J’allais mordre dans ce mets savoureux quand le titre du papier journal qui l’entourait m’a arrêté net. Le mot « WAR« en gras frappa mon regard.
Je me suis dit mentalement : Encore !
Ça me poursuit depuis plusieurs jours, et je sais que ce n’est pas un hasard. Avec Dieu, les signes, surtout ceux répétitifs, ne sont jamais vains.
Je sais, je discerne jour après jour l’enjeu des puissances actuelles qui jouent aux dés avec les forces ennemies, et plus encore la Russie. Je n’écoute pas les infos, ou si peu, je m’informe en général auprès du site de Michelle d’Astier de la Vigerie, de Gérard Colombat, de Claude, de David : des aînés aguerris ; ce sont mes meilleures sources quand j’ai besoin d’entendre ce que je pressens. Et je ne suis jamais déçue.
La guerre, elle est partout autour de nous. Elle est déjà spirituelle, plus féroce et nauséabonde que jamais, se déployant avec fureur dans toutes les sphères de notre nation.
« Mon peuple périt par manque de connaissance » a dit Osée. (4.6)
Cette citation qui a traversé le temps ne cesse pas de me déchirer, je l’ai, si souvent, pensé intérieurement dans ma tête où seul résonnait un silence fracassant.
Aimer malgré tout, aimer au-delà, et pleurer sur nos « semblables » prisonniers d’une réalité altérée, une réalité pervertie, et générée depuis des décennies par des illusions audiovisuelles qui ont bercé, pour la plupart, notre enfance. Les séquelles sont profondes et les plaies à vif ne se voient pourtant pas.
« …Parce que le mal ne cessera de croître, l’amour du plus grand nombre se refroidira. » (Mathieu 24.12)
L’amour justement, qui soulage, panse, vivifie et élève, celle ou celui qui se sentait perdu et inutile, il se fracasse aujourd’hui non plus sur nos aînés désespérés, mais sur les enfants dorénavant dans le désert pédiatrique des hôpitaux.
Ces petits, parqués dans les couloirs, des heures durant, au regard de tous, ressentent au-delà des mots qu’ils ne peuvent exprimer encore, la peur et le désarroi, sentiments sans appel.
Hôpital public
« Crise des services pédiatriques : les réanimateurs face au risque de «point de non-retour»«
Et pourtant, il faut se taire, faire silence et reprendre la vie là où elle s’était arrêtée. Ne plus parler de ces deux dernières années qui ont semé la mort et le désespoir et dont les conséquences ne sont que les aubes déchirantes à venir, des aubes où la lumière peine à se lever sur notre monde dévastée.
Dorénavant, nous sommes la proue dans la tempête, des éclaireurs dans le crépuscule qui se déploie et poursuit sa course folle. Nous le sommes parce qu’il y a encore des âmes prédestinées que Dieu désire ardemment sauver.
« En lui Dieu nous a élus avant la fondation du monde, pour que nous soyons saints et irrépréhensibles devant lui, nous ayant prédestinés dans son amour à être ses enfants d’adoption par Jésus Christ, selon le bon plaisir de sa volonté » ‘Éphésiens 1:4-5)
J’ai toujours pensé que toute rencontre, tout événement dans notre existence avait un but, un plan, une raison d’être. Et c’est justement au détour d’une formation à la Poste que j’ai rencontré le jeune Alexis.
J’ai compris assez vite que ce jeune homme était « particulier » : Sa manière d’être, son calme, sa sagesse m’ont interpellée.
Et un matin, je lui ai demandé s’il était croyant. Alexis était bien plus qu’un croyant, il était une sorte de messager, un témoin du monde spirituel dans lequel il s’est retrouvé suite à une expérience de mort éminente !
Alexis ne connaît pas la Parole de Dieu, il n’a jamais lu la Bible ; son expérience, sans qu’il le sache m’a fait penser à Paul.
« Et je sais que cet homme si ce fut dans son corps ou sans son corps je ne sais, Dieu le sait) fut enlevé dans le paradis, et qu’il entendit des paroles ineffables qu’il n’est pas permis à un homme d’exprimer. » 2.Corinthiens 12
Voici son témoignage tel qu’il me l’a transmis :
(Ce témoignage est lié à mon expérience spirituelle, il y a 4-5 ans)
C’était un samedi soir, en boite de nuit. j’avais 21 ans.
