“Les uns disaient: Nous, nos fils et nos filles, nous sommes nombreux; qu’on nous donne du blé, afin que nous mangions et que nous vivions. D’autres disaient: Nous engageons nos champs, nos vignes, et nos maisons, pour avoir du blé pendant la famine. D’autres disaient: Nous avons emprunté de l’argent sur nos champs et nos vignes pour le tribut du roi. Et pourtant notre chair est comme la chair de nos frères, nos enfants sont comme leurs enfants; et voici, nous soumettons à la servitude nos fils et nos filles, et plusieurs de nos filles y sont déjà réduites; nous sommes sans force, et nos champs et nos vignes sont à d’autres. Je fus très irrité lorsque j’entendis leurs plaintes et ces paroles-là.” (Néhémie 5:2-6 )

“Jésus, revêtu de la puissance de l’Esprit, retourna en Galilée, et sa renommée se répandit dans tout le pays d’alentour.Il enseignait dans les synagogues, et il était glorifié par tous.Il se rendit à Nazareth, où il avait été élevé, et, selon sa coutume, il entra dans la synagogue le jour du sabbat. Il se leva pour faire la lecture,et on lui remit le livre du prophète Esaïe. L’ayant déroulé, il trouva l’endroit où il était écrit:L’Esprit du Seigneur est sur moi, Parce qu’il m’a oint pour annoncer une bonne nouvelle aux pauvres; Il m’a envoyé pour guérir ceux qui ont le coeur brisé, (4-19) Pour proclamer aux captifs la délivrance, Et aux aveugles le recouvrement de la vue, Pour renvoyer libres les opprimés,Pour publier une année de grâce du Seigneur.Ensuite, il roula le livre, le remit au serviteur, et s’assit. Tous ceux qui se trouvaient dans la synagogue avaient les regards fixés sur lui.Alors il commença à leur dire: Aujourd’hui cette parole de l’Ecriture, que vous venez d’entendre, est accomplie.” (Luc 4:14-21)

“Une femme d’entre les femmes des fils des prophètes cria à Elisée, en disant: Ton serviteur mon mari est mort, et tu sais que ton serviteur craignait l’Eternel; or le créancier est venu pour prendre mes deux enfants et en faire ses esclaves. Elisée lui dit: Que puis-je faire pour toi? Dis-moi, qu’as-tu à la maison? Elle répondit: Ta servante n’a rien du tout à la maison qu’un vase d’huile. Et il dit: Va demander au dehors des vases chez tous tes voisins, des vases vides, et n’en demande pas un petit nombre. Quand tu seras rentrée, tu fermeras la porte sur toi et sur tes enfants; tu verseras dans tous ces vases, et tu mettras de côté ceux qui seront pleins.” (2 Rois 4:1-4)

Néhémie 5:2-6; Luc 4:14-21; 2 Rois 4:1-4

Dans ces messages, nous laisserons à Néhémie, le grand serviteur du Seigneur de l’ancienne dispensation, le soin d’illustrer pour nous la restauration du témoignage du Seigneur dans sa plénitude, et de nous conduire en relation avec le sujet. Néhémie disait qu’il « accomplissait une grande œuvre » et que Dieu la lui avait mise à cœur. Notre préoccupation concerne la grande œuvre, correspondant spirituellement à ce que Néhémie a historiquement accompli dans la reconstruction de la muraille de Jérusalem, que Dieu accomplira à notre époque.

Nous allons examiner maintenant certaines de ces choses qui se trouvent derrière l’état de destruction de la muraille de Jérusalem. Nous avons observé que la condition de la muraille était une illustration ou une représentation de la condition spirituelle du peuple de Dieu à cette époque-là. Les raisons de la condition de la muraille se trouvaient dans la vie du peuple lui-même. Nous regardons à travers la muraille pour voir pourquoi c’était ainsi, et en faisant ainsi nous n’avons aucune difficulté à faire une transition entre cette époque-là et notre propre époque, ayant en perspective l’examen de l’état dans lequel nous sommes actuellement et ce qui nécessite d’être fait.

