Étoile montante de l’OMS, elle bénéficie de plus en plus d’une large couverture médiatique. Intriguée par cette sémillante doctoresse, j’ai voulu en savoir plus.
Le 5 janvier 2022, au micro de Sonia Mabrouk, Europe 1, (1) l’épidémiologiste, s’exprime ainsi : « Selon elle, le coronavirus n’est qu’un « amuse-gueule » de ce que nous allons vivre ces prochaines années… Nous rentrons dans l’ère des pandémies, on peut parler d’épidémie de pandémie… ».
La messe est dite ! L’évangile selon « Saint OMS ».
Médecin de santé publique, la dame a écrit et publié un livre dans lequel elle décrit qu’une « biodiversité riche et variée protège les humains du risque de pandémie ». Et de continuer : « Tout simplement grâce à l’effet de dilution, qui fait que les agents pathogènes vont être dilués dans une très grande quantité, avec une grande variabilité génétique ».
Rien de tel que la dilution, c’est bien connu. Surtout celle des glaçons dans le Pastis… Si seulement, la stupidité pouvait se diluer dans l’atmosphère… Rêve pieux… Mais revenons dans la réalité. Ce genre de consigne diluée peut satisfaire une grande partie de la population, déjà complètement anesthésiée par l’hystérie sanitaire ambiante, mais pas moi. En effet, rien de nouveau sous le soleil. Il est évident que moins de pollution amène de facto une meilleure santé physique et mentale. L’art et la manière d’enfoncer une porte ouverte.
En revanche, elle ne dénonce pas les grands pollueurs, – l’industrie pétrolière et chimique -, ni la pollution engendrée par les portes-containers sillonnant les océans, ni l’inutilité des éoliennes inondant le paysage avec des composants non-recyclables, etc. Elle surfe, comme beaucoup d’autres, sur une écologie de pacotille, culpabilisant les citoyens plutôt que les magnats de l’industrie pétrolière et chimique. Tout ce cirque est amplement relayé grâce aux écologistes extrêmes surnommés à juste titre « Khmers verts », prônant une vie de plus en plus minimaliste. En perspective, un magnifique futur où chacun possédera son studio aux murs végétalisés, avec un balcon où trois plants de tomates rachitiques essaieront de survivre, et un vélo électrique pour aller faire les courses dont la batterie est non recyclable.
Elle pointe du doigt l’élevage industriel. Sur ce point, je ne peux qu’être en accord avec elle. Les élevages industriels sont à bannir, tant sur le plan du bien-être des animaux que sur le plan nutritionnel.
Mais une grande partie de ses références se trouve être dans un rapport de l’IPBES*. Quésaco ? Encore une usine à gaz, dotée de moyens financiers énormes, dont le but est de pondre des rapports, qui ne changent pas grand-chose aux dégâts irréversibles des grands pollueurs internationaux, et au manque d’éducation d’une grande partie de la population mondiale sur le fait qu’il faudrait s’abstenir de jeter des emballages plastiques le long des routes et dans les rivières.
Elle continue avec l’OMS, une liste « blue print », (2) des pathologies émergentes qu’il convient de surveiller de par leur fort risque potentiel pandémique : Covid-19, Ebola, Marburg, Zika, et la maladie X (3) – ajoutée par l’OMS en 2018 donc bien avant l’apparition de la « Covid-19 ». La maladie X est donc une maladie encore inconnue – diantre – mais que l’OMS pointe comme étant une maladie qui un jour, très probablement, émergera et qui sera potentiellement très grave avec un risque pandémique majeur.
L’OMS, » l’Organisation Morbide de la Santé », ose donc épouvanter la population avec une prospective terrifiante qu’une maladie inconnue déferlera sur la planète. Pareille déclaration non scientifiquement démontrée et totalement infondée, relève d’une grande perversité et d’une totale escroquerie. L’OMS est belle et bien une organisation corrompue, aux ordres de l’oligarchie financière mondiale apatride. (4) La liste des bienfaiteurs de l’organisation dépendante de l’ONU pour l’année 2018 est longue. Et pour n’en citer que quelques-uns, retenons la fondation Bill & Melinda Gates, la Gavi Alliance : où siègent en permanence Bill & Mélinda Gates, Baxter international Inc., la Commission européenne, le Rotary International ou encore l’Unicef. Que du « beau » monde !
Il est surprenant que ce genre de déclaration totalement spécieuse trouve un écho en la personne d’Alice Desbiolles. Alice au pays des merveilles ? Pas du tout. Alice au service d’une OMS et d’une industrie pharmaceutique totalement infectées.
Il est plus que temps de faire le ménage dans ce cloaque pseudo-scientifique et de supprimer un bon nombre d’organisations mondiales qui ne font que le jeu de l’oligarchie mondiale financière apatride.
Claude Janvier
Ecrivain polémiste, enquêteur. Co-auteur avec Jean-Loup Izambert du livre « Le virus et le président ». IS édition (5)
Notes :
IPBES *La Plateforme intergouvernementale scientifique et politique sur la biodiversité et les services écosystémiques (IPBES) est un organe intergouvernemental créé en 2012. Il est placé sous l’égide du Programme des Nations unies pour l’environnement, du Programme des Nations unies pour le développement (PNUD), de l’Organisation des Nations unies pour l’éducation, la science et la culture (UNESCO) et de l’Organisation des Nations unies pour l’alimentation et l’agriculture (FAO). Il siège à Bonn, en Allemagne, et compte aujourd’hui 132 États membres.
https://les7duquebec.net/archives/269544
(2) https://www.who.int/teams/blueprint/covid-19
https://fr.wikipedia.org/wiki/Liste_de_l%27OMS_des_maladies_prioritaires
(3) https://fr.wikipedia.org/wiki/Maladie_X
(4) https://www.magazine-decideurs.com/news/qui-finance-l-oms
(5) https://www.facebook.com/isedition/posts/3828261610600344
Très bonne analyse, Michelle, effectivement l’OMS, sous couvert de « sauveur » et de respectabilité est complice avec ses alliés internationaux du chaos et ce, dans tous les domaines.