Alors que l’épidémie de coronavirus stagne (mais peut toujours donner lieu à une 2ème vague) et alors que nous ne disposons toujours pas de traitement, la censure tombe sur les solutions naturelles contre le covid-19.

Grâce à l’Union européenne et son règlement 1924/2006, il est presque devenu mission impossible de parler de ces remèdes.

Par exemple, dire d’une huile essentielle comme le ravintsara qu’elle est antivirale est tout simplement devenu HORS-LA-LOI.

Alors même qu’aux quatre coins du monde, des études scientifiques montrent l’intérêt de ces substances naturelles dans la lutte contre le coronavirus.

Pourtant, rien dans les journaux, ni sur les plateaux TV alors même que ces remèdes auraient pu alimenter leur moulin !

Mardi 28 avril 2020 : quand l’ANSES part en vrille !

Jusqu’au mardi 28 avril 2020 où l’on découvre dans le quotidien le Parisien, cet article de l’ANSES « Contre le coronavirus, les huiles essentielles font pschitt ».
Selon l’agence de sécurité sanitaire, ces produits n’agissent pas sur le Covid et peuvent provoquer des effets indésirables :

« De peur de contracter le virus, certaines personnes se servent des huiles essentielles pour assainir l’air intérieur de leurs chambres ou de l’habitacle de leur voiture en se disant que le Covid-19 n’y pénétrera pas, mais cela n’a aucune efficacité prouvée », insiste Cécilia Solal, toxicologue à l’Anses.

Mais savez-vous, madame Solal, qu’aux Etats Unis vous pourriez être condamnée ?

Depuis un demi-siècle les huiles essentielles sont étudiées selon des normes scientifiques. Nous disposons de tonnes d’expérimentations que vous n’avez pas pris le soin d’étudier.

Mais ce n’est pas tout, l’ANSES, apparemment dénuée de tout bon sens, enchaîne :

« Certains compléments alimentaires contiennent des plantes possédant des propriétés anti-inflammatoires susceptibles d’agir comme les anti-inflammatoires non stéroïdiens (AINS). Ces plantes sont susceptibles de perturber les défenses naturelles de l’organisme, utiles pour lutter contre les infections et, en particulier, contre le Covid-19 ».

Plusieurs plantes sont visées par le communiqué : saule, reine-des-prés, harpagophytum, curcuma, échinacée, bouleau, peuplier, polygalas, verge d’or, griffes-du-chat et myrrhe.

Mais la meilleure, c’est quand on se penche sur l’origine d’une telle conclusion !

Car, l’étude, étayant leur mise en garde, s’appuie uniquement sur « des données de pharmacovigilance française publiées en 2019 et relatives à l’aggravation de maladies infectieuses lors de la prise d’ibuprofène et de kétoprofène».

En clair, l’Anses a raisonné par analogie estimant que les anti-inflammatoires non stéroïdiens chimiques agissaient sur l’organisme de la même façon que les plantes aux propriétés anti-inflammatoires !!

C’est un NON-SENS ABSOLU !

Pendant ce temps-là, l’Ordre des médecins rompt le serment d’Hippocrate

en empêchant les médecins de soigner.

L’organisation menace tout simplement de suspension les praticiens à l’origine de protocoles de soins expérimentaux contre le Covid-19 et de prescriptions hors autorisation de mise sur le marché.

Qu’attend cet Ordre des médecins pour condamner ceux qui paradent sur les différents plateaux pour proposer des remèdes iatrogènes et sans effets ?

Depuis fin mars, le sociologue Laurent Mucchielli mène sa propre enquête sur la gestion française de la crise du Covid-19. Cet expert des questions de sécurité, directeur de recherches au CNRS a tout résumé dans une newsletter rédigée par Caroline Pelé dont je vous partage ici certains extraits très révélateurs :

« Notre époque contemporaine vit dans un mythe technologique, la croyance que les technologies révolutionnent tout et améliorent fondamentalement nos vies. Cette crédulité est alimentée d’un côté par le marketing des industriels qui produisent ces technologies, et de l’autre par des responsables politiques qui promettent aux électeurs : « C’est formidable, vous serez ainsi mieux protégés, c’est pour votre bien ».

« Mais lorsqu’on analyse la réalité, que l’on cherche à évaluer réellement le bénéfice de ces technologies, on s’aperçoit qu’il est minime, et que ce n’est pas rentable pour les finances publiques. Ces technologies sont par ailleurs très intrusives, elles menacent notre vie privée, elles infantilisent et déresponsabilisent l’individu.».

