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Et tant de choses se sont déroulé depuis, qui ont démontré que Dieu mettait à terre les systèmes ecclésiaux érigés par les hommes, sacralisés mais au final portant bien peu de bon fruit, et combien les enseignements de Torben, qui « remettait les pendules à l’heure » en revenant aux fondements bibliques, auraient dû être entendus comme des avertissements du Seigneur, à prendre au sérieux. Hélas, l’establishment ecclésial n’a pas su entendre, et aujourd’hui encore beaucoup n’ont pas compris que Dieu mettait à part son faible reste, celui qui marche par l’Esprit de Dieu…

Certes, la démonstration approfondie de Torben pour montrer que notre système ecclésial de  »  boîtes   » n’avait rien de biblique ne m’a pas surprise, puisque via livres et articles, je ne cesse depuis des années de souligner ces hérésies, et la pauvreté des fruits qui en découlent. Et surtout d’insister sur le fait que ce système, toujours imprégné du catholicisme dont il est issu, est bien  davantage fondé sur les  « pères grecs  » et sur les décisions d’un empereur impie (tous haineux du peuple juif)  que  sur les paroles de Christ et sur les écrits apostoliques. C’est pourquoi il ne fabrique que bien rarement des disciples, mais bien plutôt des moutons passifs pour qui le concept de l’Église se résume à une implication volontaire dans un bâtiment nommé abusivement  » église  « , une fois par semaine, dans  un rituel immuable et que l’on croit biblique parce qu’il est séculaire: louange/prédication/offrande suivi, à des rythmes divers, d’un autre  rituel non biblique: une parodie de communion.

Parodie car ce n’est qu’un geste dénué de son véritable sens: l’amour entre frères, non en paroles mais en actes. Dans la première Église, la communion était assortie du partage des repas dans les maisons et du partage de tous les biens, parce que l’amour régnait vraiment.

Oui, j’avais eu largement le temps de méditer et d’interpeler sur le dérapage de l’Eglise au cours des siècles, qui, s’il a très vite atteint son paroxysme dans l’Eglise catholique avec des dizaines de dogmes non bibliques, n’en a pas moins imprégné les mouvances  issues de la Réforme. Faute d’un véritable retour aux sources, elles ont aussi, toutes, dévié, et ont été quasiment toutes  contaminées par des apostasies  spirituellement mortelles. Ne parlons pas de la « plandémie ». Elle a créé une fracture irréversible, entre les chrétiens qui suivent le Seigneur et ont entendu sa voix, et ceux qui ne savaient suivre que les hommes…

En écoutant Torben, je me suis rendue compte que sur de multiples sujets, j’avais encore à apprendre beaucoup.

J’ai surtout pris conscience que la pesanteur des carcans religieux, que l’on porte sans même en avoir conscience et en se pensant libre  –  mais que Torben appelle  »  lunettes   » -, annihile en grande partie la puissance de l’évangile.

Roms 1:  16  Car je n’ai point honte de l’Evangile : c’est une puissance de Dieu pour le salut de quiconque croit, du Juif premièrement, puis du Grec,  17  parce qu’en lui est révélée la justice de Dieu par la foi et pour la foi, selon qu’il est écrit : Le juste vivra par la foi.

Paul n’a pas fait d’école biblique. Et même s’il avait été enseigné dans les meilleures écoles rabbiniques avant sa conversion, il a dû avoir ses œillères religieuses pulvérisées pour pouvoir voir la lumière qu’est Christ. Dieu n’a même  pas permis qu’il soit formé par un des autres apôtres: sa formation est venue directement d’en Haut (2 Co 12), justement pour qu’elle soit dépouillée de toute influence humaine, donc de tout compromis. Et Paul s’est mis à  la tâche immédiatement. Ses fruits continuent, deux millénaires plus tard.

