La raison est simple : la chrétienté -dite de Dieu- (mais qui ne l’est pas) : je parle ici de l’assemblée de moutons qui suivent le mouvement illico, et sans attendre de chercher à connaître et à comprendre ce qui se peut cacher en arrière-plan.
Je parle de la chrétienté qui se range systématiquement du côté de son chef d’État et avale sa nouvelle propagande, pourtant pour une autre cause, dans une autre direction, pour une autre « guerre », celle de l’Ukraine-Russie. La propagande mensongère serait-elle devenue soudain vertueuse ? Bref cette chrétienté qui n’entend pas la voix de Dieu suit la « bien-pensance » de son État, contre un autre chef d’État du nom de Poutine. Voire contre toute la Russie.
Comment pourrait-il en être autrement ? Officiellement, et visiblement, c’est bien Poutine, l’agresseur.
Au fait, cette chrétienté-là est-elle encore capable d’entendre la voix de Christ, ou de chercher Sa face avant de parler, de décider et d’agir ? « MES brebis entendent ma voix »
Quand on affirme et qu’encourage les brebis à se faire injecter sans se poser des questions, sans avoir fait des recherches, sans avoir investigué et interrogé avec un esprit assoiffé de vérité et pris le temps nécessaire avec Celui que l’on proclame comme le Sauveur de l’humanité, peut-on être étonné ?
Quand on pousse toutes ces âmes en quête de réconfort à porter un bout de tissu pour louer le Roi des Rois, à obéir à la distanciation anéantissant la fraternité qui console et apaise dans un Lieu sensé être Saint, peut-on rester inébranlable ?
L’aveuglement ne peut que se poursuivre et atteindre son apogée avec une nouvelle épreuve, un nouveau défi, et un nouveau choix, qui va achever le gouffre qui s’est déjà creusé durant ces deux dernières années entre les chrétiens vaccinés et les autres.
Et voilà, qu’un frère à 500 kms de cette sœur m’annonce cette triste réalité, me rapporte la même nouvelle, et même pire que je n’ose écrire tellement ma tristesse et ma colère sont bouillonnantes !
Les « vaillants guerriers » spirituels sont hors institution, pour la plupart, et je remercie Dieu pour leur aide inestimable et la puissance qu’ils ont, cachés pour la plupart, parce que Dieu le veut ainsi. Pour l’instant !
Et puis, il y a une cette étrange pensée, lancinante, cette révélation issue d’une réflexion incessante qui m’a bouleversée mais que je me dois de partager.
La marque de la bête.
Qu’en sera-t-il de la marque quand elle s’offrira à l’ensemble des chrétiens ?
Maintenant je sais, j’en suis intimement convaincue, et j’attends comme toujours la confirmation de deux ou trois témoins qui ne se connaissent pas, et donc ne se sont pas concertés : c’est incontournable.
La marque, elle n’est pas ce que vous imaginez, c’est plus pernicieux, d’une séduction puissante, surnaturelle et d’une ruse imparable.
Et je crains que le piège du mensonge, ce voile d’égarement que Dieu mettra lui-même sur l’humanité, ne soit, encore une fois et pour toute la dernière fois, accepté par ceux qui ne savent toujours pas discerner et entrevoir la duplicité satanique à travers les épreuves des deux dernières années et celle d’aujourd’hui.
Souvent j’entends les mêmes affirmations, les mêmes mots :
« C’est pas la marque ce vaccin, ni le QR code… La marque on sera la reconnaître et là, on ne la prendra pas, c’est sûr ! »
Vraiment ?
Moi je dis que si. Parce que je sais, parce que je l’ai discerné, et parce que certains sont déjà dans l’antre de l’égarement et ils ne le savent pas encore.
Non, hélas, la plupart se leurrent et ils ont déjà raté le départ, celui de la course comme l’a cité Paul si justement, ils ont oublié qu’il faut toujours des échauffements avant de commencer à courir.
L’obéissance à un État qui a renversé les Lois de Dieu, changé les temps et bouleversé l’ordre pour honorer le prince de ce monde et les enfers qui l’accompagne, m’alerte au plus haut point. Alors oui, j’ai la certitude que cette marque, ils ne la verront pas, ils ne l’a soupçonneront même pas quand elle s’invitera à eux.
Le Covid nous a déchiré. Ce conflit, au-delà de nos frontières pour l’instant, le fera davantage.
Et ce qui vient sera dangereusement déstabilisant.
Écoutez la voix de Dieu, la Parole de Dieu, plus que jamais, et éprouvez les paroles d’hommes comme le faisait les Béréens avec Paul.
