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Lundi 12 Juillet 2021

Je suis rentrée tard du travail, épuisée par une journée particulièrement difficile.

J’ai conduit, l’esprit un peu ailleurs, indifférente au paysage qui défilait dans un soleil couchant sans éclat, comme happé par des nuages assombris. Je n’ai pas voulu allumer la radio ou écouter cette musique apaisante que j’apprécie tant. Non, je ne voulais pas savoir ce qu’avait dit notre « Cher Président », je crois que je m’en doutais un peu.

C’est en arrivant que j’ai vu les messages : ils m’attendaient comme impatients !

Et j’ai su.

Puis le téléphone a sonné, pas le temps de manger, une amie hurlait presque sa colère et son désarroi dans mes pauvres oreilles qui désiraient qu’une chose : le silence.

Le silence pour lire les réactions, qui étalaient déjà la consternation et la stupeur.

Un silence pour réfléchir, avec mon Dieu.

Et pour comprendre aussi.

Comprendre que le monde, du moins notre nation avait brusquement basculé dans l’effroi et l’absurdité.

Du moins, avait en pleine lumière, dévoilé le temps où nous sommes à présent, et les puissances qui enchaînaient l’Europe… et bientôt le monde.

Sa toile, telle une araignée, avait tissé, au fil des années, son piège incontournable, détruisant la Vérité avec acharnement.

Et en ce jour si particulier, l’aube des tribulations s’est hissée avec force.

Samedi 17 Juillet 2021

J’ai pris du recul, je prends toujours du recul quand notre nation est touchée. Me retirer avec Celui en qui j’ai mis toute ma confiance, auquel je m’appuie avec obstination : Jésus-Christ.

J’ai plaidé, j’ai prié, j’ai pleuré, et puis… mon cœur s’est mis à battre différemment.

Deux certitudes se sont révélées à mon esprit scellé au Saint des Saints :

La première est que nous sommes face à l’ultime combat, le dernier, le plus extraordinaire de l’histoire de l’humanité.

La deuxième est que nous sommes la lumière du monde, la dernière dans cette Europe que les ténèbres ont définitivement recouverts.

Beaucoup vont douter et abdiquer parce qu’ils pensent que ce n’est pas la marque… où du moins pas la véritable.

Nous sommes pourtant dans l’antre de l’Anti-Christ qui a changé les lois et les temps, en quelque sorte. Et ce, plus violemment ces deux dernières décennies.

Je ne reviendrais pas sur ces lois abominables qui ont transformé les existences et les pensées de notre nation, jusqu’à accepter l’inacceptable au regard de Dieu.

Néanmoins, ces « piliers » de l’horreur installés doucement, implacables dans l’Europe et même au-delà, n’ont pas été vraiment pris au sérieux. Hélas.

J’ai tenté, ces dernières années, de mettre en évidence, l’absurdité à continuer d’acheter à crédit, la folie de se projeter dans un avenir que je savais illusoire.

Parce que je savais.

Je savais que ces chaînes allaient influencer lourdement la décision d’une allégeance à venir.

Aujourd’hui, j’entends des chrétiens affirmer que ce vaccin n’est pas la marque. Ils offrent alors leur bras dénudé à ces aiguilles qui me font penser à des dards.

Et je ressens de la tristesse.

La marque ?

Je ne sais…

Néanmoins, au-delà de cette « injection » que nous savons potentiellement dangereuse, il y va de l’obéissance et de la soumission.

Nous devons nous soumettre aux autorités, certes… pour autant qu’elles ne contredisent pas la loi de Dieu.

Mais dès que la loi du pays contredit la loi de Dieu, la désobéissance à la loi du pays devient un devoir. (Actes 5.40-42)

La vraie question, devant Celui que nous servons, Jésus-Christ, est celle-ci :

Sous quel gouvernement devons-nous plier le genou ? Le céleste… ou le terrestre ?

La deuxième certitude est la lutte qui s’est engagée et elle est sans appel !

Devant mon Sauveur, mon esprit aspirant à être scellé dans le sien, j’ai compris que le temps était venu de faire un choix :

Celui de prouver notre fidélité et notre loyauté envers lui.

Maintenant.

Le travail, les biens, les acquits… c’est terminé!

Le doux ronron de la Foi, des instruments de musique qui dévoraient le temps de la Parole de Dieu dans les assemblées vont se taire, oh ça oui !

Et certains pasteurs vont même revêtir l’habit, tels ces 400 faux prophètes de Josaphat, ou de ceux auxquels Élie a fait face, pour s’opposer violemment au pouvoir en place, en espérant établir la gloire de Dieu.

Les récits d’hier sont des « rivières » de connaissances et de sagesse… pour nous, aujourd’hui !

Nous allons affronter ce que ce peuple si particulier, celui d’Israël dont notre salut est issu, a subi il y a 80ans. dans notre nation.

La similitude avec les interdictions de cette époque est frappante.

La riposte de Dieu.

La majorité des journaux en parlent.

Inondations mortelles en Europe.

Voilà la réponse de Dieu.

Et d’autres événements devraient, dans un temps proche, très proche, saisir d’effroi bien des nations.

Le temps est venu.

De faire un choix.

C’est le dernier appel.

Le dernier.

« J’estime que les souffrances du temps présent ne sauraient être comparées à la gloire à venir qui sera révélée pour nous. Aussi la création attend-elle avec un ardent désir la révélation des fils de Dieu.… »(Romains 8.18)

Que Dieu vous bénisse et vous guide.