Note MAV: en demandant à Dan de raconter son cheminement pour savoir comment il s’était échappé du dogme de la Trinité, je ne m’attendais pas à la puissance de ce témoignage; Cela m’a grandement touchée et j’explique pourquoi en fin d’article.
« Le Livre de la Révélation », traduction correcte pour le Livre de l’Apocalypse.
Nous sommes entrés dans le temps du dévoilement, dans le temps du rétablissement de toutes choses et tout doit revenir à l’intention première de l’Eternel, tout.
Ma démarche, dans la mesure qu’il m’a été impartie, chaque pierre apportant sa contribution, est donc un exercice de dévoilement, un exercice de révélation sur un sujet aussi capital qu’explosif, capital pour notre cheminement avec l’Eternel, pour notre compréhension de Dieu, et, explosif car il s’agit d’un terrain miné, une vraie bombe atomique. Cela devrait d’ailleurs largement suffire pour nous interpeller quant à la cause de cette explosivité, lorsque le combat est tel, ce n’est pas pour rien, c’est que l’enjeu est colossal et il l’est.
Approche
Je vais vous demander une chose, oui vraiment, je vous exhorte, faites l’effort de lire dans l’ordre en suivant les étapes de cette démarche, les étapes de cette construction. Mon désir est que nous construisions ensemble, ensemble par votre participation active pendant la lecture de ce message, oui j’imagine cela comme une construction.
Après une introduction étonnante, le cœur de ce message sera la narration de mon expérience, c’est-à-dire du cheminement de vie qui m’a permis d’être libéré d’un poids, d’un fardeau, d’un vêtement trop petit, d’un véritable corset, d’un voile d’une épaisseur inimaginable, un voile opaque qui ne laisse rien transparaître, d’un ennemi parfaitement dissimulé, d’un ennemi extrêmement rusé, j’ai nommé « le dogme catholique de la Trinité ».
Libération, oui, vous avez bien lu, c’est véritablement une libération et j’affirme avec force que toute personne qui a été au bout de ce cheminement vous le confirmera, absolument toute, et strictement aucune ne regrette son choix, aucune. Ne croyez pas l’ennemi qui à l’instant est déjà en train de vous dire que vous allez renier votre Dieu, tout en vous distillant une dose chargée de culpabilité, ne le croyez pas, ce n’est pas vrai, bien au contraire, si vous persévérez vous allez connaitre l’Eternel comme jamais auparavant et les Écritures vont s’ouvrir à un point que vous n’imaginez pas, vous serez comme les deux disciples sur le chemin d’Emmaüs (Luc 24.13ss).
Bien évidemment, nombreux versets clé seront mis en exergue, il serait bien difficile de faire sans, tout comme nombreux questionnements, mais assurément le but n’est pas de faire de la théorie biblique. D’ailleurs, même pour la partie plus théorique, se sera, me semble-t-il, avec un angle d’approche assez différent de ce qui se fait habituellement sur ce genre de sujet.
À qui s’adresse ce message ? Ce message s’adresse à ceux qui ont faim et soif de la vérité, à ceux qui désirent ardemment l’amour de la vérité, à ceux qui peuvent encore tout remettre en question, en premier lieu leurs certitudes, mais aussi et peut-être même surtout, à ceux qui ont été piégés, qui ont été trompés, tout en étant sincères dans leurs démarches.
Commençons notre construction
Le verset clé pour ce message est peut-être le dernier que la grande majorité, moi compris, imaginerait pour ce sujet, néanmoins, c’est ce passage que j’ai choisi car il porte en lui une puissance profonde de dévoilement assez inimaginable.
Jean 8.11 : va, et ne pèche plus.
Complètement à l’ouest ? Quel rapport avec le dogme de la Trinité ? Intéressant, mais absolument hors sujet pourraient me dire certains. Dès maintenant, je vous exhorte à entrer dans ce cheminement, à entrer dans cette démarche et à chercher le sens profond de cette construction. Oui ! Nous sommes en train de construire.
Ce verset est : puissance de révélation, puissance de vie, puissance de pardon, puissance de l’amour du Seigneur et il nous dit entre mille autres choses :
–> « VA » comme une délivrance
–> « VA » comme une libération
–> « VA » comme une respiration
–> « VA » comme un soulagement
–> « VA » comme une vie nouvelle
–> « VA » comme l’amour du Seigneur
–> « VA », oui « VA », oui va sur le chemin que le Seigneur ouvre à l’instant, VA !.
Voici la libération, ce message a véritablement pour but de vous amener à la libération, « Soyez libre », c’est ma pensée première avec ce message.
Mais ce n’est pas tout, la vérité cachée, la clé de dévoilement est ceci, écoutez, je vous en supplie écoutez :
Les chaînes, les murailles qui maintiennent liés dans le dogme de la Trinité ne sont pas de fer, ne sont pas de pierre, ELLES SONT DE CHAIR, ELLES SONT DE CHAIR, ELLES SONT DE CHAIR, c’est la forteresse des hommes.
Jean 8.3 : Alors les scribes et les pharisiens amenèrent une femme surprise en adultère; 8:4 et, la plaçant au milieu du peuple, ils dirent à Jésus: Maître, cette femme a été surprise en flagrant délit d’adultère.
Amenée, entourée, encerclée, elle connait sa faute, elle connait le verdict, elle est encerclée, elle réalise qu’elle n’a aucune chance de s’en tirer, mais elle voit le Seigneur, et, mystère du dévoilement, bien qu’elle comprenne que le Seigneur est au-dessus de tout, qu’il a tout pouvoir sur elle, elle comprend, elle le craint, mais elle n’a plus peur, car elle comprend qu’il est sa seule protection, son seul espoir face à l’homme, face aux murailles et aux chaines de chair.
Oui, la forteresse qui maintient captif dans le faux dogme de la Trinité est constituée par des hommes, plus précisément : les religieux et le peuple, qui amènent, entourent et encerclent.
Alors, oui, ne soyez pas surpris, si vous osez, ce que je vous encourage vivement, si vous osez remettre en question ce dogme, alors vous allez vous retrouver : amené, entouré, encerclé par la muraille des hommes, la muraille de chair, … Mais n’ayez pas crainte le Seigneur sera avec vous.
Bien évidemment que la femme adultère a péché et est condamnable selon la loi divine. Et bien évidement que celui ou celle qui veut être libéré(e) du dogme de la Trinité n’est pas dans le péché, bien évidemment. Mais comprenons le mécanisme mis en évidence, comprenons la forteresse des hommes et comprenons qui nous en libère.
