(blé et nielle – La nielle a des poils qui lui donnent l’aspect soyeux, et sa fleur, recherchée, est décorative. Elle libère des graines très toxiques. Mélangée au blé, elle rend la farine non consommable)

Récemment, le Seigneur m’a fortement interpellée avec le passage suivant :

Matthieu 13:40 – 43

Or, comme on arrache l’ivraie et qu’on la jette au feu, il en sera de même à  la fin du monde. Le Fils de l’homme enverra ses anges, qui arracheront de son royaume tous les scandales et ceux qui commettent l’iniquité : et ils les jetteront dans la fournaise ardente, où il y aura des pleurs et des grincements de dents. Alors les justes resplendiront comme le soleil dans le royaume de leur Père.

Que celui qui a des oreilles pour entendre entende.

J’ai mis en gras des mots ou passages clés.

Mais avant d’étudier ce passage, rappelons-nous ceci:

L’AMOUR DE DIEU EST INTRINSÈ-QUEMENT LIÉ À SA SAINTETÉ !

Dieu est amour, et c’est précisément parce qu’Il a payé un prix inoui pour nous sauver, pour nous laver de nos souillures par le sang de l’Agneau immolé pour nos péchés, que Lui sont odieuses les transgressions et iniquités de ceux qui se disent chrétiens, qui ont reçu la parole de la grâce, et qui continuent pourtant à  crucifier pour leur part le Seigneur Jésus-Christ, en toute connaissance de cause !

NOS PÉCHÉS BLESSENT DIEU !

ILS LE BLESSENT D’AUTANT PLUS QU’ILS DÉCLENCHENT DES MALÉDICTIONS CONTRE NOUS ET TOUT AUTOUR DE NOUS !
Là  ou Dieu voudrait bénir, là  où Il aimerait tant faire du bien, le péché des chrétiens sème la confusion, la destruction et la mort, encore plus que les péchés des païens.

Il en fut ainsi dans le peuple Hébreu : le péché et la rébellion des pères ont entraîné des souffrances sans nom au cours des siècles, et ont contraint Dieu, bien que « lent à  la colère et riche en bonté« , à  envoyer les jugements qu’Il avait annoncés par Moïse, entre autres dans le Lévitique 26.

Paul a rappelé :

Roms 11:21 – 22

Car si Dieu n’a pas épargné les branches naturelles,

il ne t’épargnera pas non plus.

Considère donc la bonté et la sévérité de Dieu : sévérité envers ceux qui sont tombés, et bonté de Dieu envers toi, si tu demeures ferme dans cette bonté ; autrement, tu seras aussi retranché.

Ces paroles serviront d’appui pour mieux comprendre la gravité des paroles de Jésus en Matthieu 13, citées ci-dessus.

Nous sommes dans un temps terrible, annoncé par les Écritures comme étant celui de l’apostasie. La crainte de Dieu a disparu des Églises, des séducteurs entrent de tous côté au milieu d’un peuple qui ne veut plus de la saine doctrine, et qui préfère qu’on lui serve un évangile sucré, assaisonné de spectaculaire car il aime les grands frissons plus que Dieu.

J’ai mal à  l’Église. Je vois partout une Église sans puissance, dont le monde se rit, dont l’amoralité écœure parfois jusqu’aux païens, une Église qui vit dans l’illusion et qui aime ça.

Je vois et j’entends aussi, oh combien ! beaucoup de brebis blessées, saccagées, qui n’ont pas été soignées ni libérées dans leurs assemblées, mais, au contraire, mordues, déchiquetées, culpabilisées et même parfois maudites quand elles s’enfuyaient, et dont beaucoup finissent par se demander si Dieu ne les a pas rejetées.

Oui, j’ai mal à  l’Église. De droite et de gauche, dans mes séminaires comme dans mes livres ou sur ce blog, je tente de toutes mes forces d’alerter les enfants de Dieu et de leur crier qu’il n’est plus temps d’être léger !

