(La déesse Britannia)

 » Car il n’y a rien de caché qui ne doive être découvert, ni de secret qui ne doive être connu  » (Mat 10 :26)

ALBION : du latin alba, qui signifie blanc. L’écrivain Pline l’Ancien mentionne ce nom dans son ouvrage  » Albion et Albiones « . Selon une légende celtique, le nom Albion viendrait d’Albine, aînée des Danaïdes, condamnées à  errer en mer après avoir tué leurs époux et ayant échoué en terre anglaise. Une autre explication attribue le nom Albion à  un géant, fils du dieu Neptune. L’Angleterre surnommée la  » fille des mers  » sera personnifiée ensuite sous les traits de Britannia, qui est le nom latin de la Grande-Bretagne, pays des bretons, à  l’instar de Marianne, personnification féminine de la République française.

La déesse Britannia

Mais pourquoi la perfide Albion ?

Bon nombre de faits politiques et historiques démontrent que l’Angleterre n’a pas toujours eu une attitude fair-play si l’on peut dire…pour ne citer que quelques exemples parmi d’autres, lors de la bataille d’Azincourt en 1415 l’exécution des prisonniers français par les anglais sur ordre d’Henri V, en 1801 Horace Nelson, ignorant les ordres de son  » chef  » l’amiral Hyde Parker met à  mal la flotte danoise lors de la bataille de Copenhague.

En 1940, l’opération catapult mise au point à  l’initiative des britanniques pour neutraliser la marine française à  Mers-el-Kébir, sous le prétexte d’éviter qu’elle ne tombe aux mains de l’ennemi, entraîne la mort de centaines de marins et la quasi-destruction des bâtiments de guerre français présents, alors que l’armistice avait été signée entre la France et le troisième Reich…

Les relations franco-britanniques n’ont jamais été au beau fixe, et cela se confirmera lorsque le Général de Gaulle, par deux fois, s’opposera fermement à  l’entrée de la Grande-Bretagne dans le Marché Commun (CEE) en 1963 et en 1967, connaissant et redoutant l’état d’esprit liant celle-ci aux États-Unis. Le Général pressentait, – et on saura par la suite qu’il avait pleinement raison- qu’il se tramait quelque chose d’anormal dans l’empressement que manifestait le trust anglo-saxon à  l’endroit de la construction européenne. Pour la  » petite histoire « , Jean Lacouture, biographe du Général écrit :  » De Gaulle devait établir une position de force incontestable en Europe pour contrecarrer la liberté du commerce à  la britannique qui visait un nouvel ordre mondial et impérial. C’est pour cette raison qu’il fallait que la France soit l’un des trois piliers du monde libre, par opposition à  son rôle de colonne du temple européen. « . C’est Georges Pompidou qui fera en sorte que le Royaume- Uni finisse par se rallier à  la CEE le 23 juin 1971… (Il avait été directeur général de la Banque Rothschild de 1954 à  1958 puis de 1959 à  1962, simple coïncidence sans doute !)

Aujourd’hui, en 2001, qui pourrait encore nier que l’Union Européenne est le fruit mûrement réfléchi, calculé, mis au point conjointement par les États-Unis et l’Angleterre, et ce depuis les années 50, selon deux objectifs essentiels :

1) Imposer aux nations européennes une vision géopolitique et militaire conforme à  leurs intérêts (des nations anglo-saxonnes)
2) Imposer une politique économique et commerciale conforme aux intérêts de l’oligarchie financière, représentée par les familles Rockefeller (États-Unis) et Rothschild (Angleterre).

Le but ultime, nous l’avons déjà  souligné, de l’élite financière, est de former et d’imposer un gouvernement mondial unique et d’instaurer un régime politico-économique d’essence marxiste-communiste basé sur l’exploitation des couches les plus humbles de la société comme  » outils de production  » afin de satisfaire les ambitions et les exigences d’une aristocratie totalement décadente et sans états d’âme.

Mais tout ceci ne pourrait avoir lieu sans l’influence déterminante des sociétés et groupes occultes qui travaillent sans relâche depuis des décennies à  l’émergence de cet  » Etat mondial « . Nous connaissons déjà  le Groupe de Bilderberg que nous avons évoqué dans de précédents articles, qui réunit chaque année une centaine de ces personnages les plus influents du monde de la finance, de l’industrie et des grands trusts internationaux. Ils sont à  l’origine de la déconfiture actuelle de l’économie des pays européens (Grèce, Espagne, les autres attendant leur tour…) et poursuivent la mise à  sac et la destruction de l’économie américaine. Ils contrôlent l’ONU et son bras armé l’OTAN.

