LE 8 SEPTEMBRE 2016

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Le combat mené au cours de l’été contre le burkini, cette burqa des plages, a, pour l’heure, été largement perdu par ceux qui le menaient.

Il a permis de voir des lignes de démarcation se tracer.  

Les partisans de la burqa des plages ont été toute la gauche politique, à  l’exception de Manuel Valls, et une partie de la droite, qui a montré une fois de plus qu’elle ne comprenait rien à  la gauche et à  l’islam.  

Les opposants ont été ceux qui, à  droite, comprennent que la gauche cherche la destruction et que l’islam est conquérant.  

Les premiers, les partisans de la burqa des plages avaient gagné d’avance: ils avaient avec eux, outre la gauche politique et une partie de la droite, toutes les organisations islamiques et tous les mouvements  »  anti-racistes   » pour qui les porteuses de burqa appartiennent à  la  »  race musulmane  « , les abrutis de base aux yeux de qui la burqa est un choix vestimentaire anodin et une marque de  »  liberté individuelle  « , les grands médias, bien sûr, et un nombre certain de commentateurs internationaux imprégnés de politiquement correct.

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Ce que n’ont pas voulu comprendre les partisans de la burqa des plages (délibérément sans doute) est ce qu’est réellement celle-ci: une façon d’imposer la conception islamique des femmes aux femmes musulmanes, renvoyées vers l’orthodoxie stricte, mais aussi aux autres femmes, de facto qualifiées ainsi de prostituées impudiques. Ce qui constitue une atteinte très grave à  la liberté individuelle de toutes les femmes.  

Ce que n’ont pas voulu comprendre non plus les partisans de la burqa des plages est l’ensemble lourd, écrasant, des conséquences potentielles de cette atteinte pour la société en général.  

Quiconque veut comprendre n’a qu’à  observer les effets du voile et de la burqa, ces prédécesseurs de la burqa des plages, dans les banlieues islamisées. Les femmes et les jeunes filles sont sommées de se couvrir, par un diktat non écrit, mais omniprésent  : celles qui ne se couvrent pas sont devenues du gibier pour violeurs, et femmes et jeunes filles, pour ne pas risquer d’agressions, revêtent, musulmanes ou non, l’uniforme obligatoire.

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Quiconque veut comprendre ce qui, dans les banlieues islamisées va de pair avec l’uniforme obligatoire doit voir que celui-ci s’accompagne d’un endoctrinement intense qui offre aux femmes et jeunes filles qui portent le voile une seule alternative à  la soumission  : la possibilité de devenir militantes de l’islamisation, et de discerner qu’en portant le voile ou la burqa, elles affirment un refus de la société ouverte et de ses valeurs, et une volonté de contribuer à  abolir celle-ci pour la remplacer par une autre société, conforme à  la vision islamique globale du monde.  

Le grand islamologue américain Robert Spencer appelle celles qui deviennent militantes des soldats de l’islam, et il a raison. Le mot soldat est approprié.  

L’islam est en guerre. Il utilise, pour mener la guerre, la violence. Il utilise aussi le vêtement, l’occupation de l’espace, la propagande, l’intimidation. L’occupation de fragments de plage est une occupation de l’espace, et la burqa des plages un moyen de propagande et d’intimidation.

Dans toute guerre, il y a des idiots utiles et des complices, et on a vu, avec la burqa des plages qu’idiots utiles et complices ne manquent pas.  

Le combat contre la burqa des plages a été largement perdu par ceux qui le menaient, disais-je. Il m’arrive de craindre que nous soyons, en France et en Europe, en train de perdre la guerre.

Gagner impliquerait de voir les idiots utiles et les complices comme ce qu’ils sont, de n’avoir strictement aucune illusion sur le caractère délétère de la gauche, toute la gauche, et de discerner, ce qui est en filigrane de ce que je viens d’écrire  : que l’islam en guerre n’est pas une religion, mais un totalitarisme en marche.  

Un totalitarisme ne passe ni accord ni contrat, et ne s’arrête que si on le met hors d’état de nuire ou si, pour le moins, on l’endigue.  

Pour l’heure, l’islam n’est pas mis hors d’état de nuire. Il n’est pas même endigué. Les quelques tentatives d’établir des digues ont cédé les unes après les autres.  

Je dois l’écrire à  nouveau  : le pire est à  craindre.  

Ceux pour qui vivre libre et debout n’a aucune importance sont d’un autre avis, bien sûr.  

Guy Millière

Adapté d’un article publié ans sur  les4verites.com

http://www.dreuz.info/2016/09/08/ce-que-cache-la-burqa-des-plages/?utm_source=feedburner&utm_medium=email&utm_campaign=Feed%3A+drzz%2FPxvu+%28Dreuz%29

Dreuz est un site américain francophone, chrétien, pro-israélien et néo-conservateur, adverse aux extrêmes et au racisme

 

Transmis par Elisabeth777