Nous avons depuis 2 ans dénoncé largement l’espèce de génocide qui a frappé les personnes appartenant aux tranches d’âge les plus élevées. Les preuves d’euthanasie active qui ont accompagné la crise covidienne sont là et c’est indiscutable.
Les sinistres gestionnaires du Nouveau monde semblent bel et bien s’en prendre aux catégories plus jeunes.
Et cela peut même concerner la phase périnatale des nourrissons (fin de grossesse, à la naissance, ou dans les heures ou les jours qui suivent l’accouchement).
Quand l’avortement ouvre la voie à la mort périnatale. Immunité demandée pour le personnel « médical »
La Californie introduit une nouvelle loi qui pourrait autoriser les mères à tuer leur bébé jusqu’à 7 jours après leur naissance. Alors ce titre accrocheur est il une simple fake news? Eh bien pas vraiment même si la chose n’est pas écrite en toutes lettres. En Suisse, nous savons bien que la place laissée à l’interprétation est plus stratégique que ce qui est trop facile à lire par tout un chacun (cf le rôle du Conseil fédéral dans la Constitution réformée de 1999, les limites d’achat de devises dans la Loi sur la BNS de 2003, etc.)
Cet article de Miami Standard explique que le projet de loi a été proposé par le « Future of Abortion Council » de Newsom, qui fait des recommandations pour « renforcer et étendre » les avortements dans l’État de Californie. En vertu de la California AB 2223, une mère sera à l’abri des poursuites civiles et pénales pour toute «action ou omission» liée à sa grossesse. Ces actions comprennent non seulement l’avortement à n’importe quel stade de la grossesse, mais aussi la « mort périnatale ». La mort périnatale est définie comme le décès d’un nouveau-né jusqu’à sept jours ou plus.
Puis on nous explique que dans le projet de loi proposé par la députée Buffy Wicks (D-Berkeley), le meurtre d’enfants à naître et nés serait codifié comme un acte juridique et annoncé comme «les droits reproductifs des femmes».
Un peu plus loin, on nous dit que le nouveau projet de loi protège quiconque « aide ou assiste une personne enceinte dans l’exercice » de ces soi-disant droits. Le projet de loi donne également aux mères le nouveau pouvoir de poursuivre les services de police si un agent arrête quiconque conspire pour tuer des bébés.
Alors, on peut dire que cet article est le fait d’un site de droite qui s’offusque de mesures qui privilégient le progrès, le droit des femmes de disposer de leur corps , et de la protection des minorités pour leur garantir des droits pour un certain niveau de santé, etc. La tarte à la crème classique.
Mais voilà, le fond du problème soulevé par cet article reste entier.
- L’appellation sanctuaire pour avorter de ce qui est un bébé viable.
D’abord, l’usage du mot sanctuaire pour permettre l’avortement de bébés (on ne parle plus de foetus) de neuf mois, ainsi que la dépénalisation des intervenants semble le leitmotiv diffusé largement dans les médias et dans les allées des institutions publiques.
est pour le moins curieux, pour ne pas dire pervers. Que veut dire sanctuaire? Selon le Larousse, la définition de base est celle d’un édifice religieux ou d’un lieu saint en général. Intéressant non? Et même si nous prenions les définitions qui en dérivent nous tomberons sur des descriptifs dont la portée est nécessaire à la vie ou même à la survie. On nous parle d’un lieu protégé contre toute agression. Voilà une inversion de mots patente…. Bref, à moins que l’on ne fasse référence à une religion qui autorise l’infanticide, le mot sanctuaire qui devrait mettre à l’abri des agressions ne peut signifier un acte que tout terrien, athée inclus, devrait trouver odieux.
2. La Californie ne fait que régurgiter la volonté de l’OMS, c’est-à-dire de ses donateurs avec Gates en tête du sinistre cortège. A relever que le thème est associé au Programme de reproduction humaine. Vous comprenez qu’à ce niveau les mots comptent. Nous nous orientons vers un contrôle de la reproduction sous un vernis humaniste. Et pour défendre l’abomination, on se sert de science et de statistiques…
Extrait d’un rapport publié par l’OMS: LOI ET POLITIQUES
« Afin d’identifier les impacts des limites d’âge gestationnel sur les demandeurs d’avortement et les agents de santé, une revue systématique des études publiées entre 2010 et 2020 a été entreprise, identifiant 21 études menées en Australie, en Belgique, au Mexique, au Népal, en Afrique du Sud, au Royaume-Uni et les États-Unis d’Amérique (États-Unis).
Les preuves examinées ont démontré que – seules ou en combinaison avec d’autres exigences réglementaires, y compris les approches fondées sur le motif – les limites d’âge gestationnel retardaient l’accès à l’avortement, en particulier chez les femmes cherchant à avorter à des âges gestationnels plus avancés, les femmes proches de la limite d’âge gestationnel et celles vivant en zones où l’accès aux cliniques est limité.
Il a été constaté que les limites d’âge gestationnel étaient associées à des taux accrus de mortalité maternelle et à de mauvais résultats en matière de santé. Le droit international des droits de l’homme exige des États qu’ils réformer la loi afin de prévenir les avortements à risque et de réduire la mortalité et la morbidité maternelles.
Les études ont également montré que lorsque les femmes demandaient un avortement et se voyaient refuser des soins en raison de l’âge gestationnel, cela pouvait entraîner la poursuite non désirée de la grossesse, en particulier chez les femmes présentant des troubles cognitifs ou celles qui se sont présentées à 20 semaines de gestation ou plus tard.
