Peter McCullough, spécialiste en médecine interne et maladies cardiovasculaires et « vice chief of medecine » à luniversité Baylor du Texas, que nous avions reçu pour un précédent debriefing qui a connu un important succès en France et outre-Atlantique, revient pour rappeler les traitements possibles aux différentes phases de la maladie, insistant longuement sur les traitements précoces qui ont permis « d’écraser la courbe » aux États-Unis mais également au Mexique, dans différents pays dAmérique du Sud et dernièrement en Inde. Les médicaments donnés au début de linfection permettraient une réduction de 85 % des hospitalisations.

Revenant sur les différents variants, il insiste sur le variant Delta qui présente trois mutations, contrairement aux précédents qui nen montraient quune seule. Plus contagieux mais moins létal que le virus initial et les variants qui ont suivi, le variant Delta sest répandu très rapidement en Inde mais les traitements précoces permettent de le combattre.

Le debriefing a été segmenté en quatre parties d’approximativement 15 minutes afin de rendre l’interview plus agréable à écouter, ou d’aller directement à une section d’intérêt.
La première section porte sur les traitements précoces ambulatoire, leur efficacité et les variants du virus.
La deuxième (16’54) concerne la vaccination en forte baisse aux USA et les effets secondaires. Pour le Pr McCullough, « les vaccins ont fait l’objet d’une propagande importante ».
La troisième (31’30) le voit évoquer l’information, les « fact-checkeurs » et leur rôle de désinformation.
Enfin la dernière partie (45’50) lui permet d’évoquer les éléments de ses futures communications.

Sans être opposé complètement à la vaccination qui peut être un outil pour les personnes à risque, il dénonce la généralisation de celle-ci et livre des données alarmantes du CDC (Centre pour le contrôle et la prévention des maladies) qui montrent une augmentation du nombre de morts, dhospitalisations et de dommages corporels depuis qu’elle est pratiquée sur lensemble de la population. Revenant sur les très nombreux effets indésirables, il rappelle que les vaccins nont pas été testés sur les personnes qui présentaient des pathologies lourdes et les femmes enceintes qui sont pourtant vaccinées aujourdhui. Il précise que le chiffre de 90% defficacité est faux et diminue beaucoup dès lors quon ajoute tous les groupes qui nont pas été testés.

Après avoir analysé la génotoxicité de la protéine Spike qui circule dans le corps et qui est susceptible dendommager plusieurs organes, il déclare que « la protéine Spike est une tueuse ».

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Dans la dernière partie, il revient sur les agences de régulation qui ne régulent plus rien et critique la FDA qui a selon lui, délivré lautorisation de vacciner dans la précipitation. Il dénonce également les médias qui ne jouent plus leur rôle de contrôle, bien au contraire et qualifie la campagne de vaccination de propagande.

Le Dr McCullough constate que les Américains sont aujourd’hui beaucoup moins confiants dans les vaccins et que le nombre de candidats est en train de chuter tandis que les traitements précoces s’imposent peu à peu dans toute la société.

Conscient que certaines populations sont plus exposées que dautres et quun bon vaccin pourrait jouer un rôle de protection, Peter McCullough espère une autorisation de mise sur le marché de Novavax, un vaccin qui ne s’appuie pas sur la technologie de l’ARN messager. Actuellement en essai clinique de phase 3, Novavax ne présente jusque-là aucun effet indésirable grave et pourrait être une réponse intéressante contre le covid 19.

Auteur(s): FranceSoir