C’est la fête des Tabernacles ou encore appelée fête des Cabanes, fête des Tentes.
En hébreu, cette fête est appelée Souccot et est célébrée une semaine durant.
Qu’il semble loin ce temps béni de l’Eternel des Armées ou je vous proposais louange du ciel et cadeaux de Shabbat presque chaque semaine, qu’il me semble loin, oui qu’il me semble loin. Rassurez-vous, enfin ceux qui sont ou étaient attachés à mes interventions, je ne suis pas redescendu tout en bas comme ce printemps, mais. Mais, où suis-je Seigneur, où suis-je ? Je ne le sais plus trop, qui suis-je Seigneur ? Que fait-je ? Je ne sais pas, je ne sais plus. Que fais-tu ? Que fais-tu avec moi ? Je ne le sais pas, je comprends tout et ne comprend rien, je perçois tout et je ne perçois rien.
Alors voici pour aujourd’hui, on est tous les jours aujourd’hui, nous avons tendance à l’oublier, alors pour aujourd’hui jour des jours. Seigneur, mon Seigneur, la vraie et authentique louange, celle qui t’honores existe encore ici-bas, voici, oui voici, recevez, frères et sœurs, recevez :
Oui, c’est simple, c’est beau, c’est glorieux, c’est profond, c’est utile et nécessaire et que dire des lieux, que dire des lieux ?
Le Shofar pourrait sembler incongru dans cet accompagnement, cela semble sonner faux, mais non, non, non, il est à sa place, la place qui va enfin rassembler, enfin réunir Israël et celle qui s’appelait jadis l’Eglise, oui jadis. Et en ce jour, cela sonnera juste, parfaitement juste, totalement et parfaitement juste.
Une seule chose me dérange quelque peu, quelque chose qui sera bientôt compris de tous, mais ici le cœur, l’amour, les intentions pures et saintes permettent pour un temps encore quelques erreurs provenant de l’ancien monde, l’ancien monde qui se retire pas à pas, qui se retire comme un manteau, comme un manteau que l’on roule, qui se retire derrière le Voile. Le Voile où tout a commencé.
Néanmoins, c’est le chant suivant qui m’a poussé à écrire ce message, je l’ai écouté en boucle tout au long de cet écrit et encore pas en entier, uniquement la première partie, nommée Yeshoua (>7m20), alors ici également, recevez, recevez frères et sœurs en Yeshoua.
Le tout en anglais s’il vous plait, moi qui ne supportait plus cette langue, cette langue du monde, celle qui s’enorgueilli avec arrogance, celle qui veut prendre la première place, celle qui a totalement effacé sa prédécesseure, le grec, la première place qui ne lui appartient pas. Celle qui combat depuis des temps anciens, qui combat la langue des langues, la langue des cieux, la langue de l’Eternel, l’Hébreu, l’Hébreu de tous les secrets, la langue qui nous dira tout, car tout est en elle, tout, absolument tout, car Celui qui lui a donné naissance est LA PAROLE, est le verbe.
Reprendre le clavier est très plaisant je dois dire, oui vraiment, surtout le 1er soir de Shabbat, les amis notez bien, le soir de Shabbat, le vendredi pour nous, est un moment totalement hors du temps, plus encore que la journée du Shabbat qui a d’autres fonctions, oui notez bien cela les amis et surtout expérimenter le, oui expérimentez le. Je sais je fais tout le temps ces répétitions de mots, mais c’est ma manière de souligner les choses et peut importe si cela n’est pas d’une grande élégance dans l’expression écrite, peu importe, la grande élégance nous la vivrons lors des Noces.
Mes questions sont toujours présentes, tout en étant en paix il est vrai, comment pouvais-je écrire toutes ces choses que je vous ai offertes, comment ? Je ne sais pas.
Soyez béni, frères et sœurs du Shabbat, soyez béni comme jamais, même si je n’ai plus l’audace de le faire à la première personne, soyez béni comme jamais dans le nom des noms : Yeshoua.
Oui mais là se trouve l’image que je ne peux regarder plus de 5 secondes, je ne peux regarder cela, impossible pour moi. De plus, à mes yeux tout au moins, cela nous ramène à la louange que je ne reçois pas, la « louange » est d’ailleurs un problème majeur.
Ceci dit cela nous éloigne, à mes yeux tout au moins, nous éloigne fortement de l’Esprit du Shabbat. Rien qu’écrire ces quelques mots nous éloigne de la profondeur du Shabbat, cela me secoue rien que de devoir l’écrire.
Ce d’autant que je viens de finir d’écrire le rêve que j’ai fait la nuit dernière, je vais le poster juste après cela.
Un petit complément, petit ou grand je ne sais pas, voici le très court rêve que j’ai fait ce matin en fin de nuit, shabbat 15.10.2022, juste avant de me réveiller. Je précise que ces derniers temps les rêves que je fais ne sont pas très joyeux, ils sont même emprunts d’ambiance que je n’aime pas du tout, cela accompagné de toutes sortes de situations bizarres ou étranges. Alors ce rêve sortait du lot. Voici.