Je faisais la fête, comme tout le temps, car c’était une période où j’étais alcoolique.
Ce soir là, sur un malentendu, en sortant de la boite, une fille est venue me prévenir, comme quoi un groupe d’hommes voulais me faire du mal en me proposant de me ramener chez moi, car je rentrais à pied. N’ayant rien à me reprocher, j’ai refusé.
Décidant quand même de rentrer à pied tout seul, sachant que ce groupe m’attendait à un virage un peu plus loin de la boite et d’arriver devant eux sans mauvaise intention, voulant juste savoir ce qui se passait.
Sauf qu’à ce moment, avant même que j’ai eu le temps de dire quoi que ce soit, ils avaient commencé à m’agresser. (Je ne vous expliquerai pas les détails, car il m’est impossible de les raconter.) Après cela, j’étais par terre, devant le groupe, puis je me suis senti partir.
Je ne voyais plus rien, mais j’ai pu continuer à entendre quelques secondes, malgré mes oreilles qui bourdonnaient. Je les ai entendus partir en courant. Puis j’ai perdu connaissance.
Quand Je me suis « réveillé », je me voyais à côté de mon corps. Je me suis vu allongé, inerte, et j’ai assez vite réalisé que j’étais mort.
Je décidais alors d’aller rattraper mes agresseurs, tout en me disant que c’était incroyable puisque j’étais mort. En fait, je voyageai en esprit. J’ai réussi à les rattraper et à monter dans une des voitures. (Je me suis vraiment vu sorti de mon corps.)
Je suis monté dans la voiture cotée passager arrière droit. Il y avait trois personnes. Deux à l’avant, et une à côté de moi.
J’écoutais ce qu’ils disaient. Étrangement, la personne devant moi sentait ma présence. J’ai donc mis ma main sur son épaule gauche. Cette personne, semblait-il, a ressenti quelque chose quand je l’ai touchée.
Tous les trois voulaient rentrer, mais l’un deux décida d’aller prévenir son père au cas où il me serait arrivé quelque chose de grave.
Arrivé chez son père, je me suis mis à côté de l’un d’eux et je suis resté pour écouter la conversation. (Je n’ai jamais vu son père ; petite précision pour la suite.)
Au bout d’un moment, je me suis dit que je n’avais pas besoin de rester là. J’ai donc mis ma main sur son épaule gauche, en lui disant que le pardonnais.
Et d’un seul coup, j’ai senti un fort sentiment d’amour et une grande sensation de chaleur ainsi qu’une forte lumière éblouissante.
Je n’ai pas le droit d’en raconter davantage.
Tout ce que je puis dire, c’est qu' »on » m’a parlé. « On » m’a donné alors un message, disant de raconter ce que j’avais vécu. Puis de dire que le paradis et l’enfer existent bel et bien, qu’il faut parvenir à la foi.
« On » m’a également dit aussi, je cite :
» la haine va prendre le dessus sur l’amour. »
Je constante malheureusement que c’est ce qui se produit, les choses empirent d’année en année.
C’est pour cela que je suis encore en vie. Pour témoigner. JE LE DIS: Il faut se tourner vers Dieu. Et prôner l’amour dans ce monde. Sinon, si la haine s’accroît de plus en plus, cela amènera à de bien mauvaises choses pour l’avenir.
Après cela, je me suis retrouvé dans mon corps, avec une grande inspiration d’air, mais sans me souvenir alors de mon agression. Un groupe de personnes étaient à côté, me disant de rester allongé, car ce qui venait de m’arriver était grave. Je me suis levé quand même, puis j’ai parlé avec eux de l’expérience que je venais d’avoir.
Pour finir, j’ai réussi a retrouvé une photo du père de l’un des agresseurs, sur un réseau social. Ce qui m’a donné un sentiment très bizarre d’ailleurs.
Merci d’avoir lu jusqu’au bout.
S’il vous plaît, méditez bien sur ce que je viens de raconter. Car la vie après la mort, n’est pas un mythe, mais bien la réalité !
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