… » La santé publique, c’est 80 % de politique et 20 % de médecine. Depuis le début de cette crise, nous avons été soumis aux idéologies et aux dogmes de bureaucrates et non pas éclairés par des connaissances scientifiques validées.

 » Il n’y a, notamment, pas de consensus scientifique sur l’efficacité du confinement généralisé, les données disponibles étant contradictoires et le taux de contamination étant plus élevé chez les gens confinés. Quant au port du masque, s’il est indispensable pour le personnel soignant pouvant être exposé à des charges virales élevées dans l’exercice de ses fonctions ainsi que pour les personnes fragiles, rien ne permet d’affirmer que l’obligation du port généralisé du masque dans des espaces ouverts est d’une quelconque utilité. L’obligation de porter le masque est, par ailleurs, un facteur de stress et de tension sociale. En revanche, la détection précoce des cas au moyen de tests fiables (sensibilité et spécificité) et l’isolement de ces cas, dont l’efficacité est incontestable, n’ont pas été mis en place en temps utile du fait de l’impéritie des autorités qui n’ont fait qu’appliquer le précepte de Georges Clemenceau : « Quand les événements nous dépassent, feignons d’en être les organisateurs. »

Ne nous voilons pas la face, le pire est devant nous. La gestion calamiteuse de cette crise sanitaire aura pour conséquence, dans les mois à venir, une crise sociale et économique sans précédent. »…

 

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