Miracles...alertes...infos...Je regarde mon petit jardin et je suis perplexe : il y a l’arbrisseau près de ma fenêtre dont j’ai oublié le nom qui ne cesse de pousser droit comme un I, la petite vigne qui n’a plus de feuilles mais se dresse fièrement bien plantée dans la terre comme cette drôle de plante toujours fleurie à sa gauche et je me dis « mince » ! Isabelle avait raison, malgré la tempête, mon petit « Eden » a résisté, mais pas ces arbres robustes de plusieurs décennies qui ont été arrachés et dont certains gisent encore le long des routes des bourgs et des villages. Pas non plus ces champs parfois noyés ou dévastés, ni ces quelques rivières qui débordent, ou bien l’étang cerné d’une forêt privée à présent d’une centaine de chênes arrachés par la tempête Ciaran. Même le tiers de la balustrade qui me sépare de mon voisin n’a pas tenu. Mais mon petit lopin de terre lui, si !

Job 5:21
Tu seras à l’abri du fléau de la langue, Tu seras sans crainte quand viendra la dévastation.

Ce n’est pas la première fois que ma bourgade connaît et souffre d’un tel drame, comme lors de la grande guerre de 14-18 durant laquelle près de 220 hectares de bois furent rasés pour approvisionner les tranchées. Puis un terrible ouragan en 1987  a poursuivi les dégâts en arrachant 275 hectares de futaie. La dernière tempête, nommée étrangement « Ciaran », en a semé tout autant.

Un lieu imprégné de magie ?

Ici les marcheurs qui parcourent les 18 kms de sentiers forestiers du plus grand massif domanial du Morbihan ne savent pas qu’ils rendent hommage à l’une des plus belles déesses romaines, Flora, déesse des fleurs et du printemps, celle qui donna son nom à la forêt touchée par la diversité de ce lieu particulier.

Une forêt qui recèle, dit-on, de biens des mystères et des drames aussi. Une forêt royale que Louis XVI acheta à la Duchesse de la Rochefoucauld en 1785 puis en 1795. Elle fut aussi le théâtre de la fameuse bataille de Floranges entre Républicains et Chouans, dont ces derniers sortirent vainqueurs. C’est à cette période révolutionnaire qu’est née l’histoire de cette tombe miraculeuse dissimulée sous l’enchevêtrement inextricable des branches d’un chêne majestueux. « Bé er Sant », la tombe du saint. Il s’agit d’un « Saint Bleu », un « Saint Républicain », fait d’une extrême rareté. Il portait le drapeau blanc de la paix et venait parlementer lorsqu’il fut abattu par quelque chouan. La population fut horrifiée par un tel comportement et la victime fut donc sanctifiée et dotée de pouvoirs surnaturels et tout particulièrement celui de faciliter la marche des bébés : chaussons, chaussettes, petites croix de bois y sont donc déposés en ex-voto au pied du chêne, un arbre sacré des Celtes, symbole de force et de sagesse divine.

Oui, ici c’est bien une forêt mystérieuse qui garde jalousement ses secrets, ne les révélant qu’à celui qui s’y attarde ou prend le temps d’écouter le silence ou les anciens. (Source A.N.R)

Est-ce pour cela qu’on y parle si peu de Dieu ?

Comme ce Noël

J’observe ces longues files d’attente de gens venus pour acheter le pain du peuple ou les fameuses bûches de noël. Je ne vois nulle trace de réjouissance sur leur visage, ni de joie d’ailleurs. Celle que j’accompagne me parle d’Israël tout à coup et encore une fois je dois expliquer que ce peuple pour lequel mon cœur vibre d’amour n’a rien volé et encore moins la terre dans laquelle il s’est réfugié après dix neuf siècle d’exode. L’histoire ici, la plupart ne la connaissent pas, les légendes et les contes semblent plus séduisants.

Michelle d’Astier me dit que le peuple devra être brisé pour qu’il prenne conscience de la fureur des temps et de sa précipitation vers une désolation proche : elle a raison.

Les cœurs sont lourds, les esprits englués d’illusions au sein de ce monde perverti et égaré, même à noël. Fête païenne créée vers 300 après J.C par Rome afin de christianiser les rites issus de la culture populaire, elle n’a plus de sens aujourd’hui et n’est même plus imprégnée de spiritualité. On n’y parle pas de Dieu, ou si rarement.

Dans mon village il règne un grand silence, on se remet doucement des désastres de la tempête ; pas de lumières flamboyantes devant les portes ni sur les fenêtres fermées par les volets dénués de décorations, pas de musique non plus, ni d’éclats de conversations animées ou de rires. Une sorte de voile de tristesse ou de résignation semble s’être abattue ici, les cloches de la petite chapelle ne sonneront pas et même le ciel que je scrute est dénué d’étoiles scintillantes. Et il n’y aura qu’un feu d’artifice quelque part aux abords du village, un feu d’artifice bien tristounet qui troublera le silence ambiant un bref instant mais qui finira par s’évanouir happé par l’obscurité.