Mais le Seigneur dit : Va et ne pèche plus.
Jean 8.10 : Alors s’étant relevé, et ne voyant plus que la femme, Jésus lui dit: Femme, où sont ceux qui t’accusaient? Personne ne t’a-t-il condamnée ? 8 :11 Elle répondit : Non, Seigneur. Et Jésus lui dit : Je ne te condamne pas non plus : va, et ne pèche plus.
Cela s’écarte de notre notre sujet, quoique ce n’est pas si sûr, mais il est juste impossible de ne rien dire sur ce passage totalement et absolument inimaginable d’une profondeur inouïe qui nous échappe totalement lors d’une lecture superficielle.
« Personne ne t’a-t-il condamnée ? Elle répondit : Non, Seigneur. »
J’écrivais ci-dessus : puissance de révélation, puissance de vie, puissance de pardon, puissance de l’amour du Seigneur. Veillons à ne pas lire la Parole de manière superficielle, cela empêche d’en saisir la beauté sublime et la profondeur inimaginable. « Elle répondit : NON, SEIGNEUR » j
Juste fabuleux, juste fabuleux, juste fabuleux, à en pleurer, j’en ai les larmes aux yeux en écrivant.
Continuons notre construction
Libération, préambule
Pendant près de 30 ans, j’ai été un trinitaire convaincu, je croyais fermement à cette doctrine comme si elle coulait de source, comme si elle était la vérité, un point c’est tout. Dans mon for intérieur, je m’imaginais qu’il y avait de nombreux versets qui le démontraient, cela semblait tellement évident, tous parlaient dans ce sens. Néanmoins, pendant cette période de ma vie, je n’ai jamais véritablement creusé le sujet, jamais véritablement cherché par moi-même, Bible en main, à vérifier la véracité de cette doctrine.
Plus de 30 ans de vie chrétienne lambda, c’est-à-dire, participation fidèle au culte, lecture et étude de la Bible, quelques activités, sans toutefois faire partie des responsables, sans rien de particulier, un gentil paroissien quoi, tout allait bien. Tout allait bien, mais je ne vivais quasiment rien de vivant avec le Seigneur. Puis vint l’an de grâce, celui où le Seigneur m’a visité, celui où je suis entré dans la vie de l’Esprit, celui où ma vraie nouvelle vie a commencé. Il n’en demeure pas moins que ma conversion était bien réelle, mais il manquait la suite que nous devrions normalement vivre sitôt après notre « conversion », c’est-à-dire la vie remplie de l’Esprit du Seigneur. Je vais m’arrêter là, car le propos de ce message n’est pas mon témoignage en tant que tel, mais mon témoignage quant à ma libération du dogme de la trinité.
Confrontation
Voilà qu’en venant me nourrir sur le présent blog, je reçois en pleine face un message de Michelle qui fait état de la remise en question du dogme de la trinité. Quelle stupéfaction, franchement, j’étais abasourdi et plongé dans un grand étonnement. Ma première réaction a été le rejet, même pas de réflexion, pas vraiment lu ce qui était écrit, j’étais choqué et dérangé. À ce moment de mon cheminement spirituel, ce blog était ma nourriture journalière, le seul où j’allais encore, tellement lassé et déçu des messages à l’eau de rose ou des déviations en tout genre de la grande majorité des églises, il y avait ici du solide et nombreux intervenants étaient manifestement dans la vie de l’Esprit.
Donc je me dis, tant pis, c’est vraiment dommage et dans ma déception je mis cela de côté, ne sachant quoi faire avec et ne sachant quoi faire tout court d’ailleurs, en me disant que nous arrivons probablement dans le temps où nous ne pouvons compter que sur ce que le Seigneur nous dit en direct.
Mais au fond de moi-même, ce sujet de la remise en cause du dogme de la trinité ne me quittait plus, je n’arrivais pas à m’en défaire, j’y pensais tout le temps. En vraie vérité, je l’aime beaucoup cette expression « vraie vérité », dès le départ, mon être intérieur a su que cela était vrai, c’était faible il est vrai, et comme je n’avais aucune envie d’entendre cela, j’ai fait semblant de ne pas entendre.
Et pourtant, mon parcours de vie venait de changer radicalement, énormément de choses venaient d’être remises en question, presque tout en fait et ma vie avait complètement changé. J’étais ouvert à quasiment toutes les révélations pour l’avancée dans mon cheminement avec le Seigneur, mais là, avec la remise en question du dogme, je me suis dit, je suis ouvert à presque tout entendre, mais cela va trop loin, il ne faut tout de même pas exagérer.
Comment est-ce possible ?
Bien sûr, tous peuvent déraper et même tomber complètement, peu importe le ministère. De plus, comme je le crois fermement, personne, aucun serviteur, aucun disciple ne reçoit une révélation complète et même presque tous ont un sujet incompris ou leur perception n’est pas correcte, sans savoir lequel bien sûr, je pense même que c’est une règle fondamentale. Cependant au vu de la qualité de la nourriture solide qui se trouve sur ce blog depuis bien longtemps, en particulier dans le domaine de la révélation de l’état réel de l’Eglise, je me suis dit : « ce n’est pas possible, il y a quelque chose qui m’échappe. »
Avec le cheminement que je vivais avec le Seigneur, avec cette vraie nouvelle vie, celle dans l’Esprit, que je ne vivais que depuis quelques mois, je me devais d’aller vers mon Seigneur pour connaitre la vérité. Qui d’autre que Lui-même sait qui il est ? Alors j’ai fait la seule chose qui était à faire, je me suis adressé au Seigneur et que lui-ai-je dit ? Que lui-ai-je dit ?
Cette question si importante et pourtant si négligée, je ne l’avais encore jamais posée, je ne m’étais encore jamais adressé au Seigneur de la sorte, aujourd’hui cette question est continuellement en moi, car en réalité le Seigneur veut que nous le cherchions, que nous découvrions qui Il est. Les choses sont cachées, rien ne nous est donné de manière toute faite, il y toujours une démarche de recherche, « cherchez et vous trouverez » nous a dit Yeshoua, la vie est cachée en Lui, nous devons aller la chercher, cela ne vient pas tout seul. Nous ne nous levons pas un beau matin d’été en disant soudainement : ah, super, je sais qui est Dieu ! En vérité, nous avons l’impression de renier notre foi en posant cette question, car cela revient à admettre que finalement nous ne le connaissons pas si bien que nous le prétendons, que nous le croyons. Et cette question, LA QUESTION est :
« QUI ES-TU SEIGNEUR ? »
Oui, vous avez bien lu : « Qui es-tu Seigneur ? » Je vous supplie, comprenez cette question vitale, cette question qui doit faire l’objet de notre vie en vérité, c’est notre vie que de trouver le Seigneur, avec pour suite l’entrée dans les œuvres préparées d’avance, mais cela c’est un autre sujet.
