ASSEZ du MENSONGE d’ETAT SUR LA VIANDE !
Madame, Monsieur,
Chaque semaine, vous êtes complice d’une épouvantable barbarie envers les animaux.
Oui, sans le savoir, vous participez à l’une des plus cruelles tortures animales de notre époque.
Il s’agit de l’abattage rituel.
L’abattage rituel consiste à égorger vif une vache, une chèvre ou un mouton.
La pauvre bête n’est pas étourdie : elle est donc pleinement consciente de sa propre mise à mort.
Et cela peut durer longtemps.
Une vache égorgée par abattage rituel peut mettre jusqu’à 11 minutes pour mourir.
Mettez-vous à la place de cette pauvre bête, et imaginez-vous, pendant 660 secondes :
- la gorge tranchée,
- le sang qui gicle,
- le stress inimaginable avant de mourir,
- et la douleur insupportable.
C’est cela, l’abattage rituel.
Dès 1964, la France a interdit cette pratique qui choque notre conscience humaniste.
Mais elle a toujours toléré une dérogation pour des motifs religieux : le halal ou le casher.
Le problème est que cette « exception » est en train de devenir la règle !
Aujourd’hui, on oblige ABSOLUMENT TOUT LE MONDE à manger de la viande d’animaux victimes d’actes de barbarie !
A moins d’être vegan, vous et moi mangeons forcément de la viande « halal » sans le savoir !
Je sais que cela paraît difficile à croire.
Mais c’est un fait : aujourd’hui en France, il vous est impossible de savoir si votre viande a été tuée par « abattage rituel » ou pas.
La loi oblige les industriels à donner le nombre exact de calories ou de protéines de votre viande…
...mais rien ne les oblige à vous dire si la bête a été égorgée vivante ou non !
Résultat : s’il vous arrive de manger du poulet, de l’agneau ou du bœuf, vous serez forcément complice de cette barbarie, un jour ou l’autre.
Je dis « forcément », car l’abattage rituel est désormais extrêmement répandu.
Selon la journaliste d’investigation Anne de Loisy, qui a passé 3 ans à enquêter sur le sujet :
« Un bovin sur deux est abattu de façon rituelle.
C’est 90 à 95 % pour l’agneau et entre 20 à 40 % pour les volailles »1.
Une vache sur deux ! 9 agneaux sur 10 !
C’est beaucoup plus que les chiffres « officiels » du Ministère de l’Agriculture, qui sont déjà énormes : 15 % des bovins et 27 % des moutons.
Au total, la France est la championne d’Europe du nombre de bêtes abattues dans la souffrance !
Comment est-ce possible, alors que la demande de viande rituelle est très minoritaire ?
100 % des abattoirs qui seraient halals ?! Ce n’est pas possible ! Et pourtant…
Ici je réclame toute votre attention, car la réponse est juste sidérante :
« Les abattoirs qui pratiquaient les deux systèmes (conventionnel et rituel) étaient obligés de nettoyer les chaînes entre les deux, ce qui immobilisait le personnel.
Passer du conventionnel au rituel permet d’économiser. »2
Vous avez bien lu : pour un abattoir, il est coûteux d’avoir deux processus différents : un « halal » et un « classique ».
C’est donc pour faire des économies que beaucoup d’abattoirs sont passés au « 100 % halal » !
Résultat : « Alors qu’il était dérogatoire, l’abattage sans étourdissement devient une pratique courante », explique le Dr Jean-Pierre Kieffer, vétérinaire.
En région parisienne, où vivent 10 millions de Français, la réalité est tout simplement HALLUCINANTE : ici, ce sont 100% des abattoirs qui sont « halal », sans que les consommateurs en soient informés.
Je précise : il n’y a pas d’erreur dans le chiffre. C’est bien 100 % : OUI, ABSOLUMENT TOUS LES ABATTOIRS de cette région !!!
Cela a été révélé par la Chambre d’Agriculture d’Ile-de-France, dans un communiqué officiel – je cite : « 100% de la viande abattue en Ile-de-France l’est selon les traditions relieuses »3.
Sur toute la France, cela donne cet autre chiffre ahurissant, donné par le député Nicolas Dhuiq :
« Entre un tiers et deux tiers de la viande consommée en France est issu de la filière certifiée d’abattage rituel »4.
Traduction : entre 33 et 66 % de la viande que nous mangeons est « rituelle »… alors que les minorités religieuses ne représentent que 10 à 15 % maximum de la population !
Comme l’explique le Journal 60 millions de consommateurs, la situation actuelle est absurde :
« Il n’y a pas d’obligation de traçabilité en matière de mode d’abattage. Vous n’avez donc pas la possibilité de savoir si le bœuf dont vous vous apprêtez à manger l’entrecôte a été abattu par égorgement avec ou sans étourdissement. »5
Il est urgent de mettre fin à cet immense scandale.
Voilà pourquoi, en tant que citoyen et consommateur responsable, j’ai décidé de lancer une grande pétition nationale.
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