« Mais voilà que, en France, elles (les autorités) ont aussi décidé en pleine crise de ne pas s’appuyer sur les quelque 130 000 médecins libéraux (dont 100 000 généralistes), alors que pour la plupart des citoyens le médecin de famille est le premier référent. C’est une situation quasiment unique dans le monde. Se priver de ces personnes est incompréhensible en terme stratégique. De plus, c’est totalement infantilisant pour les médecins. Enfin, ce n’est pas rationnel. »

« On ne peut pas dire qu’il y a une incertitude sur l’efficacité des traitements possibles, qu’on lance des études statistiques pour en savoir plus, et en même temps interdire aux médecins de base d’utiliser les médicaments disponibles pour soigner les malades qui se présentent à eux dans l’immédiat. Outre le problème éthique (comment décider de ne rien faire face à un malade qui est devant vous, sous prétexte que la science n’a pas encore livré ses calculs définitifs ?), l’attitude logique de quelqu’un qui ne sait pas est de ne fermer aucune porte, de se dire que toutes les idées sont bonnes à prendre et qu’on va chercher tous ensemble. »

Comme il le rappelle justement, derrière cette gestion calamiteuse de la crise,

se cachent des enjeux financiers faramineux :

Il n’a pas fallu longtemps pour comprendre que les médecins qui prenaient un malin plaisir à ridiculiser les propositions du Dr Raoult à la télé sont en fait tous fortement liés au laboratoire pharmaceutique américain Gilead.

Ce même laboratoire qui cherche à imposer un médicament très onéreux dont il détient le brevet : le Remdesivir.

Il est hors de question d’engager une lutte sans merci entre le tout synthèse et le tout naturel. Mais face à cette crise, restons objectifs et ouverts : reconnaissons les bienfaits que l’allopathie classique a apporté et admettons l’efficacité des principes actifs naturels.

Hors de question de les laisser s’attaquer de nouveau aux huiles essentielles !

Je ne détaillerai pas ici l’ampleur du potentiel thérapeutique des huiles essentielles contre les virus mais laissez-moi vous rappeler 3 choses :

1- Les huiles essentielles sont des antibactériennes hors-pair !

Les mécanismes d’actions antibactériennes des huiles essentielles sont bien connus.

Les huiles essentielles inhibent aussi la production et l’action des toxines bactériennes, sou­vent responsables du déclenchement des processus infectieux et inflammatoires.

Le fait de mélanger différents phénols entre eux (thymol-carvacrol- eugénol) renforce leur activité anti-infectieuse, tout comme l’ajout de ces mêmes molécules aux antibiotiques permet de réduire considéra­blement le phénomène de résistance des bactéries aux antibiotiques.

2- Antifongiques, elles neutralisent ces indésirables

Les huiles essentielles antifongiques perturbent la perméabilité cellu­laire.

Ces activités génèrent des déformations et des altérations importantes de surface qui diminuent fortement la capa­cité des mycoses à adhérer aux muqueuses.

La virulence et la contagiosité de ces pathogènes s’en trouvent réduites.

L’eugénol associé aux antifongiques de synthèse permet de neutraliser les souches fongiques multi résistantes (géranium rosat, palmarosa, Ajowan…)

3- Contre les virus : elles stoppent NET leur progression

Certaines huiles essentielles possèdent l’étonnante capacité de se fixer à la membrane externe des virus et ainsi de détruire l’enveloppe protégeant le virus et les organites cytoplasmiques.

Les particules virales mises à nu par cette activité, deviennent détectables par les systèmes de défense et sont immédiatement détruites.

Les HE antivirales les plus employées sont l’Eucalyptus radié et globuleux, le Ravintsara, le Niaouli, le Tea tree et le Laurier noble.

Ce sont elles d’ailleurs qui ont montré une efficacité particulière pour se protéger du virus !


(Note MAV: nous relayons cette information reçue par courrier, car elle semble intéressante, laissant à chacun le soin d’en peser le bien-fondé, car il s’agit avant tout d’une publicité.

Proposition du docteur Willem

 

Je ne peux pas dans cette lettre détailler il’ampleur du potentiel thérapeutique des huiles essentielles. Si vous souhaitez approfondir ce sujet, je vous renvoie vers quelques-uns de mes livres :

« Les huiles essentielles, médecine d’avenir » Ed. Dauphin. (Mon best-seller)
« Huiles essentielles antivirales » Ed. Trédaniel. (Best-seller au Brésil : Óleos Essenciais Antivirais)
« Tout savoir sur les virus et y faire face » Ed. Dauphin (mai 2020)
Covid-19 une dernière chose (j’ai besoin de vous)

Alors que la pandémie du Covid-19 a daigné se retirer sur la pointe des pieds malgré les quelques clusters qui émergent dans l’hexagone, il est temps de tirer les premières conclusions et d’afficher les différents résultats thérapeutiques.

Il est temps pour les médecins qui ont œuvré dans l’ombre de décrire leur expérience et aux patients guéris d’évoquer leur parcours et leurs thérapies.

C’est ainsi que je recherche une personne disponible, ayant des connaissances en médecines alternatives et notamment en aromathérapie, pour recenser toutes ces expériences et procéder à des échanges.

Cela suppose de créer un site.

J’attends la réponse de candidats éventuels en répondant ici.

Portez-vous bien !

Jean-Pierre Willem