Vincent Lambert : la décision de reprise des traitements bientôt annulée ?

VENDREDI 17 H20:  

Affaire Vincent Lambert : la Cour de cassation casse l’arrêt qui ordonnait le maintien des soins vitaux

PLUS DE RECOURS JURIDIQUE POSSIBLE. IL VA ÊTRE ASSASSINÉ. SEUL UN MIRACLE PEUT ENCORE ÉVITER À LA FRANCE CETTE INFAMIE …

 

Le Gouvernement, on le sait, s’est pourvu en cassation contre le jugement de la Cour d’Appel, du 20 mai 2019 – à  peine un mois,   ordonnant la  »  reprise des traitements   » – TRADUISONS, LA REPRISE DE L’HYDRATATION ET DE L’ALIMENTATION – de Vincent Lambert, et non pas d’un traitement médical car il n’en reçoit aucun. Il n’est pas un légume: il exprime des sentiments, et même démontre une incroyable volonté de vivre, en dépit de toutes les tentatives pour le faire mourir par la faim et par la soif. Et ses parents prient ardemment pour qu’il survive, malgré l’entêtement à  le faire mourir de la part d’une partie du corps médical, de la part de la Justice (en dépit de l’intervention de nombreux juristes compétents et formels), et de la part du Gouvernement.

Une « fuite » étrangement orchestrée (lire ceci), normalement impossible, laisse entendre que la Cour de Cassation va trancher pour obéir au Gouvernement, de telle façon que les parents, qui ont tout fait pour qu’on ne condamne pas à  mort leur fils, ne pourront même plus lancer aucune autre action juridique. Dans quelques jours, ils se verront sans doute annoncer que leur fils doit obligatoirement mourir de faim et de soif. Car c’est bien ce dont il s’agit, et appelé « sédation profonde » par la loi Leonetti.

Pourquoi cette cacophonie judiciaire ? Pourquoi un tel acharnement du Gouvernement ? Pourquoi ce battage médiatique, biaisé par tous les médias à  la solde du Gouvernement, et qui n’emploient que des expressions comme « arrêt du traitement » ( il n’y a pas de traitement médical), « état végétatif chronique irréversible » (Non, ce n’est pas un légume, rien ne dit que c’est irréversible !), « conscience diminuée ». Qu’en savent-ils ? Parce que sa paralysie l’empêche de formuler des mots ? Existe-t-il un scanner pour suivre la conscience de tels cas et décider qu’il n’y a plus de conscience et qu’il n’y en aura plus jamais ? Et son âme, peuvent-ils la voir et la scruter ?

Pour quelqu’un qui n’a pas de conscience, rappelons que Vincent Lambert a déjà , depuis 2013, survécu à  quatre arrêts de son alimentation et de son hydratation (« arrêts des traitements »), démontrant ainsi une incroyable volonté de vivre !

Est-ce par hasard – et ce n’est pas le seul cas – si, en février 2019, une femme est sortie de 27 ans de coma profond ? Lire.

On a affaire à  des apprentis sorciers qui se prennent pour Dieu. De surcroît, des barbares se complaisant à  torturer par la faim et la soif un homme qui prouve qu’il veut vivre.  

 

J’ai honte, et j’ai peur pour la France ! Car notre ignominie atteint le ciel ! Nous sommes tous coupables, car si le Gouvernement avait senti que l’Église et le peuple de France était prêts à  tout pour le faire reculer, IL AURAIT RECULÉ !

L’ENJEU:

Ce Gouvernement veut, à  travers la mise à  mort de Vincent Lambert – c’est de la non assistance à  personne en danger -, pouvoir éliminer les « inutiles »: handicapés, gens âgés… Par milliers ? Par millions ?

On a tué des enfants par millions depuis 40 ans, par l’avortement. Maintenant, on s’en prend à  une autre catégorie de personnes, celles qui ne sont pas en état de se défendre.

 

L’ENJEU EST ÉNORME.

ET L’ENJEU SPIRITUEL ENCORE PLUS, CAR SI CETTE DÉCISION EST PRISE PAR LA COUR DE CASSATION (sans doute lundi prochain), C’EST NOUS TOUS, FRANà‡AIS, QUI SUBIRONS LES CONSÉQUENCES DE CETTE INFAMIE QUE MÊME L’O.N.U – qui n’est pourtant pas un parangon de vertu chrétienne – A RÉPROUVÉE.

 

Mais notre Dieu est TOUT PUISSANT ! Intercédons, supplions notre Dieu d’intervenir pour que cette horreur ne se produise pas. C’est un appel que je lance.

 

Si nous ne faisons rien, si nous estimons que ce n’est pas notre affaire, ce sera peut-être demain nous-même, notre conjoint, un membre de notre famille, un de nos enfants que l’on fera périr légalement – jurisprudence oblige – dès lors que la victime sera considérée par un groupe de médecins comme non en état de s’exprimer. Le malade ou l’handicapé seront d’office supposés d’accord avec le fait qu’on l’euthanasie et même s’il peut s’exprimer, le rouleau compresseur de l’intimidation et du chantage (au coût des soins, par exemple – ce qui semble être le cas pour Vincent Lambert: les société d’assurance savent faire le nécessaire, et le cas échéant la Sécurité sociale aussi). La logique de l’argent, quand elle peut s’abriter derrière une décision de justice, est omnipotente.

 

On en arrivera vite à  supprimer ceux qui coûtent trop cher en soins et qui ne peuvent plus rien rapporter à  l’État, notamment les retraités non autonomes.

Notons que ce n’est pas le cas de Vincent Lambert: il pourrait, comme l’ont réclamé à  maintes reprises ses parents, être recueilli chez eux ou placé dans des établissements spécialisés qui ne sont pas des mouroirs: sept centres de soins et de rééducation ont proposé de s’occuper de ce tétraplégique. L’État a préféré le faire garder par des policiers, pour que sa famille ne l’enlève pas !

 

Ayons aussi compassion des parents, victimes depuis dix ans de machinations médicales, juridiques et politiciennes ! Comment, s’ils n’avaient foi en Jésus-Christ, auraient-ils pu tenir ?

 

Prenons toutes les armes de Dieu ….


Je rappelle l’article que j’avais mis sur le même sujet, il y a peu de temps:

 

Acharnement euthanasique contre Vincent: recours contre le jugement de la Cour d’Appel de Paris qui a ordonné la reprise de son alimentation et son hydratation

 

Et celui-ci:

 

LA DÉFERLANTE DE L’INIQUITÉ – Par Michelle d’Astier de la Vigerie.