La Round Table

Les Chevaliers de la Table Ronde

Cette société secrète typiquement anglaise fut fondée en 1909 par Alfred Milner (1854-1925), un des épigones du richissime diamantaire colonialiste Cecil Rhodes (1853-1902) qui rêvait, entre autre, de créer une gigantesque ligne de chemin de fer entre l’Afrique du sud et Le Caire afin d’exploiter et de piller du mieux possible les minerais et diverses richesses du sous-sol africain.

Historiquement, la Round Table se rattache à  l’aventure des chevaliers de la Table Ronde partis à  la recherche du  » fameux  » St Graal, cet objet mythique de la légende arthurienne, qui, dit-on, aurait servi à  recueillir le sang de Notre Seigneur Jésus-Christ … Bien entendu cet objet n’a jamais été trouvé, et cette histoire on ne peut plus farfelue a cependant donné naissance à  d’abondantes hypothèses et suscité d’innombrables œuvres littéraires ou artistiques qui relèvent bien du mysticisme et de l’ésotérisme purs, propres à  cette époque, que maints auteurs contemporains ont repris pour leur plus grand bénéfice.

Les membres fondateurs de cette secte, outre lord Milner, furent Nathan Rothschild, Arthur Balfour(*), ainsi que les écrivains Rudyard Kipling (Le Livre de la jungle), H.G. Wells (La guerre des mondes), A. Huxley (Le meilleur des mondes). Wells appartenait aussi à  la Fabian Society (Société Fabienne) laquelle représentait un mouvement intellectuel dont le but était de promouvoir la cause socialiste dans le monde. En février 2007, cette Société Fabienne s’est introduite en France, dans le XIVe arrondissement de Paris, sous l’appellation  » École Économie de Paris « , directement inspirée de la London School of Economics qui date de 1884. Sous le nom PSE (Paris School of Economics), elle fut inaugurée sous la présidence de M. Dominique de Villepin, ancien élève de la très sélect Harvard Business School, dispensatrice d’enseignements très internationalistes-de gauche- et membre invité occasionnel du Bilderberg Group.

La structure de ce groupe était, tout comme les SS d’Hitler, basée sur l’Ordre des Jésuites, ce qui n’est pas étonnant lorsque l’on sait que cet Ordre religieux- bras armé du Pape et ordre secret qui tient le Vatican- avait la totale mainmise sur le système bancaire par le truchement de la Maison Rothschild ; Cecil Rhodes nomma d’ailleurs Nathan Rothschild administrateur de sa fortune.

Le but principal poursuivi par la Round Table était de rétablir la domination de l’Empire britannique et d’étendre l’utilisation de la langue anglaise partout dans le monde. Ainsi fallut-il tout d’abord ramener les Etats-Unis d’Amérique sous la tutelle du Commonwealth, Rhodes étant convaincue que seule l’élite britannique devait régir le monde pour le bien de l’humanité. Peu après sa fondation, la RT devint un rejeton, le plus puissant sans doute, de la Franc-maçonnerie anglaise. Elle se reliait aux sionistes par les Rothschild, ainsi qu’aux familles américaines Morgan, Rockefeller, Warburg, Guggenheim et Carnegie. D’autres personnages tels le  » Colonel  » E. Mandell House, éminence grise du Président W. Wilson, Benjamin Strong, furent très influents au sein de la maçonnerie d’Outre-Atlantique.

D’importantes branches sont directement issues de la Round Table anglaise qui jouent un rôle de tout premier plan dans la stratégie des  » bandits aristocrates  » : le Royal Institute of International Affairs (RIIA) ou Institut Royal des Affaires Internationales, qui prit naissance également à  Londres en 1919 et qui n’est autre que le bras exécutif de la politique étrangère de la monarchie britannique, le Council on Foreign Relations (CFR) c’est-à -dire le Conseil des Relations Étrangères, organisé en 1921 à  New-York, les Institutes of International Affairs au Canada, en Australie, en Afrique du Sud, en Inde et en Hollande, et l’Institute of Pacific Relations ( IPR)ou Institut des Relations au Pacifique en Chine, en Russie et au Japon. Une branche américaine de la RT fut révélée par un professeur de l’Université de Georgetown- qui appartient aux Jésuites- le Professeur Carroll Quigley, qui fut mentor de l’ancien Président Bill Clinton.

