Ce matin (29/4/20), durant un temps d’intercession, une vision s’est déroulée devant moi, terrifiante.

 

C’était comme une marée noire qui arrivait sur la France, je ne saurais dire d’où. De l’ouest ? Une vague qui avançait lentement, épaisse, visqueuse, qui recouvrait et paralysait tout sur son passage, apportant la mort. Rien ni personne ne pouvait l’arrêter, elle grimpait même sur les rochers, tombait dans les rivières, polluant et détruisant tout. Elle recouvrait les maisons, toutes les bâtisses, et même les églises les plus hautes.

 

Je criais : « Seigneur, qu’est-ce qui peut arrêter cette vague de mort ? » 

À l’évidence, rien d’humain ne pouvait endiguer ce flot. Alors le Seigneur m’a montré un oiseau perché sur une branche. De sa bouche, il coulait comme un torrent d’eau pure. J’ai compris que cet oiseau était symbole de louange, d’autant que j’ai reçu en même temps la vision dune harpe. Cela arrêtait ce flot noir, mais juste dans un espace très restreint, un petit coin de vie.

 

Cette eau, je le savais, c’était l’eau de la Parole de Dieu.

 

J’ai vu ensuite une maison toute blanche, c’était une maison de lumière d’où il coulait aussi un fleuve de vie. Là encore, le terrain sur lequel cette eau coulait était protégé de la marée noire. J’ai compris que cette maison, ce n’était pas un bâtiment matériel, mais une maison spirituelle où se retrouvaient, par l’Esprit, des adorateurs, des intercesseurs et ceux qui proclamaient avec droiture la Parole de Dieu pour que ceux qui voulaient entendre la vérité l’entendent et soient sauvés.

 

Nous nous sommes mises à supplier le Seigneur pour qu’Il arrête cette marée noire monstrueuse et la fasse reculer au loin. Alors j’ai vu quelque chose d’incroyable. Un océan se levait. Les flots étaient tumultueux et d’une force inouïe. Dans le mugissement des flots, j’ai aussi entendu le rugissement d’un lion. J’ai aperçu fugitivement ce lion, et surtout une lionne. Une lionne ? Je n’ai pas l’explication. En arrivant sur cette marée noire, ces flots la faisaient reculer, reculer, reculer… Ils nettoyaient tout sur leur passage.

 

La marée noire a reculé jusqu’à l’océan d’où elle était venue, et a disparu. Mais derrière, ce n’était que ruines et destructions. La seule chose qui restait debout, c’était cette maison de lumière, et un phare, qui lui aussi, en tournant sur lui même, envoyait au loin de grands rayons de lumière.

 

Juste avant de recevoir cette vision, je lisais Jérémie et j’avais été interpelée par trois mots dans une sentence divine (contre son peuple qui refusait de l’écouter et de se repentir) :

 

« Car je veux les détruire par l’épée, par la famine et par la peste. »

 

C’est répété, presque textuellement, SEIZE FOIS dans Jérémie !

Jérémie 14:12

S’ils jeûnent, je n’écouterai pas leurs supplications; S’ils offrent des holocaustes et des offrandes, je ne les agréerai pas; Car je veux les détruire par l’épée, par la famine et par la peste.

 

 

Et c’est repris de manière presque identique en Apocalypse :

 

Apoc 6 : 7 Quand il ouvrit le quatrième sceau, j’entendis la voix du quatrième être vivant qui disait : Viens. 8 Je regardai, et voici, parut un cheval d’une couleur pâle. Celui qui le montait se nommait la mort, et le séjour des morts l’accompagnait. Le pouvoir leur fut donné sur le quart de la terre, pour faire périr les hommes par l’épée, par la famine, par la mortalité, et par les bêtes sauvages de la terre.

 

La peste est provoquée par un virus, une sorte de « bête sauvage » (virus signifie « poison » en latin), le coronavirus est aussi une « bête sauvage ». C’est-à-dire un organisme vivant que l’homme ne peut dompter.

 

L’épée, c’est la guerre civile. Comment pourrait-elle ne pas se déclencher ? La France était déjà une poudrière sur le point d’exploser, avant la pandémie.

La famine ? Aucun besoin d’explication puisque nous savons que l’économie va s’effondrer. Les plus vulnérables vont horriblement souffrir.

La peste, c’est bien entendu la pandémie actuelle. Mais une autre vague se prépare, bien plus effroyable.

 

J’ai compris que Dieu m’avertissait qu’un fléau meurtrier et destructeur allait s’abattre sur le pays – quand ? Je ne sais pas, mais ça me semblait proche -, et que seule la proclamation de la Vérité, de la Parole de vérité, et la mise en pratique de cette Parole pour qu’elle soit annoncée haut et fort et aussi loin que possible (le Phare), pouvait devenir comme un océan mugissant, et arrêter le fléau. Je crois que les coeurs seront enfin disposés pour se repentir, et fléchir le genou devant Christ, Roi des rois, Roi de France !

 

J’ai compris aussi que durant ce fléau, seuls seraient protégés ceux qui intercèderaient, prieraient et loueraient le Seigneur, en obéissant ainsi à Christ Jésus, qui a répété huit fois :

 

Matthieu 24 : 42

Veillez donc, puisque vous ne savez pas quel jour votre Seigneur viendra.

Marc 13 : 33

Prenez garde, veillez et priez; car vous ne savez quand ce temps viendra.

Matthieu 25 : 13

Veillez et priez, afin que vous ne tombiez pas en tentation; l’esprit est bien disposé, mais la chair est faible.

 

Je termine par une exhortation :

 

Osée 6 : 3

Connaissons, cherchons à connaître l’Eternel; Sa venue est aussi certaine que celle de l’aurore. Il viendra pour nous comme la pluie, Comme la pluie du printemps qui arrose la terre.

 

Je crois que c’est urgent !