En « vraie vérité », nous ne pouvons pleinement le connaitre, il est sans limite, il est hors de toute notion de temps ou de limite matérielle, il est l’existence, il est la vie, il est tout, alors que nous sommes tout le contraire, à une sublissime exception près, la vie de l’Esprit que le Seigneur met en nous, c’est cela qui nous permet d’entrer dans les choses célestes tout en étant dans une dimension terrestre. Ces choses sont un sujet en soi, et même largement plus, je ne vais donc pas aller plus loin ici, cependant la relation avec notre sujet est évidente, car le faux dogme de la trinité cadre, limite avec rigueur et de manière humaine, charnelle, des choses éternelles et sans limites.
Par ta Parole, uniquement !
Revenons au vécu, en posant cette question, bien évidemment, le but était de connaitre la vérité sur cette notion de trinité. Ensuite, j’ai bien précisé dans ma prière la manière dont je voulais la réponse, eh bien oui, parfois il faut être très précis dans nos prières. Je ne me rappelle pas les mots, mais en substance cela donnait ceci : « Je te demande de me répondre exclusivement par la Bible, Ta Parole. Si le dogme est faux, si tu n’es pas trois, alors ta Parole le dit forcément, et en plus, je ne veux pas véritablement le rechercher par moi-même, mais que tu me le montres directement ».
Livre de la Révélation de Yeshoua.
Avec néanmoins une orientation claire, le livre de l’Apocalypse, mieux traduit par « Révélation de Yeshoua », car si la réponse à cette question ne figure pas dans le livre de la Révélation de Yeshoua HaMashiah, alors elle ne figure nulle part, voici l’explication du titre de ce message.
Donc sans faire une vraie recherche approfondie, plus ou moins régulièrement j’allais me « balader » dans le livre de l’Apocalypse, un peu au hasard en piquant des passages ci et là.
Le Seigneur répond-il ?
Oui, assurément, le Seigneur répond, il répond quand on recherche vraiment, quand on est prêt à accepter la réponse, quand on est véritablement sincère, quand on est disposé à recevoir la vérité, à fortiori que c’est sa volonté. Il veut que nous venions, il nous attend en vérité, il nous attend, pas pour satisfaire notre curiosité, mais pour nous faire avancer dans le dévoilement.
Depuis lors, je n’arrêtais plus de tomber « par hasard » sur des textes de l’Ancienne ou de la Nouvelle Alliance dans lesquels me sautait aux yeux l’impossibilité de la véracité du dogme de la Trinité aux regards de ces textes. Il y en a des dizaines, peut-être des centaines, oui vraiment, en réalité pour maintenir le dogme de la Trinité, l’Ancienne Alliance peut véritablement être jetée, en fait la Bible parle du Dieu UN, du Dieu EHAD de la première à la dernière page.
Et effectivement le premier texte clé qui a eu un effet significatif sur ma carapace humano-religieuse se trouvait bien dans le livre de l’Apocalypse, vous le trouverez un peu plus loin, là j’ai enfin compris qu’il était tout simplement impossible de faire tenir bibliquement cette fausse doctrine catholique, oui cette doctrine est un pur produit catholique.
On peut dire que ce processus a pris environ six mois, dans le sens d’une libération totale, d’une acceptation totale, mais les premiers textes bibliques après ma prière sont venus très rapidement, après un mois il y avait déjà de quoi être convaincu. Ce n’est qu’à l’issue de la révélation biblique par elle-même, qu’ensuite seulement, j’ai lu les enseignements, les commentaires sur ce blog et ce n’a été que confirmation sur confirmation.
Sans cette vie de l’Esprit qui venait de débuter en moi, il est très probable que je n’aurais pas été plus loin dans ma démarche et j’en serais resté où je me trouvais alors.
Solidifions notre construction – Clés de révélations
Comme évoqué ci-dessus, je ne désire pas entrer dans un match de tennis de versets bibliques, cela n’apporte en règle générale pas grand-chose, néanmoins, il ne serait pas crédible de ne rien documenter bibliquement parlant. De plus, en temps normal, il conviendrait de laisser les questions ouvertes pour que chacun trouve les réponses par lui-même, mais le temps est trop avancé, je vais donc donner les réponses, que cela n’incite néanmoins pas à la paresse, allez ensuite examiner par vous-même en relisant votre Bible sans les lunettes de la tradition.
Qui est sur le trône ?
Apocalypse chapitre 4 et 5.
5:6 Et je vis, au milieu du trône et des quatre êtres vivants et au milieu des vieillards, un agneau qui était là comme immolé. Il avait sept cornes et sept yeux, qui sont les sept esprits de Dieu envoyés par toute la terre. 5:7 Il (l’agneau) vint, et il prit le livre de la main droite de celui qui était assis sur le trône.
5:13 Et toutes les créatures qui sont dans le ciel, sur la terre, sous la terre, sur la mer, et tout ce qui s’y trouve, je les entendis qui disaient: A celui qui est assis sur le trône, et à l’agneau, soient la louange, l’honneur, la gloire, et la force, aux siècles des siècles!
Alors qui est sur le trône ? Nous y voyons en même temps le Père et le Fils, comment-font-ils ? Comment est-ce possible ? La réponse est la plus simple, le Père et le Fils sont UN, sont EHAD, la divinité n’est pas composée de plusieurs personnes, mais d’une et une seule. Ajoutons que le mot personne est totalement inapproprié, mais tout ne peut être dit dans ce message qui a pour seul but de révéler le mensonge absolu du dogme de la trinité.
Oui, il y a une seule « entité » sur le trône, une seule, un enfant donnerait sans difficultés la réponse à cette question, oui, sans difficultés, UN SEUL EST SUR LE TRÔNE.
