Petite devinette.
Quel est le point commun entre les vaccins anti-Covid à ARN messager et le vaccin contre l’hépatite B créé dans les années 1980 ?
Réponse : les deux avaient une technologie génétique révolutionnaire et risquée, et les deux n’ont jamais été testés correctement !
Dans le cas du Covid, on sait pourquoi.
Au motif de la « crise pandémique », on a autorisé Pfizer et Moderna à s’affranchir des étapes normales pour valider un nouveau vaccin.
Je rappelle qu’en 2019, le patron des autorités sanitaires américaines, Anthony Fauci, disait qu’il faudrait au moins 10 ans avant qu’un vaccin à ARN messager puisse être autorisé…
…et encore, avait-il précisé, c’est à condition que tout se passe bien, à toutes les étapes des tests !
Mais « grâce » à l’épidémie Covid, en 2020, quelques mois seulement ont suffi pour lancer ces nouveaux vaccins ARN.
C’était très imprudent, car cette technologie à ARN messager posait encore d’énormes problèmes de santé non résolus.
Un article du respecté journal médical StatNew, publié en 2016, alertait de la dangerosité de la technologie ARN :
« Il est extrêmement difficile de faire entrer l’ARN dans les cellules sans déclencher de graves effets indésirables »
« Les nanoparticules (qui entourent l’ARN messager) peuvent engendrer de dangereux effets secondaires, surtout si le patient doit prendre des doses répétées au fil des mois ou des années » (faut-il rappeler que nous en sommes à la 5ème dose) ?
Donc, il est clair qu’on a pris des risques majeurs en autorisant ces vaccins ARN messager.
Mais au moins y avait-il l’excuse et l’apparence de l’urgente gravité de la situation Covid.
Je dis cela, car il y a 40 ans, un vaccin génétique a été mis en circulation – lui aussi avec une technologie révolutionnaire et risquée…
…sans qu’il ne soit testé correctement…
…mais sans la moindre excuse valable pour ne pas avoir fait les tests indispensables !
Et ce « coup de force pharmaceutique » est d’autant plus incroyable qu’il a été réalisé sur une maladie qui n’avait rien d’un problème de santé publique : l’hépatite B !
L’hépatite B est une maladie rare, qui touche quasi-exclusivement des populations adultes marginalisées (toxicomanes), et qui se soigne très bien dans la plupart des cas[1] !
Et pourtant, un vaccin génétique à la technologie révolutionnaire (et dangereuse) a été approuvé contre l’hépatite B dans les années 1980…
…ce même vaccin a été injecté à 30 millions de Français dans les années 1990…
…il est désormais obligatoire pour tous les bébés français…
…alors qu’il n’a jamais, jamais été testé correctement !
C’est difficile à croire, mais…
Comme je vous l’ai dit dans une précédente lettre, les deux seuls essais cliniques dignes de ce nom sur le vaccin hépatite B ont été réalisés[2] :
- avec un vaccin contre l’hépatite B qui a disparu entre-temps, basé sur une technologie totalement différente, qui n’avait rien de « génétique » (vaccins plasmatiques)…
- sur des adultes homosexuels américains, donc peu représentatifs de la population générale (et a fortiori des adolescents et bébés)…
- avec un groupe de contrôle qui n’a pas reçu de vrai placebo, mais une seringue contenant de l’aluminium, ce qui conduit à masquer les effets indésirables du vaccin ;
- et en mesurant ces effets indésirables sur quelques jours seulement, ce qui empêche de pouvoir diagnostiquer des maladies graves (sclérose en plaques, etc.).
L’absence d’essai clinique digne de ce nom est d’autant plus grave que la technologie génétique des nouveaux vaccins contre l’hépatite B comportait des risques majeurs.
