de respirer !
Présentation du livre:
Ce récit autobiographique est le scan sans concession d’un mal qui ronge notre société, la perversité manipulatrice. C’est un journal poignant, rédigé sur plusieurs années.
Presque septuagénaire, Mathilde se marie avec un veuf qu’elle croit bien connaître et qu’elle a toujours vu sous son côté gentil, serviable et affectueux. Elle va découvrir au fil du temps qu’elle n’a pas épousé seulement un homme violent et colérique parce qu’il est alcoolique, mais un pervers narcissique manipulateur (PNM). C’est un livre puissant pour faire prendre conscience aux victimes de PNM de l’impasse mortelle dans laquelle elles se trouvent. Cela commence par mettre un nom sur le mal, pour le confronter lucidement et utiliser les moyens adéquats pour s’en sortir. Sans cette prise de conscience, l’agonie sera lente et un jour irréversible.
Note MAV: J’ai pu constater en faisant lire le manuscrit à certaines chrétiennes ex-musulmanes que toutes s’exclamaient: » Michelle, c’est ce que toutes nous viv(i)ons, mais nous nous ne pouv(i)ons aller chercher de l’aide auprès des services sociaux, de la police et des tribunaux ! On se serait fait massacrer « . Je pense donc que ce livre va être un puissant outil d’évangélisation auprès de bien de ces malheureuses qui souffrent, cachées derrière leurs voiles ou leurs murs.
Mais ce mal rôde aussi dans nos églises. Depuis que j’ai commencé à traiter ce sujet, je suis soufflée de tous les témoignages que j’entends. J’espère que ce livre sera aussi, pour beaucoup de victimes, hommes ou femmes, une porte d’espérance. Oui Dieu, quand on crie à Lui, peut intervenir dans des situations humainement sans issue.
J’ai appris récemment ce qui était arrivé à des proches. Le conjoint de sa fille répondait à tous les critères du gendre idéal, une icône. Jusqu’au jour où il a fallu organiser une opération commando pour récupérer l’épouse, psychiquement en lambeau. Elle est rentrée chez ses parents, emmenant dans ses valises le journal intime qu’elle tenait depuis longtemps. Elle a semblé se rétablir, puis elle est partie.
Le rejoindre…
Un soir, elle appelle sa mère pour lui demander de détruire le journal qu’elle avait oublié, probablement sous emprise.
Elle s’est suicidée trois mois plus tard.
Les parents n’avaient pas détruit le journal, ils ont porté plainte, le gendre est aujourd’hui en prison pour plusieurs années.
Dans le livre, l’auteur parle du » syndrome de Stockholm « . Les victimes peuvent effectivement être dans l’incapacité de se séparer de leur bourreau, comme hypnotisée, quitte à en perdre la vie. Le meilleur déclencheur de décision de fuite ce sont souvent les enfants, parce que les mères voient vite qu’ils deviennent aussi des victimes et que le PNM est en train de les détruire.
C’est un véritable phénomène de meurtre spirituel.
Comme il est rare de nos jours de trouver des couples qui soient épanouis, tout le monde tombe un jour ou un autre sur ces etres sans âmes que sont les pervers!
J’ai l’impression ces derniers années qu’il y en plus de ces personnes que de gens normaux.
Je trouve cela très bizarre. Comme la douceur et la bonté humaine me manque! Vraiment c’est à ce point!
Jésus a annoncé: » Parce que l’iniquitié sera acccrue, l’amour du pluss grand nombre refroidira « . La destructuration des familles par les divorces en tout genre, les familles monoparentales où les enfants sont souvent laissées à l’abandon, les familles tordues (comme celles ui sont islamisées) où le » mâle » est érigé à l’état de Dieu alors que la femme est traitée comme une serpillère, la démission paternelle qui engendre des enfants-rois, tout cela contribue à faire exploser ce phénomène terrible !
Ah merci Michelle pour ce livre!