Equation divine et défi
Nous sommes face à une équation à une, deux ou trois inconnues, c’est-à-dire Père, Fils et St-Esprit, comment les décompter ? En utilisant des inepties invraisemblables du genre : 1+1+1 = 1 ? Là aussi, un enfant vous dira en vous regardant avec de grands yeux innocents, mais 1+1+1 = 3. Je rappelle que seuls ceux qui ont un cœur d’enfants entreront dans le Royaume des cieux.
Matthieu 12.31-32
12:31 C’est pourquoi je vous dis: Tout péché et tout blasphème sera pardonné aux hommes, mais le blasphème contre l’Esprit ne sera point pardonné. 12:32 Quiconque parlera contre le Fils de l’homme, il lui sera pardonné; mais quiconque parlera contre le Saint Esprit, il ne lui sera pardonné ni dans ce siècle ni dans le siècle à venir.
Je vous mets solennellement au défi de faire tenir le dogme de la trinité avec le jugement prononcé dans ces deux versets. Avec trois personnes distinctes, cela a l’air de fonctionner sans y réfléchir vraiment, même si ce n’est pas le cas, mais complétons avec la Parole de Dieu qui nous dit également :
Jean 4.24 : Dieu est Esprit, et il faut que ceux qui l’adorent, l’adorent en esprit et en vérité.
Et là tout s’écroule, si le Père et l’Esprit sont le même, alors impossible de faire tenir le 1+1+1 = 1, même le 1+1+1 = 3 ne marche plus. Et même sans ce verset, si les trois sont un, comme disent les trinitaires, alors c’est impossible, car celui qui touche au Fils de l’homme, touche immanquablement au Père et à l’Esprit, immanquablement, dès lors le verset ne veut strictement rien dire, oui, strictement rien dire, regardez par vous-même, examinez.
Et pourtant la réponse figure très clairement dans ce texte : « Quiconque parlera contre le Fils de l’homme, il lui sera pardonné », voilà la clé de compréhension, le FILS DE L’HOMME.
Le Père et l’Esprit sont le même, qui plus est dans une dimension d’éternité, contrairement au Fils de l’homme qui est la manifestation de l’Eternel DANS NOTRE DIMENSION TERRESTRE, c’est-à-dire, dans notre monde, avec ses limites temporelles et matérielles et toutes les contraintes qui y sont liées. D’ailleurs, mais c’est un autre sujet, ce n’est que dans cette dimension que le pardon peut intervenir. Relevons que le Seigneur Yeshoua ne s’est lui-même jamais défini comme Fils de Dieu, jamais. Il répondra simplement le fameux « tu l’as dit » en réponse au souverain sacrificateur, autrement, il a toujours parlé du Fils de l’homme.
L’Eternel est hors du temps et de l’espace, hors de toutes notions de limites. Il faut véritablement intégrer cela dans notre monde occidental cartésien qui nous crie le contraire en nous cadrant et en nous limitant sans relâche. Mes amis, oui, ceux qui ont lu jusqu’ici sans s’agiter, dans la paix de Yeshoua, doivent être mes amis, écoutez, je sais j’insiste sur nombreux points, mais écoutez, comprenez cela c’est essentiel : LA NOTION DE TEMPS N’EXISTE PAS hormis dans notre sphère terrestre, la seule qui est inscrite dans les limites et les lois conçues par l’Eternel. En ces temps de la fin de notre ère, le Seigneur permet même aux physiciens de le découvrir par la physique quantique, ils ne l’expliquent pas, mais assurément ils découvrent pour partie ces notions.
Il y aurait beaucoup à dire sur ces choses, mais je ne peux le faire ici sans alourdir et peut-être perdre le sujet du faux dogme de la Trinité.
Revenons à notre équation, voici le résultat de l’équation divine :
1 = 1 et même : UN = EHAD.
La Parole de Dieu confirme-t-elle notre résultat ? Oui et c’est peu dire :
Zacharie 14.9 : L’Éternel sera roi de toute la terre ; En ce jour-là, l’Éternel sera le seul Éternel, Et son nom sera le seul nom.
LE SEUL ÉTERNEL ET SON NOM SERA LE SEUL NOM.
Que dire de plus ? rien, on ne peut plus rien dire à celui qui ne comprend pas avec cela, rien du tout. UN cela veut dire UN, comme UN POINT, C’EST TOUT, pourquoi s’obstiner à lire autre chose que ce qui est écrit noir sur blanc du début à la fin de la Bible ?
Désobéissance
À la question de savoir comment prier, le Seigneur Yeshoua a enseigné qu’il convenait de s’adresser au Père, Lui-même n’a d’ailleurs jamais fait autrement. Alors je le dis sans détour, prier le St-Esprit est une désobéissance de même que de prier Yeshoua lui-même, et oui c’est ainsi, il faut arrêter de prendre des libertés avec la Parole de Dieu, notre Seigneur lui-même n’a pas pris de telle liberté et pourtant, qui était-il ?
J’ajouterais encore ceci, c’est l’extraction de l’Esprit pour en faire une « personne » qui est le plus grave, cela est la vraie faute, et comme par hasard, l’ennemi de nos âmes se délecte de cela au sein des mouvements qui ne jurent que par le St-Esprit, car ainsi la porte est grande ouverte pour les mauvais esprits, pour les hordes démoniaques, oui, absolument, c’est bien ainsi, parfaitement.
Cohérence
La Bible nous parle du St-Esprit, de l’Esprit de Jésus-Christ, de l’Esprit de Dieu et le Père est Esprit, ajoutons encore le Rouah Hakodesh de l’Ancienne Alliance. Si on applique la théorie du dogme de la Trinité, cela fait déjà 3 voire 4 « esprits/personnes », ajoutons les 7 Esprits dans le livre de l’Apocalypse, donc nous arrivons à 10 ou 11, plus le Père, plus le Fils…
Allô la terre ? Tout va bien ?
Et là ? Une personne en plus ? Serions-nous deux personnes ?
Philémon 1.25 : Que la grâce de notre Seigneur Jésus Christ soit avec votre esprit !
Et dans ce cas, on fait quoi ?
Actes 16.6-7 : Ayant été empêchés par le Saint Esprit d’annoncer la parole dans l’Asie, ils traversèrent la Phrygie et le pays de Galatie. Arrivés près de la Mysie, ils se disposaient à entrer en Bithynie ; mais l’Esprit de Jésus ne le leur permit pas.