Comme je l’ai expliqué en détail dans ma dernière lettre, les manipulations génétiques réalisées pour créer ces vaccins peuvent, au moins en théorie, causer :
- des maladies neurodégénératives (si la protéine contenue dans le vaccin, créée par génie génétique, ne se replie pas correctement) ;
- des cancers et d’autres maladies liées à des modifications de l’ADN (les vaccins pouvant risquer de contenir un enzyme modifiant le génome humain) ;
- et des maladies auto-immunes ou autres problèmes de santé liés aux « impuretés » qui se glissent inévitablement dans la seringue[3].
C’est inévitable : il est toujours risqué de manipuler l’ADN.
Pourquoi la vaccination « génétique » est TOUJOURS une affaire d’apprentis sorciers
Comprenez bien une chose : les biologistes ne peuvent pas savoir ce qui va se passer quand ils injectent une protéine « recombinée » créée par génie génétique, comme c’est le cas du vaccin contre l’hépatite B.
Ce n’est pas leur faute, c’est la loi du vivant.
Le corps humain est l’un des systèmes les plus complexes de l’univers.
Au sein du corps humain, le système immunitaire est l’un des systèmes les plus complexes et encore très mal compris.
Je vous rappelle l’aveu du Pr Mark Davis, l’un des plus grands spécialistes au monde de ce sujet, en sa qualité de directeur de l’Institut d’immunologie de l’Université de Stanford :
Et nous ne savons pas vraiment ce que font la majorité d’entre elles, ou ce qu’elles devraient faire »[4].
Il est donc impossible de savoir ce qui va se passer si on injecte à des millions de personnes un vaccin créé à partir de cellules OGM, comme celui contre l’hépatite B.
En conséquence, quand on crée un vaccin avec une technologie aussi révolutionnaire (et risquée), il faut absolument :
- que le jeu en vaille la chandelle : que la maladie soit suffisamment grave pour prendre le risque de tester un vaccin génétique sur des êtres humains en bonne santé ;
- et surtout que l’on fasse bien tous les tests nécessaires, à commencer par des essais cliniques de grande ampleur contre placebo.
Avec le vaccin contre l’hépatite B, aucune de ces deux conditions n’était remplie !
Et c’est le moment de voir en détail comment cela s’est passé.
Cette partie est un peu technique, car je vais analyser les essais cliniques en détail – si cela ne vous passionne pas, je vous donne directement rendez-vous à la « synthèse », un peu plus loin.
Rentrons maintenant dans l’arrière-cuisine… même si ce n’est pas ragoûtant
Je vous propose d’examiner en détail le principal essai clinique réalisé sur le vaccin hépatite B, entre 1978 et 1980 aux États-Unis.
Comme je l’ai dit, ce n’était pas le vaccin génétique qui a été testé, mais un vaccin plasmatique (mais c’est bien cette étude qui a servi de base fondamentale à l’autorisation des vaccins génétiques).
Il s’agissait d’un essai clinique réalisé sur un peu plus de 1 000 homosexuels adultes masculins, choisis parce qu’ils étaient à haut risque d’infection par le virus de l’hépatite B[5] (il faut dire que ces participants avaient déclaré avoir eu une moyenne de 20 partenairessexuels dans les 6 mois précédents l’essai clinique).
La moitié d’entre eux a reçu le vaccin hépatite B (plasmatique), et l’autre moitié a reçu une injection d’aluminium seul.
(C’est déjà un scandale sanitaire en soi, pour deux raisons : 1) il est honteux moralement d’injecter à quelqu’un une substance neurotoxique – l’aluminium – sans le moindre espoir d’obtenir un bienfait qui pourrait compenser le risque ; 2) c’est une catastrophe scientifique, car cela empêche d’analyser correctement les effets indésirables du vaccin).
Alors, quels ont été les résultats de cette étude ?
Prenons d’abord les anticorps contre la maladie, qui intéressent tant les vaccinalistes.
Eh bien l’essai clinique montre que 4 % des hommes vaccinés n’ont développé aucun anticorps contre l’hépatite B… et que 5 % supplémentaires en ont développé une quantité très faible.