Oh ! Certes, et heureusement, je ne suis pas la seule à  parler ce langage. Des voix s’élèvent partout dans le monde, car les temps sont courts. C’est donc par amour que je veux tenter de faire comprendre ce que Jésus a dit en Matthieu 13. Pas pour culpabiliser, mais pour conduire ceux qui voudront entendre (moi la première !) à  une profonde repentance, et à  une sainte crainte de Dieu !

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Dieu est parfaitement juste. Bien des chrétiens pensent que, grâce à  la croix, le péché est sans conséquence. Le péché a TOUJOURS des conséquences. Mais l’œuvre de la croix permet à  ceux qui se repentent d’être sauvés. Et l’œuvre du Saint-Esprit est de nous convaincre de péché, de justice et de jugement, et de transformer notre vieille nature pécheresse en une nature nouvelle, qui reflète le caractère de Christ.

Reste à  nous, chrétiens nés de nouveau, d’accepter l’émondage du Seigneur, souvent douloureux, ou de nous fabriquer un évangile qui ne nous demande surtout pas de crucifier la chair avec ses passions et ses désirs. Accepter un faux évangile, c’est précisément cela, l’apostasie, aujourd’hui galopante, comme les Écritures nous l’avaient annoncé !

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Commençons par: « Ils (les anges) arrracheront du royaume…« .

De quel Royaume ? Du royaume de Dieu, bien sûr.

Comment ! On pouvait se trouver dans le royaume de Dieu, avoir été « arrachés du présent siècle mauvais » (Gal 1:4), « délivrés de la puissance des ténèbres et transportés dans le royaume du Fils de son amour » (Colossiens 1:13),

pour finir par en être arrachés définitivement puisque ceci se passe « à  la fin du monde« , donc lors du jugement dernier ?

Paul le confirme en Galates 1:6 à  8, puisqu’il déclare que des chrétiens nés de nouveau, donc « ‘arrachés du présent siècle mauvais« , sont passés entretemps à  un « autre évangile« , et il s’en étonne !

C’est bien à  des chrétiens nés-de-nouveau qu’il parle, des chrétiens probalement plus solides que nous, car enseignés par Paul dans un Évangile qui n’était vraiment pas l’évangile de guimauve humaniste que nous, nous entendons un peu partout !

Galates 1:6

Je m’étonne que vous vous détourniez si promptement de celui qui vous a appelés par la grâce de Christ, pour passer à  un autre Évangile. Non pas qu’il y ait un autre Évangile, mais il y a des gens qui vous troublent, et qui veulent renverser l’Évangile de Christ. Mais, quand nous-mêmes, quand un ange du ciel annoncerait un autre Évangile que celui que nous vous avons prêché, qu’il soit anathème !

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Il souligne ainsi la gravité d’édulcorer, de saucissonner l’évangile, ou d’en occulter une partie, pour présenter un « autre évangile« , qui a toute l’apparence du vrai, mais qui conduit directement en enfer.

Car être « anathème » selon la Bible, ce n’est pas être excommunié par une mouvance se disant chrétienne, quelle qu’elle soit,

c’est être condamné par Dieu à  être « JETÉ HORS DE SON ROYAUME Où IL Y AURA DES PLEURS ET DES GRINCEMENTS DE DENTS« 

Un autre Évangile, c’est pourtant ce qui est promu aujourd’hui dans la majorité de nos églises et de nos grands séminaires.

Un des signes que l’on est face à  un autre évangile, c’est que l’on fait croire aux gens qu’ils sont sauvés une fois pour toutes parce qu’ils ont dit un jour : « Je donne ma vie à  Jésus« , alors que la seule partie de leur vie qu’ils donnent à  Jésus, ou presque, c’est de Lui consacrer quelques heures de présence dans un lieu baptisé église une fois par semaine, et éventuellement quelques heures de prière en plus, mais sans mourir à  tout ce que Dieu abhorre, et surtout pas à  eux-mêmes !

Avec cet « autre évangile« ,

non seulement beaucoup ne sont même pas vraiment convertis

( conversion = circoncision du coeur, ce qui entraîne des changements, non seulement de comportements, mais de personnalité, par l’acquisition des dons de l’Esprit et la disparition des œuvres de la chair – Gal 5 -, remplacées par les œuvres préparées d’avance par Dieu ),

mais même des vrais convertis, nés de nouveau, peuvent être arrachés du royaume et jetés au feu !

