Avoir la faculté de voyager dans le temps nous laisse parfois un goût amer.
Hier, lorsque j’ai été informé du déchaînement de violence s’abattant sur Israël, le souvenir du 6 octobre 1973 a rejailli en moi. En effet, c’est ce jour-là, à l’occasion des solennités du Iom Kipur, qu’une attaque particulièrement sournoise a été lancée contre les fils et les filles de Jacob, brusquement assaillis dans leur recueillement.
Date sombre, marquée par le déclenchement d’un conflit, synonyme de mort pour les uns, de blessure du corps et de l’âme pour les autres… Un 6 octobre d’autant plus douloureux pour moi qu’il devait être endeuillé par la disparition de mon « idole » du moment –je n’avais pas quatorze ans–, le pilote de Formule 1 François Cevert Goldenberg.
Lorsque son bolide s’est retourné sur une glissière de sécurité, celle-ci lui a ouvert la gorge, à la façon de la lame utilisée pour le sacrifice d’un agneau… image d’un fils de l’homme faisant l’expiation –s’il est possible– avec son propre sang.
50 ans plus tard, également pendant un sabbat, les mêmes scènes s’offrent à nos yeux, celles d’un peuple hagard en proie aux abominations de la guerre. Selon Rebel News, certaines prises de vue seraient insoutenables, je n’ai pas osé les regarder.
Confronté à ce genre de nouvelles, l’intellectuel a l’obligation de réfléchir vite et de poser les questions qui s’imposent, même si celles-ci dérangent.
La première de ces questions est évidemment de savoir comment une telle catastrophe a pu se produire. Il y a une telle disproportion entre les parties en présence notamment sur les plans militaire, technique, de la surveillance, du renseignement, que nous sommes, avec cette affaire, dans le domaine de l’inimaginable.
Il faut bien se dire que nous parlons d’une des nations les plus modernes, qui se vante de pouvoir suivre la trace de camions apparemment chargés d’armes depuis l’Iran pour les atomiser en Syrie au moyen d’avions dernier cri déployés furtivement dans l’espace aérien libanais. Comment est-il possible qu’une puissance de ce niveau laisse organiser une opération d’une telle ampleur dans une bande de terrain, en fait son arrière-cour, dont elle connaît le moindre recoin? En un mot comme en cent, il y a quelque chose qui cloche!
Psychologiquement, maintenant, rappelons-nous qu’Israël est dirigé par un homme qui, il n’y a pas si longtemps, se réjouissait d’avoir fait de son pays le laboratoire du monde, lors de la campagne d’inoculation expérimentale anti-COVID. Se pourrait-il que la « négligence » dont on a beaucoup parlé après la guerre de 1973 ait refait commodément surface pour favoriser la concrétisation d’un but politique?
Ne nous-y trompons pas, Israël va, une fois encore broyer ses ennemis. Cela ne fait pas l’ombre d’un doute. Mais soyons sûrs, aussi, que le traumatisme infligé à sa population va subsister.
Or il n’y a rien de plus facile que de manipuler des masses en état de choc, en leur promettant « paix et sécurité » dans des discours bien ficelés.
En l’espèce, le premier ministre d’Israël tient absolument à son rapprochement avec l’Arabie Saoudite, ne serait-ce que pour faire contrepoids aux relations que celle-ci a rétablies avec l’Iran. Sur ce point, toutefois, Riyad a une position très claire: la question palestinienne doit être réglée, ce qui suppose que Jérusalem accepte de nouvelles concessions territoriales (après le retrait de… Gaza, en 2005). Cela ne serait certainement pas désagréable, non plus, à ce qui reste de la gauche, qui voue une haine viscérale à B. Netanyahou. Imaginez, pouvoir virer les patriotes juifs qui ont eu le culot de s’installer en Judée-Samarie! Pour un tel « progrès », l’opposition pourrait même aller jusqu’à abandonner la contestation contre la réforme du système judicIaire… Tout le monde y trouverait son compte!
Je ne suis pas le seul à penser que des choses importantes, spectaculaires, pourraient se produire d’ici le printemps prochain. J’ai d’ailleurs un article pratiquement prêt à être publié sur ce sujet, Dieu voulant…
SDG/NM – 08.10.2023
Bonsoir,
Je rejoins l’analyse de Nicolas MEYER, étonnant ce déploiement de force des ennemis d’Israël et sans résistance aucune.