On aurait envie d’en rire tellement c’est ridicule et sans fondement, mais malheureusement le sujet est on ne peut plus sérieux.
Quelques versets
Esaïe 44:6 : Ainsi parle l’Eternel, roi d’Israël et son rédempteur, L’Éternel des armées : Je suis le premier et je suis le dernier, Et hors moi il n’y a point de Dieu.
Apocalypse 1:18 : (C’est, clairement, Jésus qui parle) « Je suis le premier et le dernier, et le vivant. J’étais mort ; et voici, je suis vivant aux siècles des siècles. Je tiens les clefs de la mort et du séjour des morts. »
Esaïe 9.5 (6) : Car un enfant nous est né, un fils nous est donné, Et la domination reposera sur son épaule; On l’appellera Admirable, Conseiller, Dieu puissant, Père éternel, Prince de la paix.
Hébreux 7.1-3 : 1 En effet, ce Melchisédek, roi de Salem, sacrificateur du Dieu Très-Haut,-qui alla au-devant d’Abraham lorsqu’il revenait de la défaite des rois, qui le bénit, 2 et à qui Abraham donna la dîme de tout,-qui est d’abord roi de justice, d’après la signification de son nom, ensuite roi de Salem, c’est-à-dire roi de paix,- 3 qui est sans père, sans mère, sans généalogie, qui n’a ni commencement de jours ni fin de vie,-mais qui est rendu semblable au Fils de Dieu,-ce Melchisédek demeure sacrificateur à perpétuité.
Jean 14.9 : Jésus lui répondit : je suis depuis si longtemps avec vous, et tu ne m’as point connu? Philippe, celui qui m’a vu, a vu mon Père ; et comment dis-tu: montre-nous le Père ?
Jean 14.10 : Ne crois-tu pas que je suis en mon Père, et que le Père est en moi ? les paroles que je vous dis, je ne les dis pas de moi-même ; mais le Père qui demeure en moi, est celui qui fait les œuvres.
Est-ce tout ? Y-a-t-il autre chose à dire ?
Les plus fervents défenseurs de la Trinité sont les catholiques.
Le catholicisme est depuis toujours le pire ennemi de l’Eglise et le pire ennemi d’Israël, je l’affirme catégoriquement, depuis l’empereur Constantin jusqu’à aujourd’hui. Qui plus est, nous n’allons pas tarder à voir la dernière « évolution » du catholicisme, oui, nous n’allons pas tarder à la voir.
Il s’est tenu deux Conciles à Ephèse avec pour objet : l’attribution du titre de « mère de Dieu » à Marie et d’autre part une divergence fondamentale sur la « Trinité » avec les Nestoriens. Il existe également la lettre à l’Eglise d’Ephèse dans le livre de l’Apocalypse et aujourd’hui Éphèse n’existe plus, alors que ce fut une ville très importante à l’époque.
Comme je l’avais mentionné dans l’article « La Trinité ennemi du EHAD », je n’engage que moi mais j’ai la conviction profonde que le préalable indispensable à la doctrine de la déification de Marie était de faire admettre le dogme de la Trinité avant, et, dès cet instant, il en a été fini du EHAD pour ceux qui se disent chrétiens. Et pour couronner ce plan machiavélique, par la même occasion, les racines juives étaient coupées.
Oui, le faux dogme de la Trinité nous coupe de nos racines juives. La toute première étape pour revenir à nos racines juives, en référence à Romains chapitre 11, c’est de renoncer au faux dogme de la trinité.
Quelle force a poussé Jean Calvin, le grand réformateur, quelle force l’a poussé à vouloir et à demander la mise à mort de Michel Servet dans d’horribles souffrances, en lui refusant même après supplication… la guillotine, de loin préférable à ce que ce pauvre homme a subi, cela à cause du dogme de la Trinité ? Quelles forces ? Qui peut défendre cela ? Qui ? Qui oserait défendre cela et au nom de qui ? Qui oserait prononcer le Nom, qui oserait ?
Le Seigneur n’a jamais parlé de ce dogme ni directement ni indirectement. Ni les apôtres, ni les prophètes, n’enseignent ou ne précisent quoi que ce soit sur ce dogme, juste rien. Tout est interprétation, jamais, absolument jamais la Bible la Parole de Dieu ne parle ou n’explique même de loin le dogme de la Trinité, pas plus que le mot lui-même puisqu’il n’est pas dans la Bible.
Et quand on entend certains nous dirent que puisque ELOHIM (le mot « Dieu » au début de la Genèse) est un pluriel, alors la Trinité est vraie, on a juste envie de pleurer. Une pareille ignorance des mots hébreux, qui plus est quand des « juifs » messianiques en disent autant en voulant par là bien montrer leur changement de camp, oui c’est à pleurer de manque de connaissance, celle qui amène la destruction, la mort selon Osée 4.6. C’est précisément le dogme de la Trinité qui est une forteresse qui nous empêche d’être en mesure d’enfin appréhender la Parole de Dieu, la vraie.
D’ailleurs, personne ne connait le nom de l’Eternel, Hachem (le Nom), c’est un mystère qui n’est pas dévoilé, c’est le nom qui donne l’identité et nous ne le connaissons pas. Et le mot « Dieu », excusez- moi, mais quel rapport avec le « Dieu » de la Bible ? Pour faire très bref : Dieu=Deus=Zeus=Jupiter, il est vraiment urgent de s’extraire de la chape gréco-romaine qui a façonné notre société occidentale. De même la transposition gréco-latine Jésus ne veut en soi strictement rien dire, alors que Yeshoua HaMashiah, le seul nom que connaissait ses douze disciples, est infini de signification.
Nous sommes corps, âme et esprit, nous dit la Parole du Seigneur, vous viendrait-il à l’idée d’appeler un de vos amis : « Eh bonjour, esprit de xyz » en ajoutant le prénom de la personne. Complètement stupide, aberration totale, oui assurément, mais en nommant le St-Esprit c’est ce que nous faisons.
Le Seigneur pourrait-il chercher une épouse qui ne sait pas qui il est ? Et s’il y a trois personnes, l’Epouse avec qui s’unit-elle ? Avec trois époux ?