——
Dans ce rêve rien n’était véritablement dit, toutes informations sur les lieux, les situations, les personnages étaient en perception, comme cela est souvent le cas dans les rêves.
Je me trouvais comme transposé au Moyen-Orient au milieu de collines plutôt désertiques comme il s’en trouve en maint endroits. Ce n’était pas en Israël, mais je savais que je me trouvais tout près, vraiment tout près, comme à la frontière d’Israël, probablement sur une terre qui devrait appartenir à Israël, mais qui n’a pas encore été récupérée.
Je regardais ces collines en me disant que j’aime et apprécie cet endroit, mais que je ne me verrais pas vraiment y vivre. Oui sans les montagnes, les lacs et les forêts de mon petit pays, je ne pourrais véritablement me sentir chez moi.
J’avance sur une route-chemin, toujours avec les collines à l’horizon, puis j’entends, sans la voir, une femme qui n’était pas de la région, une touriste semble-t-il, comme en train de marmonner quelque-chose, je ne sais pas quoi, mais elle se plaignait, pas de choses douloureuses ou graves, mais de caprices et d’enfantillages sur quelques aspects qui ne lui convenait pas à cet endroit.
Dans le même temps, je bifurque et m’engage sur une route-chemin raide, puis très raide, puis encore plus raide, dans la vraie vie il n’aurait en aucun cas été possible de monter, mais mes pieds se collait presque au chemin à chaque pas et je montais comme si tout était normal, tout en étant conscient que c’était incroyablement raide avant d’arriver sur une partie à nouveau plate.
Surgit un homme, qui était en fait déjà présent depuis l’épisode de la femme, un homme du pays, un vrai « terrien », peut-être quelqu’un qui travaillait la terre, en parlant un peu tout seul, il s’adresse en vérité à moi en me disant qu’il allait aider cette femme, non qu’il approuvait ces pleurniches, mais il me dit qu’il ne pouvait pas la laisser comme cela. Je savais qu’il n’était pas israélien, qu’il n’était pas hébreu, mais il était de la région, peut-être libanais, je ne sais, en revanche il aimait cet endroit et faisait preuve de bienveillance.
Puis il me parle de Jérusalem, comme si j’étais un touriste qui visitait le pays, comme si j’avais déjà passé par Jérusalem et continuait ma visite dans ces terres peu fréquentées, en effet il n’y avait personne, à part cette femme de manière lointaine et furtive, il n’y avait que lui et moi. Comme si la vie n’était pas bien loin, tout en étant hors du temps et du mouvement normal des choses.
Je lui dis presque avec une grande solennité que je n’avais jamais été à Jérusalem, également comme si c’était hors de question que j’y aie comme un touriste, c’était d’ailleurs presque une insulte à mes yeux, cependant il y avait de la bienveillance et aucune mauvaise arrière-pensée chez cet homme. Oui, très certainement un jour j’irai à Jérusalem, mais pas comme un touriste. Je lui fais alors comprendre que je ne suis pas un touriste, d’ailleurs je n’avais aucun bagage avec moi. En parallèle je me demandais où j’allais aller, sans rien avec moi et ne connaissant rien ni personne dans cet endroit, endroit que j’aimais intérieurement. Cependant, je ne pensais pas à cela, car l’important était ailleurs, ce n’était pas le propos de savoir ce que j’allais faire ou non.
Puis nous nous retrouvons tous les deux sur une sorte d’esplanade avec une vue à 180 degrés sur ces collines désertiques, en voyant cela, je regarde très intensément, puis tombe à genou le visage au sol en pleurant, en larmes je lui dis : « J’ai un respect de folie pour cette terre » et il me répond comme dans un souffle furtif : « merci ». Il y avait une grande solennité, ce moment était fort et intense. Les larmes me montent aux yeux en écrivant cela.
Toujours à genou sur le sol, sol qui était à cet endroit comme en marbre travaillé, bien que nous semblions au milieu de nulle part, le visage quasiment à terre, je vois quelque chose sous la poussière, sous le sable, je balaie alors de ma main et que vois-je ? Je vois les drapeaux, tous sous forme de fanions verticaux, de nombreux pays et quel était le premier juste devant moi, juste après mes genoux ?
Le drapeau de la France, mes amis, et quel était celui qui était juste au-dessus en diagonale mais d’une taille un peu plus petite ? Le drapeau de la Suisse mes amis. Je n’ai même pas fait attention aux autres du coup, peut-être 5 ou 8 étaient dans mon champ de vision, je voyais le drapeau français et le drapeau suisse en plus petit.
Le rêve se termine ici.
———-
Ce rêve était profond mais très court, il est bien sûr que cela m’a pris bien plus de temps de l’écrire que de le vivre. Alors, frères et sœurs, je vous soumets cela, n’hésitez pas à partager votre ressenti, votre perception, votre révélation en Esprit si vous en recevez. Et si ce rêve n’était que banal et touristique, pas de problème, il était très agréable, j’en suis donc déjà très content.