J’espère qu’il va ouvrir les yeux de beaucoup, en aider beaucoup, et même amener à Christ beaucoup de victimes, je pense notamment à la dévalorisation dramatiques des femmes dans l’islam, que tu connais bien. Mais il n’y a pas que dans l’Islam….
Amen!
Oui peut être la démission des parents et la mentalité des garçons-rois aussi. Même si quelqu’un nest pas un garçon-roi, gâté par la mère et la famille, tellement tout le monde (les hommes surtout) sont dans la manipulation perverse que ce qq’un le devient; il n’y a que ça à 80% dans les rues.
Les temps sont durs pour vous comme pour nous!
Que Dieu nous vienne en aide!
J’en ai commandé 2 hier….
Bonjour,
j’ai bientôt 63 ans, ma vie est un champ de ruines et d’échecs dans tous les domaines.
Je me débats depuis bientôt 40 ans (quand Dieu m’a arrêté sur la pente d’une perdition certaine) avec les séquelles d’un père, non d’un géniteur PNM, chrétien « techniquement » mais réellement destructeur, tout, sa vie, sa femme (ma mère), puis la deuxième, sa famille. Il s’est ingénié à détruire, gaspiller et réduire en cendres toutes ses relations et les personnes, bien sûr en accusant celles-ci d’en être les seules responsables.
Et même là quand j’écris ce commentaire, j’ai mauvaise conscience, il était si bon et apprécié…
Je n’arrive pas à me débarrasser de ce « père » et tourner la page.
Très tôt, j’ai ne n’ai plus pu faire confiance à un Dieu Père bon et je me débats avec cette incrédulité et la honte qui va avec. « Comme par hasard » j’ai très souvent rencontré des gens hommes et femmes qui ont abusé de moi et d’une certaine « sidération » en cas de manipulation, famille, 1er mariage, milieu professionnel… Même parmi les chrétiens, quand j’ai donné ma confiance à quelqu’un , la plupart du temps j’ai été maltraité « spirituellement » et je me suis coupé de beaucoup. Je me retrouve très seul.
Ma femme n’en peut plus et après avoir beaucoup supporté de mes chaos parle de me quitter, je ne peux pas lui en vouloir, elle est découragée et épuisée.
Je ne peux pas me jeter dans les « bras » d’un Dieu qui est un bon Père et veut l’être pour moi tellement j’ai peur du rejet, aussi à cause de mes nombreux échecs.
Cependant, je ne peux blâmer personne de ces désastres, la balle est toujours dans notre camp (mon incrédulité).
J’ai trop voulu vivre par mes propres forces, et aussi une forme de foi rationaliste et intellectuelle, j’aimerais tellement que mon cœur soit réellement touché par Jésus.
Je le répète, je ne veux pas me justifier et assumer mes responsabilités et péchés, nous sommes responsables de nos actes.
Que notre Dieu et Père de Yeshoua Mashiah et nous vienne en aide.
Je me sens mieux de constater que je ne suis pas seul dans cette situation
Fraternellement
Je pense que vous avez simplement eu l’âme détruite par ce pNM. On en sort difficilement; Mais croyez que vous êtes très précieux pour Dieu, qu’il vous entend, et CHOISISSEZ DE LUI FAIRE CONFIANCE. Lisez beaucoup la Parole: Il va vous parler.
Mais n’oubliez pas une chose: Dieu a donné l’ordre de respecter son père et sa mère. Le traiter de « géniteur », c’est le renier et d’une certaine manière le maudire; Cela peut tout bloquer !
Je vous remercie de cette réponse, je ne veux pas renier cet homme encore moins le maudire, c’est en quelque sorte grâce à lui que je suis là, je crois que c’est profondément la volonté de Dieu qui m’a désiré et aimé dès avant la fondation du monde, comme le mariage de Mathilde, même dans mes circonstances. Mais l’empreinte de « père » qu’il m’a donnée me bloque dans recevoir celle de Père de mon Dieu et Créateur. Je me débats avec cela et ne sais comment « concilier » les deux !