Une situation d’échec, de servitude et de mort

Le cinquième chapitre de Néhémie nous apporte la première des conditions, les conditions particulières, qui caractérisent cette muraille détruite, ou le peuple de Dieu tel qu’il était à cette époque-là, dont l’état était reflété par la muraille. Il était enchaîné et en proie à la faillite. Si vous aviez pu regarder la muraille, vous auriez dit : « C’est une très belle image de l’état de faillite du peuple du Seigneur à l’heure même. » Et cet état se trouvait en complète contradiction avec la pensée et la volonté du Seigneur.

C’était contraire à la liberté et la prospérité du peuple de l’Eternel tel qu’Il le désirait pour eux. « Et pourtant notre chair est comme la chair de nos frères, nos enfants sont comme leurs enfants; et voici, nous soumettons à la servitude nos fils et nos filles, et plusieurs de nos filles y sont déjà réduites; nous sommes sans force, et nos champs et nos vignes sont à d’autres. » (Néhémie 5:5). Et le Seigneur Jésus vint et proclama cette parole prophétique : « L’Esprit du Seigneur est sur Moi,… pour proclamer la liberté aux captifs,… pour rendre libres les opprimés. » (Esaïe 61:1; Luc 4:18).

C’est réellement ici la pensée du Seigneur pour Son peuple. Les chaînes parlent toujours de loi et de tyrannie, et par conséquent de crainte. Ces choses vont toujours ensemble – chaînes, loi, tyrannie et par voie de conséquence, peur, vie de crainte.

La muraille reconstruite : un rempart contre la crainte

Vous vous rappellerez un autre de ces incidents dans la vie du prophète Elisée, rapporté dans le deuxième livre des Rois, au chapitre 4. Vous connaissez l’histoire, mais ici elle est résumée en très peu de phrases. La mort est entrée; le créancier est venu exiger le paiement de ce qui est impossible à fournir. La loi est à la porte, menaçant de faire enchaîner, et la crainte a pris possession des cœurs.

Surplombant cette situation, se trouve Elisée, l’homme qui, nous le savons, représente et incarne la loi de l’Esprit de vie, qui s’occupe toujours des situations de mort et de leurs conséquences. Et ainsi donc, Elisée entre en scène, et en donnant la vie, en exerçant « la loi de l’Esprit de vie », il rend possible la satisfaction de toutes les obligations, satisfait au créancier, détruit la crainte et libère les fils.

Ceci est une merveilleuse image d’une grande partie de la vérité du Nouveau Testament. En effet, l’épître aux Galates constitue l’interprétation de ce petit incident. Cette épître, comme vous le savez, traite de la position des fils dans la servitude et montre que la libération se réalise au moyen de l’Esprit de vie, de la liberté de l’Esprit.

Eh bien, ceci prépare le terrain à l’application de ce message. Le Seigneur Jésus a dit, voyez-vous : « L’Esprit du Seigneur est sur moi… pour libérer les opprimés. » C’est l’Esprit qui prend le dessus sur la loi, l’Esprit de vie par opposition à la loi du péché et de la mort.

L’apôtre dit : « Car vous n’avez pas reçu un esprit de servitude pour être encore dans la crainte; mais vous avez reçu l’esprit d’adoption, par lequel nous crions : ‘Abba, Père’  » (Romains 8:15). Aux Galates, l’apôtre dit : « C’est pour la liberté que Christ nous a affranchis; demeurez donc fermes et ne vous faites pas de nouveau mettre sous le joug de la servitude » (Galates 5:1). Une nouvelle fois, l’apôtre dit aux mêmes personnes : « Nous aussi, de la même manière, lorsque nous étions enfants, nous étions sous l’esclavage des rudiments du monde; mais, lorsque les temps ont été accomplis, Dieu a envoyé son Fils, né d’une femme, né sous la loi, afin qu’il rachetât ceux qui étaient sous la loi, afin que nous reçussions l’adoption. » (Galates 4:3-5). Il y a les paroles suivantes qui nous sont si familières dans l’épître aux Hébreux : « … et qui peut délivrer tous ceux qui par crainte de la mort étaient toute leur vie soumis à la servitude » (Hébreux 2:15).