C’est cohérent avec ce qu’on sait pour la plupart des vaccins : dans un cas sur dix environ, ils sont totalement inefficaces, car ils ne produisent pas ou peu d’anticorps (et c’est pourquoi on ne peut jamais espérer éradiquer un virus avec la vaccination).
Cela dit, on observe une augmentation des anticorps contre une protéine du virus hépatite B dans environ 90 % des cas.
Mais qu’est-ce que cela veut dire exactement ?
En soi, un taux d’anticorps ne nous dit pas grand-chose en termes de protection réelle.
Je rappelle cette phrase historique du Pr Delfraissy, à propos du Covid :
« Vous pouvez avoir des anticorps à un niveau élevé et faire un Covid. Et vous pouvez, après vaccination, avoir peu d’anticorps et ne pas faire de Covid. En pratique opérationnelle, il ne faut surtout pas laisser s’installer l’idée que les anticorps servent à quelque chose »[6]
Donc, ce qui nous intéresse, c’est l’effet du vaccin sur la maladie elle-même.
Alors, quel est l’effet du vaccin contre l’hépatite B ?
Si vous regardez les résultats, vous avez :
- 7 hépatites B dans le groupe vacciné ;
- Et 45 hépatites B dans le groupe placebo.
En apparence, donc, vous avez un vaccin relativement efficace contre l’hépatite B.
Mais il y a plusieurs problèmes avec ces résultats.
D’abord, de quoi s’agit-il réellement ? Est-ce que ces 52 personnes avec hépatite B étaient malades ?
Pas du tout !
On s’est aperçu qu’ils avaient une hépatite B uniquement parce qu’on leur a fait faire des prises de sang régulières.
On a conclu qu’ils avaient une hépatite B parce qu’ils avaient des marqueurs sanguins évocateurs.
Mais dans la réalité clinique, il y a eu deux hospitalisations en tout et pour tout :
- Une dans le groupe vacciné ;
- Et une dans le groupe placebo !
Voilà l’efficacité réelle du vaccin, en pratique !
Ils ont eu beau vacciner 500 personnes à très haut risque, ils n’ont pas réussi à éviter une seule hospitalisation causée par une hépatite !
Ce qui pose la question : combien de personnes faudrait-il vacciner pour avoir un effet clinique ?
Et combien de nourrissons faudrait-il vacciner pour espérer avoir un impact sur cette maladie qui touche des adultes ayant des comportements à risque ?
Et je n’ai pas fini.
Car il y a un autre « souci » dans les résultats de cet essai clinique.
C’est qu’il y a beaucoup d’hépatites « non-B » dans le groupe vacciné.
Beaucoup plus que dans le groupe non vacciné !
- 34 hépatites non-B dans le groupe vacciné ;
- Contre 18 seulement dans le groupe non vacciné.
Voici le détail, groupe vacciné vs groupe non vacciné :
- Hépatites A : 15 vs 12
- Hépatites liées au cytomégalovirus : 7 vs 1
- Hépatites liées à Epstein-Barr : 2 vs 0
- Autres hépatites : 10 vs 5
C’est un peu gênant : le vaccin semble augmenter le risque des autres hépatites !
Les auteurs de l’étude (payés par le laboratoire Merck) sont embarrassés par ces résultats. Mais ils ont une explication.
Selon eux, il n’y a pas eu moins d’hépatites « non-B » dans le groupe non vacciné. Ils en ont eu autant, disent-ils, mais elles ont été masquées par les hépatites B dont ils ont été victimes.
C’est possible, mais même si c’est vrai, cela réduit encore davantage l’intérêt de ce vaccin !
Puisque cela veut dire que les vaccinés ont de toute façon des risques élevés d’attraper d’autres hépatites !
Au total, donc, si l’on regarde le nombre total d’hépatites dans chaque groupe (c’est-à-dire les marqueurs sanguins indiquant une dégradation du foie, sous l’effet d’une hépatite A, B ou autre), on en trouve :
- 41 dans le groupe vacciné ;
- 63 dans le groupe non vacciné.