Dans ce rêve, c’est comme si tu changeais d’optique de regard. La femme gémissante peut symboliser une nation ou la terre. Elle ne voit que la misère. Mais on te fait monter, monter. Tu es tout près d’Israël, donc de la « terre de Dieu ». L’homme près de toi est peut-être un ange, ou bien Jésus, il est hors temps, hors sol ! toi aussi. C’est solennel. Ton regard voit soudain ce que personne d’autre ne peut voir, car c’est comme caché, ton regard devient prophétique et embrasse toutes les nations. Des fanions sont debout (ces nations-là vont se lever !) et ton regard se fixe surtout vers la France (oui, tous les prophètes reçoivent qu’elle va être le coeur d’un réveil énorme), et cela touche la Suisse et d’autres pays avoisinants.
De fait, c’est une confirmation de ce que bien d’autres ont reçu.
C’est ce que j’avais perçu également… Dan est monté presqu’à la verticale pour être au niveau du Seigneur qui a compassion de toutes les nations de la terre. La connexion s’est établie entre Dan et « l’homme » parce que ce dernier a vu qu’il avait un cœur d’intercesseur. En se prosternant, Dan voit tous les drapeaux mais plus précisément ceux des nations qui lui importent.
Oui, comme tu le sais, j’ai la France en tête depuis environ 4-5 ans, je trépigne d’impatience de voir la France enfin entrer dans sa mission, celle qui ne peut être exercée par aucune autre nation. Ceci dit, ce rêve tombait de nulle part, rien à voir avec mes pensées ou mon vécu présent, c’est ce qui en fait l’intérêt, j’ai l’impression qu’il y a également d’autres choses intéressantes à découvrir dans cette situation hors du temps, mais ce fanion de la France devant mes genoux était assurément le point clé. Dans le rêve, je n’étais pas surpris de voir la France, bien que je ne savais pas ce que j’allais voir sous le sable, sous la poussière, mais cela était pour moi une confirmation et ensuite j’ai été ravi de voir la Suisse comme associée dans ce processus, à un degré moindre il est clair, cela ressort d’ailleurs avec la taille du fanion nettement plus petit. D’autres nations étaient en petit avec la Suisse, mais je ne les ai même pas regardées. Il me semblait qu’il y avait également d’autres fanions de la même taille que celui de la France, sur les côtés, mais je n’ai pas cherché à les découvrir, j’étais focalisé sur la France.
Je crois que le monde entier va bientôt être focalisé sur la France.
Ton rêve m’a fait penser à ceci:
Apoc 4 : 1 Après cela, je regardai, et voici, une porte était ouverte dans le ciel. La première voix que j’avais entendue, comme le son d’une trompette, et qui me parlait, dit : Monte ici, et je te ferai voir ce qui doit arriver dans la suite.
Oui, il faut MONTER pour voir ce que Dieu prépare !
Merci beaucoup Dan pour ce message, j’étais en larmes concernant la France ( je suis impatiente de voir mon mari se convertir), je ressens qu’il va se passer quelque chose. J’ai ce verset qui me tourne en boucle : Romains 5:20 la ou le péché a abondé la grâce a surabondé.
Oh Seigneur! que ta grâce surabonde en France.
Il est très clair la France appartient à Jésus-Christ, DIEU aime la France et ceux qui veulent sa perte n’ont pas gagné, Jésus-Christ est vainqueur.
Dernièrement j’ai relu l’histoire de la persécution des protestants de France, et celle de Marie Durand qui a résisté pendant 38 ans enfermée dans une tour, avec d’autres femmes protestantes.
J’ai également visité l’île Sainte Marguerite où six pasteurs protestants ont été incarcérés à vie :
Paul Cardel dit Noyer,
Pierre Bruneton dit Valsec,
Gabriel Mathurin dit Lestang,
Matthieu de Malzac dit Bastide, Molen ou de Lisle,
Élisée Giraud,
Gardien Givry.
Exilés à la révocation de l’édit de Nantes, puis rentrés clandestinement en France pour prêcher l’Évangile, ces pasteurs furent arrêtés à Paris, condamnés à la prison à vie et incarcérés dans le fort. Pour rompre leur isolement, ils chantaient des psaumes, entendus d’un cachot à l’autre, signes de prière et d’affirmation de leur foi.
Concernant le rêve de Dan, je voudrais apporter une pensée peut-être différente ; je trouve que le fait qu’il ait reçu ce rêve un matin de shabbat et de plus durant la semaine de la fête des Tabernacles n’est pas anodin.
Dan se posait des questions par rapport à sa marche avec Dieu et Dieu dans ce rêve lui montre qu’il n’a pas à s’inquiéter, qu’il est sur le bon chemin , en marche vers le Royaume qui vient . Il est comme un voyageur en transit entre deux pays, il a quitté le sien et se dirige vers Jérusalem, la ville du grand Roi! en attendant il marche en paix dans ce lieu désertique et entend de loin une femme qui se plaint, probablement de l’inconfort du lieu où elle se trouve.