Torben démontre pourquoi la puissance de l’évangile ne se déverse qu’au compte-gouttes, au lieu des fleuves de vie promis par Christ, dans notre système ecclésial : si on ne se lève pas dès notre conversion pour  » aller  » dans la moisson, et pour œuvrer sous les ordres de Christ en apprenant à écouter sa voix, notre premier amour s’éteint vite sous le  rouleau compresseur du système ecclésial, un système omniprésent dans toutes les dénominations dites  »  chrétiennes  « , et baptisé du  nom  d’ « Église » pour, au final, ne désigner  que des édifices de pierres mortes gérés par des  » pros. »  

NOS ÉGLISES ENSEIGNENT QUE  » CROIRE  » SUFFIT AU SALUT. TORBEN DÉMONTRE PAR LA PAROLE ET PAR LES FRUITS ET MIRACLES QUE SON ACTION  PRODUIT, ET QUI SE PROPAGE SUR PLUSIEURS CONTINENTS, QUE LA  FOI QUI N’EST PAS ACCOMPAGNÉE D’UNE MISE EN PRATIQUE EST UNE FOI VAINE, UNE FOI QUI NE SAUVE PAS.  

l’apôtre Jacques l’avait déjà  dit ! Mais qui l’a cru ?

CROIRE, C’EST OBÉIR À CHRIST! C’EST CE QUI AUTHENTIFIE LA FOI VÉRITABLE !

J’ai eu personnellement le privilège d’être, en quelque sorte,  » kickstartée  »  directement par le Seigneur lors de ma conversion. Je bouillonnais littéralement sur place en attendant de pouvoir agir. Mais on me répétait que j’étais trop jeune dans la foi. Quatre mois après, pourtant, j’ai effectué ma première délivrance, lors d’un RV organisé  surnaturellement par mon  Seigneur dans une conférence, et j’ai vu de mes yeux le démon sortir. Après, je n’ai plus arrêté, mais dans mon église locale, je devais le faire en cachette. Alors je le faisais surtout dans les réunions de prière qui se tenaient chez moi.. et je transmettais ce que le Seigneur m’apprenait, par son Esprit et sa Parole.

Je bouillonnais aussi d’être rapidement baptisée. Mais mes pasteurs et anciens m’ont expliqué qu’il me fallait d’abord entendre des enseignements durant de longs mois pour apprendre ce qu’était le baptême d’eau… et j’ai été enseignée dans tout le contraire, au final, de ce qu’explique Torben et de ce que démontre la Bible sur l’importance spirituellement vitale de cet acte.

Puis le Seigneur m’a levée de manière encore plus surnaturelle, pour devenir évangéliste, et cela a commencé par mon premier livre écrit en quinze jours quatre mois après ma conversion et qui allait me faire passer en 1993 sur TF1 dans l’émission ex-Libris et me permettre de témoigner de Christ devant… 17 millions de téléspectateurs : un démarrage dans le ministère  plutôt  » scotchant  »    !

Oui, je bouillais  de l’envie d’agir. Mais  tous les frères et sœurs de mon église locale  me répétaient que  »  j’allais trop vite   » en m’avertissant que ceux qui vont trop vite se cassent la figure. Ah! le ministère du découragement et de la critique est un des plus florissants dans nos si   » respectables  »   »  églises « !

Pourtant, un an après ma conversion, j’étais dans le ministère, et quelques mois plus tard, en  janvier  1994, le ministère est devenu un ministère  à plein temps, après une tournée en Suisse, là encore surnaturelle: toutes les portes, les unes après les autres, s’ouvraient.  Après un dépouillement total, j’allais désormais apprendre à  vivre de ce que le Seigneur me donnait jour après jour et je n’ai jamais manqué de rien. L’ex chef d’entreprise ou  » cadre sup  » ou  » chargée de mission  » d’instances politiques régionales ou nationales était en apprentissage de la toute puissance du Seigneur, à qui tout appartient, et devant qui tout plie. J’apprenais à Lui faire une confiance totale, comme un enfant vis-à-vis d’un Père aimant, propriétaire de l’univers et du temps. Trente ans après, je suis toujours en apprentissage, sous la houlette de mon Berger divin, et mon amour pour Lui n’a cessé de grandir. Je le sais, l’Éternité ne suffira pas pour apprendre tout de mon Seigneur !

Ceci s’est produit sans aucun soutien moral ou spirituel d’aucune de mes « églises locales » successives (On m’avait appris que si je ne bénéficiais pas d »une « couverture pastorale », je ne pourrais jamais rien faire, je serai pire qu’une perdue !). Dès la première, au contraire, bien que ce fut alors une des communautés chrétiennes les plus plébiscitées de France – et je reconnais y avoir beaucoup reçu -, plus le ministère croissait, plus l’hostilité de  beaucoup grandissait.  Ce fut la même chose dans les communautés où je me suis ensuite attachée un temps, espérant toujours, en vain, trouver appui, amour et soutien. Cela allait prendre une ampleur effrayante, telle qu’il me faudrait m’enfuir un jour loin du système, loin des  »  boîtes  » décrites par Torben… et enfin respirer !

