Lorsqu’il est question de complexes, d’inhibitions, nous nous détournons des dix commandements et des sévères exhortations du Seigneur au sujet de l’infidélité, de l’adultère, de la fornication, pour nous laisser prendre chaque jour davantage par les accommodements « à la page », par les innovations, les expériences sexuelles, tout simplement parce que Freud et ses disciples contemporains nous invitent à « nous libérer ».
Karl Marx a ébranlé le monde : le vingtième siècle serait méconnaissable si l’on faisait abstraction de son influence.
Et que dirons-nous d’Albert Einstein ? Cet homme si doux nous a légué la bombe atomique, qui plane, telle une menace, sur toute notre civilisation. En outre, Einstein nous a laissé quelque chose d’encore plus explosif, de plus redoutable, de plus dévastateur. Ce n’est pas une bombe au sens matériel du terme. Mais moralement parlant, c’est une bombe gigantesque, née de la théorie de la relativité. Il s’agit du relativisme.
Moi le premier, j’en fus le porte-parole, jusqu’à ce que Dieu m’ouvrît les yeux. Je considérais la Bible avec le plus grand dédain. L’homme d’aujourd’hui trouve stupide et méprisable l’idée qu’un livre, quel qu’il soit, puisse constituer une norme de conduite pour notre vie. Nous autres relativistes, nous avons cru que la vérité résidait dans la pluralité des sources, et qu’il fallait, forcément, passer toute sa vie à la chercher.
On tient à peu près le raisonnement suivant : « Jamais on ne peut atteindre la vérité : on ne parvient jamais à la connaître; mais ce qui compte, c’est la noblesse de la quête. Il n’existe pas de fondement sur lequel on puisse établir une vérité quelconque; il n’y a pas de point fixe. Tout est [donc] relatif. QUI A LE DROIT DE DÉCLARER QU’UNE RÉALITÉ EST BONNE OU MAUVAISE ? Après tout, on peut justifier la chasse aux têtes en Nouvelle-Guinée : cela fait partie de leur culture. En vertu du même principe, de quel droit condamnerait-on les ébats auxquels vous vous livrez, la nuit, sur la banquette arrière d’une voiture ? Après tout, il s’agit d’amour : qui a le droit de le contester ? ».
On rejette ainsi la Bible et le conseil de Dieu, et l’on court béatement à sa perte en se berçant de rationalisations : « C’est au nom de l’amour ». Alors que Dieu a dit : « Tu ne le feras pas ».
Au cours de notre existence, nous verrons la ruine totale de cette civilisation raffinée qui branle déjà et menace de s’effondrer. Déjà ses fondements sont sapés de manière catastrophique. Déjà on voit apparaître de grandes lézardes dans ses murs. Nous sommes dans les temps de la fin. Cette civilisation bâtie sur l’apport du génie juif, mais qui rejette les paroles et la voie du plus grand des Juifs, payera un lourd tribu. Tandis que les ténèbres s’épaississent et que la nuit vient, Dieu prépare un peuple qui sera une lumière, un instrument de salut en cette fin des temps, un peuple à l’image de Joseph.
Arthur Katz, extrait du livre « L’authenticité »
J’apprécie beaucoup cet extrait du livre de Arthur Katz sur le relativisme, mais c’est un autre aspect de l’article qui retient toute mon attention : j’apprécie encore plus que Freud y soit dénoncé.
J’abonderai dans ce sens.
« Sigmund est fou et Freud a tout faux », a écrit l’écrivain René Pommier. Oui, Freud a fait des ravages,et les freudiens et leur psychanalyse toxique, voire mortifère remplissent leur tiroir caisse avec des sornettes, des idioties que les Français gobent comme de grandes vérités. Cette racaille, entre autres, tue les familles, démolit le lien entre les enfants et les parents, tue l’affection qui les relie. Que Michel Onfray soit béni d’avoir fait tomber Freud de son piédestal.
De quel droit est-ce que je me permets d’être aussi virulente ?
Je m’explique.