Que signifie « par crainte de la mort »? Si vous regardez le contexte de l’épître aux Hébreux, il est parfaitement clair qu’il s’agit de la crainte liée à la conséquence de la violation de la loi. Cette épître s’oppose entièrement à la loi, et ces Juifs savaient très bien quelle était la condamnation encourue par ceux qui violaient la loi.

Nous savons en lisant les incidents de l’Ancien Testament ce que cela signifiait pour les gens qui transgressaient la loi. Dans certains cas, on les emmenait hors de la ville et ils étaient lapidés. C’était la mort. Ainsi donc, la loi pendait au-dessus d’eux comme une épée; ils vivaient dans cette crainte et cette épouvante de transgresser la loi et donc d’encourir la peine de mort. « Toute leur vie », à cause de cette loi, ils étaient « soumis à la servitude » « par crainte de la mort ». Mais écoutez les paroles d’un autre : « Il n’y a pas de crainte dans l’amour; parce que l’amour parfait bannit la crainte » (1 Jean 4:18). Comme cela est vrai !

Qu’est donc cette muraille? Eh bien, dans son état de destruction, cela signifie que quelque chose est arrivé qui a amené la mort. Ce quelque chose est le règne de la loi qui ne pouvait pas être accomplie. Le créancier ne pouvait pas être apaisé, pas être satisfait. La loi était le créancier. Brisez la loi, et vous vous mettez dans des chaînes, sous la servitude. C’est la mort, la mort à tout, la mort alors que vous vivez, qu’être sous cet horrible fardeau de la loi. Reconstruire la muraille, dans ce cas, signifie juste que d’une certaine façon un témoignage est restauré, que le peuple de Dieu est un peuple libre, que le créancier a été remboursé et a recouvré ses affaires, qu’il est satisfait. Cela veut dire que la mort a été détruite, les liens ont été brisés. Ils ne sont pas seulement dehors; ils ne sont pas simplement libres, en restant pauvres; ils sont devenus affluents des richesses célestes, en tant que peuple libre et prospère du Seigneur.

N’êtes-vous pas d’accord qu’il y a un besoin de quelque chose de ce type qui doit être restauré parmi le peuple de Dieu aujourd’hui? Que ce soit la loi de l’Ancien Testament ou la loi du Nouveau Testament, un grand nombre de gens ne jouissent pas de la liberté de la vie de l’Esprit. Même le Nouveau Testament, avec ses grandes doctrines, a été cristallisé en un système de loi, et les gens sont intimidés par ce dernier. Le fondamentalisme est ainsi. Le fondamentalisme en tant que tel peut devenir un système de loi sans vie. Les vérités du fondamentalisme sont justes, mais par lui-même, il tombe dans la catégorie de ce dont l’apôtre a parlé lorsqu’il a fait une distinction entre la lettre et l’Esprit (Romains 7:6).

En effet, il a dit : « Vous pouvez avoir la lettre qui est parfaitement juste, parfaitement précise, parfaitement vraie, mais même la vérité formulée avec précision peut devenir quelque chose qui vous amène dans la servitude et vous dérober votre liberté et votre joie et votre prospérité. » En d’autres termes, le fait que vous soyez parfaitement orthodoxe et correct dans votre doctrine n’est pas une preuve que vous êtes un des gens libres du Seigneur qui jouissent de cette richesse et de cette prospérité du Seigneur.

Il se peut que vous traîniez ce lourd fardeau de l’orthodoxie autour de votre cou et que vous ne soyez pas heureux du tout dans votre christianisme, craignant de transgresser quelque principe, quelque vérité. Vous pouvez être une personne très misérable dans l’absolue orthodoxie et l’exactitude d’enseignement et de doctrine. Non : tandis que la doctrine peut être juste, et tandis qu’il est possible que nous soyons dans la vérité, il est ce facteur supplémentaire qui signifie que vous et moi sommes des personnes de Dieu libérées; nous jouissons de la liberté de l’Esprit et de la vie de l’Esprit.