Dans ma première  » boîte « ,  un de mes pasteurs tentait sans cesse de me décourager avec :  »  Il est écrit  :  J’interdis à  la femme d’enseigner  « . Et de me balancer toute une théologie bâtie sur le tiers d’un verset de la Bible sorti de son contexte, théologie démentie par les paroles de Christ qui concernent tous les disciples. En Matthieu 28, Jésus  leur ordonne d’aller jusqu’aux extrémités de la terre pour faire des nations des disciples en  leur ENSEIGNANT  tout ce qu’il a prescrit.

Mais moi, parce que j’étais une femme, je n’avais pas le droit  » d’enseigner tout ce que Jésus a prescrit « . C’était censé, selon beaucoup, ne concerner que les hommes ! Voire pour certains, juste les apôtres des premiers temps ! (Une bonne excuse pour désobéir à  Christ)

Ne pas partager l’évangile et le salut ? Cela, je savais par le Saint-Esprit que c’était un mensonge, je savais que ce n’était pas biblique, car en moins d’un an j’avais déjà écrit quatre livres d’évangélisation ou d’enseignement, des livres reconnus comme étant bibliques par de solides théologiens tels Maurice Ray, qui les corrigeait et me conseillait.  (J’écris aujourd’hui mon 19ème livre)

Les années suivantes, j’ai pu voir les fruits de mon appel sur trois continents, car, alors que les hommes tentaient de me fermer les portes et la bouche par tous les moyens, Dieu les ouvrait en grand : beaucoup d’âmes sauvées, beaucoup de miracles. Même si c’est Dieu qui fait tout et qui convainc les gens de péché, de justice et de jugement par son Esprit, ce sont des trésors qui s’accumulent pour nous dans le ciel, nous, ses  » serviteurs inutiles « , simplement  parce que l’on répond  »  OUI   »  à  son  appel… et qu’il a choisi les choses faibles du monde pour confondre les fortes. Merci Jésus !

Je crois avoir répondu à l’appel divin des milliers de fois :  »  OUI  « , avec une joie impossible à décrire, parce qu’elle ne vient pas de la terre, mais du ciel, et cette joie est souvent accompagnée de larmes ! Parfois, des dizaines de fois par jour, et cela s’est prolongé  durant des années, et cela continue toujours, 30 ans plus tard, et plus que jamais.

Oh oui  !  combien j’étais déterminée: je ne savais que trop bien d’où Dieu m’avait arrachée. Quelle était ma reconnaissance que Dieu se serve de la femme déchue que j’avais été et qu’Il avait relevée pour Le servir. Je n’ai jamais regretté mon choix, pas une seule minute, pas une seule seconde, quelles que soient les oppositions et les persécutions, quelles que soient les souffrances et elles ont été nombreuses, jusqu’à  l’insupportable, physiquement ou  moralement,  me conduisant plusieurs fois au bord de la mort.

De fait j’ai su quasiment tout de suite après ma conversion que Dieu m’appelait  dans son service, parce que des passages bibliques ou des prophéties faisaient bondir mon cœur. Je savais qui me parlait !

Aussi quand, lors d’un Sanhédrin local, je me suis vue bombarder par mes trois pasteurs avec des reproches virulents parce que j’allais évangéliser,  sous prétexte que mon appel n’était pas reconnu par EUX, j’ai reçu un électrochoc . Ils m’ont ordonné de m’asseoir, alors que Dieu m’ordonnait de me LEVER.

Alors j’ai SU que c’était fini: nous ne parlions pas le même langage !

JE SUIS PARTIE DU BERCEAU QUI M’AVAIT VU NAÎTRE, AVEC L’IMPRESSION D’AVOIR DES POIGNARDS FICHÉS DANS MON DOS, AVEC LE  CŒUR EN MIETTES.  DÉSORMAIS JE DEVENAIS UN SUJET DE RÉPROBATION DE LA PART DE BEAUCOUP DE  CES FRÈRES ET SŒURS QUE J’AVAIS TANT AIMÉS ET QUI NE POUVAIENT PAS MÊME PENSER QUE J’ÉTAIS CONTRAINTE DE PARTIR POUR POUVOIR OBÉIR À DIEU, ET NON AUX HOMMES.