Matthieu 24:23 – 25

Si quelqu’un vous dit alors : Le Christ est ici, ou : Il est là , ne le croyez pas. Car il s’élèvera de faux Christs et de faux prophètes ; ils feront de grands prodiges et des miracles, au point de séduire, s’il était possible, même les élus.

Voici, je vous l’ai annoncé d’avance.

Matthieu 13 parle bien de vrais sauvés,

destinés à  être transformés de gloire en gloire par l’œuvre du Saint-Esprit,

mais qui se sont arrêtés en chemin pour suivre leurs propres buts ou pour suivre des gens charismati-ques, qui se pro-clamaient oints de Dieu et qui ne l’étaient pas.
Pourquoi ont-ils perdu tout discernement ?
Qu’est ce qui les a attirés et qui valait mieux à  leurs yeux que Christ :
L’argent ? La gloire ? Le succès ? La popularité ? Les tapis rouges ?

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ILS ONT PERDU LEUR PREMIER AMOUR !

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JÉSUS PARLE AUSSI de ceux qui acceptent le compromis avec la Parole, ou qui tolèrent une certaine complaisance envers le péché, pour eux-mêmes ou pour autrui – surtout s’ils ont un poste de leader -.

Il nous parle aussi des tièdes, puisque Dieu déclare, en Apocalypse 3:16 qu’Il les vomira de sa bouche :

Ils n’ont certes pas de place dans son Royaume !

Pourtant, aux yeux du monde et à  leurs ropres yeux, ces « tièdes » étaient sans doute des chrétiens dociles, prévenants, donnant leur dîme rubis sur l’ongle, faisant des oeuvres de charité, assitant à  tous les cultes, lisant la Bible régulièrement, etc.

Mais ils n’avaient pas suffisam-ment de passion pour Jésus pour devenir des flammes de feu à  son service !

quel que soit ce service… dans l’ombre ou dans la lumière des hommes : cela n’a aucune importance aux yeux de Dieu. Certains sont seulement appelés à  être cachés à  ses pieds pour intercéder. Ce sont peut-être les plus grands dans le royaume !

Ici, on ne nous parle pas de ceux qui « seront sauvés comme au travers du feu »: ceux-là  doivent vivre de grandes tribulations, jusqu’à  donner leur vie, pour pouvoir être sauvés au jugement dernier.

Il ne s’agit pas non plus de ceux qui pèchent sans vraie repentance et abandon du péché : ceux-là  ne sont pas convertis, quelque démarche envers Jésus qu’ils aient jamais faite, et même s’ils croient en lui: il croient en un Jésus qui n’est pas le Véritable, car le Véritable Jésus a dit:

Jean 15:22 – 24

Si je n’étais pas venu et que je ne leur eusse point parlé, ils n’auraient pas de péché ; mais maintenant ils n’ont aucune excuse de leur péché. Celui qui me hait, hait aussi mon Père. Si je n’avais pas fait parmi eux des oeuvres que nul autre n’a faites, ils n’auraient pas de péché ; mais maintenant ils les ont vues, et ils ont haï et moi et mon Père.

C’est sans appel: pécher, c’est haïr Jésus et c’est haïr le Père éternel ! Paul a d’ailleurs confirmé cette parole en lui donnant un éclairage nouveau :

Tite 1:16

Ils font profession de connaître Dieu, mais ils le renient par leurs oeuvres, étant abominables, rebelles, et incapables d’aucune bonne oeuvre.

Ceux qui se pensent sauvés alors qu’ils pèchent sans état d’âme, avec une vague repentance, en recommençant le lendemain, ressemblent à  Pharaon qui reconnaissait avoir péché (Exode 10:16), mais qui recommençait de plus belle dès que la plaie avait cessé !

Ils se moquent de Dieu, ils ne connaissent pas Christ, et ils n’ont donc aucune crainte de Dieu !