Pour moi, cette femme représente l’Eglise actuelle, plongée dans la recherche de paillettes d’or, de gloire et d’honneur et ne se souciant pas d’obéir aux commandements de Dieu, n’ayant pas compris l’importance de la greffe sur Israël (Romains 11).
Donc cette église n’est pas prête à affronter ce qui s’en vient sur le monde car elle n’est pas sanctifiée, n’obéissant pas aux commandements de Dieu! et je me demande si ce lieu désertique qu’a vu Dan ne représenterait pas l’endroit où les croyants en Yéshoua seront rassemblés et mis à l’abri le temps que se déverse les 7 coupes de la colère de Dieu?
En tout cas, je trouve que ce rêve encourage à lever les yeux vers le Royaume de Dieu qui vient sur la terre !
Merci Dan pour ce beau partage!
Je dis AMEN, il s’est dit de très BELLES CHOSES dans cet échange, je ne vais pas tout reprendre, mais voici une sélection de ces très belles choses.
Dans ce rêve, c’est comme si tu changeais d’optique de regard
Oui, très juste
L’homme près de toi est peut-être un ange, ou bien Jésus
J’y ai pensé également, car à aucun moment de mon rêve je n’ai vu son visage, ni même son corps, en fait c’était comme une présence évidente, mais que je ne voyais pas.
Des fanions sont debout, ces nations-là vont se lever !
Je me demandais pourquoi il n’y avait que des fanions verticaux et non des drapeaux classiques rectangles, tu donnes la réponse.
Ton rêve m’a fait penser à ceci : « je regardai et voici, une porte était ouverte dans le ciel. Monte ici, et je te ferai voir ce qui doit arriver dans la suite.
Oui, il faut MONTER pour voir ce que Dieu prépare !
Cela me parle particulièrement, oui une porte ouverte. Et pour le MONTE, il est certains que nous devons monter pour regarder, c’est essentiel. Je l’avais d’ailleurs mentionné très récemment (le 17.09.22) en parlant du « coulissage du temps » suite à la vision de Pierre-Daniel Martin.
Merci beaucoup Dan pour ce message, j’étais en larmes concernant la France
Magisaci cela me rappelle ce que je t’avais dit au sujet de tes larmes, j’espère que tu t’en rappelles aussi.
Pour moi, cette femme représente l’Eglise actuelle, plongée dans la recherche de paillettes d’or, …, n’ayant pas compris l’importance de la greffe sur Israël (Romains 11).
Cela aussi m’était venu à l’esprit, car hormis ses caprices, cette femme ne comprenait rien de l’importance de cette terre, combien sont encore mal à l’aise (et je suis gentil) avec Israël ?
Mais le dernier mot sera pour toi Laurence car je terminerai avec ton dernier mot, mais avant je dis AMEN et MERCI pour tout ce que tu as écrit, car cela faisait effectivement suite à mon message de vendredi soir et tu conduis notre regard, enfin le mien surtout, sur de très belles réponses à mes questionnements, il faut que je garde cela précieusement. Il est d’ailleurs possible voir très probable que plusieurs ont les mêmes questionnements, alors prenez c’est pour vous également. Quant au Shabbat, c’est sûr et certain, je l’évoquais d’ailleurs dans mon message de vendredi soir. Quant à l’abri pour le temps des 7 coupes, alors là, tu ouvres un chapitre qu’il conviendrait d’appréhender.
Lors de notre fameux été 2020, j’avais écrit que nous allions devoir nous protéger les uns, les autres, que nous allions devoir devenir UN comme les cellules du corps et bien ce qu’il se passe ici en fait partie, il y a encore beaucoup à faire, mais nous sommes en train de l’initier.
Et quel était ton dernier mot Laurence ? C’était le mot :PARTAGE, tu as même dit ce BEAU PARTAGE</em> …. et je dis : c’est juste magnifique. Si tu savais ce que tu as écris ici, l’air de rien, simplement en parlant avec ton cœur, ton esprit aussi il est vrai, cela pourrait bien être une PORTE, une porte comme évoqué plus haut par Michelle. Ces deux mots, beau partage, veulent dire beaucoup et ils sont signes, ne les laissons surtout pas tomber.
C’est la fête des Tabernacles ou encore appelée fête des Cabanes, fête des Tentes.
En hébreu, cette fête est appelée Souccot et est célébrée une semaine durant.
Je mets ici l’étude de Souccat David
https://www.youtube.com/watch?v=pLZr8P9FI0o
Souccot 5783- La Fête de Souccot- L’Union divine de l’Epoux et de l’Epouse!
Je voudrais signaler la merveilleuse étude donnée lors du cours d’hébreu de Daniel Steen à ce propos.
