Critique de la propagande laxiste de Basta ! » Dix idées reçues sur la délinquance des mineurs ! «
Les jeunes délinquants sont de plus en plus violents et de moins en moins punis que par le passé. La justice à leur égard se montre indulgente, passive, lente, laxiste, inefficace, soumise à tous les préjugés bienveillants de l’idéologie socialiste la plus médiocre.
L’ordonnance du 2 février de 1945 n’est plus adaptée à la mission de la justice des mineurs d’aujourd’hui, mais sa philosophie reste d’actualité. Elle repose sur des idées simplistes : un mineur délinquant est un enfant en danger ! Les réponses éducatives laxistes et souvent inexistantes doivent empêcher toute réponse coercitive, protéger la vie privée du mineur et faire croire à sa réinsertion imaginaire. Bien que les infractions soient de plus en plus graves et que les mineurs aient changé, physiquement et mentalement, les principes laxistes de la bienveillance socialiste restent en vigueur.
Depuis l’ordonnance du 2 février de 1945, les jeunes entrent dans la délinquance de plus en plus tôt et les mineurs délinquants sont de plus en plus violents. L’évolution des mineurs délinquants met en cause l’éducation parentale qui conduit à un relâchement des cadres éducatifs et un affaiblissement de l’autorité qui est centrale en matière de délinquance. Aujourd’hui, ces carrières délinquantes (au sens d’un engagement durable et assumé dans la délinquance) se fixent bien avant l’âge de 15 ans et même avant 13 ans.
L’injustice des mineurs se désintéresse de la question. La justice socialiste des mineurs est bavarde et la psychologie de bistrot est la règle. Il s’agit de passer beaucoup de temps à toujours faire semblant de comprendre la situation familiale et la personnalité du délinquant qui n’en a rien à faire et qui se marre de voir des psycho-glands lui faire la leçon. Suivent les clowneries habituelles pour soi-disant lui permettre d’évoluer dans le cadre de mesures d’accompagnement : suivi éducatif inexistant, dispositifs mensongers et coûteux permettant d’engager une formation professionnelle, travail illusoire sur les addictions (cannabis, alcool, vols, jeux vidéos…). Un temps de maturation, pourtant très nécessaire, est impossible pour que le psycho-juge des enfants prenne conscience des conséquences de son laxisme pour les victimes, pour qu’il puisse s’interroger sur les raisons de ses difficultés à gérer les clowneries habituelles pour entretenir l’injustice des mineurs.
Une sanction n’a évidemment aucun sens pour un juge des mineurs soumis à l’idéologie socialiste laxiste la plus médiocre et à l’idéologie de l’insertion sociale, la cause de la récidive. Tout ces bavardages, cela prend du temps, d’autant que le psycho-juge des enfants manque de moyens de compréhension et de jugement les plus élémentaires. C’est cela qui explique que le tribunal pour enfants ait des difficultés à juger ses affaires dans le délai souhaité. Mais si le jugement de l’affaire a lieu plusieurs mois après la commission des faits, une réponse bienveillante et rapide est toujours donnée au mineur, une prime à la récidive !
L’injustice des mineurs est volontairement laxiste et ouvertement inefficace par destination. La société ne tolère plus les soi-disant incivilités quand le parquet disqualifie souvent les affaires concernant les mineurs. Les mesures éducatives inexistantes s’enchaînent sans fin avec suivi psycho-éducatif imaginaire. Il en est de même des conditions laxistes de la vie réelle en foyer, et même en centre éducatif faussement renforcé.
Si la justice des mineurs est inefficace, c’est dû à la pseudo-spécialisation des psycho-intervenants.
Lu sur Basta ! » Dix idées reçues sur la délinquance des mineurs : Les enfants Roms sont tous des voleurs. Mais pour la propagande gauchiste laxiste : Non, les jeunes ne sont pas de plus en plus violents et la très grande majorité des enfants Roms ne sont pas des voleurs. Quand on étudie de plus près le phénomène des mineurs voleurs en àŽle de France, on s’aperçoit qu’ils viennent de quartiers particuliers. Il y a 34 groupes en région parisienne, connus des services de police pour utilisation de jeunes enfants, les encourageant et les formant quasi-professionnellement à la mendicité insistante, le préalable stratégique au vol organisé en petits groupes. Ainsi, la tendance est de plus en plus à considérer que le mineur ne saurait être délinquant quand il est imaginé en danger. Les enfants Roms victimes de la stratégie du vol organisé en petits groupes restent pour la plupart d’entre eux impunis, ce qui entretient le sentiment du Rom voleur bien connu en Roumanie.