Car Christ et le Père sont UN

Ceux dont Paul parle en 1Co 13, sont ceux qui font les œuvres qu’ils jugent bonnes, au lieu de faire les œuvres préparées d’avance par Dieu :

1Corinthiens 3:15

Si l’oeuvre de quelqu’un est consumée, il perdra sa récompense ; pour lui, il sera sauvé, mais comme au travers du feu.

Le feu, c’est sur terre qu’il va le vivre !

Jésus ne parle pas non plus, en Matthieu 13, de ceux dont il a parlé en Matthieu 7: 21-23

Ceux qui me disent : Seigneur, Seigneur ! n’entreront pas tous dans le royaume des cieux, mais celui-là  seul qui fait la volonté de mon Père qui est dans les cieux. Plusieurs me diront en ce jour-là  : Seigneur, Seigneur, n’avons-nous pas prophétisé par ton nom ? n’avons-nous pas chassé des démons par ton nom ? et n’avons-nous pas fait beaucoup de miracles par ton nom ? Alors je leur dirai ouvertement : Je ne vous ai jamais connus, retirez-vous de moi, vous qui commettez l’iniquité.

Ceux-là , Jésus ne les a jamais connus !

Oui, ils ont fait des miracles au nom de Jésus. Pourquoi ? Parce que le nom de Jésus est tout puissant, et parce que Dieu a honoré la foi de ceux qui venaient avec humilité demander la prière. Mais cela n’a en rien justifié ceux qui faisaient ces miracles tout en commettant l’iniquité.

Ils n’ont jamais été vraiment convertis et n’ont jamais pris la moindre place dans le royaume. Ils en ont souvent pris beaucoup sur terre: le peuple de Dieu les a peut-être ovationnés, leur a versé quantité d’offrandes pour « leurs œuvres », pour « leur ministère »… Mais ils ne se sont même pas préparés un strapontin dans le ciel !

Jésus, en Matthieu 13, parle de tout à  fait autre chose:

Il s’agit de ceux qui, bien que chrétiens nés de nouveau, entrés dans le Royaume, marchent par la chair dans bien des domaines de leur vie, ou même dans un seul !

ILS SERONT ARRACHÉS DU ROYAUME PAR LES ANGES, À LA FIN DU MONDE, parce qu’ils commettent l’iniquité tout en ayant connu christ et en étant passé par un vrai salut !

C’est Jésus qui l’a annoncé !

Les anges arracheront aussi les « scanda-les »

(et donc tous ceux qui les provoquent ou qui oeuvrent dans ces scandales).

Le premier de ces scandales, et sans doute le plus répandu aujourd’hui, touche à  Mammon :

Hélas ! Combien font la pro-motion de l’évangile de prospé-rité aujourd’hui,

et combien de séducteurs, apparemment oints, se servent de la parole de Dieu pour leur enrichissement personnel, en se pensant bénis par Dieu !

2Pierre 2:19

ils leur promettent la liberté, quand ils sont eux-mêmes esclaves de la corruption, car chacun est esclave de ce qui a triomphé de lui.

Daniel corrobore Matthieu 13:

Il parle, lui aussi, du jugement dernier (chapitre 12)

12:2

Plusieurs de ceux qui dorment dans la pous-sière de la terre se réveilleront, les uns pour la vie éternelle, et les autres pour l’opprobre, pour la honte éternelle.

12:3

Ceux qui auront été intelligents brilleront com-me la splendeur du ciel,

et ceux qui auront enseigné la justice à  la multitude bril-leront comme les étoiles,

à  toujours et à  perpétuité.


Quand Matthieu 13 parle d’arracher les scandales, s’agit-il d’un nettoyage de choses matérielles, ou s’agit-il encore d’arracher des personnes qui n’ont pas le droit d’être là  ?

Regardons quand Jésus a parlé de « scandale »:

Matthieu 16:23

Mais Jésus, se retour-nant, dit à  Pierre : Arrière de moi, Satan ! tu m’es en scandale ; car tes pensées ne sont pas les pensées de Dieu, mais celles des hommes.

Pierre faisait seulement preuve de sentimentalisme (on dirait aujourd’hui « humanisme »). En croyant démontrer son amour, il ne s’apercevait même pas qu’il proposait à  Jésus de se détourner du plan de Dieu, un plan terrible pour Jésus, mais le seul qui pouvaient sauver les hommes !