« Soukkot le dais nuptial »
Elle se trouve sur le site discipledeyeshua
http://vivrelatorah.free.fr/DISCIPLEDEYESHUA/DANIEL_STEEN/IVRIT/201911_DS_Soukkot%20le%20dais%20nuptial.pdf
http://vivrelatorah.free.fr/DISCIPLEDEYESHUA/DANIEL_STEEN/IVRIT/201911_DS_Soukkot%20le%20dais%20nuptial.mp3
Et la dernière parasha de l’année:
https://www.youtube.com/watch?v=PdnupClxQao
Les perles de la La Paracha Vézot Haberakha- Le retour des Douze Tribus!
Shabbat Shalom, amis en Yeshoua,
Qu’il semble loin ce temps béni de l’Eternel des Armées ou je vous proposais louange du ciel et cadeaux de Shabbat presque chaque semaine, qu’il me semble loin, oui qu’il me semble loin. Rassurez-vous, enfin ceux qui sont ou étaient attachés à mes interventions, je ne suis pas redescendu tout en bas comme ce printemps, mais. Mais, où suis-je Seigneur, où suis-je ? Je ne le sais plus trop, qui suis-je Seigneur ? Que fait-je ? Je ne sais pas, je ne sais plus. Que fais-tu ? Que fais-tu avec moi ? Je ne le sais pas, je comprends tout et ne comprend rien, je perçois tout et je ne perçois rien.
Alors voici pour aujourd’hui, on est tous les jours aujourd’hui, nous avons tendance à l’oublier, alors pour aujourd’hui jour des jours. Seigneur, mon Seigneur, la vraie et authentique louange, celle qui t’honores existe encore ici-bas, voici, oui voici, recevez, frères et sœurs, recevez :
https://www.youtube.com/watch?v=VFst4BMgkZg
Oui, c’est simple, c’est beau, c’est glorieux, c’est profond, c’est utile et nécessaire et que dire des lieux, que dire des lieux ?
Le Shofar pourrait sembler incongru dans cet accompagnement, cela semble sonner faux, mais non, non, non, il est à sa place, la place qui va enfin rassembler, enfin réunir Israël et celle qui s’appelait jadis l’Eglise, oui jadis. Et en ce jour, cela sonnera juste, parfaitement juste, totalement et parfaitement juste.
Une seule chose me dérange quelque peu, quelque chose qui sera bientôt compris de tous, mais ici le cœur, l’amour, les intentions pures et saintes permettent pour un temps encore quelques erreurs provenant de l’ancien monde, l’ancien monde qui se retire pas à pas, qui se retire comme un manteau, comme un manteau que l’on roule, qui se retire derrière le Voile. Le Voile où tout a commencé.
Néanmoins, c’est le chant suivant qui m’a poussé à écrire ce message, je l’ai écouté en boucle tout au long de cet écrit et encore pas en entier, uniquement la première partie, nommée Yeshoua (>7m20), alors ici également, recevez, recevez frères et sœurs en Yeshoua.
https://www.youtube.com/watch?v=m4s1I_lA2Sw
Le tout en anglais s’il vous plait, moi qui ne supportait plus cette langue, cette langue du monde, celle qui s’enorgueilli avec arrogance, celle qui veut prendre la première place, celle qui a totalement effacé sa prédécesseure, le grec, la première place qui ne lui appartient pas. Celle qui combat depuis des temps anciens, qui combat la langue des langues, la langue des cieux, la langue de l’Eternel, l’Hébreu, l’Hébreu de tous les secrets, la langue qui nous dira tout, car tout est en elle, tout, absolument tout, car Celui qui lui a donné naissance est LA PAROLE, est le verbe.
Reprendre le clavier est très plaisant je dois dire, oui vraiment, surtout le 1er soir de Shabbat, les amis notez bien, le soir de Shabbat, le vendredi pour nous, est un moment totalement hors du temps, plus encore que la journée du Shabbat qui a d’autres fonctions, oui notez bien cela les amis et surtout expérimenter le, oui expérimentez le. Je sais je fais tout le temps ces répétitions de mots, mais c’est ma manière de souligner les choses et peut importe si cela n’est pas d’une grande élégance dans l’expression écrite, peu importe, la grande élégance nous la vivrons lors des Noces.
Mes questions sont toujours présentes, tout en étant en paix il est vrai, comment pouvais-je écrire toutes ces choses que je vous ai offertes, comment ? Je ne sais pas.
Soyez béni, frères et sœurs du Shabbat, soyez béni comme jamais, même si je n’ai plus l’audace de le faire à la première personne, soyez béni comme jamais dans le nom des noms : Yeshoua.
Dan
Après, il y a aussi la version originale avec, s’il vous plaît, plus de quarante-deux millions de vues !
https://www.youtube.com/watch?v=ivUb1K0B0zE
Oui mais là se trouve l’image que je ne peux regarder plus de 5 secondes, je ne peux regarder cela, impossible pour moi. De plus, à mes yeux tout au moins, cela nous ramène à la louange que je ne reçois pas, la « louange » est d’ailleurs un problème majeur.
Ceci dit cela nous éloigne, à mes yeux tout au moins, nous éloigne fortement de l’Esprit du Shabbat. Rien qu’écrire ces quelques mots nous éloigne de la profondeur du Shabbat, cela me secoue rien que de devoir l’écrire.
