Message :Bonjour Mme d’Astier
> Je vous envoie ce message parce que j’ai regardé votre enseignement sur les addictions.
> Je pense avoir des addictions mais j’ai honte d’en parler.
> Je suis une personne qui a toujours besoin d’avoir de l’argent sur mon compte,je regarde les moindres dépenses, mais j’ai du mal à dépenser,pour mon mari, pour mes proches,l pour ‘église. Par contre pour moi je ne mets pas de limites,avec des achats compulsifs, des vêtements.J’ai manquée de cela en étant jeune avec un foyer en grande difficulté. Est ce qu’il y a un rapprochement? Pour la dîme,je la donne en espérant payer moins d’impôts , c’est mon intérêt. Je me sens minable d’être esclave, d’avoir ces idoles. J’en parle au Seigneur de tout cela,mais je ne veux pas me décider de mettre les finances, mon temps sur l’autel, j’ai peur de perdre pied. C’est si dur.
> Ne me jugez pas s’il vous plaît,c’est si lourd que je n’arrive pas à prier, tout est une lutte. j’ai tout perdu, mon premier amour, ma soif d’étudier la parole. Tout n’est que tiédeur et désintérêts concernant le Royaume du Seigneur.
Tu en souffres et Dieu le sait. Mais ne perd surtout pas la foi. Ce sont souvent des addictions contractées dans la jeunesse et l’on a besoin de l’aide de Dieu, et, quand on peut, de la prière des frères, surtout pas de leur « morale ». Tiens bon. Persévère dans la repentance. Ne donne ta dîme ou tes offrandes que si tu le fais sans calcul et par joie, sinon ce n’est d’aucune valeur aux yeux de Dieu….
La peur de manquer est une addiction très courante, quasi universelle: écoute es messages sur mammon. Car c’est la Bible qu’il faut croire. Les achats compulsifs vont avec le besoin d’entasser. Tout cela vient de peurs installées dans l’enfance… Dieu veut et peut te guérir…
Dans la présentation du livre « La Fabrique du crétin digital », de Michel Desmuret, docteur en neurosciences, on trouve des chiffres qui font froid dans le dos…
La consommation du numérique sous toutes ses formes – smartphones, tablettes, télévision, etc. – par les nouvelles générations est astronomique. Dès 2 ans, les enfants des pays occidentaux cumulent chaque jour presque 3 heures d’écran. Entre 8 et 12 ans, ils passent à près de 4 h 45. Entre 13 et 18 ans, ils frôlent les 6 h 45. En cumuls annuels, ces usages représentent autour de 1 000 heures pour un élève de maternelle (soit davantage que le volume horaire d’une année scolaire), 1 700 heures pour un écolier de cours moyen (2 années scolaires) et 2 400 heures pour un lycéen du secondaire (2,5 années scolaires).
Contrairement à certaines idées reçues, cette profusion d’écrans est loin d’améliorer les aptitudes de nos enfants. Bien au contraire, elle a de lourdes conséquences : sur la santé (obésité, développement cardio-vasculaire, espérance de vie réduite…), sur le comportement (agressivité, dépression, conduites à risques…) et sur les capacités intellectuelles (langage, concentration, mémorisation…). Autant d’atteintes qui affectent fortement la réussite scolaire des jeunes.
» Ce que nous faisons subir à nos enfants est inexcusable. Jamais sans doute, dans l’histoire de l’humanité, une telle expérience de décérébration n’avait été conduite à aussi grande échelle « , estime Michel Desmurget. Ce livre, première synthèse des études scientifiques internationales sur les effets réels des écrans, est celui d’un homme en colère. La conclusion est sans appel : attention écrans, poisons lents !
Michel Desmurget est docteur en neurosciences et directeur de recherche à l’Inserm. Il est l’auteur de TV Lobotomie (Max Milo, 2011) et de L’Antirégime (Belin, 2015), qui ont tous deux remporté un large succès public.