Je défends les rêves. C’est avec beaucoup de bonheur que j’ai découvert le blog de Mme d’Astier qui accorde leur place aux rêves.
Cela fait maintenant 46 ans que je consacre ma vie aux rêves et à leur interprétation. Ce sont les rêves que j’ai reçus qui m’ont guidée sur cette voie. C’est ainsi qu’au cours du temps, j’ai vu de très nombreux rêves qui dénonçaient la psychanalyse freudienne ou les psys qui la pratiquaient. Je tente de le faire savoir autour de moi.
En 1992, je venais de fonder mon association, je reçus un rêve puissant et déterminant.
Dans mon rêve je suis en face d’une petite assemblée où il y a des psys. Je leur dis:
« Je vous parle du fond du coeur, du fond de mes tripes, je vous dis ce que je sens, ce que je sais, ce que j’ai appris sur la voie des rêves. Les rêves, dis-je fortement, c’est la voix de Dieu, c’est la façon naturelle que Dieu a de parler directement aux hommes, et tous les problèmes se résolvent en lui et non pas en considérant les relations père-mère ».
Ainsi donc, j’ai à proclamer que les rêves sont la voix de Dieu et voilà ce qui me donne l’ assurance pour dénoncer les mensonges et les élucubrations freudiennes.
Je reviens maintenant à ce bel article, à ses derniers mots.
Que veut dire Arthur Katz quand il parle d’un « peuple à l’image de Joseph ? » Joseph : c’est le dernier mot de l’exposé.
Joseph était devenu l’interprète de rêve de Pharaon, après de très lourdes épreuves.
Serait-on alors autorisé à comprendre que ce qui pourrait éclairer notre époque où « les ténèbres s’épaississent », ce serait peut être des personnes, « un peuple », qui comme Joseph, « à l’image de Joseph », serait capable d’aider en interprétant les rêves ? Alors, au lieu d’être perdu, nous serions conduits par ce Dieu qui nous habite et nous parle dans nos rêves.
Marx, Freud, Einstein ? Des génies juifs ?
Ah non, s’il vous plaît ! Freud, qui se voulait médecin et soignait ses patients à la cocaïne, – certains en sont morts, – n’a rien d’un génie mais tout d’un escroc ; selon le mot de Bénesteau, Freud est l’imposture scientifique de XXème siècle ! Les impostures médicales pseudo- scientifiques au XXIème siècle, on connaît aussi !…
En face se tient le misérable petit juif jeté en prison, Joseph, qui a toujours fait confiance à son Dieu et qui, en étant « authentique », en interprétant les rêves de Pharaon, a sauvé de la famine le peuple égyptien, les peuples environnants et le peuple juif aussi.
Famine ? Sommes-nous à l’abri ?
« Il y a une famine spirituelle terrible dans notre monde.»
Ce sont là les mots du génie, du géant de la psychologie, du suisse Carl Gustav Jung, peu avant sa mort. Jung n’a pas arrêté de dire que Dieu parle dans les rêves, et il était convaincu que l’étude des rêves pourrait « amener une réponse – attendue jusqu’ici – à bien des problèmes qui se posent à l’humanité aujourd’hui. (1)». Ce sont là les dernières mots qu’il écrivit.
Voilà, un peu en vrac, ce que m’inspirent les considérations de M. Arthur Katz.
Merci à toi, Michelle, d’avoir publié cet extrait du livre « L’authenticité ».
(1) C. G. Jung, L’homme et ses symboles, éd. Robert Laffont, 1983, p. 103
J’ai fait de longues études de psychologie. Des années après ma conversion, le Seigneur m’a montré tout le côté pervers de cette pseudo-science qui n’est bâtie que sur des convictions humaines, des expérimentations (tordues !) humaines. Et j’ai demandé le nettoyage de tout ce que j’avais appris; J’en ai écrit un article en 2010:
https://michelledastier.com/la-psychologie-a-la-sauce-chretienne/
Et je ne suis vraiment pas la seule à démontrer que cette pseudo-science est en contradiction absolue avec la Bible !
Magnifique…explications claires et réconfortantes. Merci