Un autre groupe de réflexion, l’Aspen Institute, née dans le Colorado, a joué, conjointement avec le RIIA, un rôle prédominant dans la guerre des Malouines opposant l’Argentine à  la Grande-Bretagne entre avril et juin 1982. On sait à  présent que, à  la suite de cette guerre d’intimidation, qui consistait pour la Grande-Bretagne à  réaffirmer sa suprématie politique, financière et militaire, le renversement du gouvernement argentin qui provoqua le chaos économique et les bouleversements politiques majeurs qui s’ensuivirent, avait été planifié par Kissinger Associates, en collaboration avec Lord Carrington (haut placé dans le conseil du Bilderberg Group). En dehors des motifs strictement  » impérialistes  » de ce conflit, la véritable raison était de mettre hors d’état de nuire la coopération très fructueuse économiquement parlant entre l’Argentine, la plus riche nation d’Amérique du Sud, et le Mexique à  qui elle procurait l’essentiel de sa technologie nucléaire, ce qui n’avait pas l’avantage de plaire aux Maîtres du monde, en particulier l’élite du Bilderberg.(*) N’oublions pas que ces hauts personnages fortunés sont littéralement obsédés d’un côté, par l’éradication de tout nationalisme, indépendance et intégrité souveraines, d’un autre côté par le souci de ramener les économies des pays émergents à  un taux de croissance zéro, ce qui leur permettra de pouvoir, en toute impunité, se livrer à  l’exploitation des richesses en utilisant une main d’œuvre locale, dont les salaires seront ridiculement bas. C’est ce qu’ils nomment sans aucune honte  » l’esclavage des peuples « – en anglais nations enslavement. Margaret Thatcher, qui fut Premier Ministre britannique lors de cet épisode glorieux et qui décida de l’entrée en guerre, fut proprement  » débarquée  » du gouvernement par son propre parti, après ce coup d’éclat pour lequel elle avait été utilisée, au profit de John Major, valet des Bilderbergers.

Le Tavistok Institute

Cet organisme, Tavistok Institute for Human Relations, n’est pas une agence matrimoniale… c’est encore un parangon des multiples sociétés, filiales, groupes, directement issus et financés par le Bilderberg Group. Basée en plein centre de Londres, cette instance fait partie des fondations chargées de concevoir des programmes de manipulation mentale des masses en fonction des objectifs définis par l’élite mondialiste. Le Tavistok Institute fait partie d’un cercle de pouvoir qui constitue la troisième branche du Nouvel Ordre Mondial, la première étant la Franc-maçonnerie et, aux plus hauts degrés, la horde sauvage des illuminatis, la seconde étant représentée par tous les groupes mondialistes annexes et non moins importants que nous avons déjà  abordés, à  savoir Bilderberg, CFR, Trilatérale, etc…

Le TI, fut fondé par un des membres des services secrets britanniques et américains, John Rawlings Reeves, de l’OSS ancêtre de la CIA, en 1946. Un chercheur en psychologie d’origine allemande, Kurt Lewin, par ailleurs fondateur du National Training Lab., centre de psychologie clinique de Harvard, fut le principal acteur au sein du TI. Ce Lewin est connu pour ses  » travaux  » en matière de manipulation, de comportement des masses et de lavage de cerveau obtenus par l’emploi de tortures et de traumatismes répétés. Il est un défenseur de la théorie de la table rase, qui consiste à  induire des phénomènes de terreur dans une société afin de la conduire à  un état d’hébétude favorisant le contrôle et la manipulation. D’autres recherches pratiques se concentrent sur les diverses façons de provoquer un chaos social, engendré par des traumatismes sociaux, crises économiques et politiques, conflits sociaux… propres à  engendrer l’effondrement des institutions et l’émergence de groupes extrémistes. Il se produit alors une dissociation entre l’individu et la société qui n’offre plus que des produits de sous-culture et d’abêtissement généralisé, par le truchement des médias électroniques qui deviennent les seuls moyens de communication entre les êtres.

