(Note mAV: ceci m’a été envoyé. J’en ignore l’origine. Mais c’est du solide, à transmettre autour de nous – téléchargement du PDF ICILettre_au_medecin_invitant_a_se_faire_vacciner

Madame, Monsieur,

J’ai bien reçu l’invitation à recevoir un vaccin ARNm contre le SRAS-CoV-2 et vous en remercie.

Avant de prendre une quelconque décision y étant relative j’aimerais que vous m’informiez1 en me répondant par écrit2 sur les points suivants qui me semblent fondamentaux :

  1. Me donner la liste complète des ingrédients des vaccins mis en circulation actuellement dans notre pays ;

2. Me certifier que le vaccin que vous projetez de m’injecter ne contient pas de MRC5 (des cellules de fœtus avortés ou traces d’ADN humains), ce qui irait à l’encontre de mes convictions religieuses ;

3. Me certifier qu’il n’y a aucun risque de réactions iatrogènes ;

4. M’informer de toutes les contre-indications et de tous les effets secondaires potentiels, réparables ou irréparables, à court, moyen et long terme ;

5. Me certifier de façon sans équivoque et de bonne foi, dans le respect de l’article 13 de la Convention d’Oviedo3, que cette technologie n’a pas le potentiel de modifier l’ADN humain grâce à ce que l’on appelle la transcriptase inverse, qui permet explicitement le transfert d’informations de l’ARNm à l’ADN ;

6. Me certifier que ce vaccin ne contient pas d’inserts du virus VIH ;

7. Me certifier que le vaccin ne contient pas de puce d’Identification par Radiofréquence (Rfid) ou de nanotechnologie se présentant sous une forme quelconque ;

8. Me certifier que tous les paramètres médicaux concernant les essais et les études requis ont été satisfaits ;

9. Me préciser quels sont les autres traitements possibles pour lutter contre le SRAS-CoV-2, en détaillant les avantages et les inconvénients de chaque traitement, au sens de l’article 2 du Code de Nuremberg4.

De plus, je vous prie de bien vouloir me répondre simplement, par oui ou par non, aux questions suivantes :

  1. Si je me fais vacciner, puis-je arrêter de porter un masque ?

2. Si je me fais vacciner, puis-je arrêter la distanciation sociale ?

3. Si je me fais vacciner, dois-je encore respecter le couvre-feu ?

4. Si mes parents, mes grands-parents et moi-même sommes tous vaccinés, pouvons-nous nous étreindre à nouveau ?

5. Si je me fais vacciner, serai-je résistant à la Covid et à ses nombreux variants et pour combien de temps ?

6. Si je me fais vacciner, est-ce que j’éviterai les formes graves avec hospitalisation, ainsi que la mort ?

7. Si je me fais vacciner, serai-je contagieux pour les autres ?

8. Si j’éprouve une réaction indésirable grave, des effets à long terme (encore inconnus) entraînant même la mort, serai-je (ou ma famille) indemnisé ? Et par qui ?

D’autre part, outre vos réponses, je compte m’informer de façon contradictoire par les indications données par les laboratoires et les experts officiels du gouvernement, mais aussi par des scientifiques indépendants et des témoignages de personnes ayant déjà été vaccinées : ce n’est que lorsque j’aurai recueilli toutes ces informations que je serai à même de vous remettre mon consentement libre et éclairé (5), après avoir évalué objectivement la balance bénéfice/risque.

Le cas échéant, je reviendrai vers vous, en ayant éventuellement sélectionné le vaccin qui me conviendrait le mieux. Je suis en parfaite santé et n’ai nullement l’intention de voyager, ce qui me permet de prendre un peu de recul afin de prendre une décision réfléchie et responsable, ayant toujours en mémoire le serment d’Hippocrate qui reste la pierre fondatrice de notre médecine : « primum non nocere ».

Je vous prie d’agréer, Madame, Monsieur, mes salutations distinguées.


Notes :

1. « J’informerai correctement les personnes qui font appel à mes soins ». Serment d’Hippocrate, version adaptée par le Conseil national de l’Ordre des Médecins de Belgique (juillet 2011).

2. Loi du 22 août 2002 relative aux Droits du Patient– article 7 §2 : « La communication avec le patient se déroule dans une langue claire. Le patient peut demander que les informations soient confirmées par écrit. »

3. « Une intervention ayant pour objet de modifier le génome humain ne peut être entreprise que pour des raisons préventives, diagnostiques ou thérapeutiques et seulement si elle n’a pas pour but d’introduire une modification dans le génome de la descendance. »

4. « L’expérience doit être telle qu’elle produise des résultats avantageux pour le bien de la société, impossibles à obtenir par d’autres méthodes ou moyens d’étude, et pas aléatoires ou superflus par nature. »

5. « Le consentement volontaire du sujet humain est absolument essentiel. Cela veut dire que la personne concernée doit avoir la capacité légale de consentir ; qu’elle doit être placée en situation d’exercer un libre pouvoir de choix, sans intervention de quelque élément de force, de fraude, de contrainte, de supercherie, de duperie ou d’autres formes sournoises de contrainte ou de coercition ; et qu’elle doit avoir une connaissance et une compréhension suffisantes de ce que cela implique, de façon à lui permettre de prendre une décision éclairée. » Article 1er du Code de Nuremberg.