Il n’y a réellement eu aucun signe précurseur ?
Quand on connaît la puissance des services secrets Israéliens et leurs nombreuses technologies (PEGASUS…), c’est tout simplement ahurissant ce qui se passe !
Je ne peux rien affirmer, néanmoins, tout demeure possible !
Je vois deux cas de figure (peut-être y en a-t-il plus ?),
soit ce qui se passe a été fomenté dans l’ombre pour atteindre des buts fallacieux…, soit les dissensions du peuple et gouvernement Israélien ont affaibli la nation et de fait ses services secrets ont péché par négligence et/ou occupé par d’autres problèmes internes…, seul l’avenir nous le dira.
Pour ma part, j’ai fait un drôle de rêve en début de cette semaine :
DÉBUT
Je me trouvais dans la rue dans un endroit que je ne connaissais pas.
Un homme allait s’en prendre à son fils (ou l’inverse), mais de façon violente (allait-il le tuer ?) .
Je suis intervenu pour les séparer et les raisonner avec autorité en leur disant : « Tu es sa chair de sa chair et le sang de son sang ! ».
Je ne me rappelle plus de la suite du rêve.
FIN.
Ce qui se passe actuellement a fait écho dans mon esprit par rapport à mon rêve, c’est pour cela que je le partage maintenant.
Que Yahweh viennent en aide à Israël, car
malgré toutes ces horreurs, l’Éternel des armées reste souverain.
Soyez bénis.
La suite de mon rêve m’est revenu cette nuit :
DÉBUT
Je me trouvais dans la rue dans un endroit que je ne connaissais pas.
Un homme allait s’en prendre à son fils (ou l’inverse), mais de façon violente (allait-il le tuer ?) .
Je suis intervenu pour les séparer et les raisonner avec autorité en leur disant : « Tu es sa chair de sa chair et le sang de son sang ! ».
SUITE
C’est alors que je me suis mis à parler en langue.
FIN
Merci pour ton commentaire, Jérôme, et pour le compte-rendu de ton rêve.
Avec l’actualité que nous vivons, celui-ci me semble très… abrahamique!
Le père apparemment prêt à tuer son fils nous replace dans le contexte de Genèse 22, chapitre au sujet duquel nous pouvons faire les remarques suivantes:
– Les versets 1 à 20, relatifs au sacrifice d’Isaac, utilisent exclusivement, en matière de communication, la racine « amar », qui implique que les paroles rapportées véhiculent un projet, un dessein (on ne trouve pas la racine « dabar » dans ce passage). On est dans le domaine du « Logos », qui implique, derrière chaque mot, le plan créateur en cours d’accomplissement du Père.
– Aux verset 2 et 16, Isaac est qualifié d’unique. Dommage pour Ismaël…
– « Av », en hébreu, c’est non seulement le père, mais aussi le maître, le chef, le conseiller, le ministre, le prince. En voyant comment les choses se sont passées samedi, mais aussi pendant la campagne d’inoculation dont mon article parle, on ne peut s’empêcher de penser que les chefs, les ministres d’Israël, notamment le premier d’entre eux, sont prêts à sacrifier ceux dont ils ont la charge et leur terre sur l’autel du global-satanisme.
Nous le voyons, Jérémie 30.7 se concrétise: « c’est un temps d’angoisse pour Jacob ». Dans le texte original, ces mots ont une valeur numérique de 999 (tiens! 666 à l’envers…). La suite? C’est 1000, naturellement, valeur que nous retrouvons en… Genèse 22.17, avec l’expression « la porte de ses ennemis ». La victoire n’est pas loin, dirait-on. Prions qu’Abraham lève les yeux et voie le Sacrifice auquel le Très Haut a pourvu avec Mashia’h! Que l’Esprit Saint, symbolisé par le parler en langue de la fin de ton rêve, mène à bien ce travail au plus vite.
Pour nous, restons dans la persévérance à Beer-Shéba et abreuvons-nous quotidiennement des eaux de la Promesse.
Am Yisrael ‘Hai!
Merci Nico pour cette interprétation.
Que Jésus-Christ soutienne Israël par sa puissante main et nous fortifie.
Shalom.