Merci de votre retour, je suis désemparé
Cher Patrick, Je vous comprends fort bien. Je vous rassure, vous n’êtes pas le seul a avoir eu des rapports difficiles que ce soit avec le père ou la mère, ou avec des Frères et Soeurs en Christ. Il est vrai que l’image qu’on a de Dieu, c’est l’image qu’on a du père. Le début de la guérison passe par le pardon mais il est vrai aussi que de mettre à la lumière ce qu’on a vécu ou ses propres péchés, cela fait du bien, ça libère. Et je prierai pour vous dans les prochains jours, sachez-le. Priez aussi de votre côté pour que le Seigneur rectifie cette mauvaise image que vous avez de lui, pour être fidèle et avoir foi en Lui. Je suis convaincu que notre Seigneur répondra favorablement à ces prières.
Bonjour Patrick, je comprends fort bien ce que vous traversez. J’ai également eu un père très légaliste et pire encore et une mère droguée. De toute petite j’ avais très peur de mon père, car il pouvait être très violent en paroles durs et malsaines, et autre. En grandissant, j’étais devenue dépressive et suicidaire. Lorsque je me suis convertie à Jésus-Christ, mon âme était très mal en point. J’ai connu Michelle à travers son blog (un dimanche j’ai même appelé à l’aide et Michelle m’a donné l’adresse d’une soeur, que j’ai rencontré le jour même) puis je suis allée à un séminaire de Michelle à Marseille. J’ai connu ma première libération, des larmes à n’en plus finir, une dame me prenait dans les bras et ça coulaient. Ensuite ça a été un long cheminement pour la guérison de mon âme. Mais le Seigneur m’a fait comprendre que je devais pardonner à mes parents, ce que j’ai fait, et je leur ai également demandé pardon pour ma rébellion. Les chaines commençaient à tomber. J’ai refusé tout médicament, c’est Jésus-Christ qui m’a entièrement guéri. Mes deux parents sont décédés peu de temps après. Vous faites la première démarche d’écrire sur ce blog, je suis certaine que le Seigneur Tout Puissant vous délivrera et que vous verrez la Gloire de Dieu dans votre vie. J’ai souvent écouté cette chanson Briser les chaînes https://www.youtube.com/watch?v=WxE0pM1r6Ek .
Je me permets de rajouter certaines choses cher Patrick. Après ce que vous avez vécu avec votre père, vous avez sans doute besoin de guérisons mais que cela ne devienne pas une obsession. Il m’est arrivé de rencontrer des Soeurs qui avaient vécu des choses graves dans leur enfance comme des abus spirituels, physiques ou sexuels de la part entre autre de leurs parents et ce désir de guérisons devenait une obsession et cela se faisait au détriment de leur relation avec Dieu. Commençons tout d’abord par être fidèle, obéissant. Je ne connais pas votre femme mais je vous conseille aussi de parler avec elle de ce que vous avez vécu, de vous confier à elle car comme je l’ai dit dans mon commentaire précédent, cela fait toujours du bien de mettre à la lumière le mal qu’on nous a fait avant notre conversion et de confesser nos péchés. Et je vous conseille aussi de prier avec votre femme car il est écrit dans la Parole: » Confessez donc vos péchés les uns aux autres, et priez les uns pour les autres, afin que vous soyez guéris. La prière agissante du juste a une grande efficacité ». Jac 5.16
C’est une bonne chose comme je l’ai dit plus haut de se confier à des Frères et Soeurs, à son conjoint et de prier les uns pour les autres. Satan peut nous tenir avec des refus de pardonner, de mettre à la lumière les péchés qu’on a commis contre nous ou qu’on a commis soi-même. La parole libère et de prier les uns pour les autres afin de recevoir des guérisons comme le dit ce passage dans la Bible, ça permet d’avancer dans notre relation avec le Seigneur mais aussi avec des Frères en Christ et par conséquent avec votre femme.