Une femme m’écrit ce jour:
Message :Bonjour Mme d’Astier
> Je vous envoie ce message parce que j’ai regardé votre enseignement sur les addictions.
> Je pense avoir des addictions mais j’ai honte d’en parler.
> Je suis une personne qui a toujours besoin d’avoir de l’argent sur mon compte,je regarde les moindres dépenses, mais j’ai du mal à dépenser,pour mon mari, pour mes proches,l pour ‘église. Par contre pour moi je ne mets pas de limites,avec des achats compulsifs, des vêtements.J’ai manquée de cela en étant jeune avec un foyer en grande difficulté. Est ce qu’il y a un rapprochement? Pour la dîme,je la donne en espérant payer moins d’impôts , c’est mon intérêt. Je me sens minable d’être esclave, d’avoir ces idoles. J’en parle au Seigneur de tout cela,mais je ne veux pas me décider de mettre les finances, mon temps sur l’autel, j’ai peur de perdre pied. C’est si dur.
> Ne me jugez pas s’il vous plaît,c’est si lourd que je n’arrive pas à prier, tout est une lutte. j’ai tout perdu, mon premier amour, ma soif d’étudier la parole. Tout n’est que tiédeur et désintérêts concernant le Royaume du Seigneur.
J’ai répondu:
Bonjour C…, J’avais oublié ce type d’addiction.
Tu en souffres et Dieu le sait. Mais ne perd surtout pas la foi. Ce sont souvent des addictions contractées dans la jeunesse et l’on a besoin de l’aide de Dieu, et, quand on peut, de la prière des frères, surtout pas de leur « morale ». Tiens bon. Persévère dans la repentance. Ne donne ta dîme ou tes offrandes que si tu le fais sans calcul et par joie, sinon ce n’est d’aucune valeur aux yeux de Dieu….
La peur de manquer est une addiction très courante, quasi universelle: écoute es messages sur mammon. Car c’est la Bible qu’il faut croire. Les achats compulsifs vont avec le besoin d’entasser. Tout cela vient de peurs installées dans l’enfance… Dieu veut et peut te guérir…
Olivier m’envoie ceci:
Dans la présentation du livre « La Fabrique du crétin digital », de Michel Desmuret, docteur en neurosciences, on trouve des chiffres qui font froid dans le dos…
La consommation du numérique sous toutes ses formes – smartphones, tablettes, télévision, etc. – par les nouvelles générations est astronomique. Dès 2 ans, les enfants des pays occidentaux cumulent chaque jour presque 3 heures d’écran. Entre 8 et 12 ans, ils passent à près de 4 h 45. Entre 13 et 18 ans, ils frôlent les 6 h 45. En cumuls annuels, ces usages représentent autour de 1 000 heures pour un élève de maternelle (soit davantage que le volume horaire d’une année scolaire), 1 700 heures pour un écolier de cours moyen (2 années scolaires) et 2 400 heures pour un lycéen du secondaire (2,5 années scolaires).
Contrairement à certaines idées reçues, cette profusion d’écrans est loin d’améliorer les aptitudes de nos enfants. Bien au contraire, elle a de lourdes conséquences : sur la santé (obésité, développement cardio-vasculaire, espérance de vie réduite…), sur le comportement (agressivité, dépression, conduites à risques…) et sur les capacités intellectuelles (langage, concentration, mémorisation…). Autant d’atteintes qui affectent fortement la réussite scolaire des jeunes.
» Ce que nous faisons subir à nos enfants est inexcusable. Jamais sans doute, dans l’histoire de l’humanité, une telle expérience de décérébration n’avait été conduite à aussi grande échelle « , estime Michel Desmurget. Ce livre, première synthèse des études scientifiques internationales sur les effets réels des écrans, est celui d’un homme en colère. La conclusion est sans appel : attention écrans, poisons lents !
Michel Desmurget est docteur en neurosciences et directeur de recherche à l’Inserm. Il est l’auteur de TV Lobotomie (Max Milo, 2011) et de L’Antirégime (Belin, 2015), qui ont tous deux remporté un large succès public.
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