Ce d’autant que je viens de finir d’écrire le rêve que j’ai fait la nuit dernière, je vais le poster juste après cela.
Désolé, frère, mais c’est ainsi.
Dan
Un petit complément, petit ou grand je ne sais pas, voici le très court rêve que j’ai fait ce matin en fin de nuit, shabbat 15.10.2022, juste avant de me réveiller. Je précise que ces derniers temps les rêves que je fais ne sont pas très joyeux, ils sont même emprunts d’ambiance que je n’aime pas du tout, cela accompagné de toutes sortes de situations bizarres ou étranges. Alors ce rêve sortait du lot. Voici.
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Dans ce rêve rien n’était véritablement dit, toutes informations sur les lieux, les situations, les personnages étaient en perception, comme cela est souvent le cas dans les rêves.
Je me trouvais comme transposé au Moyen-Orient au milieu de collines plutôt désertiques comme il s’en trouve en maint endroits. Ce n’était pas en Israël, mais je savais que je me trouvais tout près, vraiment tout près, comme à la frontière d’Israël, probablement sur une terre qui devrait appartenir à Israël, mais qui n’a pas encore été récupérée.
Je regardais ces collines en me disant que j’aime et apprécie cet endroit, mais que je ne me verrais pas vraiment y vivre. Oui sans les montagnes, les lacs et les forêts de mon petit pays, je ne pourrais véritablement me sentir chez moi.
J’avance sur une route-chemin, toujours avec les collines à l’horizon, puis j’entends, sans la voir, une femme qui n’était pas de la région, une touriste semble-t-il, comme en train de marmonner quelque-chose, je ne sais pas quoi, mais elle se plaignait, pas de choses douloureuses ou graves, mais de caprices et d’enfantillages sur quelques aspects qui ne lui convenait pas à cet endroit.
Dans le même temps, je bifurque et m’engage sur une route-chemin raide, puis très raide, puis encore plus raide, dans la vraie vie il n’aurait en aucun cas été possible de monter, mais mes pieds se collait presque au chemin à chaque pas et je montais comme si tout était normal, tout en étant conscient que c’était incroyablement raide avant d’arriver sur une partie à nouveau plate.
Surgit un homme, qui était en fait déjà présent depuis l’épisode de la femme, un homme du pays, un vrai « terrien », peut-être quelqu’un qui travaillait la terre, en parlant un peu tout seul, il s’adresse en vérité à moi en me disant qu’il allait aider cette femme, non qu’il approuvait ces pleurniches, mais il me dit qu’il ne pouvait pas la laisser comme cela. Je savais qu’il n’était pas israélien, qu’il n’était pas hébreu, mais il était de la région, peut-être libanais, je ne sais, en revanche il aimait cet endroit et faisait preuve de bienveillance.
Puis il me parle de Jérusalem, comme si j’étais un touriste qui visitait le pays, comme si j’avais déjà passé par Jérusalem et continuait ma visite dans ces terres peu fréquentées, en effet il n’y avait personne, à part cette femme de manière lointaine et furtive, il n’y avait que lui et moi. Comme si la vie n’était pas bien loin, tout en étant hors du temps et du mouvement normal des choses.
Je lui dis presque avec une grande solennité que je n’avais jamais été à Jérusalem, également comme si c’était hors de question que j’y aie comme un touriste, c’était d’ailleurs presque une insulte à mes yeux, cependant il y avait de la bienveillance et aucune mauvaise arrière-pensée chez cet homme. Oui, très certainement un jour j’irai à Jérusalem, mais pas comme un touriste. Je lui fais alors comprendre que je ne suis pas un touriste, d’ailleurs je n’avais aucun bagage avec moi. En parallèle je me demandais où j’allais aller, sans rien avec moi et ne connaissant rien ni personne dans cet endroit, endroit que j’aimais intérieurement. Cependant, je ne pensais pas à cela, car l’important était ailleurs, ce n’était pas le propos de savoir ce que j’allais faire ou non.
Puis nous nous retrouvons tous les deux sur une sorte d’esplanade avec une vue à 180 degrés sur ces collines désertiques, en voyant cela, je regarde très intensément, puis tombe à genou le visage au sol en pleurant, en larmes je lui dis : « J’ai un respect de folie pour cette terre » et il me répond comme dans un souffle furtif : « merci ». Il y avait une grande solennité, ce moment était fort et intense. Les larmes me montent aux yeux en écrivant cela.
Toujours à genou sur le sol, sol qui était à cet endroit comme en marbre travaillé, bien que nous semblions au milieu de nulle part, le visage quasiment à terre, je vois quelque chose sous la poussière, sous le sable, je balaie alors de ma main et que vois-je ? Je vois les drapeaux, tous sous forme de fanions verticaux, de nombreux pays et quel était le premier juste devant moi, juste après mes genoux ?
Le drapeau de la France, mes amis, et quel était celui qui était juste au-dessus en diagonale mais d’une taille un peu plus petite ? Le drapeau de la Suisse mes amis. Je n’ai même pas fait attention aux autres du coup, peut-être 5 ou 8 étaient dans mon champ de vision, je voyais le drapeau français et le drapeau suisse en plus petit.