Une dernière chose et non la moindre, je vous exhorte à lire ce qui suit solennellement, très attentivement, en prenant véritablement la mesure de ce que cela veut dire, en prenant la mesure de la folie qui faisait l’objet de ma pensée lorsque j’étais encore trinitaire, SANS MÊME LA FORMULER, SANS M’EN RENDRE COMPTE, mais folie tout de même et je n’écrirai pas le deuxième mot qui va avec, je vous laisse le découvrir par vous-même, vous qui m’avez suivi jusque-là, vous qui avez faim et soif de l’amour de la vérité, mes amis, frères et sœurs, venez allons plus loin, osons aller plus loin, osons pousser le raisonnement jusqu’au bout, oui, jusqu’au bout.
Voici le propos, imaginez je vous prie la situation suivante. Imaginez une famille, un père, une mère et plusieurs enfants se trouvent dans une situation dramatique où pour survivre l’un d’entre eux doit se sacrifier, doit mourir, il n’y a pas d’autre issue, rien d’autre. Alors la bonne question est : qui doit se sacrifier, qui va se sacrifier, imaginez. Pouvez-vous vous imaginez une seule seconde le père dire : vas-y mon fils, mon aîné, on sera fier de toi ! Que penseriez-vous de ce père ? Quel mot vous vient immédiatement à l’esprit, mot que je ne vais pas écrire tellement il est évident et tellement je ne peux le rapprocher, même de très loin, à la situation divine, au point que je ne peux imaginer un seul milliardième de seconde, non je ne le peux pas, et je ne peux pas écrire la suite non plus, même pour expliquer. Que ceux qui peuvent comprendre, comprennent.
Construction ou déconstruction ?
J’ai parlé ci-dessus à plusieurs reprises de construction, mais en vérité, pour ceux qui sont restés avec moi jusque-là, nous avons plus déconstruit que construit. La déconstruction fait partie de la construction, c’est la première étape indispensable. Avant d’édifier une maison, les constructeurs creusent les fondations et encore avant cela démolissent l’ancien bâtiment s’il en existait un, ce travail est partie intégrante de la construction.
J’ajouterais que dans notre cas, est édifiée une forteresse de 1.700 ans d’âge, la déconstruction n’est pas rien, mais le Seigneur est puissant, une seconde suffit, oui l’Esprit de notre Seigneur peut vous dévoiler cela et déconstruire en une seule seconde.
Est-ce biblique ? Oui assurément et la Parole va même bien plus loin :
Jérémie 1.10 : Regarde, je t’établis aujourd’hui sur les nations et sur les royaumes, pour que tu arraches et que tu abattes, pour que tu ruines et que tu détruises, pour que tu bâtisses et que tu plantes.
C’est un autre sujet, mais j’ai envie de dire que c’est une règle fondamentale d’un point de vue prophétique, il y a d’ailleurs de quoi avoir des gros doutes lorsque quelqu’un se disant prophète ne commence pas par cela et j’ajouterais encore, non mais sérieusement, un vrai prophète peut-il être populaire ? Fermons la parenthèse.
Déconstruction, oui assurément, car effectivement nous n’avons pas encore commencé à expliquer ce qui est, mais plutôt éliminé ce qui n’est pas. Nous ? Oui, avec ceux qui sont entrés dans cette construction, ce cheminement. Déconstruction, oui, mais pas que, car nous avons mis évidence les matériaux de construction, en image, je les appellerais les pierres blanches, parfaites et sans défaut, celles qui vont permettre une saine construction, celles qui vont s’assembler et édifier un édifice solide. Alors, oui, nous sommes assurément en train de construire.
Contrairement aux trinitaires, ceux qui ont été libérés de ce faux dogme, et là je parle en leur nom, nous ne prétendons pas tout expliquer. Par contre, nous affirmons nous être rapprochés du Seigneur, nous affirmons en avoir une meilleure compréhension et nous prétendons que cette libération nous place justement dans une disposition qui permet d’ouvrir les Écritures et d’avancer bien plus loin dans notre cheminement avec le Seigneur. Ce sont les trinitaires qui prétendent tout expliquer, alors que ces notions se trouvent dans des niveaux de profondeurs inimaginables qui dépassent l’entendement humain, même en ayant accepté le Seigneur Yeshoua, même en étant authentiquement remplis de son Esprit. J’ajouterais que dans ma compréhension nous sommes à des années-lumière d’appréhender ce qui s’est véritablement passé à la croix, cela nous sera-t-il révélé un jour ? Pas sûr, non assurément.
Pourquoi cette tromperie a-t-elle tenu si longtemps ? Pourquoi nombreux et authentiques serviteurs de l’Eternel n’ont pas vu cela ? Je ne pourrais le dire, par contre, ce que je peux dire, hormis qu’il s’agit d’un combat spirituel de tout premier plan, c’est que nous sommes entrés dans un temps où le Seigneur va révéler beaucoup de choses. Le temps du dévoilement, le temps du rétablissement de toutes choses, tout doit revenir à l’intention première de l’Eternel, comme mentionné en introduction.
Avertissements solennels
Je me sens poussé à donner cet avertissement solennel. Nous n’avons plus le temps, nous ne pouvons plus reporter à plus tard, il n’y a pas de plus tard, c’est maintenant le temps où le Seigneur nous permet encore de saisir ce qui doit être saisi, car le temps où le Seigneur envoie une puissance d’égarement pour ceux qui n’ont pas cru à la vérité a déjà commencé, oui je répète, ce temps a déjà commencé. Cet avertissement est pour tous, pour le monde bien sûr, mais aussi pour l’Eglise, tout au moins ceux qui se disent ou prétendent chrétiens.
2 Thessaloniciens 2.10-12
2:10 et avec toutes les séductions de l’iniquité pour ceux qui périssent parce qu’ils n’ont pas reçu l’amour de la vérité pour être sauvés. 2:11 Aussi Dieu leur envoie une puissance d’égarement, pour qu’ils croient au mensonge, 2:12 afin que tous ceux qui n’ont pas cru à la vérité, mais qui ont pris plaisir à l’injustice, soient condamnés.
Et le 2ème avertissement solennel est celui-ci. La nuit vient, bientôt nous ne pourrons plus rien faire, c’est maintenant le dernier moment pour faire, pour nous préparer, pour nous fortifier, pour nous construire, pour emmagasiner suffisamment d’huile pour la nuit qui vient. Le matin vient, mais, avant, il y a la nuit.
Jean 9.4 : Il faut que je fasse, tandis qu’il est jour, les œuvres de celui qui m’a envoyé ; la nuit vient, où personne ne peut travailler.
