Selon nos informations, un peu partout en France la police convoque, de façon perlée, des soignants suspendus pour les interroger et récolter du renseignement sur leur situation et sur leur position en matière de vaccin et de vaccination. Cette pratique proche de l’intimidation est généralement accompagnée de la forte suggestion de venir sans avocat… Dans le climat de répression qui s’abat actuellement sur la résistance, il devient évident que le pouvoir tente un dernière écrémage avant la purge du dernier carré.
Selon nos informations, la police nationale procède actuellement à une campagne perlée de convocations de certains soignants suspendus pour les interroger sur leur position concernant le vaccin. Pour l’instant, les conditions dans lesquelles cette campagne se déroulent sont encore obscures. Mais le mode opératoire paraît assez simple : la police convoque les suspendus officiellement pour un simple entretien, en précisant que c’est une formalité qui ne nécessite pas la présence d’un avocat.
Lors des entretiens, les policiers interrogent les personnes sur les raisons pour lesquelles elles ne veulent pas être vaccinées. On signale des cas où les policiers ont interrogé les soignants suspendus sur leurs opinions politiques.
Une partie de l’interrogatoire porte sur un éventuel exercice illégal de la profession depuis la suspension.
D’une manière générale, les policiers expliquent qu’ils agissent à la demande du Parquet. Plus rarement, il semblerait que certains hôpitaux publics aient pris l’initiative de dénoncer les personnels suspendus pour un hypothétique exercice illégal de la médecine.
D’aucuns considèrent que cette campagne d’information sous les radars et (précisons-le) d’une légalité extrêmement discutable, est un prélude à une campagne permettant de réintégrer les soignants les moins “dissidents”.
En l’état, un cas de convocation a été signalé à Angoulême, trois autres aux Mans, et plusieurs autres cas de convocation sur le reste du territoire sont en cours de vérification.
Une vague de répression impitoyable
Cette campagne d’intimidation à l’abri des regards s’inscrit dans un contexte de répression féroce contre l’opposition. Après la condamnation de Fabrice Di Vizio, après l’interdiction d’exercer signifiée à Alain Houpert (sénateur mais aussi radiologue), après d’autres sanctions prises plus discrètement contre des médecins, après le déférement de Didier Raoult, ces convocations sonnent comme des invitations à prendre le thé lancée par la police chinoise aux dissidents.
Il fut un temps où la France pouvait donner des leçons de Droits de l’Homme à la Chine. Cette époque est décidément révolue, et Emmanuel Macron peut se targuer d’avoir réussi cet exploit historique.
Le Courrier a par ailleurs interviewé aujourd’hui Martine Wonner, elle-même sous le coup d’une procédure disciplinaire pour avoir publié, lorsqu’elle était députée, plusieurs tweets jugés dérangeants, et pour avoir manifesté, en tant que députée, aux côtés des non-vaccinés. Ce témoignage montre bien comment une répression policière se met en place, rigoureusement, depuis la rentrée de septembre (comme nous l’avions annoncé plusieurs fois, d’ailleurs).
L’objectif du pouvoir est d’intimider les opposants, et de leur coller les condamnations les plus infamantes possibles pour dégrader leur image publique. Le procédé est bien connu. Son application la plus exemplaire vise Didier Raoult, dont la gestion a été passée au peigne fin pour être finalement transmise à la justice…
Un cabinet noir à l’Élysée ?
La question qui se pose in fine est de savoir quel est le degré d’orchestration de cette campagne de répression qui sévit depuis la rentrée. Certains soulignent que ce durcissement est contemporain de l’arrivée de Frédéric Michel au poste stratégique de “spindoctor” d’Emmanuel Macron, en remplacement de Clément Léonarduzzi, reparti chez Publicis.
Frédéric Michel n’est pas un enfant de choeur. Il a fait une grande partie de sa carrière dans le groupe Murdoch, ce qui l’a amené à comparaître devant une commission parlementaire qui s’inquiétait de ses méthodes d’influence. Il a par ailleurs oeuvré dans la société “Reputation Inc.”, dont le métier est… la réputation des entreprises.
Les initiés connaissent les méthodes de ces officines qui commencent à intéresser la France Insoumise.
Bref, rien n’exclut que l’arrivée de Frédéric Michel corresponde à un durcissement de l’Elysée lui-même vis-à-vis de l’opposition. Le combat de boxe est lancé.
En tout cas, quelques jours après son arrivée, l’espion en chef de Macron, Ludovic Chaker, dont nous avons parlé plusieurs fois dans nos colonnes, était parachuté dans un placard doré, au sein de la Direction Générale de l’Armement. Le ménage a commencé.
Oh là, là ! Et moi qui distribue à ceux qui s’interrogent dans le hameau breton où je suis, la vérité au regard de l’injection expérimentale + l’Évangile de Jean avec un petit mot personnel de mon cru.
Et je laisse mon numéro de téléphone en plus !
Comme quoi…
Plus de temps, la porte va bientôt se refermer, ça j’en suis intimement, profondément convaincue.
« Plus de temps, la porte va bientôt se refermer »… Parole de vérité!
Il n’y a pas grand monde qui se souvienne, aujourd’hui, de l’événement peu courant qui s’est produit le 7 juin 2021 à Jérusalem, devant l’hôpital Sha’aré Tsedek (« Portes de Justice », allusion au Psaume 118.20). Ce jour-là, en effet, une cavité, suffisamment grande pour engloutir plusieurs voitures s’est ouverte dans le parking de cet établissement (https://www.youtube.com/watch?v=V-7ISgcK3gY).
« Un creux dans le parvis (le terme « parking » n’existe évidemment pas en hébreu biblique…) des Portes de justice » peut être rendu par « ‘hol l’hatser sha’aré tsedek », valeur numérique 1310 (pour ce nombre, voir https://michelledastier.com/mesure-le-temple-je-ne-vous-ai-pas-tout-dit-nicolas-meyer/). Si les portes/sha’aré se ferment, je déduis leur valeur, 580, de 1310 et obtiens une différence de 730, soit deux fois 365 jours ou deux ans, menant au 7 juin 2023.
Vérification: Les mots impairs –1, 3, 5, 7– d’Esaïe 6.4 (https://michelledastier.com/info-prophetique-les-temoins-de-notre-temps-par-nicolas-meyer/#comment-104053) ont précisément une valeur de 730. Ils mènent au dernier mot de ce verset, « fumée », qui est synonyme de jugement. Les autres mots d’Esaïe 6.4, quant à eux, totalisent une valeur de 1046, qui est celle du Psaume 2.9, 2ème phrase, « Tu les briseras comme le vase d’un potier » ou encore du grec « thlipsis megalê/grande tribulation » (noter l’absence d’article: ce n’est pas LA grande tribulation)…
Pour nous, petit troupeau, la promesse de Matthieu 24.13 demeure: « […] celui qui persévérera jusqu’à la fin sera sauvé ».
Merci pour l’info Nico concernant Israël. Très intéressant. L’année 2023 sera l’année top départ. Bonne analyse Nico.