Ainsi donc, cette muraille représente ou parle d’un rempart contre la crainte. Toute muraille d’une ville a cette signification. C’est son but, elle mérite son nom; et remarquez qu’ils construisaient des murailles très solidement et très consciencieusement à cette époque là. On ne construisait rien à la légère, rien qui pût s’effondrer quoi que pût dire Tobija : « Tobija, l’Ammonite, était à côté de lui, et il dit: Qu’ils bâtissent seulement! Si un renard s’élance, il renversera leur muraille de pierres! » (Néhémie 4:3). Que tous les renards de la création s’avancent contre cette muraille et ils ne la renverseront pas. Les murailles sont destinées à être des remparts contre la crainte. Vous rentrez à l’intérieur de cette muraille, et vous êtes en sécurité, vous êtes libre de la crainte – libre du sentiment d’être conduit dans la captivité. C’est cela la signification de la muraille. Maintenant, le témoignage que le Seigneur voudrait devrait être d’après le modèle – que le peuple du Seigneur sache qu’il se trouve dans un endroit absolument sûr et en sécurité. Il n’a pas besoin du tout d’avoir crainte : toute crainte est détruite; il n’est pas sous la servitude de la crainte. Il a été glorieusement délivré. Pour reprendre les termes de l’épître aux Galates, ils sont fils.

Ils ne sont pas esclaves; ils sont venus maintenant vers un père. Ils ne sont pas simplement des élèves – car l’apôtre, comme vous le savez, dit que la loi était notre tuteur (Galates 3:24). Mais nous ne sommes plus assujettis au tuteur. Nous sommes fils, pas des élèves; nous sommes fils, pas des prisonniers. En tant que fils, nous sommes libres.

La muraille, alors, parle de sûreté, de sécurité, d’affranchissement de la servitude de la crainte – oh! que le Seigneur puisse avoir un peuple comme cela !

Maintenant, quel est votre témoignage ? Le témoignage du Seigneur est vraiment comme cela. Quel est le votre ? Vivez-vous dans la servitude – servitude de Nouveau Testament – servitude de la crainte ? Vivez-vous chaque jour dans la crainte de faire le mal, sous la menace du ‘grand bâton’, et même le bâton de votre propre conscience? Vivez-vous dans la crainte, ayant un visage malheureux, en raison de cette tyrannie terrible ? Ce n’est pas la volonté du Seigneur pour nous. Le Seigneur veut que Son peuple soit complètement délivré de la crainte : car « vous n’avez pas reçu l’esprit de la servitude pour être encore dans la crainte; mais vous avez reçu l’esprit d’adoption, par lequel nous crions : Abba, Père « (Romains 8:15).

Toutes les Dettes Payées

Cette muraille parle ensuite également des dettes entièrement payées et des riches rémunérations de la grâce. C’est là le simple Evangile de base, mais il est glorieux. Toutes les dettes étant payées, le créancier est satisfait. Le Seigneur Jésus a accompli cela pour nous par Sa croix. Il a payé toute la dette de la loi, a satisfait la loi, et a renvoyé le créancier à ses affaires. Il nous a libérés de ce dernier – la loi; libérés de toutes nos dettes. Ah, c’est une chose merveilleuse de savoir que toutes vos dettes spirituelles sont payées. C’est une chose terrible de savoir que vous avez à faire face à cette loi de Dieu et à lui répondre – cette loi qui dit que si quelqu’un ne paye pas ses dettes, il a en quelque sorte le devoir de satisfaire à cette exigence dans le temps présent et dans l’éternité. Mais le véritable enfant de Dieu, qui sait ce que le Christ a fait pour lui ou pour elle, est toujours prêt à chanter :

 

Libéré de la loi – oh, quelle heureuse condition !

Jésus a versé Son sang, et il y a rémission.