Le temps s’accélère.
Cela me rappelle une courte vidéo que j’ai vue en août 2021, donc peu après l’instauration du passe sanitaire et peu après le fameux discours de Macron annonçant l’obligation vaccinale pour les soignants.
Cette vidéo était un message d’un brave pasteur évangélique sur le thème « le passe sanitaire est-il la marque de la bête? » et donnait évidemment une réponse négative.
Bien qu’il fût évident que ce n’était pas – encore – le cas, en effet, une remarque de l’orateur m’avait consterné: argumentant sur le fait que personne ne pourrait acheter ni vendre sans avoir la marque de la bête (Apoc. 13:17), il soulignait que, même si certains supermarchés devenaient interdits d’accès aux non-vaccinés (certains le craignaient à l’époque), ces derniers n’avaient qu’à acheter sur internet!
La légèreté de cette remarque m’avait sidéré, d’autant plus que les soignants suspendus, eux, ne pourraient rien acheter, que ce soit en magasin ou par internet, pour la simple raison qu’ils ne recevraient plus de salaire.
J’avoue être extrêmement préoccupé par l’incapacité des églises, même évangéliques (certains catholiques, même adorateurs de Marie, me semblent plus lucides) à tirer les leçons des deux années passées et à se poser sérieusement la question de la marque de la bête.
C’est un sujet tabou, comme l’est celui de l’antichrist.
Tu as vu juste Amédée, ta remarque est pertinente.
Même si tout n’était pas hermétiquement fermé pour nous, agents hospitaliers à tous niveaux, étant sans salaire le problème se présentait différemment, dramatiquement différent.
Dieu merci, des frères et des sœurs, par le biais de Michelle d’Astier, ont eu le cœur de créer des cagnottes, pas dans la plupart des Assemblées. Et c’est cela qui m’interpelle, pas d’aide pour les « jetés » mais…pour l’Ukraine il semblerait. Là, je reste perplexe. Mais pas étonnée, juste attristée.
Attendons-nous à bien plus de surprises dans les temps à venir, et pas de jolies surprises.
Parce que les gens marchent à l’émotion. Les soignants, c’était « leur faute, ils avaient le choix ». C’est bien ce que l’Etat s’est efforcé de marteler, et les Tribunaux ont suivi ! Dieu, comme il est facile de manipuler les gens… SAUF CEUX QUI ONT L’AMOUR DE LA VÉRITÉ (Je crains qu’il y ait plus de païens parmi eux que de gens qui se disent chrétiens !). Car les vrais chrétiens ont entendu le Saint-Esprit les interpeler et ont tout de suite repéré les mensonges étatiques, médiatiques, et malheusement émanant de beaucoup de médecins haut placés….
Pour mémoire, voici 3 rêves prophétiques de Dan datant du 7 juillet 2020 et qui éclairent sur l’urgence des temps que nous vivons :
https://michelledastier.com/dan-trois-reves-prophetiques-le-7-juillet-2020/
Merci pour ces pistes de réflexion.
Le mot grec d’Apocalypse 13.16 rendu par « marque », charagma, vaut la peine qu’on s’y arrête. Ce terme se réfère à la trace d’une déchirure, d’une brûlure, bref à une cicatrice. Notre frère Luc, en Actes 17.29 l’utilise pour parler du travail d’un artisan qui sculpte une statue sous l’inspiration du moment. Jérôme, de son côté, le traduit avec le latin caracter, que nous retrouvons bien sûr dans le français « caractère ».
L’allusion de Jean au front et à la main droite, quant à elle, vise la volonté et la façon d’agir des individus. Cela devrait élargir notre compréhension de ce qu’est et a été la marque sur le plan historique. En tout état, l’injection que certains tentent aujourd’hui d’imposer à leurs semblables participe, c’est évident, de ce système tendant à modeler façon de penser et actions des humains.
Un dernier point, la traduction habituellement reçue pour les verbes agorazô et pôleô, « acheter » et « vendre » me semble un tout petit peu scolaire. En fait, agorazô, c’est se rendre sur la place de la ville pour y faire son marché, certes, mais c’est aussi, et peut-être avant tout, dans le contexte qui nous intéresse, pour s’occuper des affaires publiques. C’est pour ça que, depuis des années, je préfère rendre les mots en question par « faire de la politique et des affaires ». Vous ne trouvez pas que c’est beaucoup plus parlant et, surtout, d’une actualité brûlante ?
Intéressant Nico, très pertinent. Pour la signification de la marque, tu as saisi l’essentiel, quant à « acheter et vendre », je découvre cette nouvelle piste, merci !