Oh, quelle douleur !

Étais-je donc isolée du corps de Christ ? Étais-je une rebelle comme tant le déclaraient ? Oh ! bien sûr, j’avais quelques rares amis solides qui me soutenaient, mais l’establishment me rejetait. Un establishment si respectable !  Moi,  j’étais jeune convertie, et encore formatée par ce que j’entendais partout, et que l’on retrouvait dans toutes les dénominations et dans toutes les assemblées locales :  » hors de nous, point de salut.  « .

Comment pouvais-je prétendre avoir raison contre tant de monde ? Pourtant, je SAVAIS ! Oui, je savais qui m’avait appelée, ce qui m’a donné la force de résister à l’intimidation dont j’étais entourée, intimidation toujours associée à  l’utilisation de versets bibliques, de tout petits  morceaux de Bible soigneusement choisis pour me  » rappeler à  l’ordre  « .

J’ai pu tenir et persévérer, car moi aussi je savais lire la Parole et j’entendais la voix de mon Seigneur !

Mais j’étais dans l’incompréhension : je n’avais qu’un désir, œuvrer avec tous ces gens que je respectais, que j’aimais, et pourtant, beaucoup d’entre eux me rejetaient (Le système pastoral s’auto protège très efficacement contre tout ce qui pourrait l’ébranler ou le conduire à se remettre en question. En tout cas, c’était vrai à l’époque. Je pense que la dislocation actuelle du système, via confinements et « mesures sanitaires », a aussi, je l’espère, et même si cela a passé par des brisements, libéré beaucoup de serviteurs de Dieu).

Car  nos systèmes ecclésiaux n’étaient en rien bibliques. J’ai fû en faire bien trop vite – c’est douloureux ! – le constat. En 2001, alors que je venais de sortir mon livre  » les Renards dans la vigne  « , où je dénonçais ce système nicolaïte, lors d’une pastorale, un homme de Dieu est venu vers moi et m’a déclaré :  »  Michelle, ton livre est génial ! ». J’étais étonnée, vraiment étonnée, car je croyais avoir enfoncé des portes ouvertes. Mais cet homme m’a dit :  » Tu as discerné  en quelques années ce que nous, nous  commençons souvent à  comprendre après 20 ou 30 années de ministère  « . Et je me souviens lui avoir répondu:

– C’est parce que ce système m’a mordue !

Oui, j’avais compris pourquoi. Ce système pyramidal dominé par une caste de  » pros  » asphyxie les appels et les vocations, en déniant trop souvent à   des  »  petits dans la foi   »  la capacité d’entendre la voix de Dieu  et de se lever pour agir dans la moisson… sans leur  aval à  eux, les pros « reconnus ».

Ensuite, je tentais d’alerter, et encore d’alerter, avec le sentiment que ce système un jour serait jugé. Mais, c’était comme si je parlais à des … murs !

LEURS MURS  …

J’ai beaucoup écrit sur le sujet, assez désespérée de voir l’apathie de tous ceux acceptant ce système comme  »  norme « , puisque séculaire, et j’ai reçu la conviction que Jésus mettrait un jour à terre toutes ces organisations humaines. Avec les années, le sentiment d’imminence de ce jugement s’est fait de plus en plus pressant.

(Note MAV: j’écrivais ceci en 2016. Hélas, comme je pleure de n’avoir pas été entendue. Mais même Torben, et d’autres, n’ont pas été entendus. On les a rejetés, persécutés…)

En 2016, avec les enseignements de Torben, j’ai eu un choc. Il démontrait que la véritable Église pouvait renaître dans toute la puissance de l’Eglise des Actes, car Dieu n’a pas changé ! TORBEN  L’A MIS EN PRATIQUE, DANS LA FOI… et le résultat est stupéfiant:

Un réveil mondial s’est entre-temps mis en place, car une armée de  »  kickstartés  « , comme les appelle Torben, s’est levée, une armée qui, comme ordonné par Jésus, va dans le champ d’action qui lui a été assigné:  Les  »  kickstartés  »  au lieu de tenter d’attirer le monde dans les boîtes dites ecclésiales pour y  asseoir à  vie ceux  »  ceux  qui  viennent  à  peine d’échapper  aux hommes  qui  vivent dans l’égarement;   » n’ont qu’un ordre de mission : conduire les gens dans le Royaume en allant immédiatement dans la moisson, selon Luc 10 .