Voici, pour résumer et illustrer le propos, ce qu’écrivit en 1970 M. Brzezinski, membre du CFR et mentor de Barak Obama, dans un ouvrage intitulé  » Entre deux âges, le rôle de l’Amérique dans l’ère technotronique  » :

 » En même temps, la possibilité d’exercer un contrôle social et politique sur l’individu ne fera qu’augmenter ; il sera bientôt possible d’exercer un contrôle continu sur chaque citoyen par le biais du dossier, avec une information sans cesse renouvelée et contenant les détails les plus intimes sur son état de santé et son comportement personnel, en plus des données habituelles. Le pouvoir sera entre les mains de ceux qui détiendront l’information. Nos institutions en place seront remplacées par des institutions de gestion et de prévention des crises. Leur tâche sera d’identifier à  l’avance les crises sociales et de développer les programmes pour y répondre. « (**)

Le Tavistok Institute est financé par l’OMS, le Ministère des Affaires Étrangères Britannique, la Fondation Rockefeller, la Fondation Ford… il est également relié à  l’Organisation Mondiale de Santé Mentale, à  l’UNESCO, et bien sûr au CFR. Il joue également un rôle clé dans l’invention d’une psychiatrie sociale, en tant que science politique permettant l’utilisation de techniques préventives d’intervention à  large échelle. En un mot, la  » tactique  » utilisée pour provoquer cette dissociation sociale est : dire à  la population ce qu’elle veut entendre et lui cacher ce qu’elle ne veut pas entendre.

Un exemple très frappant de la manière dont on manipule une société s’applique à  l’actuel Président Barack OBAMA.

Obama est un  » pur produit  » de la Commission Trilatérale, et il est lié au Groupe Bilderberg. Il s’agissait de faire de M. Obama le centre de tous les espoirs, croyances et volontés de changement, après la haine soulevée à  l’endroit de G.W. Bush et sa « sale guerre  » contre l’Irak (qui s’est révélée être un désastre abominable et un gâchis monstrueux). L’opinion publique s’est laissé manipuler et focaliser sur ce  » nouveau sauveur  » de l’Amérique en la personne d’Obama. Pour cela il utilise toutes les meilleures techniques de manipulation et de contrôle psycho-mental, visant à  implanter des croyances et des perceptions dans l’esprit du public. Mais ne nous y trompons pas, le  » règne  » d’Obama sera un échec total et l’avenir nous apprendra comment il aura bel et bien été utilisé par l’oligarchie. Un pouvoir chasse l’autre…

Pour en finir avec l’Angleterre…

La perfidie d’Albion est d’abord à  rechercher du côté de la famille royale britannique. Son rôle politique apparent n’a jamais été aussi symbolique qu’à  notre époque, et si l’on en croit les magazines people et autres journaux du dimanche, on peut effectivement bien penser que le pouvoir de la Couronne semble vraiment dérisoire, voir anecdotique ou folklorique.

Or il n’en est rien.

Le pouvoir réel en Grande-Bretagne, si on laisse de côté les institutions officielles (Chambre des Communes, Chambre des Lords) qui représentent le gouvernement visible, est réparti de deux manières :

1. Le pouvoir économique et financier détenu par la City de Londres.
2. Le pouvoir occulte dont la Reine Elisabeth II est la principale dirigeante.

La City de Londres, un  » État dans l’État  » tout comme le Vatican l’est par rapport à  l’Italie. Selon Wikipédia  » La City est le cœur historique de Londres, englobant largement en son sein le périmètre du Mur de Londres, ancienne enceinte ceinturant l’antique cité romaine de Londinium.  »

La City, qui a pour emblème un dragon ( !), comprend deux enclaves : l’Inner Temple et le Middle Temple, qui ne sont pas administrées par le Lord-Maire. La Temple Church (Église du Temple) réunit ces deux enclaves, devenues des Inns of Court, c’est-à -dire des institutions de formation professionnelle pour avocats et juges. La Temple Church fut bâtie par les Chevaliers de l’Ordre du Temple au XIIe siècle pour y installer le siège de leur Ordre pour l’Angleterre où il acquit une grande puissance. Curieusement, l’Église des Templiers ne fut pas touchée lors du grand incendie de Londres en (1)…666 !

La City de Londres est principalement composée de banques, de la Bourse de Londres, de compagnies d’assurance, de grandes entreprises et de sociétés éditrices de presse. A elle seule, elle représente environ 13% du PIB britannique.