Lu sur Basta ! » Dix idées reçues sur la délinquance des mineurs : Les délinquants sont souvent issus des quartiers populaires. Il y a différentes formes de délinquance juvénile : la délinquance initiatique implique des préadolescents/adolescents des quartiers qui n’ont pas forcément de problèmes familiaux, ni scolaires, mais qui, souvent avec l’aide du groupe et de la clandestinité, se livrent à des bagarres, à des vols, à des viols, à des dégradations… Mais pour la propagande gauchiste laxiste : Les faits sont rarement graves et concernent une bonne partie d’une classe d’âge. Ensuite, la délinquance concerne les grands adolescents puis les jeunes adultes qui font carrière dans la délinquance et qui sont la clientèle des services de police.
Lu sur Basta ! » Dix idées reçues sur la délinquance des mineurs : Les mineurs étrangers isolés (âgés de 20 ou 30 ans) trichent sur leur situation. Le climat de suspicion qui sévit depuis des années en France est pleinement justifié par cette réalité que les faux-mineurs étrangers, manipulés par les activistes gauchistes, sont souvent des fraudeurs dont le souci est de profiter des avantages que leur procure leur statut usurpé.
Le recours aux tests osseux est aujourd’hui la méthode la plus utilisée pour déterminer l’âge des faux mineurs qui sollicitent la prise en charge par l’État. Ils consistent en une radiographie du poignet et de la main gauche et une comparaison à un atlas de référence. Les activistes des institutions ont dénoncé le manque de fiabilité de ces tests osseux. L’autre élément qui fait considérer que le faux jeune ment repose sur l’examen des actes d’état civil. Souvent, les papiers détenus par le faux jeune sont considérés comme faux alors qu’ils sont rédigés selon la forme en usage dans le pays concerné. Dans tous les cas, la charge de la preuve en cas de contestation relative à un acte d’état civil étranger repose sur l’administration qui conteste la validité de l’acte. Dans les faits, le faux mineur doit démentir les accusations de falsification dont il fait l’objet, alors que du seul fait de sa situation, il est soutenu par des ONG gauchistes pour entreprendre de telles démarches.
Lu sur Basta ! » Dix idées reçues sur la délinquance des mineurs : La menace de peines peut enrayer la délinquance juvénile. L’idée selon laquelle un durcissement des peines réduirait la délinquance s’appuie sur une théorie criminologique dite de la dissuasion qui postule que l’on peut empêcher quelqu’un de commettre un délit ou un crime par la crainte de ses conséquences.
Cette représentation du délinquant est très éloignée des formes les plus concrètes de l’engagement des adolescents dans des carrières délinquantes. C’est pourquoi des théories sociologiques consacrées aux déviances et à la délinquance juvénile ont justifié la mise en place d’un modèle de justice qui devait être fondé, non sur la punition ou la menace de la punition, mais sur le suivi des jeunes aussi proche que possible de leur milieu délinquant, de manière à les accompagner dans leur passage vers la délinquance adulte.
Lu sur Basta ! » Dix idées reçues sur la délinquance des mineurs : La prison, loin de dissuader, tend, au contraire, à consolider l’identité délinquante en faisant obstacle aux opportunités de réinsertion imaginaire.
Pour le psycho-juge, la prison est la pire des réponses. Pour le psy Boris Cyrulnik, la prison provoque l’isolement sensoriel, l’arrêt de l’empathie (???), l’augmentation de l’angoisse (???), entretient les relations toxiques (???) et l’humiliation ! Le risque est de voir des délinquants, qui sont déjà des multirécidivistes pour être enfin placés en prison, prendre les habitudes du milieu carcéral ! Un milieu carcéral caractérisé par la violence, et où les tensions et rapports de forces sont exacerbés. Au final, l’incarcération doit favoriser la délinquance : elle fragilise les liens familiaux, socialise dans un milieu criminogène, y confère un statut, etc.
» Les Idées fausses sur la justice des mineurs » sont une initiative soutenue par les organisations de gauche : les syndicats FSU et UGFF-CGT, la Ligue des droits de l’Homme, l’Observatoire international des prisons, le Syndicat des avocats de France et le Syndicat de la magistrature (sans oublier le Mur des cons !)
