Vous connaissez tous Xavier Moreau, qui nous livre régulièrement ses bulletins vidéo sur la réelle situation du front ukrainien, à 180° du discours officiel.
Plus l’armée russe avance et conforte ses positions, plus l’armée ukrainienne est à bout de souffle, et plus nos médias font planer le spectre d’une défaite russe. En matière de désinformation Goebbels n’était qu’un amateur…
Cette fois-ci, c’est un témoignage poignant sur la torture pratiquée par la police politique de Kiev et par les unités ultranationalistes, que nous apporte Xavier Moreau, qui a interviewé Laurent Brayard, journaliste et humanitaire ayant exercé en 2015 et 2016 dans le Donbass.
https://odysee.com/@Roms17:d/Torture-en-Ukraine.-Entretien-avec-Laurent-Brayard—3-mai-2022:f
(Voir la vidéo en fin de publication)
Alors qu’on nous abreuve des crimes de guerre de Poutine sans la moindre preuve, tout est fait pour masquer les atrocités bien réelles, commises par Kiev à l’encontre des populations du Donbass depuis 2014. Une barbarie qui ne restera pas impunie quand cette guerre sera terminée.
La Douma discute d’un projet de loi pour que soient jugés les responsables des actes de sauvagerie commis par le régime ukrainien à l’encontre de sa propre population. Un petit Nuremberg en gestation.
Cette édifiante vidéo sur la réalité du pouvoir ukrainien, entouré d’unités nazies et ultranationalistes, est la preuve irréfutable que Poutine mène bien une guerre contre un régime barbare. Biden nous ment au même titre que Washington a trompé le monde entier pour lancer sa guerre en Irak et liquider Saddam Hussein.
De nombreux rapports d’Amnesty International ou de l’ONU ont fait état des exactions commises par les unités néo-nazies et ultranationalistes à l’encontre des populations du Donbass. Des crimes de guerre restés impunis à ce jour.
Enlèvements et maltraitances, détentions arbitraires dans des prisons secrètes, torture, viols, exécutions sommaires, décapitations d’otages et de prisonniers pro-russes… bienvenue dans l’univers carcéral du SBU ukrainien.
Rien de bien nouveau, mais cette fois-ci ce sont des témoignages avec preuves que nous dévoile Laurent Brayard. Il faudra bien qu’un jour justice soit faite. Tous les documents qu’il détient seront mis à disposition de la justice le moment venu.
Ce sont Natacha, Oleg, Vitali ou Olga, qui ont eu le malheur de tomber entre les mains du SBU, la police politique du régime, à la réputation aussi sulfureuse que la Stasi. Au total, Laurent Brayard a pu rassembler une quinzaine de témoignages de victimes ayant subi les traitements inhumains de ce régime mafieux, dans des prisons secrètes.
Des victimes traumatisées, diminuées, parfois effrayées par le risque de représailles. Après des mois de captivité et de souffrances, ces rescapés de l’enfer ont pu bénéficier d’un échange de prisonniers entre le régime ukrainien et les provinces séparatistes.
Arrêtés parfois sans raison et accusés d’espionnage, ou emprisonnés en tant que résistants, ils ont tous subi les pires sévices, dans des conditions de détention épouvantables, avec supplices permanents et hygiène inexistante. Tabassage quotidien, supplice de l’entonnoir, sévices multiples et humiliations, sont le lot des malheureux prisonniers.
Ongles arrachés, dents cassées, mains fracassées, produits inconnus injectés dans le corps, exécutions simulées dans des pièces où les murs étaient couverts de sang et de cervelle. Bref, un monde d’épouvante absolu où seuls les plus résistants ont survécu. Beaucoup ont disparu à jamais, d’autres ont sombré dans la folie.
Et malheur aux jeunes femmes séduisantes, appelées à devenir les esclaves sexuelles de ces barbares au dessus des lois. Natacha a entendu l’une d’elle supplier qu’on l’achève.
A Odessa, puis à Marioupol, ce sont des centaines de victimes innocentes qui ont été massacrées sans raison, juste pour assouvir la sauvagerie des unités Azov et Aidar, ou du SBU, parmi lesquels sévissent des mercenaires étrangers ne parlant pas un mot d’ukrainien ou de russe.
Mais la traque aux pro-russes a gagné toutes les villes d’Ukraine. Des milliers de citoyens paisibles ont été massacrés.
Parmi les témoins retrouvés qui ont accepté de parler, certains donnent la position des charniers et des fosses communes. Des témoignages précieux pour la justice de demain.
Les corps des victimes étaient jetés dans des puits de mines ou des trous d’eau. Ou bien les bourreaux mettaient les corps dans des voitures d’une casse avant de les destiner à la presse auto.
C’est donc ce monde d’épouvante la véritable Ukraine de Zelensky, lequel s’apprêtait à attaquer le Donbass en mars 2022, une réalité occultée par les médias.
Depuis Porochenko, rien n’a changé. On nous dit que cette vidéo agressive et embarrassante est sortie de son contexte. Observez la tête de l’orateur ! C’est la haine à l’égard des pro-russes.
C’est cet Etat policier que Biden défend dans le seul but de détruire la Russie opposée à l’impérialisme américain.
Il n’est nullement question de valeurs, de démocratie, de défense du plus faible, de liberté ou de justice.
Pour les faucons du Pentagone, il faut détruire cette Russie qui refuse de se plier à la domination planétaire de Washington, au besoin en laissant raser l’Ukraine et saigner son peuple.
C’est cela la morale otanienne. C’est cette ignominie monstrueuse que défendent nos élites et nos médias.
Seule une victoire de l’armée russe pourra faire éclater la vérité et divulguer au grand jour tous les lourds secrets qui se cachent à Marioupol, à Kramatorsk et ailleurs.
C’est pour taire cette terrible vérité que les ultranationalistes se battent jusqu’à la mort.
Mais je vous laisse regarder cette vidéo très instructive. Et ce n’est pas la propagande du Kremlin, c’est la vérité qu’on nous cache, tout simplement.
En attendant, l’armée ukrainienne manque de munitions, de carburant, de personnels et toutes le voies ferrées sont détruites. A part cela, Poutine est en train de perdre la guerre si on en croit nos élites !
Jacques Guillemain
Existent-t-ils encore des mots pour nommer de telles ignominies ? J’en doute…