Les preuves issues de ces études ont montré que les femmes souffrant de troubles cognitifs, les adolescentes, les jeunes femmes, les femmes vivant plus loin des cliniques, les femmes qui doivent se déplacer pour avorter, les femmes ayant un faible niveau d’instruction, les femmes confrontées à des difficultés financières et les femmes au chômage ont été touchées de manière disproportionnée par les limites d’âge gestationnel. Cela souligne l’impact disproportionné des limites d’âge gestationnel sur certains groupes de femmes, avec des implications pour Obligation des États de garantir la non-discrimination et l’égalité dans la fourniture de services de SSR »
Retenons que dans la Nouvelle société, le droit du bourreau prime sur celui de la victime potentielle.
3.- Alors fait-on ceci pour le bien-être de la mère? Pas forcément.
Dans la capture d’écran ci-dessous, on recommande de ne pas pratiquer d’ultrason avant l’intervention. Et pourquoi donc? Ne serait-ce pas pour éviter de troubler la conscience de la mère et/ou de l’intervenant qui vont tuer un bébé parfaitement formé et vivant? Et si la mère devait être troublée, cela signifie-t-il qu’elle n’est pas forcément décidée à passer à l’acte et qu’on ne veut pas lui laisser trop le temps pour réfléchir et revenir en arrière?
La California Future for abortion council
Cette alliance pratique un lobbying très actif. Elle rédige des recommandations totalement en phase avec celles de l’ONU et de l’OMS. La conséquence est que la Californie, véritable laboratoire de la Nouvelle société eugéniste ET infanticide promeut/soutient un paquet de 13 lois dont voici quelques extraits.
- AB 1666 (Bauer-Kahan) : Protège les patients et les prestataires en Californie contre les jugements de responsabilité civile pour avoir fourni des soins de santé reproductive aux patients lorsque les réclamations sont fondées sur des lois d’autres États qui sont hostiles au droit à l’avortement et sont contraires à la politique publique de la Californie . (On protège des délinquants qui violent la loi publique de son lieu de résidence?)
- AB 2223 (Wicks) : garantit que personne en Californie ne fera l’objet d’une enquête, de poursuites ou d’incarcération pour avoir interrompu une grossesse ou subi une perte de grossesse.
- AB 2626 (Calderon) : Protège les prestataires d’avortement en Californie en interdisant le retrait ou la suspension des licences médicales pour un titulaire de licence fournissant des soins d’avortement en Californie qui se conforme à la loi californienne. (On peut se demander pourquoi celui-ci devrait s’inquiéter puisqu’il se conforme à la loi californienne…)
Je vous laisse lire la suite ici:
Voici l’organisation faîtière qui gère le lobbying au sein de l’administration californienne.
Elle regroupe une série d’associations au centre de laquelle on retrouve la sinistre et incontournable Planned Parenthood dont l’idéologie raciste de la fondatrice avait fait couler beaucoup d’encre… Le père Gates senior en a été longtemps un pilier existentiel…
Souvenez-vous de nos papiers:
Annexes
Et figurez-vous que tout comme l’OMS, International Planned Parenthood croule sous l’argent de l’eugéniste de notre ère: Bill Gates.
Lettre de la sénatrice Toni G. Atkins, présidente du Sénat pro tempore
La Californie est dans une position unique – alors que nos libertés reproductives et notre capacité à faire des choix concernant notre propre corps sont protégées par la Constitution, il n’en va pas de même dans d’autres régions du pays. Nous l’avons déjà vu, et malheureusement, nous le voyons encore dans des affaires judiciaires qui menacent les droits reproductifs.
Il y a des années, j’ai vu de première main l’impact de l’accès restreint sur les femmes et les familles. J’ai passé le début de ma carrière à travailler pour une clinique de santé des femmes et j’ai occupé le poste de directrice des services cliniques. J’ai parlé directement avec des femmes qui avaient trouvé le chemin de notre clinique pour obtenir de l’aide parce qu’elles vivaient dans des États à accès restreint. J’ai rencontré une mère qui a perdu sa fille suite à un avortement illégal.
Nous ne pouvons pas nous permettre de laisser les extrémistes revenir en arrière sur nos droits. La législature californienne sait que l’accès aux services est essentiel dans le domaine de la santé, c’est pourquoi nous avons systématiquement pris des mesures pour protéger et étendre davantage les droits reproductifs et l’accès aux services dans notre État.
Qu’il s’agisse d’adopter une législation obligeant les centres de santé pour étudiants des systèmes de l’Université de Californie et de l’Université d’État de Californie à proposer l’avortement médicamenteux, ou de fournir un soutien budgétaire essentiel aux services et programmes de santé reproductive, nos actions et nos investissements témoignent de notre détermination à défendre les droits des Californiens et des tous ceux qui viennent ici.
Mes collègues et moi sommes reconnaissants du partenariat du California Future of Abortion Council et de nos efforts collectifs pour protéger des soins de santé de qualité et l’accès aux options de planification familiale.
Au cours des mois et des années à venir, nous resterons fidèles à cet engagement – pour nous-mêmes, pour nos filles et nos fils, nos proches fluides et non binaires, et tous ceux qui viendront après nous.
Ensemble, nous pouvons façonner les politiques publiques afin que la Californie puisse continuer à avancer sur la voie du progrès et comprendre et continuer à servir de phare d’espoir pour le reste de notre nation. chaleureusement,
TONI G. ATKINS
Président du Sénat pro tempore
39e circonscription du Sénat 3
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