Et moi je regarde ce petit jardin que la lune soudain éclaire et mon cœur s’apaise : Dieu l’a épargné, un miracle qu’IL veut me rappeler et me faire partager au-delà de cette ambiance bien morose.

Parce que des miracles il y en a eu et je pense à Israël où les soldats n’ont de cesse de retrouver les otages encore prisonniers du Hamas dans des conditions alarmantes, des soldats déterminés à éradiquer, non pas la haine, mais ceux qui en brandissent l’étendard dans une violence inouïe, sur la terre de Dieu.

Les témoignages des soldats commencent à affluer comme lors de la guerre des 6 jours en 1967.

« Il y a beaucoup de miracles et il est très important que les gens sachent » a dit Ruben Réouven.

Les opérations sont très compliquées dans la bande de Gaza à cause de l’utilisation des tunnels et des civils utilisés comme boucliers humains. Les soldats qui se retrouvent sous les tirs nourris des obus de mortier crient à Dieu dans ces moments des plus dangereux, alors les miracles se révèlent incroyables !

Ruben Réouven, membre francophone des forces de Défense Israélienne (Tsahal), est déployé en première ligne des combats à Gaza, affecté au génie militaire. Il partage son vécu sur le terrain, relatant les histoires étonnantes de miracles et de protection divine qui ont marqué son expérience pendant la guerre. (source Torah-box).

Et que dire de ces musulmans qui ont été appelés par le Dieu d’Abraham, d’Isaac et de Jacob ces derniers jours et se sont tournés vers Jésus-Christ ? !

La lumière du Prince de la Paix est plus puissante que les bombes et ravage tout aussi sûrement mais au cœur des hommes par un amour inégalable même dans la fureur et la fumée des armes.

« Mais les ténèbres ne régneront pas toujours Sur la terre où il y a maintenant des angoisses » Esaïe 9.1

« Le peuple qui marchait dans les ténèbres Voit une grande lumière; Sur ceux qui habitaient le pays de l’ombre de la mort Une lumière resplendit. » Esaïe 9.2

Pendant ce temps-là…

« Le monde devient plus violent qu’au début de ce siècle, et d’ici la fin 2023 on atteindra au moins huit guerres majeures, en plus de dizaines de conflits armés à la recherche de territoires ou de gouvernements, préviennent les chercheurs. » (BBC News Afrique)

L’adversaire continue de détruire et de susciter l’égarement et ce, de multiples manières. Les guerres surviennent dans des endroits que les nations n’avaient pas prévues il y a encore une décennie. Néanmoins, pendant ce temps-là, l’agenda des mondialistes se précise et avance et ce, d’une toute autre façon. La COP 28 qui a eu lieu dernièrement en est la préfiguration.

Ils appellent cela « le développement durable pour le millénium« .

Tiens ! tiens ! Étrange que le nom de « millénium » soit prononcé pour cette conférence internationale de l’organisation des Nations Unies, et tout aussi étonnante, la date choisie pour le but à atteindre : 2030 ! Dans 7 ans exactement !

Les cartes géopolitiques ont bien été redistribuées et nous voyons émerger des nouveaux défis qui vont bientôt nous être imposés.

Les 17 objectifs du développement durable du millénium

Tout comme le Forum économique mondial, cette conférence rassemble les plus importants dirigeants du monde des affaires, de l’industrie, de la finance, de la société civile, des nations unies et des gouvernements. Lors de cet évènement leur programme a pour objectif d’accélérer les réductions d’émissions de gaz à effet de serre de manière immédiate.

Les enjeux sont considérables et la mise en place d’action devrait nous interroger.

1) Santé, aide, paix

2) Finances, commerce, égalité de genre et redevabilité.

3) Énergie, commerce, transition juste, peuple autochtones

4) Action multi acteurs, urbanisation, transport.

5) Jeunes, enfants, éducation, formation

6) Nature, terre, océans

7) Alimentation, agriculture, eau.

C’est un condensé de l’ensemble de leurs ambitions pour l’humanité et la terre sur laquelle nous vivons.

Ça fait joli sur le papier, c’est séduisant à nos regards mais très amer dans nos entrailles quand on connaît les vraies motivations et celui qui en encourage les desseins.

Derrière ces mots magiques la réalité est tout autre. Nous le savons très bien et j’invite quiconque à s’informer sur les projets de ce rassemblement planétaire à Dubaï pour les 7 années à venir et de se faire sa propre opinion avec le regard de Dieu. D’autant plus que le compte à rebours de l’horloge sur le site officiel de la COP 28, ce qui est intriguant, s’arrêtera le 31 Décembre à minuit !!??! J’en reste sans voix moi-même.

Un ex couple présidentiel qui se fait prophète ?