La différence n’est pas franchement éclatante, n’est-ce pas ?
Et on ne parle ici que de marqueurs sanguins, car je répète qu’on a trouvé au total :
- 1 hospitalisation pour hépatite dans le groupe vacciné ;
- 1 hospitalisation pour hépatite dans le groupe non vacciné.
Et encore, il ne s’agit ici que des hospitalisations causées par une hépatite.
Ce que j’aurais absolument aimé savoir – et ce que tout le monde devrait aimer savoir, pour n’importe quel vaccin, ce sont les problèmes de santé, hospitalisations et décès toutes causes confondues !
Pas simplement les hospitalisations liées à une hépatite… mais toutes les hospitalisations (et décès) !
Voilà le seul moyen de savoir si le vaccin ne cause pas plus de problèmes de santé qu’il n’en évite (à condition, en plus d’avoir un vrai placebo dans le groupe de contrôle, sans aluminium) !
Mais l’étude se contente de nous donner le nombre d’hospitalisations « pour hépatite »… et ne nous dit rien des autres problèmes de santé observés dans chaque groupe.
Y avait-il plus de scléroses en plaques, de leucémies, ou même de décès dans le groupe vacciné ?
On ne sait pas. Ce n’est pas précisé.
Tout ce qu’on nous donne, c’est le nombre d’effets indésirables dans les 5 jours suivant l’injection (fièvre, douleur, fatigue, etc.)… et encore on ne peut absolument rien en conclure, faute de vrai placebo.
Résultat : il est impossible de savoir si les bienfaits du vaccin l’emportent sur ses risques !
Vous voyez un peu le niveau de preuve dont on se satisfait, pour vacciner des millions de personnes ?
Car aussi incroyable que cela puisse paraître, il n’existe pas vraiment « mieux » que cet essai.
Il existe uniquement un autre grand essai clinique randomisé, réalisé dans les mêmes conditions, et les résultats sont comparables[7] .
Ah, et puis il y a eu aussi en France deux petits essais cliniques randomisés avec groupe de contrôle pour tester le vaccin plasmatique de Pasteur.
D’abord, un essai clinique sur 300 professionnels de santé très exposés au virus de l’hépatite B (travaillant en centre de dialyse). Cet essai ne nous dit rien de très intéressant : il conclut à une efficacité apparente sur des marqueurs sanguins, mais aucun problème de santé sérieux n’est signalé dans aucun des deux groupes[8].
Et puis il y a l’autre essai clinique de Pasteur, réalisé sur des patients dialysés, donc à haut risque d’infection hépatite B.
Les résultats sont intéressants, car l’étude vise une population à haut risque, qui pourrait bénéficier le plus d’un vaccin contre ce virus[9].
En l’occurrence, l’efficacité mesurée par des marqueurs sanguins est très médiocre :
- 21 % d’infections dans le groupe vacciné ;
- 45 % d’infections dans le groupe non vacciné.
Cela n’a rien d’étonnant.
On trouve le même résultat avec tous les vaccins : ils ont le moins d’efficacité sur les populations qui en auraient le plus besoin.
Pour une raison simple : moins votre système immunitaire est en bon état, moins il va réagir à la vaccination (notez qu’à l’inverse, plus votre système immunitaire fonctionne bien, moins vous avez besoin d’une vaccination pour vous protéger).
Mais au-delà de ces résultats décevants, on trouve des chiffres qui sont franchement inquiétants :
- 5 morts dans le groupe vacciné, contre 3 dans le groupe non vacciné ;
- 3 transplantations rénales dans le groupe vacciné, contre 1 seule dans l’autre.
Ce sont des petits chiffres, et c’est peut-être une coïncidence.
Mais une fois de plus, on n’a pas ce qu’on aimerait avoir : une preuve claire que le vaccin a un effet bénéfique sur ce qui compte le plus, c’est-à-dire le risque d’être hospitalisé et le risque de mourir !
