Avez-vous vu le film « Un jour sans fin », avec Bill Murray et Andie MacDowell ?
J’aime beaucoup ce film (dont le titre original anglais est « Groundhog day » : le jour de la marmotte).
C’est l’histoire d’un homme qui se retrouve soudainement condamné, par une forme de sortilège, à revivre la même journée… tous les jours !
Il se réveille chaque matin au même endroit, le même jour (le jour de la marmotte, un évènement célébré aux États-Unis chaque année).
C’est infernal, car quoi qu’il fasse, il est condamné à revivre la même journée.
Mais ce qui est intéressant, c’est qu’il a la possibilité d’agir différemment, à chaque fois.
C’est la possibilité pour lui – un homme cynique et auto-centré – de devenir meilleur.
Et il lui faudra beaucoup de temps avant de rompre le sortilège.
Il passera des jours et des jours, à revivre la même journée, et à refaire les mêmes erreurs.
Et vous savez à quoi cela me fait penser ?
À la vaccination de l’époque moderne !
Plus je travaille sur les vaccins, plus j’ai l’impression que c’est le même « film ».
La même propagande… le principe de précaution bafoué… une efficacité mal démontrée… et des effets indésirables camouflés.
À chaque fois, l’industrie pharmaceutique utilise les mêmes « ficelles » pour arriver à ses fins…
…et à chaque fois, cela passe comme une lettre à la poste !
Il est grand temps de faire comme Bill Murray : apprendre de nos erreurs et devenir meilleurs pour décrypter la propagande vaccinale.
Sinon, nous nous réveillerons, chaque nouvelle année, avec un vaccin obligatoire supplémentaire !
Regardez plutôt la dernière annonce du ministre de la Santé :
Après l’hépatite B, une autre obligation vaccinale dangereuse pour nos adolescents ?
Il y a quelques jours, François Braun a annoncé son souhait de généraliser la vaccination contre les papillomavirus en France.
Il a même déclaré qu’il n’excluait pas de rendre cette vaccination obligatoire.[1]
Et tenez-vous bien…
…il a même utilisé l’exemple de ce vaccin-là pour s’opposer à la réintégration des soignants suspendus !!
C’était à l’Assemblée nationale :
« Quel message vous envoyez (en voulant réintégrer les soignants non-vaccinés Covid) si l’on songe aux autres vaccinations à venir !
Que me direz-vous, par exemple, lorsque je viendrai vous proposer une vaccination contre le papillomavirus ? »[2]
Puisque vous posez la question, Monsieur le ministre de la Santé, voici ce que je vous dirai.
Écoutez-bien, car il faut que cela rentre dans vos oreilles, une bonne fois pour toute :
LA VACCINATION N’EST PAS UNE RELIGION, PAS UNE BAGUETTE MAGIQUE !
CHAQUE VACCIN DOIT S’APPRÉCIER AU CAS PAR CAS, EN FONCTION DE SON RAPPORT BÉNÉFICE-RISQUE, ÉVALUÉ PAR DES EXPERTS INDÉPENDANTS DE L’INDUSTRIE.
Ce devrait être une évidence, mais cela ne l’est pas dans notre monde médical moderne.
Et la volonté de vacciner la totalité des adolescents contre le papillomavirus est encore un exemple accablant de la dérive vaccinaliste récente.
J’ai l’impression de revivre ce qui s’est passé avec le vaccin contre l’hépatite B !
Je vous renvoie à mes lettres à ce sujet[3] : même si le vaccin contre l’hépatite B était sûr et efficace (ce qu’il n’est pas, loin de là), il n’y aurait toujours aucune bonne raison de vacciner la totalité des nouveau-nés contre une maladie d’adultes, touchant essentiellement les toxicomanes.
Rien que le coût pour le contribuable dépasse largement le gain espéré – cela avait d’ailleurs été démontré par l’INSERM en 1995, qui avait appelé à ne vacciner que les populations à risque.[4]
Et je vais vous montrer qu’il en va exactement de même avec le vaccin HPV, contre les papillomavirus (HPV signifie « human papillomavirus »).
Je préfère vous prévenir tout de suite : il s’agit d’un des vaccins les plus toxiques qui existent.[5] De nombreuses adolescentes sont devenues handicapées à vie, ou criblées de douleurs, après cette vaccination.[6]
De plus, il n’existe aucune preuve scientifique solide de son efficacité, à savoir sa capacité à éviter le cancer du col de l’utérus.
Et le plus dingue, dans tout ça…
…c’est qu’il n’y a même pas de preuve solide que les papillomavirus visés par le vaccin sont vraiment la cause directe des cancers de l’utérus !!
On est donc, peu ou prou, dans la même situation que pour le vaccin contre l’hépatite B – dont la plupart des parents acceptent sans broncher qu’il soit injecté à leur nourrisson.
1) Il n’est pas démontré de façon parfaitement convaincante que :
– le virus de l’hépatite B chronique soit une cause directe des cirrhoses et des cancers du foie ;
– les papillomavirus humains (HPV) soient une cause directe des cancers du col de l’utérus ;
2) Aucun essai clinique randomisé contre placebo n’a pu montrer l’efficacité :
– du vaccin hépatite B pour éviter un seul cas grave d’hépatite, et un seul cas de cirrhose ou de cancer du foie ;
– du vaccin HPV pour éviter un seul cas de cancer du col de l’utérus ;
3) Le vaccin hépatite B, comme le vaccin HPV, sont des vaccins génétiques, créés à partir de cellules génétiquement modifiées, avec des risques de contaminations de l’ADN, pouvant occasionner cancers et maladies neuro-dégénératives ;
4) Le vaccin hépatite B, comme le vaccin HPV, contient de l’aluminium, une substance neurotoxique dont beaucoup de travaux pointent la dangerosité potentielle en tant qu’adjuvant vaccinal ;
5) Aucun essai clinique n’ayant été réalisé contre un vrai placebo, il est impossible d’évaluer le nombre d’effets indésirables graves avec un haut niveau de confiance. On sait toutefois que les deux vaccins (hépatite B et HPV) sont très risqués, car ils ont fait l’objet d’un nombre élevé et inattendu de signalements à la pharmacovigilance, y compris pour des effets indésirables graves, et notamment des décès.
Et tout cela, je vous le démontrerai en détail, dans de prochaines lettres.
L’effort en vaut la peine, pour comprendre jusqu’où va la religion vaccinale.
Et c’est la santé de nos jeunes filles et jeunes garçons qui est en jeu.
Car je répète qu’Emmanuel Macron envisage de rendre obligatoire, pour tous les adolescents, ce vaccin HPV.
Restez connecté – et transférez cette lettre à tous les parents que vous connaissez, ayant des enfants de moins de 15 ans, qui seront concernés à un moment ou à un autre.
Bonne santé,
Xavier Bazin
Source : Il est urgent d’arrêter de refaire les mêmes erreurs sur la vaccination, encore et encore
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