Imaginez que vous êtes un agriculteur, prenant soin avec amour de vos champs et de votre bétail, étroitement lié à la terre et aux cycles de la nature. Ce n’est pas seulement un travail pour vous ; c’est votre passion, l’œuvre de votre vie.

Maintenant, imaginez que cela vous échappe, non pas à cause de causes naturelles, mais à cause d’un système qui entrave progressivement votre capacité à faire ce que vous aimez.

Imaginez la peine de voir votre gagne-pain, transmis de génération en génération, menacé par la bureaucratie, une concurrence déloyale et une crise mondiale qui semble échapper à votre contrôle.

Ce n’est pas un scénario hypothétique. C’est la dure réalité à laquelle sont confrontés nos travailleurs agricoles français, et c’est une situation qui se reflète dans les communautés agricoles du monde entier, de l’Allemagne et des Pays-Bas aux États-Unis.

Les agriculteurs sont la colonne vertébrale de notre approvisionnement alimentaire, et ils sont poussés jusqu’au bord du désespoir, ce qui conduit certains à prendre des mesures des plus tragiques.

Pas d’agriculteurs signifie pas de nourriture dans notre assiette.

En novembre dernier, des agriculteurs partout en France ont symboliquement retourné les panneaux à l’entrée des villes, exigeant d’être entendus. Ils ne l’ont pas été.

Le moment d’agir est maintenant. Les agriculteurs descendent dans les rues et commence à paralyser la France. Nous devons faire entendre leur voix.

Le gouvernement doit mettre en place des mesures concrètes telles que la promotion des produits français, la réduction des importations, la taxation des produits étrangers et la simplification de l’administration pour n’en nommer que quelques-unes et Et dénoncer les accords de libre-échange inéquitables avec l’Amérique du Nord et la Nouvelle-Zélande.

Signez notre pétition demandant au Premier ministre Gabriel Attal de soutenir les agriculteurs français.

Nos agriculteurs sont en difficulté, et cela nous affecte tous. Dans les années 1970, la France comptait environ 1,5 million d’agriculteurs. Aujourd’hui, ils ne sont plus que 390 000. Dans 10 ans, la moitié d’entre eux prendront leur retraite sans personne pour les remplacer.

Cela signifie une flambée des prix des aliments, des pénuries alimentaires et un effet domino mondial alors que les agriculteurs du monde entier font face à des défis similaires.

Nos agriculteurs sont à bout de souffle et leur colère est leur manière de montrer à quel point ils sont désespérés. Mais des vies ont déjà été perdues au milieu de cette colère. Ils méritent d’être entendus.

Ce n’est pas seulement un problème français – les agriculteurs d’autres pays comme les Pays-Bas et l’Allemagne sont confrontés à des défis similaires.

S’il vous plaît, signez notre pétition exhortant le Premier ministre Gabriel Attal à prendre des mesures et à soutenir nos agriculteurs français en difficulté avec des mesures concrètes.

La profession d’agriculteur est menacée, et nous devons nous battre pour l’avenir de nos agriculteurs. Si nous n’agissons pas, nous risquons que le gouvernement contrôle notre approvisionnement alimentaire et dicte ce que nous mangeons.

Cependant, si nous réussissons, nous pourrons revenir à une alimentation de qualité produite localement, réduire les gaz à effet de serre et donner l’exemple à d’autres pays à suivre.

Les agriculteurs travaillent sans relâche, sans vacances, faisant face à des pensions insuffisantes et à un avenir sombre. Le bilan ? Un suicide tous les deux jours en France.

Parce qu’ils ne peuvent pas joindre les deux bouts ; parce qu’ils ne peuvent pas assurer un avenir à leur famille ; parce qu’ils ne peuvent plus répondre à nos besoins et nous offrir un avenir ; parce que personne ne semble se soucier.

Comme les députés, qui, en pleine crise agricole, ont décidé d’augmenter leurs dépenses de 300 euros par mois, les portant à 5 950 euros en plus de leur salaire de 7 637 euros !

Pendant ce temps, les technocrates de l’UE négocient un accord de libre-échange avec le Chili pour appauvrir davantage nos agriculteurs et nous fournir des aliments contenant encore plus de pesticides.

Pensez-vous que c’est normal ?

Il y a de l’espoir, mais nous devons agir avec urgence. Nous avons besoin d’autant de signatures que possible pour faire une différence.

Signez la pétition aujourd’hui et demandez au Premier ministre Gabriel Attal de soutenir les agriculteurs français avec les mesures concrètes dont ils ont désespérément besoin.

PÉTITION