 

L’Exemption de la Jérusalem Céleste

Ensuite cette muraille, étant la muraille de Jérusalem, pointant vers une autre Jérusalem, une Jérusalem spirituelle céleste, parle de l’exemption céleste, de l’exemption de la Jérusalem céleste, les hommes libres du ciel.

Vous vous rappelez, à une certaine occasion, quand l’apôtre Paul a été fait prisonnier, il a été amené devant le centurion romain, et allait être interrogé par le châtiment, c’est-à-dire qu’ils allaient appliquer la méthode du  »troisième degré  » qui consiste à faire sortir de sa bouche tout ce dont on l’accusait. Notre traduction ne nous rend pas dans toute sa force de ce qui s’est passé. Elle nous dit juste qu’il était « lié ». En réalité, littéralement nous avons ceci : ‘ils l’avaient écartelé ‘; et cette méthode appliquée par les Romans était très sévère en effet.

Si terrible était cette posture associée au fouet que l’homme qui avait été écartelé avec les mains et les pieds solidement attachés, risquait souvent, comme conséquence, la mort, ou de devenir estropié à vie. Quand Paul fut placé dans cette position, il demanda : « Est-il légal de châtier un homme qui est Romain, et qui n’a pas été jugé? » (Actes 22:25). L’officier, pensant qu’il était dans ses droits, répondit : « C’est avec une grande somme que j’ai obtenu cette citoyenneté ». ‘J’ai acheté ma liberté pour faire ce que je veux – je suis juste en train d’exercer mes droits en tant qu’homme libre, liberté que j’ai achetée à grand prix.’ Paul répondit : « Mais je suis né libre » (Version Autorisée).

Maintenant, lorsque l’officier en chef entendit ce que Paul avait dit, une horrible crainte le saisit du fait qu’il avait capturé un homme libre, un citoyen né libre de l’Empire Romain, et que non seulement il l’avait fait enchaîner et lier, mais encore que Paul était à deux doigts d’être battu. Un homme né libre ne devait pas être traité de cette façon là. Il avait l’exemption de l’Empire derrière lui. C’était un bien plus grand privilège d’être né libre que d’acheter sa liberté.

Naître libre signifiait que vous ne pouviez pas vous faire lier, vous ne pouviez pas être battu, vous ne pouviez pas être traité de cette façon là, et malheur à l’homme qui essayait de le faire – il devait répondre à l’Empereur. Toute la force de l’Empire romain était derrière l’homme qui était né libre, et Paul savait ce que cela voulait dire. Ainsi l’officier fut saisi complètement de terreur quand il se rendit compte qu’il traitait un homme né libre comme cela.

Comprenez-vous l’illustration ? Oui : nous sommes les fils premiers-nés, dit la Parole; nos noms sont inscrits dans le ciel, nous avons l’exemption du royaume de Dieu; nous ne pouvons pas être liés, nous ne pouvons pas être battus par la loi, nous ne pouvons pas être traités de la sorte, traités aussi durement, par ce tyran. Peu importe si elle prétend avoir le droit de le faire, il y a un droit plus élevé. C’est le droit lié à la position de fils. On ne peut pas traiter les fils de Dieu comme on traite les autres. C’est une illustration merveilleuse de cette grande vérité.

La muraille de Jérusalem signifie qu’il y a quelque chose qui est la clôture d’un peuple céleste, qui a été délivré de la servitude, mis en liberté par rapport à toutes dettes, et qui marche dans les bienfaits de sa position de fils – c’est le peuple libre de Dieu, le peuple prospère de Dieu. C’est là la vérité de la Parole de Dieu. La position de fils est quelque chose qui doit être appréciée, et cette muraille n’est aucunement une image de la joie et l’état de ces gens n’est aucunement l’image de la joie. C’est une contradiction avec ce que le Seigneur voudrait. Nous venons juste de voir comment Il voudrait que les choses soient.

Référence: The Recovery of the Lord’s Testimony in Fullness (La Restauration du Témoignage du Seigneur dans sa Plénitude), T. Austin Sparks- chapitre 5