Esaïe 21.12 : La sentinelle répond : Le matin vient, et la nuit aussi. Si vous voulez interroger, interrogez ; convertissez-vous, et revenez.
Achevons notre construction
« Va, et ne pèche plus« (Jean 8.10)
Au début de ce message, j’ai mis l’accent sur le « VA » dans le sens d’une libération, mais maintenant venons à « NE PÊCHE PLUS »
Alors qui est pécheur, qui est adultère ? Nous parlions de la femme adultère au début de ce message, alors je pose la question : Qui est adultère ? Qu’est-ce qui est le plus grave ?
Le faux dogme de la Trinité est la plus grave déviation doctrinale, non seulement elle ouvre la porte à de multiples autres déviations, mais elle s’attaque frontalement à l’identité, à l’essence même de l’Eternel, à Dieu Lui-même, Hachem pour Le « nommer » correctement.
Qui est adultère ?
Hébreux 13.8 :
Jésus Christ est le même hier, aujourd’hui, et éternellement
Osée 3.6 :
Car je suis l’Éternel, je ne change pas
Deutéronome 6.4 :
Shema Israel, Ecoute Israël,
Adonai eloheinu, le Seigneur est notre Dieu
Adonai EHAD, le Seigneur est UN
Note MAV: je suis particulièrement touchée par cet article. Ma bataille de l’époque (commencée en mars 2015), cette guerre – pourrais-je dire -, a été très douloureuse. J’ai dû faire face à une levée de boucliers et à des réactions d’une virulence parfois inouïe. Bien des amis pasteurs avec qui j’avais œuvré durant des années m’ont tourné le dos, refusant même désormais de me parler. J’ai été épinglée comme hérétique par l’establishment.
À quoi donc avais-je touché ? Car, Dieu me l’avait déjà montré, ce sont nos idoles que l’on défend âprement. On n’a pas à défendre le Véritable Yeshua : il est au-dessus de tous et Il a tout vaincu. Si la Trinité était vraiment le Dieu Créateur, pas besoin de la défendre à coup d’arguments théologiques. C’est d’ailleurs la teneur même de ces arguments qui m’a le mieux confirmé que j’étais dans la vérité. Car tous ces pasteurs qui avaient fait une école biblique, au lieu d’argumenter par la Parole de Dieu et elle seule, m’assénaient aussitôt les écrits des pères grecs comme vérité fondamentale, en me citant Tertullien … et des tas de noms de « pères de l’Église » que moi, ignare, je ne connaissais même pas !
Mais voilà, Dieu n’a pas confié Ses Écritures sacrées à des Grecs, à des Tunisiens ou à des Romains… Il les a confiées, de l’alpha à l’oméga, au seul peuple juif qu’Il a formé durant deux mille ans à respecter cette parole au iota près, à la transmettre de génération en génération comme le trésor le plus sacré qui soit, au point qu’au vingtième siècle, avec la découverte des manuscrits de Qumran, on pouvait authentifier ces Écritures séculaires ou millénaires. Il a aussi formé ce peuple dans sa PENSÉE, non linéaire comme l’est la pensée grecque, mais globale et circulaire, car Dieu est hors du temps, temps qu’Il a créé pour l’homme.
Et puis, qu’est-ce que cette invention de « pères de l’Eglise » alors que Jésus a interdit d’appeler « Père » quiconque sur terre (au sens de « père des croyants »)? La Jérusalem céleste a des fondements et des portes, qui sont les prophètes et les apôtres. Pas de « pères de l’Eglise » au programme:
Merci Dan pour cette réflexion si profonde comme je les aime. J’espère que tu nous partageras d’autres réflexions, celles que tu n’as pas pu développer pour rester centré sur ce sujet :
tu as vraiment un talent pour l’écriture et pour nous exhorter !
Que notre Adonaï te bénisse encore et encore de révélations ! 🙂
Michelle, merci à toi aussi !
Shalom, Valérie.
https://www.valeriesha.com/
J’ai été libéré du dogme de la Trinité, en partie grâce à des enseignements lus sur ce blog et par d’autres serviteurs de Dieu. Ce fut pour moi un grand soulagement et j’en ai recueilli des bénédictions certaines pour la suite de ma marche chrétienne. Ce n’est nullement dans mon désir de verser dans une quelconque polémique par rapport à ce qui est écrit dans cet article mais il y a une incompréhension que j’aimerais vous soumettre.
Quelque part, Dan dit c’est un péché si nous prions Yeshua et il précise que le nom du Père est un mystère. Je disais qu’être libéré du dogme de la Trinité a été une délivrance et une source de bénédictions pour moi car avant je ne savais pas qui prier : quelle mesure de culte rendre au Père, quelle autre autre mesure pour le Fils, tel un funambule qui se livre à un exercice d’équilibriste pour ne vexer ni le Père, ni le Fils. Si j’entends que l’on ne doit pas prier Yéhoshoua, cela me ramène un peu au même problème. Yéhoshoua (le Nom au dessus de tout nom) n’est il pas précisément le Nom du Père révélé ? En invoquant Yéhoshoua, d’après ce que j’ai compris on Invoque le Père qui avec le Fils font un. C’est donc pourquoi je n’ai pas compris quand Dan disait que prier Yehoshoua était un péché.
J’aimerais dans la mesure du possible être éclairé sur ce point. Fraternellement en Notre Seigneur.
Yeshua et le Père n’étant qu’un, il n’y a pas grand problème à prier Jésus, d’autant qu’on voit dans les évangiles beaucoup de monde s’adresser à Jésus. Quelqu’un s’est adressé à Marie, une seule fois aux noces de Cana, ce qui lui a valu d’être rudement rabrouée par son Fils. Ensuite elle a dit: « FAITES CE QU’IL VOUS DIRA » !!! Donc, « allez l’écouter, Lui, et non pas moi » et elle n’a produit strictement aucun miracle, Dieu y a veillé.
Au Saint-Esprit ? NULLE PART ! Je dénonce le livre: « Bonjour Saint-Esprit », qui pousse les gens à s’adresser au Saint-Esprit alors que nulle part on ne voit les apôtres le faire, et même pas Jésus !!!!