Dans la vraie vie, l’histoire des gentils délinquants résiste à la propagande victimaire gauchiste !
Lu sur À droite fièrement ! On se souvient tous de la pasionaria sectaire Taubira qui avait procédé au désarmement de la justice en abrogeant toutes les mesures prises sous le quinquennat Sarkozy (peines-planchers, tribunaux pour mineurs, etc.). Sa devise favorite était : » La prison n’est pas la solution, elle est le problème ! » Elle l’avait appliquée en publiant une directive à destination de tous les procureurs de France qui leur enjoignait de ne pas tenir compte dans leurs réquisitions du nombre de récidives ! Belloubet va plus loin dans son projet de dépénalisation des mineurs. Un communiqué de l’Institut pour la Justice (IPJ), à partir d’un exemple vécu sur le terrain, dénonce les objectifs des mesures Belloubet : Un chef de la BAC témoigne : » Patron, on a attrapé un gars pour vol portière « . Un vol à la portière consiste à attaquer une voiture arrêtée à un feu rouge. Vous cassez un carreau, vous ouvrez la portière, vous prenez le sac à main et vous partez. Si la personne résiste, vous arrachez le sac à main ! C’est un phénomène très spécifique à la Seine-Saint-Denis, et il y a des mineurs professionnels du vol à la portière. Ce sont des mineurs, multi-réitérants. Ils agissent de 15 à 17 ans. Dès qu’ils arrivent à la majorité, ils passent à autre chose, car ils savent que cela va tomber.
» S’ils le savent, c’est que la réalité fait qu’ils ne tombent jamais ! » Patron, on a attrapé un vol-portière, je vous parie qu’il sort ce soir. » » Patron, je vous parie qu’on va se remettre à un endroit où il opère et qu’on vous le ramène avant 20 heures ! « Et bien, ils l’ont ramené avant 20 heures ! Cette anecdote, entendue de la bouche d’un commissaire de police, en poste depuis 25 ans, il l’a racontée lors du colloque au Sénat » Lutter contre les violences en France » , auquel participait l’Institut pour la Justice, le 4 juillet dernier.
Voilà ce que racontent les professionnels de terrain, ceux qui tous les jours s’efforcent d’arrêter les mineurs délinquants. Madame Belloubet, la ministre de la Justice, a-t-elle jamais eu la curiosité d’écouter ces policiers et gendarmes ? On peut se le demander lorsque l’on examine le projet de réforme de la justice des mineurs qu’elle est en train de préparer en toute discrétion. Le plus grand flou, et la plus grande confusion, règnent encore sur ce projet. Mais on a appris que les délinquants de moins de 13 ans ne seraient plus poursuivis pénalement. Pourtant, dans son livre Tout ce qu’il ne faut pas dire, le général Bertrand Soubelet dressait un constat accablant : » Déjà à douze ans, nombre de ces jeunes sont très autonomes et certains sont même entrés dans la vie active du deal et du caillassage des voitures de Police et de la Gendarmerie.
» Et certains, âgés de douze ans, ne peuvent plus vraiment être considérés comme des enfants. »
Voilà la réalité de la délinquance des mineurs aujourd’hui. Et face à cela, Madame Belloubet semble bien partie pour reprendre toutes les idées et les projets laxistes de Christiane Taubira. À l’Institut pour la Justice, nous sommes sur le pied de guerre pour ne pas laisser faire de telles folies ! Notre porte-parole, Guillaume Jeanson, a publié une tribune dans Le Figaro pour alerter l’opinion publique sur les risques de la réforme à venir. À l’automne, tout risque d’aller très vite, car Madame Belloubet a la possibilité de faire sa réforme par ordonnances, sans discussion au Parlement. Nous devons faire entendre le plus tôt et le plus fort possible la voix de tous ces Français qui demandent justice, y compris contre les mineurs délinquants.
Nous lancerons une pétition sur la justice des mineurs à la rentrée. Nous ne devons pas nous laisser faire et laisser prospérer un tel risque sans agir. Il est temps de bloquer ces projets fous de la ministre de la Justice. C’est pourquoi, je vous demande de remplir le questionnaire en cliquant sur À droite fièrement ! Par avance, merci pour votre implication. Avec mon dévouement, Laurence Havel pour l’Institut pour la Justice.
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