Le rêve se termine ici.
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Ce rêve était profond mais très court, il est bien sûr que cela m’a pris bien plus de temps de l’écrire que de le vivre. Alors, frères et sœurs, je vous soumets cela, n’hésitez pas à partager votre ressenti, votre perception, votre révélation en Esprit si vous en recevez. Et si ce rêve n’était que banal et touristique, pas de problème, il était très agréable, j’en suis donc déjà très content.
Dan
Dans ce rêve, c’est comme si tu changeais d’optique de regard. La femme gémissante peut symboliser une nation ou la terre. Elle ne voit que la misère. Mais on te fait monter, monter. Tu es tout près d’Israël, donc de la « terre de Dieu ». L’homme près de toi est peut-être un ange, ou bien Jésus, il est hors temps, hors sol ! toi aussi. C’est solennel. Ton regard voit soudain ce que personne d’autre ne peut voir, car c’est comme caché, ton regard devient prophétique et embrasse toutes les nations. Des fanions sont debout (ces nations-là vont se lever !) et ton regard se fixe surtout vers la France (oui, tous les prophètes reçoivent qu’elle va être le coeur d’un réveil énorme), et cela touche la Suisse et d’autres pays avoisinants.
De fait, c’est une confirmation de ce que bien d’autres ont reçu.
Quand, Seigneur ! Quand ?
C’est ce que j’avais perçu également… Dan est monté presqu’à la verticale pour être au niveau du Seigneur qui a compassion de toutes les nations de la terre. La connexion s’est établie entre Dan et « l’homme » parce que ce dernier a vu qu’il avait un cœur d’intercesseur. En se prosternant, Dan voit tous les drapeaux mais plus précisément ceux des nations qui lui importent.
Merci Michelle,
J’ai ressenti l’onction dans tes mots.
Oui, comme tu le sais, j’ai la France en tête depuis environ 4-5 ans, je trépigne d’impatience de voir la France enfin entrer dans sa mission, celle qui ne peut être exercée par aucune autre nation. Ceci dit, ce rêve tombait de nulle part, rien à voir avec mes pensées ou mon vécu présent, c’est ce qui en fait l’intérêt, j’ai l’impression qu’il y a également d’autres choses intéressantes à découvrir dans cette situation hors du temps, mais ce fanion de la France devant mes genoux était assurément le point clé. Dans le rêve, je n’étais pas surpris de voir la France, bien que je ne savais pas ce que j’allais voir sous le sable, sous la poussière, mais cela était pour moi une confirmation et ensuite j’ai été ravi de voir la Suisse comme associée dans ce processus, à un degré moindre il est clair, cela ressort d’ailleurs avec la taille du fanion nettement plus petit. D’autres nations étaient en petit avec la Suisse, mais je ne les ai même pas regardées. Il me semblait qu’il y avait également d’autres fanions de la même taille que celui de la France, sur les côtés, mais je n’ai pas cherché à les découvrir, j’étais focalisé sur la France.
Je crois que le monde entier va bientôt être focalisé sur la France.
Ton rêve m’a fait penser à ceci:
Apoc 4 : 1 Après cela, je regardai, et voici, une porte était ouverte dans le ciel. La première voix que j’avais entendue, comme le son d’une trompette, et qui me parlait, dit : Monte ici, et je te ferai voir ce qui doit arriver dans la suite.
Oui, il faut MONTER pour voir ce que Dieu prépare !
Merci beaucoup Dan pour ce message, j’étais en larmes concernant la France ( je suis impatiente de voir mon mari se convertir), je ressens qu’il va se passer quelque chose. J’ai ce verset qui me tourne en boucle : Romains 5:20 la ou le péché a abondé la grâce a surabondé.
Oh Seigneur! que ta grâce surabonde en France.
Il est très clair la France appartient à Jésus-Christ, DIEU aime la France et ceux qui veulent sa perte n’ont pas gagné, Jésus-Christ est vainqueur.
Dernièrement j’ai relu l’histoire de la persécution des protestants de France, et celle de Marie Durand qui a résisté pendant 38 ans enfermée dans une tour, avec d’autres femmes protestantes.
J’ai également visité l’île Sainte Marguerite où six pasteurs protestants ont été incarcérés à vie :
Paul Cardel dit Noyer,
Pierre Bruneton dit Valsec,
Gabriel Mathurin dit Lestang,
Matthieu de Malzac dit Bastide, Molen ou de Lisle,
Élisée Giraud,
Gardien Givry.
Exilés à la révocation de l’édit de Nantes, puis rentrés clandestinement en France pour prêcher l’Évangile, ces pasteurs furent arrêtés à Paris, condamnés à la prison à vie et incarcérés dans le fort. Pour rompre leur isolement, ils chantaient des psaumes, entendus d’un cachot à l’autre, signes de prière et d’affirmation de leur foi.