Je suis tout aussi dubitative pour ce film financé et produit par le couple OBAMA sorti le 8 décembre 2023 en France sur Netflix dont le titre est loin d’être anodin :  » Leave the World Behind » qui signifie « le monde après nous » ou plus exactement selon la traduction plus précise « laisser le monde derrière soi ».

Dès les premières images le décor est planté : on y voit le 666 caché dans les détails de manière ingénieuse ! Dès lors les subtilités et les messages dissimulés derrière le film « Leave the World Behind » utilisent le symbolisme pour transmettre des commentaires sociaux et politiques puissants. Des références double sens aux éléments prophétiques, nous voilà donc plongés dans un monde complexe de ce thriller dystopique. Le film aborde donc des thèmes tels que la culpabilité collective et la nécessité d’un gouvernement mondial. (Chaîne Iam Mazikeen – vidéo : ce film inquiétant produit par les Obama).

J’ai donc plongé dans ce film pour me faire ma propre opinion, et dès les premières images on ressent un sentiment d’angoisse et d’alerte.

On a l’impression d’un isolement total suite à une cyber attaque sur toute l’Amérique (et au-delà semble-t-il) paralysant le pays à tous niveaux. Plus de connexion nulle part, plus de téléphone, de télévision, plus de satellites en état de fonctionner ! Il en ressort un vague souvenir du confinement vécu il y a deux ans et une inhumanité flagrante.

Le film reflète le peu d’estime qu’ils ont pour nous, en mettant en scène :

⇒ Un père impuissant image de l’homme d’aujourd’hui brisé de son autorité naturelle et protectrice, un homme lâche et qui se dit inutile, une mère qui hait les gens, un adolescent tourmenté par la sexualité et une gamine accro à une série des années 2000, « Friends », dont un des acteurs principaux, Matthew Perry, est décédé de manière mystérieuse au mois d’octobre de cette année.

⇒ Mais ce qui m’a frappée c’est ce que dit un des acteurs (une représentation sans doute d’Obama) ; celui-ci, travaillant dans la rentabilité économique des campagnes militaires de la défense, comprend ce qui se passe et l’explique : il s’agirait d’un programme en trois étapes qui peut renverser le gouvernement intérieur d’un pays.

Le message est clair :

Etape 1 : L’isolement

Couper les communications et les moyens de transports, rendre la cible aussi sourde, muette et paralysée que possible et la préparer pour l’étape numéro 2

Etape 2 : Le Chaos synchronisé

Terroriser les cibles par des attaques furtives et de la désinformation en submergeant leurs capacités de défense et rendant leurs systèmes d’armes vulnérables aux extrémistes et à leur propre armée : sans ennemi ni mobile désigné, les gens se retournent les uns contre les autres !

Etape 3 : Le coup d’état

La guerre civile, l’effondrement.

« Si cette stratégie fonctionne, il en résulte un pays dysfonctionnel, vous n’aurez plus rien à faire : c’est elle qui le fera pour vous. »

Ce sont les dernières paroles prononcées dans le film.

Ma conclusion rejoint celle des croyants avertis :

Tout y est décrit: cyberattaque, conflits d’opinions, racisme, haine, nouveau confinement, impuissance et refuge dans l’indifférence ou les séries vidéo.

La dernière image est troublante : un bunker dans lequel la gamine s’est réfugiée, où non seulement le luxe est omniprésent tout comme la nourriture, mais aussi et surtout sa série « Friends » qu’elle idolâtre, trouvée parmi d’innombrables DVD ! Reflet d’une jeunesse qui vit à travers l’illusion et le virtuel en oubliant sa propre existence.

Quant à ce bunker, il en fleurit des milliers depuis ces dernières années, certains munis de tout, voire de l’impensable, et réservés aux riches.

Un avertissement ?

« Entre dans les rochers, Et cache-toi dans la poussière, Pour éviter la terreur de l’Éternel Et l’éclat de sa majesté. » Esaïe 2.10

Cela dit, on pourrait se demander pourquoi l’ex-couple présidentiel a produit et financé un tel projet ? Et pourquoi sa sortie en salle coïncide avec la conférence de la COP 28 ?

J’ai la conviction que nous devons rester prudents et attentifs pour l’année 2024 ; l’adversaire aime à travers des codes se vanter de ses plans. Nous devons donc nous attendre à des bouleversements étonnants. Néanmoins ne laissons pas la peur nourrir notre âme, car ceux qui sont dans l’amour et la fidélité attendent la venue de notre Prince de Paix, Yeshoua, dans les airs pour nous arracher à ce monde qui va être jugé car Dieu va accomplir sa Parole : Il l’accomplit toujours.

« Arrêtez, et sachez que je suis Dieu : Je domine sur les nations, je domine sur la terre. » Psaume 46.11
Merci à Thérèse Hartmann pour ses informations et ses sources.

Pour ceux qui veulent visionner la vidéo explicative du film voici le lien :

Témoignage d’un soldat Israélien sur les miracles à Gaza :
Edifiant témoignage d’une conversion d’un ancien djihadiste