Ces témoins que Dieu sème à travers le monde…

 

J’ai regardé cette coccinelle se poser sur ma main, et doucement j’ai levé le doigt où elle a fini sa course pour l’inviter à s’envoler : Ce qu’elle a fait. J’aime bien les coccinelles, je pense que beaucoup de gens ressentent la même chose au regard de ce petit coléoptère.

Il y a une drôle de légende concernant ces petits insectes nommés familièrement « bêtes à bon Dieu » et nous savons qu’il y a toujours une part de vérité dans ces récits transmis au fil du temps.

A ce sujet, il s’avère qu’un condamné à mort pour un meurtre commis à Paris, un homme, qui clamait pourtant son innocence, a dû son salut à la présence du petit insecte.

Le roi Robert II (972-1031), constatant le jour de l’exécution qu’une coccinelle s’obstinait à se poser sur le cou du condamné, y vit alors une intervention divine et décida de gracier l’homme.

Quelques jours plus tard, le vrai meurtrier fut retrouvé.

Il y a des miracles peu communs comme ça qui se répandent au-delà des frontières et du temps ; ils peuvent changer les gens. Ceux que Dieu connaît déjà.

« Aussi la création attend-elle avec un ardent désir la révélation des fils de Dieu. » Romains 18.19

Sur ma route je vois parfois des oiseaux morts écrasés ; ils sont de plus en plus nombreux. J’ai remarqué qu’ils s’envolent avec difficultés, dès qu’ils entendent le bruit d’une voiture, mais pas assez rapidement : cela m’interpelle chaque jour davantage.

Ici en Bretagne, nous avons eu récemment deux phénomènes qui ont étonnés les marins Bretons ; je cite :

« Un rorqual commun s’est échoué sur une plage de la commune de Tréguennec, située dans le Finistère. Le cétacé de Tréguennec est le deuxième à s’échouer dans le Finistère en huit jours, après celui de l’île de Sein, le 2 septembre dernier, et dont la carcasse repose toujours sur place. »

Il faut savoir aussi que depuis début août, des milliers de poissons ont été retrouvés morts dans l’Oder, un fleuve entre l’Allemagne et la Pologne.

La nature s’emballe un peu partout dans le monde, je dirais même que la Création de Dieu se rebelle d’une certaine manière et se meurt comme les humains, nous qui en avions la responsabilité.

Ces comportements alarmants

Il y a plusieurs jours alors que les étoiles s’éclipsaient une à une pour faire place à une aube naissante, un café à la main j’observais la nature s’éveiller doucement.

Un hérisson a surgi, énorme ; puis effrayé par la lumière de la cuisine que j’avais laissé la porte entrouverte, il s’est empressé de disparaître dans les herbes hautes. Et puis, il y a eu cette drôle de créature que je n’ai pas reconnue tout de suite. Elle avançait doucement, droit sur moi, la couleur de sa peau était étrange, striée de trois couleurs que j’ai eu du mal à définir dans la demi-pénombre.

Un crapaud, un simple crapaud, terriblement bizarre, certes, mais qui m’a fait penser par son allure à un dragon, un petit dragon, et pourtant ce fut comme une révélation. J’ai eu cette sensation que je connais bien ; celle d’un temps qui se fige, une sorte d’avertissement : J’ai ressenti de la peur et une certaine angoisse.

Alors j’ai attendu, attendu d’avoir toute la lumière sur cette « vision » et je l’ai eue hier au détour d’un film explicite, (les films véhiculent souvent les agissements de l’adversaire), et Gérard, un frère aîné et moi nous le savons bien. Nous savons que l’Ennemi se sert de cette puissance, une parmi d’autres, pour se dévoiler : la vanité toujours.

Spiderhead c’est le nom du film, ce qui signifie tête d’araignée. Similaire à mon crapaud. Étonnant non ?

Spiderhead, c’est l’exploitation du sentiment de culpabilité

L’histoire est simple et si stupéfiante d’une réalité que nous subissons depuis près de deux ans.

Spiderhead raconte la détention de Jeff au sein d’un complexe hospitalier tenu par l’excentrique chercheur pharmaceutique Steve Abnesti. Dans un temps proche, certains prisonniers sont placés dans ce genre d’installation pour y servir de cobayes lors d’expérimentation d’injections médicamenteuses visant à influer sur les émotions.

« Les personnages se comptent sur le doigt d’une main, et sont scrutés sous toutes leurs coutures par une caméra au plus proche de la racine de ces humains en perdition dans les couloirs blancs de cette prison aux allures d’hôpital. Les expériences qu’ils subissent creusent à la racine de l’humanité en trafiquant et en falsifiant les émotions par la science. »

Je sais que nous sommes plusieurs à nous poser des questions sur le comportement de nos semblables surtout ceux qui se sont fait « piquouser ».

Personnellement, j’ai remarqué, que certains de mes proches, et autres, avaient imperceptiblement changés. Le plus attristant c’est l’évidence des maladies et des séquelles qui explosent et touchent chaque jour davantage les victimes de cette injection expérimentale. Et pourtant, il semblerait que face à nos explications, nos arguments irréfutables et vérifiables se perdent dans leur conscience dorénavant altérée.

Ils n’entendent plus, n’écoutent plus : ils sont comme anesthésiés !

Il y a une scène particulière qui m’a interpellée, c’est celle où le détenu doté d’une toute nouvelle dose expérimentale s’extasie sur un paysage magnifique où des variétés de fleurs se déploient à ses regards : il ressentira les mêmes sensations pour une zone d’usine délabrée où la pollution est effroyable !

Voilà où nous en sommes.

Les catastrophes se succèdent plus violentes que jamais, aucune forme de vie n’est épargnée, les annonces sur le climat qui se dégrade, les pénuries à venir, la guerre qui s’approche inéluctablement : toutes ces nouvelles laissent les gens sans réaction, ils continuent leur vie.

Des malheurs se préparent, comme dit mon frère aîné David. (Ésaïe 3 : 8-9)

J’ai donc eu ma réponse.

Voici nos conclusions.

– Les coupures d’électricité vont s’accentuer entraînant le chaos en Europe : plus de lumière, plus de cuisine, plus de chauffage, problème de circulation des véhicules, tous les pays seront partiellement en arrêt.

Faites dorénavant des provisions.

L’ennemi rode et s’avance, parce que là où la justice n’est plus, le mal se déploie.

Priez plus intensément, je vous en supplie, soyez plus que jamais sur vos gardes.

Que le Seigneur vous préserve et vous protège.

Résistez.


MAV : Pour soutenir le ministère de Muriel (soignante jetée dehors sans salaire le 15/9/21 et vivant encore des temps très difficiles)

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