Ses motivations secrètes, dont il n’avait probablement même pas conscience lui-même, étaient qu’il avait espéré faire une entrée triomphale à  Jérusalem avec Jésus, et y régner avec Lui. Au lieu d’un règne terrestre glorieux, Jésus lui annonçait l’opprobre et le rejet… Insupportable, face aux ambitions de Pierre !

Jésus l’a traité de SATAN !

Dans combien d’églises aujourd’hui ne parle-t-on pas de tolérance – que l’on confond avec l’amour – notamment vis-à -vis de certains péchés comme la fornication et tout acte sexuel hors mariage, péché que Dieu exècre !

Ne parlons pas de la tolérance vis-à -vis de l’homosexualité dans certaines mouvances, et encore moins de l’aveuglement volontaire sur l’idolâtrie mariale pratiquée par une grande partie de la chrétienté apostate, dans les réunions œcuméniques, au nom de l’amour, de la tolérance et de l’humanisme !

Cela ressemble à  de l’amour, mais c’est en fait de la haine de Dieu !

Ceux qui se livrent à  ce type de compromis, au nom de l’unité (unité babylonienne, certes pas unité dans la connaissance du Fils de Dieu !), sont en scandale aux yeux de Dieu !

Ceux qui traitent de légalistes ceux qui veulent leur rappeler que « Dieu punit le péché jusqu’à  la troisième et quatrième génération de ceux qui le haïssent » sont en scandale aux yeux de Dieu !

D’ailleurs, beaucoup de leaders qui acceptent le compromis sous prétexte de tolérance humaniste ne sont guidés que par une seule motivation : rechercher la faveur des hommes !

Galates 1:10

Et maintenant, est-ce la faveur des hommes que je désire, ou celle de Dieu ? Est-ce que je cherche à  plaire aux hommes ? Si je plaisais encore aux hommes, je ne serais pas serviteur de Christ.

La sentence de Jésus a été sans appel:

Matthieu 18:7

Malheur au monde à  cause des scandales ! Car il est nécessaire qu’il arrive des scandales ; mais malheur à  l’homme par qui le scandale arrive

Pourquoi : « nécessaire » (traduit parfois par « inévitable », ou « forcé ») ? Car c’est au travers de ces scandales-mêmes que la ligne de démarcation se fait entre ceux qui aiment Dieu et ceux qui ne l’aiment pas !

Les premiers dénoncent ces scandales, fut-ce au prix de leur vie.

Les seconds s’en font complices, au nom de l’humanisme… et, trop souvent, parce que cette « bonté » et cette « tolérance » leur permettent d’absoudre leurs propres péchés !

En parlant de scandale, Jésus a aussi appelé le malheur sur un autre type de personnes : celles qui montrent le mauvais exemple à  de plus jeunes dans la foi, à  des enfants, à  des disciples fragiles, et qui jouent à  l’humilité alors qu’ils sont remplis d’orgueil – Orgueil spirituel ou orgueil de vie – !

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Matthieu 18:4 –

C’est pourquoi, quiconque se rendra humble comme ce petit enfant sera le plus grand dans le royaume des cieux. Et quiconque reçoit en mon nom un petit enfant comme celui-ci, me reçoit moi-même.

Mais, si quelqu’un scanda-lisait un de ces petits qui croient en moi, il vaudrait mieux pour lui qu’on suspendît à  son cou une meule de moulin, et qu’on le jetât au fond de la mer.

La sévérité de Christ fait partie intégrale de son amour !

Non seulement Il nous a rachetés, mais il nous a donné un cœur nouveau et un esprit nouveau, afin d’être aptes à  résister au péché. C’est l’un des immenses cadeaux de la croix de Golgotha…

Que Dieu vous bénisse, que son Esprit saint nous conduise dans toute la vérité, afain que nous puissions « approcher du trône de la grâce pour y trouver miséricorde, et être secourus au moment opportun« , au nom de Jésus-Christ.

Michelle d’Astier de la Vigerie.