Angleterre ancienne

La puissance financière de Londres est ancienne, entièrement liée à  l’aristocratie anglo-saxonne. Dès le XIIIe siècle, la Couronne doit composer avec l’élite financière, marchande, commerciale, aux ambitions planétaires (déjà ), et très active grâce aux groupes de pression (lobbies), arrosant le Parlement comme les médias et tous les centres de pouvoir en général.

L’élite financière londonienne a rapidement nourri des rêves de domination, espérant mettre les marchés économiques et financiers du monde entier sous la férule de la City. Les méthodes et les principes mis en œuvre par la City sont implacables, et ne veulent pas s’encombrer de considérations humanitaires inutiles. D’ailleurs, les cerveaux  » bien-pensant  » de l’élite estiment qu’il est grand temps de mettre un terme à  une croissance démographique galopante qui mettrait en péril leurs plans machiavéliques de domination mondiale. En clair, éliminons le maximum d’inutiles à  notre future société idéale dans laquelle n’existeront plus que des serfs assujettis à  leurs seigneurs. Telle est leur devise.

La Grande-Bretagne a été un levier important dans la création de l’Union Européenne, et nous avons vu plus haut combien un homme comme Charles de Gaulle craignait l’hégémonie de l’Angleterre sur le monde occidental. De plus en plus inféodée à  la politique des États-Unis elle est en train de créer le bloc Euro-Atlantique prévu pour 2015 (sous réserves).

Le Nouvel Ordre Mondial sera donc anglo-saxon, avec des résurgences mal déguisées du nazisme allemand du IIIe Reich.

La Famille Windsor…et consorts

La famille régnante actuelle, sous l’égide de la Reine Elisabeth II, descend en droite ligne de la dynastie mérovingienne. Le Prince Bernhard des Pays-Bas, lui-même (fondateur du Bilderberg Group) ne se lassait pas de le répéter à  qui voulait l’entendre, puisqu’il s’avère que toutes les grandes familles régnantes en ce monde en fait proviennent de la même lignée de sang. D’innombrables alliances consanguines ont donc été réalisées au cours des siècles au sein de toutes ces familles, afin de conserver la  » pureté du lignage « . Comment alors s’étonner que des nations entières aient été placées sous de terribles malédictions, ayant à  leurs têtes des rois, ou empereurs ou même des chefs d’État, hommes et femmes dégénérés, fruits de telles unions que la Parole de Dieu réprouve totalement ?

Après Guillaume III d’Orange, la dynastie de Hanovre s’occupa de la maison royale britannique. Les Windsor, en réalité, descendent en ligne directe de la maison de Hanovre. C’est Edouard VII qui, lors de son mariage, remplaça le nom de Hanovre par celui de Saxe-Cobourg-Gotha, nom du père allemand d’Edouard. Mais en 1917, ce nom fut de nouveau changé en Windsor. C’est sous ce nom que règne donc de nos jours la famille royale britannique. La Famille Royale, pour terminer, est donc d’une part, apparentée à  la dynastie mérovingienne, et d’autre part aux dynasties allemandes (Bavière, Saxe, Baden…). Pour ne citer qu’un exemple, Frédéric le Grand- le  » Despote éclairé « – est un ancêtre de Philip Mountbatten, Prince Philip d’Édimbourg. La Famille royale anglaise a également des liens du sang juif, notamment les Stuarts, dont descendait la Princesse Diana, décédée, ou plutôt sacrifiée devrait-on dire, dans un accident de la circulation, au 13è pilier du Pont de l’Alma en août 1997.

Ses descendants, les Princes William et Harry auraient donc du sang juif qui coulerait dans leurs veines…

(A suivre…)

Soyez bénis.

 » Puis je vis monter de la mer une bête qui avait dix cornes et sept têtes, et sur ses cornes dix diadèmes, et sur ses têtes des noms de blasphème .

Le dragon lui donna sa puissance, son trône et une grande autorité

Il lui fut donné de faire la guerre aux saints et de les vaincre. Il lui fut donné autorité sur toute tribu, tout peuple, toute langue et toute nation. Et tous les habitants de la terre l’adoreront, ceux dont le nom n’a pas été écrit dans le livre de vie de l’Agneau qui a été immolé dès la fondation du monde . «  (Ap 13 :1 ; 2 ; 7-8)

(*)  » La véritable histoire des BILDERBERGERS  » par Daniel Estulin/ Editions Nouvelle Terre (2007)

(**)  » L’institut Tavistok  » Richard Pellerin/ Documents Google.