Mais c’est bien au final de s’adresser au Père au nom de Yeshua – homme, ce qui nous rappèlera toujours que s’il n’était le seul médiateur entre Dieu et les hommes, nous ne pourrions rien demander, rien …
C’est juste une question de discipline, qui, elle, vient très vite…
Je vous remercie pour les éclaircissements, cela confirme ce que je pensais. Prier Yéhoshoua, c’est prier le Père. Par ailleurs, je souscris à l’idée de ne pas s’adresser à l’Esprit car quand je m’adresse à quelqu’un je le cite par son nom et je m’adresse pas à Son Esprit comme si cette personne devait être distinguée de son Esprit. Yéhoshoua habite en nous par son Esprit. Quand le Seigneur Yéhoshoua reprend sa place, le centre, au milieu du trône, tout devient simple et on ne se triture pas les méninges avec ce malheureux dogme de la Trinité. Qu’Il vous bénisse puissamment pour votre constance dans cet ouvrage utile !
@Michelle
C’est moi qui te remercie pour tes mots de même que pour la place que tu laisses sur ton blog pour l’amour de la vérité. Et pour le courage, franchement, c’est toi qui as fait preuve de courage, car au vu de ta notoriété, c’était parfait pour te mettre presque tous à dos, même si ce n’était pas une première, n’empêche que là le feu a dû être particulièrement nourri.
@Valérie
Merci pour tes mots extrêmement encourageants, ce d’autant que, le doute est un de mes points faibles. Alors dès que je fais quelque chose de cette nature, l’ennemi ne se prive pas pour m’envoyer des flèches de doutes à en revendre, surtout en fin de travail au moment de l’envoyer et juste après, pas pendant la préparation, là le Seigneur ne le permet pas (enfin c’est ce que je comprends).
Et saches que ton discernement n’est pas en sommeil et c’est peu dire, tu as entendu ma pensée ou bien ? « J’espère que tu nous partageras d’autres réflexions, celles que tu n’as pas pu développer pour rester centré sur ce sujet »
Oui, je me suis investi totalement pour cet article, avec le choix de mettre tout le reste de côté, y compris les autres sujets costauds qui ont été publiés sur le blog. Et quand le travail est terminé, il y a une satisfaction, il y une grâce, mais aussi …… un vide, ensuite il y a les flèches du doute et ensuite seulement des paroles bénies comme les tiennes, alors la grâce reprend le dessus accompagnée de joie et de remerciements continus au Seigneur.
Je répondrai aussi à Alain, mais cela était prioritaire à mes yeux.
En tout cas, ton article a déjà été téléchargé des centaines de fois, ce qui me réjouit hautement. Cela veut dire des centaines de personnes (plus de 700 en moins de 48 h) qui sont prêtes à se poser le bonnes questions !
Et pour le « feu nourri », j’ai même vu un prédicateur très, très connu, qui avait fait un message spécial autour du thème « On veut démolir NOTRE Trinité » !!!! Le « on », c’est moi. J’ai vraiment dérangé l’establishment. Et cela, c’est encourageant !
2 Co 10: 4 Car les armes avec lesquelles nous combattons ne sont pas charnelles; mais elles sont puissantes, par la vertu de Dieu, pour renverser des forteresses. 5 Nous renversons les raisonnements et toute hauteur qui s’élève contre la connaissance de Dieu, et nous amenons toute pensée captive à l’obéissance de Christ.
Notons que le mot traduit par « vertu » n’est pas dans le texte grec. Il ne veut rien dire ici. En fait le texte grec dit simplement que ces armes ont la puissance divine. La proclamation de la vérité, la prière, l’intercession, … voilà des armes puissantes. Ce texte fait référence à Jéricho: ce furent l’écoute de Dieu, l’obéissance, la louange et la proclamation (trompettes) qui ont fait tomber Jéricho.
Dieu a fait de mon blog une trompette, amen !
@Dan
Eh bien je n’aurais jamais imaginé que mes quelques mots t’encourageraient à ce point, j’en suis très contente Dan ! Je les renouvelle en silence. 🙂
Je comprends ce que tu exprimes : bien que de mon côté, je n’écrive pas mes réflexions (je n’en ai absolument pas le talent) je ressens à peu près les mêmes doutes/flèches quand je me prépare, par exemple, à publier un témoignage sur mon blog.
« Et saches que ton discernement n’est pas en sommeil et c’est peu dire, tu as entendu ma pensée ou bien ? »
Entendu ? Non. Ressenti : oui !
C’est la seconde fois que je te lis ici Dan, j’ai d’ailleurs nommé ton commentaire du 28 mars 2020 « Église, ou vas-tu ? » et publié presque subito ici https://www.valeriesha.com/2020/03/eglise-ou-vas-tu-par-dan-valerie-sha.html
En le lisant, j’ai demandé (d’un cœur suppliant) au Seigneur que tu nous exhortes davantage avec tes réflexions dont les profondeurs sont rafraîchissantes. Nous voilà servi-es sur un plateau d’argent !
Merci Abba ! Merci Michelle ! Merci Dan !
Que le son de la trompette se fasse entendre !
Réponse à Alain
En fait, Michelle t’a déjà répondu, mais comme j’ai dit que je te répondrai, je le fais.
Peut-être que ce n’est pas si compliqué que cela, que nous dit le Seigneur en dehors des instructions du Notre Père :
Jean 16:23 En ce jour-là, vous ne m’interrogerez plus sur rien. En vérité, en vérité, je vous le dis, ce que vous demanderez au Père, il vous le donnera en mon nom.
Jean 16:24 Jusqu’à présent vous n’avez rien demandé en mon nom. Demandez, et vous recevrez, afin que votre joie soit parfaite.
Pour la prière directement à Yeshoua (Jésus), pourquoi nous adresser au Seigneur dans sa dimension Fils de l’homme alors que physiquement il n’est plus sur la terre ?
Bien sûr, l’essence du mot Yeshoua est tellement liée, tellement imbriquée, tellement contenue dans le nom divin, celui qui ne se prononce pas dans la tradition juive, que cela donne l’impression d’en appeler au même, et en plus ce n’est pas faux, néanmoins, restons dans la simplicité de la Parole du Seigneur, c’est-à-dire en nous adressant au Père au nom de Yeshoua, tout simplement.
Un article qui remet les pendules à l’heure.
A l’heure où le pape imbrogilo appelle à l’église mondiale (appel du 14 mai), la Babylone religieuse se révèle de plus en plus sous son vrai jour.
Dans les assemblées que j’ai quittées, on chantait des cantiques appelant à prier le Saint Esprit ! Les Babylones religieuses sont partout.
Ce message est d’une très grande importance, à méditer pour beaucoup. Juste un grand merci.