C’était exactement le même problème avec les essais cliniques des vaccins Pfizer et Moderna : il y avait autant de morts dans le groupe vacciné que dans le groupe non vacciné, et c’est seulement sur la base d’observations biaisées qu’on a déclaré, après coup, qu’ils protégeaient contre les formes graves – alors que cela n’a jamais été prouvé !
RÉSUMÉ ! J’en viens maintenant à mon fameux tour de magie
Si vous m’avez suivi jusqu’ici, vous avez compris que des vaccins plasmatiques contre l’hépatite B, inventés dans les années 1970, avaient démontré deux choses :
- Une capacité à augmenter le nombre d’anticorps contre la protéine de surface du virus de l’hépatite B ;
- Une capacité à réduire le nombre de marqueurs sanguins de dégradation du foie liés à une hépatite B.
Ces mêmes vaccins, toutefois :
- N’ont pas démontré leur capacité à réduire fortement le nombre total de dégradations temporaires du foie liées à des hépatites ;
- N’ont montré AUCUNE efficacité sur les conséquences concrètes de ces hépatites (risque d’être hospitalisé, en particulier).
Leur intérêt pratique est d’autant plus douteux qu’ils fonctionnent encore moins bien chez ceux qui en auraient le plus besoin (les dyalisés, les personnes à risque ayant déjà une MST, etc.).
Voilà pour « l’efficacité », et donc le « bénéfice » attendu.
Et qu’en est-il des « risques » ?
Eh bien, sur les risques, on ne dispose d’aucune donnée fiable, car :
- les effets indésirables n’ont été évalués que sur 5 jours, ce qui empêche de diagnostiquer des effets problématiques qui mettent plus de temps à être diagnostiqués ;
- nous n’avons aucune donnée sur les hospitalisations et décès « toutes causes confondues » ;
- et les effets indésirables du vaccin ont été comparés à un groupe recevant de l’aluminium, une substance toxique connue pour causer des effets indésirables !
C’est manifestement très insuffisant pour vacciner qui que ce soit !
Et c’est donc clairement inacceptable pour vacciner des nourrissons en bonne santé, contre une maladie qui touche essentiellement des adultes ayant des comportements à risque (toxicomanes surtout).
Mais il y a bien pire que ça. Oui, encore pire !
Le vaccin qui a été utilisé à partir de la fin des années 1980, et qui a conduit à vacciner 30 millions de Français, puis tous les nourrissons…
…n’était même pas le vaccin étudié dans les médiocres essais cliniques que je vous ai décrits en détail !!!
Non ! Ils ont utilisé un autre vaccin, génétique, très risqué… sans faire le moindre essai clinique avec groupe de contrôle !!!
Comment ont-ils réalisé ce scandaleux tour de passe-passe ?
C’est très simple : ils se sont contentés de mesurer des anticorps.
Ils ont calculé, à partir des premiers essais cliniques, le taux d’anticorps supposés « protecteurs » contre l’hépatite B…
…et ils ont simplement regardé si leur nouveau vaccin génétique suscitait un taux d’anticorps comparable !
Cela veut dire que l’on n’a strictement aucune idée de l’efficacité clinique de ces vaccins – car un taux d’anticorps donné ne suffit jamais à garantir une véritable protection contre une maladie !
De même, on n’a strictement aucune idée non plus du risque et de la dangerosité potentielle de ces vaccins génétiques, faute d’essai clinique.
Je rappelle que les vaccins testés dans les essais cliniques avec groupe de contrôle étaient des vaccins plasmatiques, qui n’avaient rien à voir avec ces vaccins génétiques !
Et que s’est-il passé, une fois qu’ils ont été mis sur le marché ?
Une catastrophe… largement passée sous silence.
Je vous en parle la prochaine fois, restez connecté !
Bonne santé,
Xavier Bazin
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