Je remercie le Seigneur d’avoir conduit les choses en 2016 pour que plusieurs m’aident à effectuer ce travail  de retranscription et d’édition des 20 leçons, travail magnifique, afin que beaucoup puissent en bénéficier en lisant des écrits au gré de leur temps disponible, alors que 40 heures d’écoute et d’immobilisation devant un écran pour ceux qui ne comprennent pas l’anglais couramment réduisaient considérablement la portée de ce trésor. L’écrit, en sus, a le mérite de pouvoir être repris en copié-collé, divulgué auprès de ceux qui ne sont pas férus en informatique ou qui ne disposent pas du matériel nécessaire. On peut aussi y revenir et méditer certains passages. Le nombre assez impressionnant de téléchargements qui s’effectue quotidiennement sur ces articles montre la soif de bien des Chrétiens, aujourd’hui, de s’évader du système ecclésial, pesant et  frustrant qu’on leur a toujours présenté comme étant la véritable Église (toutes dénominations confondues). Ils ont envie d’être  » accrocs  » à  Jésus seul, afin de marcher par l’Esprit et faire partie de ceux appelés à bouleverser le monde et à être  »  l’appui et la colonne de la vérité  « , sans craindre le rejet, ni même la mort.

Peut-être aurons-nous le privilège de voir Torben venir en France pour secouer notre vieux pays, si less portes s’ouvrent. Peut-être pas, mais ce n’est pas grave: je vois tout autour de moi des guerriers de l’armée du Roi des rois qui vivent des choses similaires et le mettent en pratique dans les rues et les maisons, en voyant des fruits et des miracles que les vieilles bâtisses de pierres nommées  »  églises   » voient bien rarement !

Et je sais qu’il en est, partout en France, beaucoup d’autres qui se lèvent, surtout parmi les jeunes.  Tout simplement parce que ce qui se produit ne vient pas d’un homme, mais vient de Dieu, pressé maintenant d’engranger les âmes prêtes à être sauvées, avant que les ténèbres tombent: il est minuit moins 5 à  l’horloge divine.

(MAV: j’écrivais ceci en 2016. Maintenant, il est minuit moins une !)

Alors écoutez, lisez, laissez-vous  » kickstarter « , afin de sortir des pesanteurs religieuses qui ont progressivement immobilisé, voire paralysé l’Église depuis près de 2000 ans en Occident. Et mon appel s’adresse en priorité aux pasteurs qui, comme Torben dans le passé, sont frustrés en ressentant qu’ils ne marchent pas vraiment dans le plan que le Seigneur avait préparé pour eux.

Dieu nous attend pour nous propulser dans la moisson. ELLE DOIT ÊTRE ENGRANGÉE AVANT QU’IL SOIT TROP TARD, ET C’EST URGENT !


main-Dieu-retourneeLes vingt vidéos:

 »  The Pioneer School   » en français

Les vingt articles du blog:

Sortez de la boîte  !  –  Leçon 1

 

La Religion ou Jésus ? – Leçon 2

 

Le livre des Actes – Leçon 3

 

Connaissance et Obéissance – leçon  4

 

La guérison – Leçon 5

 

Lancer la vie chrétienne – Leçon 6

 

Le salut : repentance et baptême – Leçon 7  

 

Comment partager l’Évangile ? – Leçon 8

 

Saints ou pécheurs ? – Leçon 9

 

Le Baptême d’eau – Leçon 10

 

Le baptême du Saint-Esprit – Leçon 11

 

Être guidé par l’Esprit – Leçon 12

 

Le jeûne – Leçon 13  

 

Dieu d’amour ou Dieu saint ? – Leçon 14

 

Ancienne et nouvelle alliance – Leçon 15  

 

La Nouvelle Alliance – Leçon 16

 

Réforme du système de l’église – Leçon 17

 

La vision de Jésus pour l’Église – Leçon 18  

 

Maintenant il est temps d’agir – Leçon 19  

 

La réforme a commencé – Leçon 20

 Les leçons 21 et 22 sont maintenant disponibles ici