Il y a des résistants dans l’ombre.
Concernant le rêve de Dan, je voudrais apporter une pensée peut-être différente ; je trouve que le fait qu’il ait reçu ce rêve un matin de shabbat et de plus durant la semaine de la fête des Tabernacles n’est pas anodin.
Dan se posait des questions par rapport à sa marche avec Dieu et Dieu dans ce rêve lui montre qu’il n’a pas à s’inquiéter, qu’il est sur le bon chemin , en marche vers le Royaume qui vient . Il est comme un voyageur en transit entre deux pays, il a quitté le sien et se dirige vers Jérusalem, la ville du grand Roi! en attendant il marche en paix dans ce lieu désertique et entend de loin une femme qui se plaint, probablement de l’inconfort du lieu où elle se trouve.
Pour moi, cette femme représente l’Eglise actuelle, plongée dans la recherche de paillettes d’or, de gloire et d’honneur et ne se souciant pas d’obéir aux commandements de Dieu, n’ayant pas compris l’importance de la greffe sur Israël (Romains 11).
Donc cette église n’est pas prête à affronter ce qui s’en vient sur le monde car elle n’est pas sanctifiée, n’obéissant pas aux commandements de Dieu! et je me demande si ce lieu désertique qu’a vu Dan ne représenterait pas l’endroit où les croyants en Yéshoua seront rassemblés et mis à l’abri le temps que se déverse les 7 coupes de la colère de Dieu?
En tout cas, je trouve que ce rêve encourage à lever les yeux vers le Royaume de Dieu qui vient sur la terre !
Merci Dan pour ce beau partage!
Encore merci Michèle pour ces trois communications transmises.
Shalom.
Je dis AMEN, il s’est dit de très BELLES CHOSES dans cet échange, je ne vais pas tout reprendre, mais voici une sélection de ces très belles choses.
Dans ce rêve, c’est comme si tu changeais d’optique de regard
Oui, très juste
L’homme près de toi est peut-être un ange, ou bien Jésus
J’y ai pensé également, car à aucun moment de mon rêve je n’ai vu son visage, ni même son corps, en fait c’était comme une présence évidente, mais que je ne voyais pas.
Des fanions sont debout, ces nations-là vont se lever !
Je me demandais pourquoi il n’y avait que des fanions verticaux et non des drapeaux classiques rectangles, tu donnes la réponse.
Ton rêve m’a fait penser à ceci : « je regardai et voici, une porte était ouverte dans le ciel. Monte ici, et je te ferai voir ce qui doit arriver dans la suite.
Oui, il faut MONTER pour voir ce que Dieu prépare !
Cela me parle particulièrement, oui une porte ouverte. Et pour le MONTE, il est certains que nous devons monter pour regarder, c’est essentiel. Je l’avais d’ailleurs mentionné très récemment (le 17.09.22) en parlant du « coulissage du temps » suite à la vision de Pierre-Daniel Martin.
Merci beaucoup Dan pour ce message, j’étais en larmes concernant la France
Magisaci cela me rappelle ce que je t’avais dit au sujet de tes larmes, j’espère que tu t’en rappelles aussi.
Pour moi, cette femme représente l’Eglise actuelle, plongée dans la recherche de paillettes d’or, …, n’ayant pas compris l’importance de la greffe sur Israël (Romains 11).
Cela aussi m’était venu à l’esprit, car hormis ses caprices, cette femme ne comprenait rien de l’importance de cette terre, combien sont encore mal à l’aise (et je suis gentil) avec Israël ?
Mais le dernier mot sera pour toi Laurence car je terminerai avec ton dernier mot, mais avant je dis AMEN et MERCI pour tout ce que tu as écrit, car cela faisait effectivement suite à mon message de vendredi soir et tu conduis notre regard, enfin le mien surtout, sur de très belles réponses à mes questionnements, il faut que je garde cela précieusement. Il est d’ailleurs possible voir très probable que plusieurs ont les mêmes questionnements, alors prenez c’est pour vous également. Quant au Shabbat, c’est sûr et certain, je l’évoquais d’ailleurs dans mon message de vendredi soir. Quant à l’abri pour le temps des 7 coupes, alors là, tu ouvres un chapitre qu’il conviendrait d’appréhender.
Lors de notre fameux été 2020, j’avais écrit que nous allions devoir nous protéger les uns, les autres, que nous allions devoir devenir UN comme les cellules du corps et bien ce qu’il se passe ici en fait partie, il y a encore beaucoup à faire, mais nous sommes en train de l’initier.
Et quel était ton dernier mot Laurence ? C’était le mot : PARTAGE, tu as même dit ce BEAU PARTAGE</em> …. et je dis : c’est juste magnifique. Si tu savais ce que tu as écris ici, l’air de rien, simplement en parlant avec ton cœur, ton esprit aussi il est vrai, cela pourrait bien être une PORTE, une porte comme évoqué plus haut par Michelle. Ces deux mots, beau partage, veulent dire beaucoup et ils sont signes, ne les laissons surtout pas tomber.
Dan